Fantasme D'Être Soubrette
Je suis un homme, la trentaine. Je suis bisexuel mais avec les hommes, je navais pratiqué que les fellations jusquà maintenant. Je me sens depuis quelques temps lâme dun soumis. Jai beaucoup de plaisir à lire les histoires de HDS ainsi que les petites annonces. Très excité par loffre, je contacte un homme de ma région qui sannonçait mâle dominant et qui cherchait un mec pour dressage soft quelques après midis chez lui. On échange des messages dans lesquels je lui explique mes fantasmes. Je ne souhaite pas de violences mais jaimerais rencontrer un homme fort qui me domine. Je lui explique que jai déjà sucé, que jaime ça et que je voudrais essayer de me soumettre en allant jusquà la fessée et la sodomie. Il mexplique ce quil souhaite aussi et comment il pratique avec les puceaux (du cul). Il me garantit quil nest pas violent mais quil administre de bonnes fessées cul nu à ses partenaires et quil les éduque bien et progressivement pour les rendre bien obéissant. Jean (cest son nom) mexplique les jeux quon pourrait faire, il souhaite mhabiller en soubrette et se faire servir. Il me dit ne pas agir sans consentement de la part de ses partenaires. Lexpérience me tente et on se rencontre au bout de quelques semaines.
Je me rends chez lui lors de 2 rencontres. Il aime se faire servir, me donner des ordres et se faire sucer installé dans son canapé. Nous souhaitons aller plus loin. Je dois donc me rendre chez lui, vêtu dun string et dun tablier blanc et noir qui me couvre le sexe et le buste. Je stationne dans le parking de son immeuble et pour aller de ma voiture à son appartement, je me couvre dune djellaba. Arrivé sur le pallier, jenlève la djellaba en espérant que personne ne passe à ce moment là et la dépose dans mon sac. Lordre que javais reçu était bien de sonner à la porte en tenue de soubrette.
Jean, ouvre la porte. « entre », je suis heureux dentrer et quil referme la porte. « pose ton sac, là ».
Puis Jean fait le tour de moi pour mexaminer en direct. « Ta tenue est correcte soubrette », il me montre le coin cuisine et mindique de le servir, la table est mise avec son couvert. Il est nu et bien monté,. Je lui porte son plat, lui sers dans lassiette et dois rester debout à côté de lui pour lui servir à boire ou lui passer ce quil me demande, ceci avait convenu auparavant entre nous. Pendant que je suis de bout à côté de lui, il quitte la fourchette et passe sa main sur ma cuisse puis entre mes cuisses. Cela me fait frémir et mon sexe gonfle. Il écarte la ficelle de mon string et titille mon petit trou puis enfonce délicatement son doigt, je suppose que cest le majeur mais à ce moment là, je ne bouge plus si ce nest pour écarter légèrement mes cuisses pour faciliter son accès. Il enfonce et retire son doigt de mon anus, cest la première fois que je me fais doigter et japprécie. Il sort son doigt et me le montre, quelques traces sur son doigt montrent que mon cul nétait pas tout à fait propre au moins en profondeur. « Tu as vu » dit-il, « mets toi à genoux et nettoie », je magenouille et comprends bien dans la position demandée quil faut que je lèche le doigt, qui dailleurs savance devant ma bouche. Je suce donc son majeur avec un peu décurement au début. A genoux, à côté de lui assis sur la chaise, je vois sa bite gonfler à quelques centimètres de moi. « Cest propre, ça suffit, cest aujourdhui que je vais dépuceler ton cul, mets toi sur le dos, sur la table et écarte tes cuisses comme si tu étais chez le gynéco ». Je me lève, appuie mes fesses sur la table pour pouvoir mallonger sur le dos sur la table. Droit devant moi, sans autre préparatif, ni lubrifiant, il présente sa queue devant mon orifice et lenfonce doucement mais surement. La douleur et le plaisir se mêlent, je bande aussi. Quand sa queue est bien en moi, il commence ses va et vient. Il me fait quelques commentaires du style « salope, tu bandes », « ça te plait cochonne », « allez petite pute, régale toi, cest ma tournée ».
Ces commentaires certes crus mexcitent dautant plus. Il sarrête, se retire, recule de la table et mordonne de le nettoyer avec ma bouche. Je descends de la table, magenouille et prends son gourdin en bouche. Je le suce un bon moment et puis je le sens se lâcher « salope, je jouis, vas-y connasse, tarrête pas, suce et avale ! ». A ce moment là, je sens au fond de ma gorge ses giclées de sperme chaud, il me force la tête en me tenant par les cheveux. Le jus coule au fond de ma gorge et déborde de ma bouche. Mon excitation est telle que je jouis aussi et jéjacule. Il se retire, me regarde du dessus et me dit « tu tes régalée, chienne que tu es, tu aimes ça, je vais te corriger maintenant pour avoir sali le parquet». Il sassoit sur la chaise et minvite à mallonger sur ses genoux. Une fois installé, il se met à me fesser. Ses tapes sont fortes et régulières. Je sens mon petit cul chauffer et probablement rougir. Je limplore darrêter. « Ah bon, tu nhonores pas le contrat alors ? la fessée, cétait prévu, on navait pas parlé de caresses sur ton petit cul de salope». Heureux quil arrête parce que ça cuisait sur ma fesse. Je me sentais bien soumis et honteux, cela mexcitait et je sentais mon sexe gonfler à nouveau ; alors je me permets de prendre la parole pour mexcuser et lui dire que ça nétait pas à moi de dire quelle correction je méritais. « Passe moi le téléphone, petite chienne et allonge toi sur le tapis comme une chienne qui dort ». Pendant que je mallonge, il téléphone à son pote « Jai un nouveau petit chien, tu veux passer le voir
OK à tout de suite ». « Quand mon pote arrive, tu te déplaces à quatre pattes vers lui et tu lui lèches les pieds, tas compris ». Avec la correction que je venais de prendre, lexcitation que cela mavait déclenchée, je ne me voyais pas ne pas obéir. Jattendais, allongé sur le tapis quasiment sous la table du salon quand la sonnerie retentit. Jean ouvre la porte, son pote se dirige vers le salon. Il est en pantacourt.
Je mapproche de lui à quatre pattes et lui lèche les pieds au niveau des chevilles. Michel (le pote de Jean) relève le pied fermement mais pas violemment et me retourne sur le dos au sol. « Ah, mais, cest une petite chienne, tu ne mavais pas dit ! elle est en cours de dressage, jimagine ». Jean lui réponds « oui, elle a lair de bien comprendre, ça lexcite de servir son maître, je vais te montrer » Jean sassoit sur la chaise et me fait signe de sauter sur ses genoux. Je me retrouve allongé à plat ventre sur les genoux de Jean et ne doute pas un instant de ce qui va marriver. Michel observe et commente
Michel : « ouah , elle a du faire une bêtise il y a peu de temps à voir la couleur de son cul »,
Jean : « oui, elle sest lâché et a sali le sol »
Michel : « et tu lui as fait léché le sol , jespère »
Jean « non »
Michel : « tu es trop gentil comme maître »
Et là Jean se remet à me claquer sa main sur mon petit cul, un coup fesse droite, un coup fesse gauche. Ca cuit et chauffe mais je ne me plains plus. Je bande et mon maitre doit le sentir. Une douzaine de claques plus tard, ma correction se termine « Sers nous un café », je mexécute, honteux.
La soirée se termine, je me rhabille et men vais en enfilant ma djellaba. Jai réalisé mon fantasme de soumission dans le respect de nos engagements. Quand je me sens en manque, jappelle Jean et il me recadre avec une bonne fessée. Cela mexcite et me donne envie de lui tailler une bonne pipe. Selon son humeur, il se vide les burnes dans ma bouche ou dans mon petit cul.
admin
Jan. 31, 2023
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