Le Récit De Sabrina, Le Début Des Vacances Au Camping

Je me présente je m'appelle Sabrina et j'ai décidé de vous racontez une partie de ma vie.
J'ai actuellement soixante ans, mariée deux filles, je suis un petit bout de femme, blonde, aux yeux bleues, un corps un peu fatigué par la vie mais qui dans le passé ma procurer beaucoup de bonheur. Je vais revenir quarante ans en arrière et vous contez mon histoire.

Jeune lycéenne de dix huit ans, un mètre soixante dix, blonde aux yeux bleu, une poitrine correcte quatre vingt dix C, j'habite dans une ville du sud de la France ou il fait bon vivre. Mes études se passent correctement le bac en poche je décide d'aller prendre des vacances avec des camarades de classe. Au programme, bronzette, baignade, détente et aussi un peu de drague. Jusqu'à présent je me consacrais totalement à mes études donc je ne m'intéressais pas ment aux garçons de mon lycée. Sauf peut être un ou deux que j'aimais regarder du coin de l’œil. Je pars rejoindre deux amies à l'office de tourisme de la ville. L'une s'appelle Sabine, à dix huit ans comme moi, brune aux yeux marron, un mètre soixante cinq, une poitrine généreuse 95C et un tempérament de feu ( je suis sur qu'elle connaît déjà le plaisir de l'amour), l'autre se prénomme Lucie une blonde aux yeux bleu, un mètre soixante quinze, une poitrine correcte 90D et une taille de mannequin. Après avoir regarder de nombreuses brochures et publicités, nous choisissons un camping en bord de mer à une trentaine de kilomètres de nos domiciles. Nous en parlons dans la foulée à nos parents respectifs pour avoir un accord de leur part. Seule dans ma chambre, je rêvais déjà d'entendre le bruit de la mer et de sentir le soleil chauffer ma peau.
Deux jours plus tard nos parents respectifs organisent un repas afin de mieux nous connaître. Mes deux cousins, Mathieu et Pascal sont présents ainsi que deux amis de notre classe Jean-Philippe et Romain. Mon père étant un homme renommé pour son sérieux demande aux jeunes hommes présent de prendre soin des trois filles qui les accompagneront lors de ces vacances.

D'une seule voix, les quatre hommes acquissent, et précisent bien qu'il n'y aura aucun soucis lors de cette période de vacances. La décision prise, l'un des parents téléphone au camping afin de réserver un emplacement. Le responsable du camping valide alors nos vacances pour ce que j'espère trois semaines de détente complète. Le jour précis est le vendredi qui suit. Je prépare alors les valises pour ne rien oublier, ma mère me propose d'aller dans un magasin de vêtement pour acheter la panoplie de vacancier, maillot de bain, serviette de plage et crème de protection solaire. Je choisis alors un haut et un bas de couleur bleu ciel avec des point blanc. Je l'aime beaucoup il dessine très bien les courbes de mon corps. En rentrant à la maison je m'empresse de mettre cet ensemble dans la valise. La voici maintenant remplie, ne reste plus qu'à attendre le jour du départ.
Me voilà arrivée au vendredi, je retrouve mes camarades d'accompagnement. Nous attendons le bus, il fait une chaleur étouffante, l'ambiance y est convivial, les chansons d'été se multiplient au fur et à mesure de notre parcours. Après une heure de route, nous arrivons devant le lieu tant espérer. Nous nous présentons au directeur qui s'appelle Robert qui doit avoir dans la cinquantaine, aux hôtesses d'accueil et aux animateurs de notre lieu de vacances. Nous recevons une charte de bonne conduite que nous signons tous. Le camping se compose de plusieurs logements des tentes, des roulottes et des chalets. Nous nous répartissons entre filles et garçons tout en ayant le logement à proximité afin de facilité la cohabitation. Mes deux cousins ensemble, Jean-Philippe et Romain de leur côté et Sabine, Lucie et moi même ensemble. Pour nous souhaiter la bienvenue, les membres du camping nous proposent de participer à un pot d'accueil.
Au programme grillade et musique d'ambiance. Le soir venu, je m'habille d'une robe noir qui tombe juste au dessus du genou. Les filles de leur côté on fait de même. Nous rejoignons nos amis masculins devant leurs chalets. Allez c'est parti, direction le bar, sur le chemin j'en profite pour regarder Romain qui est habillé d'une chemise à fleur et d'un short blanc. Il possède un corps de sportif, ça se voit vu les épaules carrées qui se balancent lorsqu'il marche. Nous voilà devant le lieu de festivité. Le directeur nous propose de faire connaissance avec les autres campeurs, nous nous présentons sur une scène, en guise de cadeau, Robert nous offre un cocktail de bienvenue, un savant mélange de rhum et de jus d'orange. Dans le passé, je ne buvais pas d'alcool. Pour me rassurer les filles me disent que cela ne risque rien, que ça va passer tout seul. Je commençais par tremper mes lèvres puis le goût me plaisait donc je continue de boire tranquillement cette petite douceur tropicale. Mes camarades masculins firent de même. Place maintenant au barbecue, nous nous installons autour d'une table ronde, pour accompagner ce repas, le maître des lieux nous propose un petit vin rosé de la région. Tout se passe merveilleusement bien. À la fin de cet L'animateur de la soirée qui s'appelle Bruno, un homme aux cheveux noirs et au regard envoûtant, commence à laisser filtrer des musiques de ces enceintes. Un peu de rock, un peu de musique latine donne l'envie de danser. L'alcool but précédemment fait tomber la timidité qui me rongeait souvent. Je prend mes deux copines par la main pour les invitées à danser. Nos compagnons n'hésitent pas une seconde et nous rejoignent sur la piste de danse. Je me dirige souvent vers Romain qui laisse paraître un talent correct, me prend par la taille et m'entraîne dans des mouvements que je ne connaissais que très peu.
Ma robe un peu courte laisse parfois paraître le bas de mes fesses, ce qui me fait rougir de honte. Sabine quand à elle danse avec Mathieu, elle n'hésite pas à le coller contre elle et lui fait deux mêmes. Quelque chose me dit qu'ils vont finir ensemble du moins pour la nuit. Tandis que Lucie a choisit Pascal. Les deux cousins sont ravis. Jean-Philippe le pauvre reste seul dans son coin, je décide alors d'aller le voir afin de lui proposer quelques danses. Il accepte avec un grand sourire de soulagement. La soirée est géniale. Robert sonne la cloche de fin de soirée, il est l'heure de rentrer dans nos chalets et de se reposer. Sur le chemin je rejoins mes deux camarades d'écoles qui me prennent par la taille. Sabine quand a elle embrasse Mathieu.
Lucie discute sagement avec son compagnon du soir. Je me doute que l'une d'elle ne va pas passer la soirée en notre compagnie. Nous voilà arriver devant nos lieux de sommeil. Le nouveau couple ( Mathieu, Sabine) veut passer la nuit ensemble. Ce qui est compréhensible. Lucie voudrait discuter plus longtemps et donc dormir avec Pascal. Me voilà donc embarrasser, je vais devoir dormir avec deux hommes que je ne connais que du lycée. Nous faisons en sorte que les lits soient séparer afin qu'il n'y est pas de confusion. Pendant que Jean-Philippe et Romain se prépare à dormir je sors prendre l'air. Ils prennent leur douche alors je ne vais pas entrer dans leur intimité. Je décide alors d'aller regarder à travers la fenêtre de mon amie Sabine, un petit coin d'ombre me permet de voir ce spectacle. Je la vois en train d'embrasser Mathieu, celui-ci lui pose la main sur les épaules, lui fait des bisous dans le cou, soudain sa main descend dans le dos cherchant certainement l'ouverture de la robe. Dans un mouvement simple, la robe tombe sur les pieds de Sabine et laisse paraître un ensemble de sous-vêtements blanc en dentelle. Elle enlève le tee-shirt de son partenaire puis cherche le bouton du pantalon, qui se retrouve sur les cheville de Mathieu. Une bosse apparaît sur le caleçon que s'empresse d'enlever ma copine. Et la je vois un sexe énorme se dérouler. Je n'en avais jamais vu pour tout dire, je n'ai jamais fait l'amour avec un homme. Elle le prend en bouche, lui caresse les boules puis continue dans un mouvement d'aller et venu. D'un geste tendre Mathieu glisse un doigt dans la bretelle du soutien gorge pour laisser paraître la poitrine généreuse de sa compagne. Puis se penche pour lui enlever totalement. Le couple se couche sur le lit, je vois la main du jeune homme se glisse dans le string de Sabine. Elle ferme les yeux tellement le moment est agréable. Il enlève alors ce petit habit qui l'empêche d'aller plus loin.
Il lui écarte les jambes, et met sa tête entre les cuisse de la jeune fille. Il lui titille le clitoris, entre la langue dans le petit trou du plaisir, je l'entends même pousser des petits cris de plaisirs. Il se présente en face d'elle, puis la pénètre dans un mouvement d'élan. Des vas et vient de plus intense. Puis je vois Sabine se mettre à quatre pattes, une levrette intense s'en suit je l'entends même jouir et la voit aussi. Mathieu se couche alors sur le dos, puis elle vient s'empaler sur ce membre énorme. Le couple à l'air de prendre énormément de plaisir quand tout à coup je les entends crier de plaisir ensemble.
La demoiselle se retire du membre et je vois un fil de sperme couler de son vagin.
Puis la veilleuse s’éteint.
L'heure tourne mes deux compagnons du soir doivent certainement dormir après avoir pris une douche rafraîchissante. Je décide alors de rentrer, je suis toute émoustillée et certainement rougit. J''ouvre la porte du chalet, la lumière est encore allumée, les deux jeunes hommes étaient en train de refaire le monde dans leur lit respectif, et de plus vêtu d'un simple caleçon. Du moins c'est ce qu'ils me disent. Je prend ma serviette et je pars à la douche.
Je les entends faire le sifflet de drague que font parfois les garçons en ville. Je me retourne, leur fais un sourire, qu'ils me rendent aussitôt. Ils me disent qu'ils n'avaient pas pour habitude d'être accompagner d'une aussi jolie demoiselle. Puis je m'enferme dans la douche.
Ma timidité en prend un coup, je n'avais pas l'habitude d'être convoiter de la sorte. Je mets l'eau à température, me déshabille, et entre sous ce torrent de soulagement. Je ferme les yeux et je repense à la scène d'amour que j'ai vu entre Sabine et Mathieu. Ma main se glisse sur ma poitrine en direction de mon bouton de plaisir, je me caresse c'est si bien finalement puis je pousse un petit cri. Je sors de la douche, puis devant le miroir je vois apparaître mes rougeurs de timidité sur mes pommettes. Je me mets en sous-vêtement en guise de pyjama.
Un soutien gorge blanc et une culotte blanche feront l'affaire. La lumière de la chambre étant encore allumée, je me mets la serviette autour du corps pour ne pas exciter les garçons. Je passe devant les garçons et me faufile dans le lit. Jean-Philippe que je pensais réserver me fait une petite réflexion sur mes rougeurs apparentent sur mes joues. Je remonte le drap pour me cacher le visage. Il me dit de ne pas être timide que je ne risque rien.
C'était pour rire, un humour un peu vrai malgré tout. Romain se lève pour éteindre la lumière puis me fait un bisou sur la joue pour me souhaiter bonne nuit. Mais comme vous le savez les jeunes de notre âge discutent la nuit pour refaire le monde. La discussion prend alors une autre tournure quand il s'agit de parler de nos conquêtes amoureuses lors de notre scolarité.
Surpris de ne m'avoir jamais vu accompagner d'un garçon. Romain me demande pourquoi. Et je ne sais pas si c'est les effets de l'alcool qui ne se sont pas encore atténués, j'avoue qu'à part quelques bisous avec un élève de l'école je n'étais pas allez plus loin privilégiant les études aux aventures sexuelles. Erreur ou pas la lumière se rallume et Jean-Philippe vient s’asseoir sur le bord de mon lit. Toujours dans un élan humoristique comme il sait le faire depuis que j'ai appris à le connaître, me demande si je suis une fille pure, selon ses termes.
Je lui répond que oui et que comme toutes les filles j'aimerais un jour connaître ce plaisir si inconnu. Romain se lève à son tour, fermer les volets et la porte. Il ne veut pas être déranger. Lui aussi s’assoie à mes côtés. Surprise je me demande ce qui leur prend. Quand soudain Jean-Philippe fait glisser mon drap à mes pieds. Il me dit qu'une fille aussi jolie se doit de connaître les plaisirs sexuelles. La timidité qui est un de mes plus grand défaut revient à la charge. Je rougis et essaye de cacher mon corps avec mes mains. Romain qui paraît plus sérieux me propose des caresses pour commencer pour voir ma réaction. Je sens alors sa main passer dans mes cheveux, puis sur mes épaules, descendre doucement vers le haut de ma poitrine quand je ressens au même moment un grand frisson. Jean-Philippe le sent, il avait sa main sur ma jambe. Romain quand a lui continue son petit chemin, passe sur mes tétons à travers mon soutien gorge, ensuite le bas du ventre pour ensuite remonter.
Il embrasse mes lèvres tandis que je sens un chatouillement le long de ma cuisse. Les deux hommes me font monter dans la sensation que j'ai toujours rêvé de connaître. Romain continue de m'embrasser et promène sa langue sur le bout de mes seins puis le bas du ventre. Il me demande d'enlever le soutien gorge afin que je ressente encore plus de plaisir, un peu hésitante je finis par accepter. Je m'assoie et l'enlève. Mes tétons durs comme du béton se dressent d'un coup.
Je me recouche puis les caresses et les coups de langues se font de plus en plus insistant. Je sens en moi encore un frisson monté. Différent de celui que j'avais pu ressentir sous la douche, il est beaucoup plus puissant. Jean-Philippe qui n'est pas insensible me caresse toujours les cuisses tout en remontant de plus en plus vers mon vagin. Je sens soudain un doigt passé sous ma culotte, mes fesses font un bond, puis cette main insiste sur mon intimité. Dans un réflexe humain mes jambes s'écartent. Romain voit aussi cette réaction et prend ma main pour la poser sur son sexe complètement dur. Il me conseille alors de faire des vas et vient, Jean-Philippe se positionne pour que je fasse pareil avec lui. Rapidement les caleçons tombent.
Pour ma première fois je n'ai pas un homme mais deux qui se présentent à moi. Je continue mes vas et vient puis ils me présentent leur sexe devant la bouche, ils me disent que c'est pour que la douleur soit moins intense lorsqu'ils me pénétreront le vagin. Je leur donne ce plaisir, ils sont passionnés par le activité quand tout à coup l'un d'eux sort de ma bouche pour se mettre entre mes jambes. Je revois alors la scène en Sabine et Mathieu. Puis je sens ma culotte tomber sur mes chevilles puis être retirer. Jean-Philippe veut me lécher pour que je mouille encore plus afin de faciliter la pénétration, mon corps bouillonne, s'électrise et je pousse un cri de plaisir. Je crois que je suis prête, son membre est d'une taille correcte mais celle de Romain paraît plus grosse. Mes lèvres s'écartent et je sens des allers-retours sans douleur, d'ailleurs c'est un sentiment inverse qui se produit.
Mon sourire en dit long. Je ressens même un plaisir que je ne connaissais pas encore.
Je sens même des frissons me parcourir le corps. Il continue à me prendre tandis que Romain veut prendre la place. Son sexe me fait peur, une petite douleur et ce sentiment de bonheur m'envahit, il me demande de me mettre en levrette afin de ressentir encore plus de plaisir. Ce qui est vrai, tandis que Jean-Philippe se positionne devant ma bouche pour qu'il puisse continuer à bander. Chacun leur tour ils me prennent. Je ressens alors une autre sensation, un doigt se glisse dans mon petit trou, puis deux. Ils veulent me prendre tout les deux en même temps en double pénétration pour que je ressente un plaisir encore plus fort. Les deux hommes me lèchent cet endroit que je pensais impénétrable. Le désir monte de plus en plus. Et je décide de me mettre à califourchon sur Romain et je sens son membre me transpercer le ventre. D'abord douloureux, les vas et vient deviennent supportable et je dirais même jouissif. Les deux hommes avaient raison. Jean-Philippe se met alors face à moi.
Je sens les deux membres en moi faire des aller-retour. L'instant dur une bonne dizaine de minutes. Je sens les deux sexes grossir en moi. Deux jets de fluide chaud m'envahissent le corps.
Je n'ai même plus de force pour faire un brin de toilette. Les deux hommes m'embrassent cette première fois est exceptionnelle. Encore toute échaudée, je les embrasse pour les remercier et leur souhaiter la bonne nuit.