C'Est Mercredi (4° Partie)

Après avoir fait l’amour avec une fille, Laure s’endort Elle ne sait même plus combien de fois elle a joui depuis le matin. Pourtant un creux dans le bas ventre la réveille. Laure a encore besoin de se faire mettre. Son amant du mercredi après midi doit l’attendre. Elle se souvient de lui à cause de la bite : un objet précieux qui reste bandé très longtemps. Un régal pour le sexe, le cul et la bouche de Laure.
Elle reste nue sous l’imper ouvert qu’elle tient fermé avec une main. En passant à l’accueil de l’hôtel elle ouvre le vêtement pour que les hommes présents puissent la regarder posément. Elle arrive à se mettre accroupie pour, mieux montrer sa chatte. Le chauffeur du taxi qu’elle prend regarde dans sa direction : elle écarte encore les jambes pour se montrer : elle aime s’exhiber ainsi, même gracieusement. Voyant que le chauffeur est excité elle lui demande de se branler devant elle : sans gêne, il sort sa queue, la prend dans sa main. Il la regarde par-dessus ses épaules. L’imper est écarté en grand sur la chatte mouillée. Il se masturbe lentement en regardant. Elle n’y tient plus : elle se caresse aussi pour jouir trop vite à son gré. Elle regarde le sperme sorti à grand flux du méat du gland. Satisfaite de son dernier exploit, elle peut aller se faire mettre par son amant.
Il l’attend chez lui, avec une boisson pétillante. Quand elle entre, il prend le col de l’imper, le retient pour le faire tomber. Lui commence à bander : il l’attend depuis trop longtemps, il s’est même masturber avec son arrivée. Laure le pousse doucement dans l’appartement qu’elle connait bien. Le divan juste derrière l’amant et à la portée des fesses. Il s’y assoit, elle est sur ses genoux. Leurs lèvres sont vite réunies dans un baiser où c’est la langue de Laure qui s’amuse de la langue de l’amant. Elle ouvre la chemise, fait ressortir les mamelons de l’homme, ouvre la ceinture pour plonger la main vers la queue : il bande déjà bien. Pendant qu’elle embrasse la poitrine de l’homme sa main est sur la pine.

Elle la libère du carcan du pantalon : la bite a des mouvements incontrôlés de bas en haut. Le gland se libère du prépuce lentement. Laure aime particulièrement cette queue. Elle sent la cyprine inonder sa chatte : il lui faut se faire mettre d’urgence.
Laure enjambe les cuisses, se cale comme elle peut avant de se laisser aller sur la pine. Elle se penche en arrière, retenue par ses mains posées sur les genoux de l’amant. Son bas ventre assure la cadence de la baise : lui la suit pour la baiser. Les yeux du couple regardent la jonction de la queue avec le con. Pas un seul mot n’est échangés : ils baisent c’est tout. Elle le v eut ailleurs, pour lui c’est la même chose, en plus serré.
Elle se relève à peine pour prendre la queue dans sa man le dirige doucement vers son anus. Elle se caresse longuement le cul, puis lentement la fait entrer. Lui passe un doigt dans le vagin où il la laboure avant de mettre le pouce sur le bouton. Les trois principaux endroits de plaisir étant pris, Laure se laisse aller : elle jouit plus longtemps que tout à l’heure dans le taxi.
Il la remonte en la prenant par le cou, en la serrant contre lui. Il va jouir dans le cul. Elle attend avec espoir le sperme dans son anus. Elle remercie encore son mari de lui avoir appris à aimer la sodomie. Enfin elle sent les spasmes de la jouissance dans la bite. Ces mouvements lui donnent un autre orgasme. Il ne sort pas de l’enfer des jambes. Il prend les tétons dans ses lèvres les mord, un peu les tire avec ses dents. Elle a mal et ça lui fait du bien.
Ils se désengagent, se regardent avant de passer au lit. Là, il se met sur le dos, la pine toujours bandée : il connait assez Laure pour lui laisser l’initiative. Elle lui tourne la main droite, s’assoit dessus pour qu’il la branle. Ses doigts se promènent sur la chatte, en particulier sur le domaine entre cul et con. C’est Laure qui en bougeant se livre à un étonnant branle individuel.
Pourtant elle se penche totalement sur la queue de l’homme, le prend lentement sur la langue, le lèche à peine pour le faire mieux bander.
Ses lèvres entourent de près la queue. Elles font descendre le prépuce lentement comme pour faire exploser l’homme de désirs inassouvis. La pine s’enfonce dans la bouche : elle est tenue par la main de Laure, juste à la base. Le gland frotte contre une joue d’abord, le palais ensuite. Il va contre la glotte. Si Laure n’était pas habituée à sentir la bite juste à cet endroit, elle aurait une belle nausée.
Lui est tendu, la queue plus que raide, les couilles relevées. Il la branle en gardant surtout ce plaisir qui arrive doucement. Il se sent sans cesse jusqu'au memont où il libère le sperme qui coule dans la gorge de Laure, satisfaite du résultat.
Laure garde la queue dans sa bouche jusqu’à la fin de l’émission. Satisfaite du résultat elle se déplace pour un baiser : sa bouche est encore pleine de semence, elle va la donner à celui qui la branle. Quand les bouches se réparent un filet de sperme les relie encore. Elle se blottie contre le corps de l’amant prend encore la bite qui ne débande pas. Elle le branle lentement, demande qu’elle aussi soir branlée. Elle aime ce genre de situation où les mains seules donnent les plaisirs. Elle regarde sa main aller et venir sur la colonne. Elle tire à fond sur le prépuce pour faire presque blanchir le gland. Elle remonte lentement. Puis elle accélère son mouvement au maximum avant de ralentir encore et de recommencer. Le jet de sperme la contente au point qu’elle approche vire sa bouche pour tirer encore une goutte.
Lui touche à peu près partout la chatte. Il commence par le clitoris, le laisse pour entrer dans le trou principal puis le cul où il ne s’attarde pas. Il revient à son endroit favori, le chaud clitoris. Là ses doigts se font plus doux, plus insistants ; Le clitoris se plie aux exigences de la masturbation. Ils se retrouvent à jouir encore.
C’est bon les mercredis.

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