Marie Ma Nouvelle Voisine - 09 - Jeudi En Fin De Matinée.

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Nous montons en voiture en direction de la foret- En voiture, je place ma main sur tes cuisses et te dis :
« Si les clients de Laurent sont fidèle, ou pourrait organiser une journée « porte ouverte, je devrais dire cuisses ouvertes » de temps en temps, ou là ils pourraient utiliser tous tes orifices gratuitement, qu'en penses tu ?
- Je heu… je ne sais pas monsieur Cello, c'est vous que je Heu… c'est vous que j'aime, c'est de vous dont j'ai envie ...
- Oui Marie…je sais, c’est pour cela que je vais te baiser ce matin pour la première fois… Mais je ne voulais pas te brusquer, mais maintenant je sais que tu es prête à tromper ton mari et en plus de te faire baiser plusieurs fois par jours, je ferais de toi une putain
- Je heu… oui plusieurs fois par jour c'est ce dont j'ai envie avec vous et pour heu… pour faire la putain, je le ferai si vous me le demandez ... et peut être même que j'aimerai ça ! Haha »

On arrive devant une clairière et nous quittons la voiture et trottinons dans la forêt et arrivons au bout d'un quart d'heure devant une grande cabane. Nous nous arrêtons et cherchant la clé derrière une pierre, j'ouvre la porte et te fais entrer.

J’ouvre habillée seulement de basquets et de mon marcel.

A peine es tu rentrée dans la pièce que je retire ton marcel, et t'agrippant par les hanches, je t'assoies sur le bord de la table, écarte tes cuisses et baissant mon pantalon, je te pénètre sans autre préambule, une main sur tes fesses et l'autre agripper à ton sein gauche

« Humm… hoo oui… humm… hoo... que c'est bon si vous saviez comme j'attendais ce moment hooo… oui comme c'est bon, j'aime votre grosse queue, vous me remplissez si bien, je suis à vous, je suis votre objet et votre putain
- Oui Marie, tu es ma chienne et vais faire de toi ma putain »

Ma bite glisse de plus en plus vite dans ta chatte trempée, tandis que tu t'allonges sur la table et qu'allonger quasiment sur toi, je maltraite tes grosses mamelles en les pinçant et les tirant de plus en plus fort.

« Haa… hooo… oui continuez, baisez moi… je suis votre chienne, votre putain, hooo… haaa… ouiiii… c’est bon, je vous aime, je vais jouir… »

Je me retire de ta chatte, en t'embrassant à pleine bouche, puis te retourne sur la table, le sexe au bord de celle-ci et les jambes écartées et pendantes. J'écarte tes fesses et plonge mon visage entre celles-ci.

Après avoir jouie une première fois de votre grosse queue, je suis pantelante le buste contre le plateau de la table, les jambes écartées pieds au sol, et votre langue dans ma raie, contre mes lèvres me font à nouveau gémir dans un état second encore sous le choc de la première jouissance.

Ma langue titille ton œillet, puis pénètre celui-ci, puis me redressant, je passe ma queue entre tes fesses et pose le gland contre ta rondelle.

Oui vous me léchez le cul, je suis toute offerte et lorsque je sens votre gland frotter contre mes lèvres et glisser dans ma raie pour se poser contre ma rondelle, je n'ai que la force de dire :

« Doucement maître je suis vierge de l'anus.
- Oui ma chérie, je vais y aller doucement, car je veux que tu apprécies et aime la sodomie »

Ecartant tes fesses avec tes mains, pour m'ouvrir la voie, je pousse doucement mon gland dans ton anus, le pénétrant tout doucement. Cà y est, mon gland est entré...

Je pose chacune de mes mains sur mes fesses, les écarte et je serre les dents pour ne pas crier de la brûlure que je ressens lorsque votre gland passe mon oeillet. Je respire fort et rapidement en serrant les dents.
Je saisis tes outres à pleines mains, les serrant très fort, et alors que tu sens mes ongles sur la peau fragile de tes pis, je donne un coup de rein et te pénètre totalement.

Oui je me suis accoudée à la table, je sens mes outres comprimées et pénétrées de vos doigts et la à la douleur mammaire à laquelle je suis habituée désormais et que j'apprécie, une brûlure intense s'ajoute et je ne peux m'empêcher de crier, tant j'ai l'impression d'avoir l'anus déchiré
Je sens la douleur que j'ai déjà apprivoisée de vos doigts s'enfonçant dans la chair de mes seins, celle s'atténuant de votre gland, qui a perforé mon œillet, puis d'un coup une déchirure ! Vous venez de vous enfoncer d'un coup de toute la longueur de votre gros sexe jusqu'au plus profond de moi, je hurle puis reste le souffle coupé un instant et reprends ma respiration rapide, les larmes me coulent sur les joues

Je reste ainsi quelques instants, restant dans ton fion sans bouger, puis progressivement, je commence à bouger dans ton cul, pendant que je malaxe et pétrie fortement tes mamelles. Puis, je pinces doucement tes tétines, sachant que tu apprécies cela, et bougeant progressivement dans ton fion, j'augmente la cadence de mes vas et viens dans tes reins.

Oui vous restez un bon moment sans bouger enfoncé jusque dans mon ventre, vos mains me pincent mes mamelons, me pressent les outres et doucement vous vous mettez à onduler, votre sexe se retire un peu, se renfonce, puis vous prenez de l'amplitude, doucement puis plus rapidement ... de mon coté, la douleur à comme été figée et la brûlure se transforme lentement, mais inexorablement en chaleur, puis la chaleur en douce chaleur puis en onde de plaisir, qui lentement se substitue à la douleur, non qui s'ajoute à la douleur toujours présente ... mon souffle lui, reste rapide et se coordonne à vos coups de queue dans mon cul, à mes larmes se substituent de petits cris puis des cris plus fort que je ne maîtrise pas ... en quelques minutes je suis là accoudée à la table dans la cabane en train de me faire enculer vigoureusement à gémir comme une chienne en chaleur.

Je constate que tu commences à apprécier d'avoir ma bite dans ton cul, aussi j'augmente encore la cadence de mes coups de reins, et relâchant ton pis droit, je claque ton cul en cadence, alternant claques et caresses, tout en t'insultant :

« Alors ma salope, tu aimes ça, avoir une grosse bite dans ton cul et te faire défoncer comme une chienne.
- Hoo… haaa… houuu… hoo mon dieu je… houu… hummm…. oui je…. Hoo… vous êtes si gros… je houu… oui… je… j'ai votre grosse bite dans mon cul.
- Oui Marie, et tu la prendras souvent dans ton cul, ma grosse bite, après tu pourras te faire enculer par qui je souhaites, sans craindre de te faire déchirer, tellement ton anus sera souple et habitué à être bien rempli.
- Hoo… oui… votre grosse bite dans mon cul humm… je j'aime monsieur
- Mais j'espère bien que tu l'aimes, dis-je en claquant ton fessier de plus en plus, alors que je ramone ton anus de plus en plus vite
- Hoo oui… continuez je… hooo… houuumm… oui continuez à m'enculez comme ça, en me giflant le cul… je suis une salope… je trompe mon mari… je le fais cocu et j'aime ça.
- Oui tu es une salope ! Et bientôt tu seras une putain, qui se fera traire par des vieux, pendant que tu les suces et baiser par eux et tout cela pour de l'argent.
- Ho oui maître, je suis votre salope et votre putain comme avec Laurent, je l'ai sucé pour du champagne à offrir à mon mari et bientôt je… hooo… houuu… hoo… lalla mon dieu ouii…continuez ... je vais faire la putain pour me faire traire par des vieux salauds et je les sucerai et leur louerai ma chatte, je suis une putain, si mon mari me voyait je haaa… ouii je… houuu… je vais jouir maître …je hoooo… haaaa… ouiiii…
- Oui tu es une putain ! Une putain qui prend plaisir à recevoir une grosse queue dans le cul ou la chatte et qui aime avaler le sperme. »

Alors que je suis moi aussi sur le point de jouir, je me retire de ton cul, et te redressant, je te présente ma queue pour que tu la prennes en bouche et recevoir ma liqueur au fond de ta gorge.

« Hoo oui… je suis votre putain et j'aime jouir de foutre et de votre grosse queue »
Puis je me retourne et à genoux à vos pieds, je prends votre queue en bouche et vous suce de mon mieux, votre sexe est gonflé comme jamais, j'en ai du mal à la prendre jusque dans la gorge mais je fais l'effort d'écarter la mâchoire au maximum, je sais que c'est ce que vous aimez.

« Bien ma chérie ! Nettoie bien ma bite ensuite nous irons faire un tour en ville pour te faire une garde-robe digne de toi ».

Je suis à genoux à vos pieds, je vous suce, levant les yeux amoureusement vers vous pour pomper vos dernières goûtes, pleine de reconnaissance.

Je t'aide à te redresser, je te donne ton "marcel" que tu enfiles aussitôt, et nous quittons le cabanon en direction de la voiture. Alors que tu sens mon sperme couler sur tes cuisses nues.

Une fois dans le véhicule, je te propose :

« Que penses tu d'aller acheter des vêtements plus sexy ?
- Je heu… oui monsieur Cello, merci mais je heu… pour mon mari, heu… vous comprenez, il ne doit pas se douter ... »

Vous me rassurez en me disant que vous garderez les achats chez vous, dans la chambre d’ami et nous partons vers le centre ville.

« Mais monsieur je heu… je ne peux pas aller en ville comme ça, je heu… je connais du monde, je heu… s'il vous plait.
- Allons ! Tu viens d'arriver dans le coin, tu ne dois pas connaître grand monde, et puis promis, je me garerais tout prés du magasin. Peut être même que tu auras de la chance et qu'il y aura un parking juste devant le magasin, pour les clients.
- Je heu… comme vous voudrez monsieur mais vous vous garez tout près hein ? »

Naïve, je crois que ce sera un magasin standard, je n'ai pas compris que nous allons dans une boutique ... spécialisée.

Nous arrivons dans le centre ville et après avoir emprunter une petite rue, je m'arrête près d'un magasin et te dis :

« Voilà, c'est ici ! »

Tu regardes la devanture du magasin et lis : "FASHION SEXY" et en vitrine, il n’y a que des tenues très coquines.

« Je heu… c'est ici ? ».

Vous sortez et m'ouvrez la porte, je vous suis en tirant un peu sur mon marcel pour qu'il me cache les fesses, heureusement personne ne traîne dans cette ruelle ... nous entrons dans la boutique, je ne me suis pas posée encore la question de comment j'allais réagir, si des inconnus me voyaient ainsi.

Lorsque je pousse la porte d'entrée du magasin, et te fais entrer devant moi, tu aperçois immédiatement derrière son comptoir, un vieil homme d'au moins 70 ans. Il contourne son comptoir et viens vers nous avec un large sourire, et dit :

« Bonjour Monsieur dame » alors que son regard te détaille des pieds à la tête.

Lorsque je rentre vêtue uniquement de mon Marcel, je ressens une grande honte uniquement due au regard de ce vieil homme bien conservé pour son age au regard perçant qui ne se gène pas pour viser mes seins et mes cuisses ...

« Bonjour Monsieur, je désirerais des vêtements sexy pour ma jolie voisine.
- Et probablement aussi des dessous » ajoute t-il en souriant
« Oui également
- Suivez moi dans une cabine, je vais prendre les mensurations de Madame »

Et il part au fond du magasin. Nous le suivons, tu me tiens la main, que tu sers fort.

Lorsque nous traversons le magasin j'en profite pour regarder les vêtements, cela va des tenues moulantes, décolletées, transparentes, en cuir à des choses plus osées, soutien gorges demi seins, pinces à tétons, shorty ouvert à l'entrejambe, robe très courtes ...

Je vous accompagne au fond du magasin et le vieux me regarde et dit :

« Allez enlevez tout ça que je prenne les mesures ».

Tu me regardes, honteuse et hésitante, et acquiescant d'un signe de tête, tu ôtes le "marcel" et te retrouve nue devant le vieux. Prenant son mètre ruban qu'il a autour du cou, il s'approche de toi en me disant :

« Madame est à une sacré belle paire de nichons ».

Et passant le mètre par dessus ta tête, il entoure ton torse de l'objet de mesure. Il en profite le bougre pour te caresser les seins, puis note la mesure prise sur un petit carnet, puis il mesure le tour de chaque mamelle qu'il soupèse au passage et prends note. Je constate que tes tétons se sont dressés au contact des mains de l'homme.

Je reste debout comme paralysée de honte devant ces commentaires sur mes nichons ... il mesure sous mes seins, au niveau des tétons et lorsqu'il mesure le diamètre de chacun de mes seins, puis du plis sous mes seins à mes tétons, la largeur de mes mamelons, je suis prise d'un mélange de gène et d'excitation .... d'autant que le vieux ne se prive pas pour frôler, palper, soupeser mes seins ... il poursuit ensuite tour de taille, de hanche ...

Puis s'agenouillant devant toi, il mesure la longueur entre le pli de tes genoux et tes lèvres pour juger de la longueur des jupes et robes et devant ton sexe imberbe, il me dit :

« C'est très bien que madame soit imberbe, nos strings sont tellement mini qu'il faut éviter que l'on voit les poils, cela fait vulgaire" et tout en disant cela, il écarte tes lèvres, et caresse ton clito.

Je me laisse faire honteuse en vous regardant et vous me dites :

« Pose ton pied sur le tabouret là, allez ! »

J'obéis pendant que le vieil homme commence à me branler le clito provoquant une accélération de mon souffle; Me voyant commencer à m'exciter, vous m'embrassez à pleine bouche en massant mes seins et le vieux commence à me lécher.

« Humm… hooo…"

Le plaisir monte. Le patron de la boutique ne se fait pas prier pour te lécher le clito et te bouffer la chatte, s'arrêtant seulement que pour faire des commentaires salaces :
« Putain qu'elle est bonne ! Elle mouille comme une salope ! Vous avez là une vraie chienne etc. »
Pendant que le vieil homme me lèche et me fait grimper aux rideaux malgré moi, il en rajoute :
« Quelle truie, elle dégouline, mais c'est votre voisine ? Mais elle porte une alliance, racontez moi tout ».

Brièvement, je lui raconte que tu as aménagé le week-end dernier avec ton mari et que progressivement je t'ai amené à prendre conscience de ton corps et du plaisir que tu pouvais tirer de pratiques comme l'exhibition, l'humiliation et la soumission.
« Bien et par quelle vêtement voulez vous commencer ?
- Je désirerais des guêpières pour elle, une blanche et une rouge, mais une taille en dessous de ce qu'il lui faut, car elle doit encore perdre 4 - 5 kilos et si elle est serrée, elle fera plus volontiers un régime et aussi demi sein, car elle prend des pilules pour provoquer la lactation et ses pis de vache laitières vont augmenter au moins de moitié, voir doubler »
Alors que je suis au bord de la jouissance en écoutant parler de moi ainsi et me rendant compte de la transformation que j'ai vécue, je me retrouve pantelante pendant que le vieux se relève.
"Hum ! Je vois, je vais vous montrer des guêpières pour affiner sa taille, genre corset avec soit des bonnet amovibles soit des demi bonnets qui ne servent qu'à soulever les mamelles comme sur des plateaux, mais si vous voulez j'ai aussi un maillot de bain 2 pièces fantaisie, le bas est normal pour ce qui est de la forme, bien que très échancré et le haut est composé de deux triangles qui ne maintient rien et avec lesquels les outres peuvent facilement sortir, mais le plus intéressant c'est les motifs ... ils sont blancs avec des taches noires ... comme une vache laitière, il me semble que ce serait parfaitement adapté ...
- Pour les guêpières, les demi seins seront parfait, et ok pour le maillot de bain
- Mais dites moi, elle va allaiter qui votre femelle ?
- Des hommes âgés que va me procurer un ami et vous si cela vous intéresse.
- Hum!!! Bien sur que je suis intéressé »
Sur ce et avant même d'aller chercher les vêtements, enfin les dessous, il commence à me téter les seins en les massant en même temps ...
« Humm j'ai hâte d'y goûter, quand elle aura du lait ! Mais attendez moi un instant je vais chercher de quoi la sous vêtir ... »
Alors qu'il est absent, je te dis :
« Je crois qu'avec lui, tu vas pouvoir en tirer un maximum, il va certainement te faire cadeau de certaines tenues et ce qui serait bien, c'est qu'il t'embauche le samedi, ainsi ton mari ne sera plus surpris de tes absences tard le samedi.
« Je heu... je ferai comme vous voudrez mais pour les négociations, je vous laisse faire par contre pour venir travailler ici le samedi, comment vais-je expliquer à mon mari que je travaille dans une boutique de vêtements coquins ... je heu... il faudrait m'aider à trouver une explication qui soit crédible.
- On mettra le toubib dans la confidence, et je l'inviterais samedi midi déjeuner avec toi et Hervé, et il annoncera qu'il a un ami qui tient une boutique de lingerie qui cherche une caissière de confiance, et comme tu as besoin de gagner des sous, il pourrait te pistonner. Qu’en penses tu ?
- Oui et je ferais semblant de ne pas savoir de quelle boutique il s'agit et laisser mon mari s'enthousiasmer de ce nouvel emploi, car il craint pour le sien et lorsque j'irai en entretien d'embauche, je dirai à mon mari que je suis gênée, car les dessous sont assez sexy, mais il m'encouragera à accepter sans savoir que la boutique est presque un sex-shop.

L’homme revient vers nous, les bras chargés de lingerie diverse : soutien gorges demi seins, strings, tanga, guêpières, jupettes, robes, petits hauts sexy et transparents…
Bien que je commence à m'habi à m'exhiber, je suis très gênée à la vue de tous ces dessous et des robes très légères, les jupes courtes ...
L'homme te fait essayer une guêpière rouge, qu'il vient d'apporter et un string de même couleur. Il sert lui même la guêpière, qui te comprime le ventre et saisit tes mamelles pour les soulever, pour bien exposer tes pis, puis pendant que tu mets le string rouge, une jupette également rouge et prend une paire de cuissardes rouges et te fait asseoir pour te chausser. Il te regarde et dit :
"Parfait, cette couleur vous va très bien, vous ressemblez ainsi à une putain"
En essayant la guêpière je me dis qu'il a raison et que je fais vraiment pute comme ça, la taille serrée, les mamelles rehaussées et maintenues comme sur des plateaux et cette couleur rouge ... Je comprends, quand l'homme accepte de m'embaucher les week-ends que je vais passer un cap et vraiment devenir une pute !

Puis se tournant vers moi, il continue :
« A propos de putain, comment on peut s'arranger pour que je puisse téter madame et combien cela me coûtera ?
- Vous pourriez peut être l'embaucher le samedi comme caissière avec un bon salaire, ce qui évitera à son mari d'être méfiant, et vous pourrez lui donner des primes pour l'allaitement, fellation ou autre. Qu'en dites vous ?
Dans la boutique, lorsque vous acceptez que je vienne travailler le samedi, j'ai une parole malheureuse ...
« Mais mon mari monsieur »
Je me prends une gifle, c'est ma première ! Et vous ajoutez :
« Je ne te demande pas ton avis ! Tu trouveras quoi dire à ton cocu »
Et vous appuyez sur ma nique ... En guêpière penchée en avant les mamelles sorties des bonnets, vous allez me les gifler, non sans me dire à l'oreille
« C'est pour l'impressionner, soit courageuse je vais y aller sans ménagement, si on veut lui racheter son magasin il faut lui faire envie »
Je prends tes tétines que je tire vers le bas, puis commence à gifler tes grosses mamelles pendantes sans ménagement. Obéissante, tu sers les dents et ne bronche pas, seules des larmes coulent sur tes joues alors que je frappe durement tes outres, qui se balancent de droite à gauche sous les coups.
L’homme intervient :
« Allons monsieur, n’abîmez pas la marchandise, elle trouvera certainement une raison pour convaincre son époux… Je propose de l’embaucher à 25 euros de l’heure le samedi, 50 euros de plus par pis téter, mais les fellations seront gratuites… »

Je réfléchis rapidement et calcule : 8 fois 25, cela fait 200 euros plus deux pis à téter deux fois, le matin et le soir, cela fait 4 pis à 50 euros soit encore 200 euros.
« Et bien… Si je ne me trompe pas, je suis d’accord pour 400 euros par samedi, les pipes gratuites… »
Et vous ajoutez : « Plus une tenue sexy et 10% du chiffre d'affaire du samedi, et vous pouvez dès maintenant lui ramoner la chatte gratuitement !
Le vieux ne calcule pas et, trop excité, accepte ... Il dégrafe son pantalon, et dit :
« Avant de te baiser, j'ai envie que tu me suces »
Aussitôt, tu t’agenouilles devant lui, défait sa braguette et sors son sexe de son slip. Tu remarques que celui-ci n’est pas spécialement propre, et lorsque tu approches ton visage du sexe de ton futur patron, celui-la sens la sueur, le sperme et l’urine. Malgré le dégoût que te procure son odeur, tu commences à lécher le gland de l’homme.
Oui j'obéis selon vos instructions mais sans aucun plaisir si ce n'est de vous satisfaire. Je ne comprends pas bien cette histoire de rachats de magasin, mais vous vous dites que rapidement, entre les produits gratuits, la paie et le %, le vieux ne va plus rien gagner, mais vous par contre ...
Après quelques coups de langue sur son gland, tu finis par passer ta langue sur toute la longueur de son sexe avant de l'enfourner totalement dans ta bouche, faisant tourner ta langue sur sa bite
Il est vieux, mais reste très viril, sa queue qui ne paraissait pas très grosse, grossie de plus en plus et en massant ses couilles pour le satisfaire au mieux de ma pipe, je n'en reviens pas, plus grosses que des mandarines !
Tu t’appliques de ton mieux, voulant satisfaire l’homme qui va faire de toi, dans quelques temps la prochaine propriétaire du magasin, le pauvre s’il savait… Tu retires ta bite de ta bouche pour laper ses couilles que tu aspires.
Oui je ne peux que les laper car elles sont trop grosses pour que je les prenne en bouche ! De votre côté, vous me regardez faire en vous disant que je vais prendre une sacrée giclée.
Ton futur patron, remet sa queue dans ta bouche, force celle-ci, enfonce sa bite au fond de ta gorge, et commence à aller et venir dans ta bouche te maintenant par les mamelles.
Bien que je n'éprouve aucun plaisir avec cet homme, je suce de mon mieux en vos regardant et commençant tout de même à m'exciter de vous voir content de me livrer ainsi à cet homme
L’homme a accélérer sa cadence, enfonçant sa queue de plus en plus loin, dans ta gorge, te donnant des hauts le cœur, mais malgré les larmes qui coulent sur tes joues, tu ouvres grand la bouche, dans l’attende de son sperme
Je ne me doute pas de la dose de purée que je vis devoir déglutir !
Et effectivement, lorsque l’homme jouis enfin, c’est une quantité énorme de sperme épais qu’il déverse dans ta bouche. Tu ne peux tout avaler, et la moitié de sa purée atterrie sur ton visage et tes seins exposés dans la guêpière.
Tu lèches ensuite le gland de l’homme pour le nettoyer, puis tes lèvres et tes pis pour récupérer le maximum de sperme.

Pendant ce tempes, je choisis quelques strings, tanga, soutien gorge demi seins, robes sexy et nous allons avec l’homme jusqu’à la caisse régler nos achats.
Alors que nous allons sortir du magasin, et l’homme me tend un petit sac plastique opaque et dit :
« Je souhaite que Madame, porte les accessoires qui sont dans le sac, pour venir travailler le samedi.
- Je vous ferais parvenir le contrat concernant les rémunérations de Marie début de semaine prochaine, comme cela elle pourra prendre son poste en fin de semaine prochaine.
- Merci et à samedi sans faute, c’est moi qui amènerais Marie
- Alors à samedi
Et nous quittons le magasin, et regagnons la voiture. Tu te dépêches de rentrer dans celle-ci, honteuse de sortir dans la rue seulement vêtue, d’une guêpière exposant tes seins, d’une jupette raz les fesses, d’un string et de cuissardes.
Une fois en route, je te dis :
Il faut qu’on se dépêche, notre petit livreur ne va pas tarder à arriver.