En Deplacement Avec Nathalie Partie 2 Fin

Le lendemain, la température était douce mais le ciel était gris.
Nathalie a flâné au lit jusqu’à tard dans la matinée puis s’est préparée pour sortir se balader en ville.
Une tenue un peu plus soft mais sexy quand même, une mini-jupe en Jeans clair, un sweat noir et blanc un peu ample et une paire de basket, rien d’autre.
Elle a pris la voiture pour aller en ville jusqu’au parking sous-terrain pour se promener dans la zone piétonne, allant de magasin en magasin une partie de l’après-midi.
Elle s’est arrêtée ensuite boire un verre dans le pub dans lequel elle était allé deux jours plus tôt avec Denis.
Assise à une table un peu à l’écart, elle sirotait tranquillement son verre quand elle aperçût entrer les trois copains de Denis.
Voyant qu’elle était seule, ils se sont approchés :
« Bonjour Nathalie, tu es seule ? On peut s’installer à ta table ? »
« Bonjour » répondit-elle « Oui, ça me fera un peu de compagnie »
Ils ont commandé un verre puis se sont assis à côté et en face d’elle.
Ils avaient sensiblement le même âge que Denis, le plus grand, Jérôme, était assez mignon et les deux autres, Bastien et Joël, ni beaux ni moches, un physique quelconque mais tous les trois très sympathiques et surtout assez dragueurs.
Ils ont beaucoup plaisanté avec elle, en ayant toujours soin de la complimenter pour mieux la charmer.
Ils devaient espérer qu’au moins un des trois la ferait succomber à ses charmes.
Voyant qu’elle ne prenait parti pour aucun en particulier, ils se sont un peu plus lâchés en commençant à parler de sexe et de sa relation avec Denis.
Nathalie est entrée dans leur jeu relatant le fait qu’elle aimait bien passer son temps libre à prendre du plaisir et à en donner.
Il ne leur en a pas fallu plus pour qu’ils lui proposent d’aller ailleurs.
« Ça te dit de venir visiter notre QG ? » « Tu vas voire, c’est un peu en retrait de la ville, on y va souvent se faire des barbecues et parfois y camper pour le Week-end » « C’est un petit terrain au bout d’un chemin sur lequel il y a une vieille maison en ruine »
« Oui pourquoi pas, ce n’est pas trop loin j’espère » répondit Nathalie.


« Non, dix à quinze minutes en voiture, tu nous emmène ? »
« Ok, ma voiture est au parking sous-terrain »
Ils se sont levé tous les quatre puis se sont dirigé vers la sortie de pub.
Sur le chemin du parking Jérôme leur dit :
« Attendez moi cinq minutes, j’ai un truc à prendre à la pharmacie »
Quand il est revenu, il essayait tant bien que mal de dissimuler une boite de capote dans ses poches.
Ma femme a souri en se disant qu’ils avaient certainement d’autres intentions que celle de lui faire visiter leur QG.

Arrivé à la voiture, Jérôme n’a pas laissé d’autres choix à ses deux copains que de monter à l’arrière.
A peine avait-elle démarré qu’il avait déjà posé une main sur la cuisse de Nathalie.
Elle l’a regardé, souriant en signe d’approbation.
A chaque feu rouge elle écartait un peu les jambes pour qu’il puisse remonter ses doigts un peu plus haut sur sa cuisse jusqu’à arriver à son pubis.
Il fût surpris mais heureux de découvrir qu’elle n’avait pas de sous-vêtements.
Il lui caressait les lèvres intimes du bout des doigts puis, a réussi au feu rouge d’après, de lui en rentrer deux.
Ils sont sortis de la ville et comme elle n’avait plus à passer les vitesses, elle pouvait plus facilement écartées ses cuisses et ainsi laisser vagabonder la main de Jérôme.
Les deux autres pendant ce temps caressaient chacun de leur côté les seins de ma femme par-dessus son sweat.
Ils étaient sur une petite route de campagne et Jérôme a fait tourner Nathalie dans un petit chemin qui leur a permis d’arriver à leur QG.
C’était un terrain non clos sur lequel il y avait une vieille table, plusieurs chaises, un fût posé sur un socle, qui devait servir de barbecue et au fond une ruine.
L’herbe était entretenue, ils devaient souvent y venir, le terrain était propre et entouré d’arbre et de haies, il y avait même une poubelle avec un couvercle.
Ils sont sortis de la voiture et se sont regroupés autour de ma femme pour la caresser et l’embrasser.

Sa mini-jupe et son sweat se sont très vite envolés, laissant libre cours aux trois paires de mains qui parcouraient son corps.
Elle s’est ensuite accroupie en leur faisant comprendre de baisser leur pantalon.
Trois bites bien raides se sont retrouvées devant-elle, une dans chaque main puis la troisième qu’elle a aussitôt gobée.
Sa bouche et sa langue se sont promenées sur chacune de ses trois queues à tour de rôle.
Elle les suçait, les branlait, les aspirait, les léchait avec délectation, sa bouche sur leur bite les électrisait et les faisait bander encore plus fort à chaque fois qu’elle les engloutissait.
Elle prenait beaucoup de plaisir à les sucer, avoir trois sexes bien durs pour elle toute seule l’excitait toujours énormément.
Jérôme s’est accroupi à son tour à côté de ma femme pour plonger sa main vers sa chatte et pouvoir ainsi reprendre la progression de ses doigts en elle qu’il avait commencé dans la voiture.
La position accroupie de Nathalie faisait que ses doigts ont investis l’intérieur de son sexe très facilement, il la branlait doucement tandis que son pouce titillait son clito.
Elle sentait son plaisir monter progressivement alors que sa main s’agitait de plus en plus en elle.
Sa chatte était trempée et elle se sentait se liquéfier dans sa paume.
Ce plaisir qui montait en elle la faisait sucer les deux autres avec encore plus d’ardeur, elle poussait de grands soupirs entrecoupés de gémissement au fur et à mesure que son orgasme arrivait.
Jérôme la branlait de plus en plus vite, elle ne savait plus combien de doigts il avait entré en elle, deux, trois, quatre, peut-être plus.
Un long feulement est sorti de sa bouche lorsque qu’elle a joui, ses mains ont enserrées encore plus fort les deux bites qu’elle branlait, faisant éjaculer simultanément Bastien et Joël.
La bouche ouverte à crier sa jouissance, plusieurs jets de sperme sont venus s’écraser sur sa langue et son visage.

Seul Jérôme n’avait pas éjaculé, il s’est relevé, a enfilé une capote sur son sexe hyper tendu puis, a retourné ma femme lui faisant poser les mains sur le capot pour s’installer derrière elle et la pénétrer d’un seul coup jusqu’à la garde.
Sentir cette belle queue l’empaler lui a provoqué un long soupir de plaisir, alors que Jérôme commençait ses va et viens en elle.
Il lui agrippait les hanches pour mieux s’enfoncer et à chaque coup de rein, elle sentait son membre encore plus gros et plus dur la défoncer.
Il s’acharnait presque bestialement en lui donnant de grands coups de boutoir qui la plaquait à chaque fois sur le capot de la voiture.
Pendant près de dix minutes il l’a démonté de cette façon la faisant jouir à plusieurs reprises.
Au bord de l’explosion il a encore accéléré ses mouvements pour se vider en elle dans un grognement presque inhumain et en la traitant de chienne et de salope.
Ma femme affalée sur le capot de la voiture se remettait de ses jouissances successives, lorsqu’elle senti une nouvelle bite l’investir, Joël ou Bastien, elle ne savait pas qui était son nouvel assaillant, ce qui lui importait c’était le fait qu’elle allait certainement encore prendre du plaisir.
Elle avait toutefois vérifié, sentant cette nouvelle queue s’enfoncer en elle, qu’elle était bien habillée du chapeau de rigueur.
Cette queue qui la secouait vigoureusement était plus grosse que celle de Jérôme, d’ailleurs Joël et Bastien étaient tous les deux mieux membré que leur copain.
Elle se sentait mieux remplie, bien que Jérôme l’eût quand même bien faite jouir.
En fait Joël et Bastien se sont relayés pour la pénétrer chacun leur tour, ma femme ne savait plus qui était qui et quelle bite lui donnait du plaisir, plaisir qu’elle a pris sans aucun état d’esprit.
Elle se fichait de qui la baisait du moment qu’il la baisait bien.
Sa position sur le capot de la voiture devenait un peu inconfortable, elle a alors demandé à un des trois d’aller chercher les serviettes de plage qu’elle avait dans le coffre pour les installer sur le sol.

Une fois installées, elle s’est mise à quatre pattes pour s’offrir à ses amants du jour.
Bastien et Joël ont repris leurs assauts, chacun leur tour venant se caler contre les fesses de ma femme et la démonter sans vergogne.
Jérôme qui avait repris vigueur s’est présenté devant la bouche de Nathalie qui a avalé sa bite goulument, pendant que les deux autres la baisaient vigoureusement en la traitant de tous les noms :
« Putain t’es une grosse salope, t’es une bonne chienne, t’aime la bite toi, sale pute, oh putain t’es trop bonne… »
Elle sentait qu’ils n’allaient pas tarder à jouir vu leur manière de lui parler.
Elle se donnait bien, allant à la rencontre de leur queue à chaque coup de rein.
Dans de violents coups de rein et en lui agrippant les hanches presque à lui faire mal, le premier s’est vidé en elle dans un déferlement de jurons et en lui claquant les fesses.
Sitôt soulagé, il est sorti de ma femme et le deuxième a aussitôt pris sa place, en quelques dizaines de secondes de baisage intensif, il s’est laissé aller dans le même état d’esprit que son collègue précédent et a éjaculé à son tour.
Nathalie avait encore les marques, le soir quand elle est rentrée, des doigts et des mains sur ses hanches et ses fesses.
Jérôme excité par tout ça n’en pouvait plus lui aussi, il a attrapé la tête de ma femme pour la bloquer contre son pubis et s’est épancher jusqu’au fond de sa gorge en criant sa jouissance lui aussi par des mots bien crus.
Ma femme qui comme à chaque fois qu’elle apprécie, avait joui plusieurs fois avec leurs pieux, s’est relevée un peu endolorie en leur disant :
« Eh bien, vous êtes un peu des sauvages mais j’ai quand même bien pris mon pied »
« whaaaaaaaaa, t’es incroyable toi, tu as joui un nombre incalculable de fois et tu as réussi à nous mettre sur les rotules » lui dit Joël, sitôt approuvé par ses deux camarades.
« Il commence à se faire tard, il faut que je rentre à l’hôtel rejoindre mon mari qui ne devrait pas tarder, je vous dépose en route ? »
Ils sont repartis tous les quatre soulagés et heureux de la partie de baise qu’ils venaient de jouer.

Nous sommes arrivés presque en même temps devant l’hôtel, le gros bisou bien baveux et avec encore un fort gout de sperme qu’elle m’a donné, m’a fait comprendre qu’elle avait de nouveau passée une après-midi de sexe.
Excités, nous avons commencé les hostilités à peine monté dans l’ascenseur pour finir dans la chambre ou nous nous sommes jetés l’un sur l’autre pour faire l’amour pendant presque une heure.
« Eh bien, tu t’es sacrément envoyée en l’air cette semaine » lui dis-je.
« Oui c’est vrai, c’était une semaine top, j’ai adoré, demain je me repose un peu, je vais rester au bord de la piscine à me prélasser, j’ai besoin de repos avec toutes ces aventures »
« J’imagine que tout ça t’a un peu exténué, en tous cas moi j’ai aimé que tu t’éclates avec tous ces mecs »

Une bonne douche, puis nous somme sorti en ville manger dans un restaurant de la rue piétonne, après quoi nous sommes allés boire un verre dans un autre pub que celui où elle était allée cette après-midi.
C’était un pub bourré de monde et où il y avait une piste de danse, nous avons réussi à trouver un endroit pour s’assoir et boire un verre, cependant c’était un peu trop bruyant pour tenir une conversation normale.
Nous avions décidé de communiquer par texto trouvant ceci marrant et surtout ne se doutant pas que vingt ans plus tard cela deviendrait monnaie courante chez beaucoup de gens.
« Regarde à ta droite près de la table ou il y a les deux nanas bien gaulées, le grand type baraqué »
« Oui je vois, top canon les deux filles »
« Non le mec, c’est Jean Louis »
« Jean louis ? »
« Oui le père de Denis le barman » « Celui qui m’a baisé après son fils chez lui hier »
« Ok, oui c’est vrai c’est un beau mec, vieux mais beau mec »
« Tsssssssssss jaloux, je le kiffe moi, il m’a envoutée ce type »
« Et alors ? »
« Bein, je mouille presque à le regarder »
« Vas-y précise ta pensée, je te connais tu sais, je crois même savoir ce que tu veux »
« Ça te dérange si je m’absente un peu, j’ai envie de le sucer, en plus je ne le reverrais sans doute jamais »
« T’es vraiment une sacrée salope, oui vas-y, mais fais vite je bande déjà »
Elle s’est levée pour se diriger vers lui, il ne l’avait pas vu et a semblé agréablement surpris de la voir.
Elle lui a parlé à l’oreille et ils se sont évanouis dans la foule.

Quinze minutes après, ma femme est revenue seule, elle a enfoncé sa langue dans ma bouche pour m’embrasser avec fougue.
J’avais l’impression que sa bouche venait tout juste d’être remplie de sperme et qu’elle n’avait pas eu le temps de tout avaler.

« Si tu es seul, suis-moi » lui avait-elle dit à l’oreille.
Sans réfléchir, il lui a emboité le pas.
Arrivé devant les toilettes des hommes, ils se sont engouffrés dans une cabine vide sans regarder si quelqu’un les avait vu.
Elle s’est accroupie face à lui pour dégrafer son pantalon et sortir sa queue en semi-érection qu’elle a aussitôt engloutie entre ses lèvres.
En un rien de temps il était complétement en érection dans sa bouche.
Elle avait senti avec fierté cette grosse bite gonflé rapidement sous l’effet de sa langue.
Elle l’a sucé avec avidité et plaisir, passant sa langue partout le long de sa hampe et de son gland.
Il avait pris la tête de ma femme entre ses mains pour la faire aller et venir sur son membre.
Pendant une bonne dizaine de minutes, elle l’a sucé et branlé avec passion en le regardant de son air le plus salope.
Il s’est alors très vite laissé aller et lui a éjaculé tout son foutre dans la bouche en lui maintenant bien la tête contre son pubis.
Elle s’est presque aussitôt relevée en lui laissant à peine le temps de se rhabiller, puis est sorti pour venir me rejoindre.

Elle n’avait avalé qu’une partie du sperme de son amant de ce soir, elle m’a fait avaler le reste.

Vendredi matin, Nathalie est descendue avec moi prendre le petit déjeuner avant que je ne parte bosser, elle est ensuite remontée dans la chambre et s’allongeant sur le lit, s’est endormie pour se réveiller un peu plus tard.
Le soleil brillait de toutes ses forces, la température était très agréable.
Nathalie à décider comme prévu d’aller se reposer au bord de la piscine après déjeuner.
Il était quatorze heures et il n’y avait personne d’autre.
C’était une piscine extérieure, elle pouvait ainsi profité du soleil et du vent qui caressait son corps recouvert en haut d’un fin tissus qui lui couvrait une petite partie des seins et en bas d’un slip de bain qu’elle avait ajusté façon string.
Allongé sur un transat et surveillant d’un coin de l’œil si personne ne venait, elle pouvait ainsi bronzer le côté pile et le côté face.

Splashhhhhhhhhh, un grand bruit l’a brusquement sortie de ses rêves.
Un homme venait de plonger dans la piscine.
Elle s’est aussitôt réajustée car elle était allongée sur le dos la pointe des seins sorties de leur cage.
Elle s’est dit que l’homme avait certainement dû se rincer l’œil avant de plonger.
Après plusieurs longueurs, il est sorti de la piscine pour s’essuyer avec une serviette, qu’il avait certainement posée avant, sur un transat près de celui de ma femme.
La quarantaine, un peu poilu, assez svelte et un panier assez garni semble-t-il, à la vue du renflement de son slip de bain.
« Bonjour » lui dit-il.
« Bonjour »
« Vous aviez l’air si radieuse en dormant que je n’ai pas osé vous réveiller pour vous dire que votre haut de maillot avait glissé, de plus je dois avouer que la vue était fort agréable »
« Celui-là, il attaque fort dès le départ » se dit-elle.
« Je vous offre un verre ? » continua-t-il.
« Ou alors on va directement dans votre chambre » rétorqua-t-elle.
Un peu surpris sur le coup, il s’est vite repris en disant :
« Chiche »

Quelques minutes plus tard il la faisait entrer dans sa chambre.

La porte à peine refermée il s’est avancé vers elle pour la diriger et l’allonger sur le lit.
Leurs bouches se sont aussitôt soudées et leurs langues entremêlées dans un long et fougueux baiser.
Ils se caressaient mutuellement partout en s’embrassant.
Nathalie sentait le sexe de cet homme prendre une belle ampleur et appuyer contre son ventre.
Il est progressivement venu lui embrasser le cou, lui lécher les oreilles, puis descendre jusqu’à ses seins qu’il avait sorti du maillot pour les embrasser et en titiller les pointes qui durcirent aussitôt.
Passant d’un sein à l’autre, les prenant à pleine main pour porter les tétons à sa bouche et les aspirer, lécher partout cette grosse poitrine.
Doucement il est dirigé vers son ventre, jouant de sa langue avec le nombril, puis est arrivé à l’antre de son pubis.
Il lui a retiré son slip de bain pour continuer sa progression.
Sa langue s’est appliquée à lui lécher le bord des lèvres de haut en bas puis de bas en haut en s’insinuant tout doucement et petit à petit à l’intérieur avant de ressortir lécher ses lèvres et titiller son clito.
Pendant un long moment il lui a prodigué cette caresse buccale.
La sentant monter en excitation, il a ensuite rentré sa langue bien à l’intérieur pour la fouiller avec vigueur et lui offrir un magnifique orgasme.
Sa chatte dégoulinait de cyprine qu’il léchait et aspirait avec passion.
Il est remonté vers sa bouche pour l’embrasser goulument.
Elle sentait sa bite bien raide frotter contre son pubis et voyant son excitation remonter à nouveau, elle l’a enlacé puis retourné pour qu’il soit allongé sur le dos et quel puisse descendre à son tour vers son sexe en érection.
Elle l’a d’abord léché du bout de la langue, se promenant sur son gland puis descendant doucement le long de sa hampe jusqu’à atteindre ses couilles, qu’elle a gobé comme si elle voulait les avaler.
Elle est remontée passant sa langue sur chaque centimètre carré de sa verge pour arriver au gland qu’elle a aspiré entre ses lèvres et qu’elle a titillé.
Elle a ensuite enfourné complétement sa queue dans sa bouche puis a posé sa main sur son membre pour le branler pendant qu’elle le suçait avec avidité.
Voyant qu’il allait jouir, elle l’a sortie de sa bouche en continuant à le branler énergiquement jusqu’à ce qu’il lui éjacule sur le visage.
Plusieurs giclées de sperme sont venues s’écraser sur ses joues et ses lèvres pendant qu’avec sa main elle s’appliquait à sortir les dernières gouttes de liqueur de son gland.

Ils sont allés se nettoyer dans la salle de bain, puis sont retournés s’assoir sur le lit pour discuter un bon moment.

Il était dix-sept heures trente quand Nathalie lui dit :
« Il faut que je retourne dans ma chambre car mon mari va bientôt rentrer »
« Il revient vers quelle heure ? »
« Dix-huit heures je pense »
« Ça nous laisse une demi-heure, j’ai envie de toi »
Elle posa alors ses yeux vers son sexe qui était de nouveau en érection.
Sans perdre de temps elle est allée le sucer pour le faire durcir encore plus.
Il s’est allongé complétement sur le dos en attrapant un préservatif qu’il avait déposé auparavant sur la table de chevet.
Une fois enfilé, il a dirigé ma femme pour qu’elle vienne le chevaucher et s’empaler sur sa queue bien raide.
Elle a poussée un grand soupir de plaisir lorsqu’elle est descendue sur son gros gourdin, il la remplissait bien et bien loin, sa bite était assez longue et bien large.
Elle a aussitôt entamé des mouvements de va et viens sur sa queue pendant qu’il lui massait les seins.
Elle montait et descendait lentement sur son sexe pour bien le sentir l’investir très loin en elle.
Son excitation était à son maximum et elle savait que bientôt elle allait jouir, mais voulait retarder ce moment au maximum.
Puis, ne tenant plus, elle s’est affalée sur lui, plaquant sa bouche contre la sienne pour à nouveau mélanger les langues passionnément, pendant que lui l’a encerclé de ses bras en la plaquant fermement contre son torse.
Cette position lui permettait de pouvoir à son tour donner de grands coups de rein pour la pénétrer encore plus loin.
Quelques minutes de ce traitement ont suffi pour faire jouir ma femme qui ne s’est pas retenue de crier son plaisir, enlacée dans les bras de son nouvel amant.
Reprenant son souffle, elle lui a demandé de venir la prendre par derrière, la levrette étant la position qu’elle affectionne le plus.
Elle s’est installée à quatre pattes sur le lit pendant que lui toujours en érection et venu se placer derrière elle pour l’investir à nouveau.
L’agrippant fermement par les hanches, il lui a imposé un mouvement de va et viens beaucoup plus viril et rapide, il allait et venait en elle sans la ménager et s’enfonçait le plus loin possible à chaque fois.
Elle sentait sa bite lui remplir la chatte à chaque coup de rein et elle a très vite eu un nouvel orgasme alors qu’il accélérait encore ses mouvements.
Alors qu’elle venait de jouir, il continuait à la baiser copieusement comme s’il voulait qu’elle ait orgasmes sur orgasmes, ce qui ne manqua pas d’ailleurs.
Le rythme effréné avec lequel il la pilonnait lui a procuré plusieurs jouissances successives, elle avait l’impression de jouir en continu sous ses coups de boutoir.
Il s’est enfin laisser aller après un long moment à la démonter en levrette.
Un grognement de jouissance est sorti de sa bouche pendait qu’il éjaculait, alors qu’elle sentait bien les spasmes de sa queue libérant son sperme en elle.

Il s’est affalé sur elle pour l’embrasser dans le cou en ayant toujours son membre raide planté dans sa chatte trempée.
« Je n’ai jamais vu une femme jouir autant de fois en si peu de temps » lui dit-il.
« T’inquiète, je ne simule jamais, mais c’est vrai que j’arrive à avoir des orgasmes à répétition quand un mec ma baise bien et je ne vais surtout pas m’en plaindre, c’est trop bon »
Ils ont ri puis se sont levés, ma femme à enfilée son maillot de bain et son paréo pour retourner à notre chambre.
Un dernier bisou.
« Merci » lui a-t-il dit. « Moi aussi j’ai adoré »

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!