Leslie An15

Leslie AN15 -Anastasia, week-end à Epernay, la soirée chez Benoît, suite

Un peu plus tard, il devait être vers onze heures du soir, nous sommes montés dans la chambre de Benoît, après s’être allongé nu sur son grand lit, il a fait signe à Delphine de venir près de lui.
Je m’étais installée sur le petit lit avec Aurélie, Anastasia entre nous deux.
Delphine s’exécuta et vint s’asseoir sur le rebord du lit à ses côtés, nue elle aussi, Benoît la regarda et posa sa main sur la cuisse offerte et commença à la caresser doucement.
- Alors ma Delphine chérie, tu as des désirs ?
- Des désirs ? Je n’ai que ça des désirs !
- Mais tu n’as pas de copains ?
- Tu sais Benoît, je ne sais pas si tu comprends, ma vie sentimentale, comme sexuelle sont un vrai désert, je suis seule dans la vie et je reste avec mes désirs, me donnant du plaisir dans la solitude de ma chambre, alors quand l’occasion se présente…
- Tu en profites, termine Benoît.
- Oui, le plus possible, d’ailleurs je dois te faire un aveu, il y a quelques temps je soignais ma frustration en faisant des spectacles spéciaux.
Benoît écoutait Delphine avec intérêt et son sexe commençait à réagir, alors que nous écoutions et regardions nos deux complices.

- C’est une copine qui m’a donné le tuyau, faire des spectacles dans un peep-show à Paris….
- Alors là, dis Benoît, tu te fous à poils devant des mecs qui matent derrière une glace ?
- Oui, mais ce n’est pas tout.
- Je me doute bien que tu dois bien avoir des séances particulières avec massages intimes et tout et tout.
- Tu sais ça calme un peu, avoua Delphine.
Benoît maintenant bandait et c’est tout naturellement qu’il dit à Delphine :
- Alors racontes-nous un peu comment ça se passe, ça nous intéresse.
- Humm ! Je ne sais pas si je dois, mais maintenant que j’ai commencé, par contre c’est à charge de revanche. Toi aussi tu me raconteras tes premières expériences, hein ?
- On verra, je ne sais pas car c’est un secret et en plus tu serais bien surprise, allez vas-y racontes.


- Ça me plait de raconter, et bien voilà !

Tout le temps qu’avait duré le récit de Delphine, Benoît lui avait caressé la cuisse, remontant jusqu’à l’aine et un peu à sa vulve qui devait être trempée.
Aurélie de son côté s’occupait discrètement de la chatte d’Anastasia qui soupirait doucement sous les caresses d’Aurélie.
Delphine semblait perdue dans ses souvenirs, et si une certaine excitation s’était manifestée à leur évocation, elle n’avait pas vraiment prêté attention à Benoît.
Revenue sur terre, elle se rendit compte immédiatement de l’excitation de Benoît.

- Oh ! Benoît…
- Comment tu la trouves, Même si tu l’as connait déjà mais depuis le temps tu as peut-être oubliée ? Demanda Benoît en exhibant son membre.
- Pas mal ! Ce n’est pas le souvenir que j’en avais, je me l’imaginais plus petite…
- Delphine, je n’en peux plus…
- Alors je vais te soulager un peu, dis Delphine.
Delphine se penchant alors sur le ventre de Benoît prit sa verge en bouche et se mit à lui administrer une magnifique fellation. Il ne lui fallut qu’une minute pour arriver à faire bander Benoît comme un âne, Delphine s’appliquant à lui lécher le gland pour le faire gémir de plaisir.
- Tu suces comme une déesse, dit Benoît.
Il nous montrait une magnifique érection, ne laissant pas insensible la petite Anastasia, qui sous l’effet des caresses d’Aurélie commençait à se trémousser dans tous les sens.
Puis sans dire un mot, elle se pencha vers moi pour prendre mon sexe entre ses lèvres. Dans cette manœuvre elle s’offrit à Aurélie qui bandait elle aussi.


Delphine, visiblement, ressentait un trouble étrange à l’idée de raconter ses souvenirs, perverse elle avait pris du plaisir à vivre des aventures de tous styles et les raconter devant nous lui procurait une drôle de sensation, d’autant qu’elle était tout à fait consciente de l’effet qu’elle produisait sur nous.
- Tu veux que je continue ?
- Non, je veux qu’on baise maintenant
Delphine s’allongea, releva largement les cuisses et écarta elle-même l’entrée de son sexe.
Benoît admira un instant le vagin offert, dans lequel il allait plonger avec délices, puis il s’allongea sur Delphine sans guider sa queue. Il oscilla des hanches pour trouver l’orifice, le gland hésita un instant, puis d’un seul coup, s’enfonça profondément, arrachant un gémissement de bien-être à sa partenaire. Tandis que Benoît commençait son va-et-vient, Delphine ferma les yeux en savourant.

- Oh Benoît ! C’est bon ta queue tu sais. Elle emplit ma chatte. Je la sens bien à chaque fois que tu la rentres. Tes couilles tapent sur mes fesses. Vas-y accélères ! Ah ! C’est super, ça vient chéri, ça vient ! Ouiii…
En quelques minutes Benoît avait réussi à faire jouir Delphine, elle se tordait sous lui, gémissante et brûlante. Son plaisir était si fort que des larmes coulèrent le long de ses joues. Stimulé par cet orgasme, mais Benoît se retint et lorsque le plaisir de Delphine se fut apaisé, Benoît se redressa sur les genoux entre les jambes toujours écartées de son amante. Son sexe, luisant de mouille, conservait toute sa raideur, prête à servir à nouveau.
Delphine prit un malin plaisir à recueillir un peu de sa jouissance en s’introduisant un doigt, puis à le porter à sa bouche pour le sucer avec un air gourmand.
- Allez, maintenant racontes la suite ! dit Benoît.

« Un jour après un spectacle, j’ai été demandé par une femme, qui m’a emmené chez elle, me disant qu’elle me donnerait du plaisir et de l’argent si je la suivais, Je l’ai suivi chez elle et là, installées sur son lit de sa chambre nous nous sommes fait mutuellement jouir en nous broutant le minou ou en nous astiquant notre petit bouton.
Diane, c’était son prénom, masturbait à merveille et me donnait des orgasmes plusieurs fois de suite, je ne regrettais pas de l’avoir accompagné, car en plus elle léchait aussi très bien et je jouissais par l’action de sa langue sur mon intimité.
Elle avait toutes sortes de godemichés et nous en avons usé et même abusé pour emplir nos orifices.
Diane est devenue une habituée et venais souvent me retrouver dans mon box, un jour elle est venue et m’as dit :

- Ecoutes, me dit-elle ! Aujourd’hui je te propose de vivre un moment unique.
Je l’écoute attentivement pendant qu’elle me parle avec des yeux brillants de désirs.
- J’ai rencontré un homme, il a 45 ans, et il est en pleine forme, il voudrait faire un trio avec deux femmes et m’a demandé de l’organiser, j’ai pensé qu’avec toi cela serait possible, car se lécher le minou entre femmes et s’introduire des godes, c’est bien, mais ça ne vaut pas une vraie queue bien dure, de plus c’est un bon coup et il a vraiment une belle queue.
Je regardais Diane avec des grands yeux, elle me proposait un trio, pourquoi pas, elle rajouta aussitôt :
- Tu veux en profiter ? Toute seule j’ai un peu peur, il est super membré, il ne m’a jamais fait l’amour et j’ai eu du mal à le sucer, mais avec toi je ferais n’importe quoi.
- Après tout, tu as raison ! Dis-je, une bonne bite dans la fente n’a jamais tué une femme ! J’ai vachement envie de jouir sous les assauts d’un mâle !

C’est donc ce que nous avons fait ! Un vendredi soir nous avions été diné avec Pierre, nous nous étions faites belle et désirables pour l’occasion et Pierre fut enchanté de trouver deux belle salopes pour réaliser son rêve.
- Alors mes les filles, nous dit-il après le repas, prêtes pour l’aventure ?
- Delphine et moi nous nous gouinerons devant toi, dit Diane, nous nous donnerons mutuellement du plaisir avant que tu ne rentres dans la danse, ça ne te gêne pas ?
- Cela dépend de ce que vous ferez et si vous me laisser un peu participer
- Sans problème, dit Diane, vous ferez ce que vous voulez !

Pierre avait réservé deux chambres d’hôtel communicantes afin de ne pas éveiller les soupçons, et après avoir pris nos quartiers, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans la chambre de Pierre et là nous retrouvant dans le lit avec Diane, nous nous sommes caressé mutuellement.

D’abord les seins jusqu’à ce que nos mamelons soient bien durs, puis entre les cuisses, nos chattes en insistant bien sur notre petit bourgeon de chair pour s’exciter au maximum et pouvoir accepter Pierre dans nos jeux.
Nos clitoris, à force d’insistance sont devenus très durs, puis nos doigts ont investis nos fentes, nous faisant humides.
Puis en soixante-neuf, nous nous sommes léchées mutuellement le petit bouton et la fente, en nous mettant tête-bêche jusqu’à ce que nous nous gémissions en ayant du plaisir.

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!