Damien 72 - La Vie Commune (Suite 1)
Nous entrâmes dans l'habitacle, Pierre lança le moteur et nous reprîmes l'autoroute, quatre heures nous arrivâmes à l'hôtel.
Après avoir pris nos clés, nous allâmes déposer nos affaires dans le chalet qui était très propre et suffisamment spacieux puis nous partîmes dîner.
Vers minuit et demi nous étions de retour dans le chalet.
mon amant me prit par la main et m'emmena jusqu'au pas de la porte de la chambre qu'il me fit passer en me portant dans ses bras, il me déposa au pied du lit et m'enlaçant tendrement posa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand il se détacha de moi, j'avais le souffle court et les joues empourprées.
Lentement mon ami dégrafa le haut de ma robe tout en me couvrant le visage de baisers, je me collai à lui et sentis sa bite tendue comme un arc contre mon ventre, mon homme m'embrassa dans le cou, la tête rejetée en arrière et les yeux mi clos je savourai les chaudes bouffées de désir langoureuses qui montaient en moi sous les légers attouchements buccaux.
La bouche avide de mon amant me suçotait le torse alors que ses mains expertes massaient ma croupe enfiévrée me faisant frémir, au bout de quelques instants il me fit asseoir sur le lit et s'agenouillant ôta mes chaussures puis m'allongeant à plat ventre il entreprit de me masser la nuque, après plusieurs minutes de ce doux traitement, je me décontractai complètement, les doigts habiles de mon homme courraient le long de ma colonne vertébrale m'arrachant de lourds gémissements.
Me laissant frémissant il m'enleva ma robe et fit glisser ma petite culotte le long de mes cuisses, sa langue râpeuse se posa sur la chair tétanisée de mon dos et descendit jusqu'à la naissance du sillon de mes fesses brûlantes puis de ses mains il écarta mes deux lobes charnus et vint titiller mon illet, électrisé par ce baiser lingué qu'il échangeait avec mon anus je me cambrais pour m'offrir plus encore à cette tendre caresse.
Sous ses agiles coups de langue mon anneau ne fut pas long à s'ouvrir m'expirant un profond soupir de bonheur.
Longtemps mon amant continua à m'explorer tout le corps, aucune parcelle n'était oubliée, j'avais la peau si sensible que le moindre contact me faisait frétiller.
Tout mon être était tétanisé, ayant les cuisses écartées au maximum je voulais que son pénis me pénètre, qu'il crache en moi sa liqueur qui elle seule pouvait éteindre le brasier qui me ravageait, je le suppliai pour qu'il me prenne mais sourd à mes paroles il continuait à pratiquer sur moi ses délicieux sévices qui annonçaient un plaisir somptueux.
Je ne savais plus depuis combien de temps ses mains expertes et sa bouche avide m'effeuillaient, c'est alors qu'un spasme foudroyant explosa en moi, mon corps s'arqua et un "aaaaaahhhhaaaaaaaahhhhhhhhh" de plaisir s'échappa de ma gorge et je retombai lourdement sur le matelas flottant dans une demi inconscience.
Quand je rouvris les yeux, Pierre assis à mes côtés me demanda "Ça tas plu ?
- Oh oui, mais je suis en feu, je veux que tu me prennes.
- Bien sur que je vais te prendre, mais avant c'est toi qui
va me déshabiller".
Je me mis à genoux et en un tour de main, je dévêtis l'homme à qui je désirai donner mon corps tremblant de bonheur, son formidable phallus pointait vers moi, son énorme gland vermillon brillant de sève, je me penchai vers la fabuleuse tête et prenant ses testicules gonflés de semence dans les paumes de mes mains je me mis à porter de rapides coups de langue sur le priape qui sous l'effet de cette caresse se redressa et se tendit encore.
Mon mec me prit dans ses bras et me renversa sur la couche, sa bouche gourmande écrasa la mienne et sa main partit entre mes cuisses où deux de ses doigts me déflorèrent le sphincter et se mirent à aller et venir me faisant frissonner, bientôt un troisième puis un quatrième doigt inquisiteur rejoignirent les deux premiers, pendant ce temps Pierre continuait à butiner ma bouche offerte.
Le désir quelque peu calmé se ranima et envahit mon corps enflammé, sous l'effet des assauts des ses doigts qui me foraient les reins je me mis à onduler du cul me soulevant chaque fois qu'il les enfonçait au plus profond de mon être, mais ce que je voulais ficher au fond de mon rectum c'était cette monstrueuse verge qui palpitait contre ma hanche.
Voyant à mes réactions que le prélude avait assez duré, mon amant me retourna et plia mes jambes sous mon corps de telle sorte que je me retrouvai à genoux reposant sur les avant bras, il s'agenouilla derrière mon fessier en l'air et posa son fabuleux membre contre ma corolle offerte, les gouttes de semence translucide perlant de son méat lubrifièrent l'entrée de mon orifice affamé, me prenant aux hanches mon homme commença à peser sur mon fondement, quand son magnifique gland écarta mes chairs frémissantes, je ne pus m'empêcher de pousser un timide cri de douleur, mon ami s'arrêta me laissant m'habi au formidable calibre de sa virilité puis peu à peu centimètre par centimètre il m'enfessa totalement.
Quand il fut entièrement en moi, j'avais les larmes aux yeux tant ce gigantesque pénis roide m'écartelait, pendant plusieurs minutes mon amant resta immobile et petit à petit je sentis mon anneau se décontracter et enfin céder complètement alors lentement, Pierre commença à me sodomiser m'arrachant à chaque passage des petits cris de souffrance qui peu à peu se muèrent en profonds gémissements.
Sous les coups de boutoir répétés de mon homme mon tunnel se dilata et je me mis à ronronner mon bassin allant à la rencontre de sa merveilleuse hampe qui m'ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu'elle plongeait en moi jusqu'à la garde, mon plaisir était total je planais littéralement sous les coups de bite que mon ami m'assenait, il me possédait maintenant de toute la longueur de sa biroute la sortant de mon presque entièrement et la replongeant au fond de mon canal après m'avoir assoupli un peu plus la rondelle de son impressionnant gland, le plaisir explosait en moi par multitude partant de mon bas-ventre et montant par vagues successives vers mon visage me rendant fou de désir, je commençai à râler tout en roulant des hanches en cadence, le bonheur que me donnait ce pénis était tel que je devais mordre les draps pour ne pas hurler, seul comptait pour moi ce fabuleux sexe qui me pilonnait le derrière, mon mec les mains crispées sur ma taille me besognait de plus en plus vigoureusement m'éclatant totalement l'anus, j'avais atteint la plénitude rectale, je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose me faisant sombrer un peu plus chaque fois que celle-ci se fichait entre mes fesses bouillantes.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me travaillait l'arrière-train mais le plaisir qu'il me donnait était si grandiose que je voulais qu'il reste dans ma grotte indéfiniment, la tête rejetée en arrière je bramais sous les assauts redoublés que mon amant me portait, je n'étais plus que jouissance, tout en moi appelait le mâle, je voulais qu'il se déverse en moi mais en même temps je voulais qu'il continue à me tringler jusqu'à ce qu'il me casse le cul totalement.
Pierre me défonçait à une allure folle avec des "HAN" de bûcheron, je me disais que si il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je ne voulais pas qu'il arrête, je hurlai maintenant sans discontinuer sous les puissants coups de queue que mon amant m'affligeait, j'avais perdu toute notion de la réalité, soudain mon amant me décula et me mit sur le dos, il s'allongea sur moi et m'encula d'un violent coup de reins me faisant gémir, je nouai mes jambes dans son dos et posai mes mains sur ses épaules, prenant appui sur les coudes il commença à me besogner à une vitesse folle me faisant décoller de sur le lit chaque fois qu'il me bourrait l'intimité, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, c'était si bon que sans aucune retenue je lui labourais les épaules de mes ongles, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, ma tête ballottant de droite à gauche j'étais au septième ciel, sous ses virils coups de phallus j'avais atteint le point de non-retour et me mit à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.
A cet instant, s'enfonçant au plus profond de mes entrailles, Pierre déchargea en râlant, ses puissants jets de semence crémeux fusants le long de mes parois intimes surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers mon amant pour accen la pénétration, mes ongles se plantèrent dans les épaules de celui qui me chevauchait, mes jambes battirent l'air, un hurlement pulsa de ma gorge, je retombai lourdement sur la couche bras et cuisses écartés et je perdis connaissance.
Je ne sais combien de temps je restais inconscient, et quand je rouvris les yeux Pierre était étendu à côté de moi fumant une cigarette, une main posée sur ma cuisse me souriant il me demanda "Ça va ?
- Oh oui, il y a bien longtemps que tu ne m'avais pas enculé
de la sorte, j'ai joui superbement.
- Je m'en suis aperçu, regarde mes épaules, tu m'as arraché
la peau.
- Je suis désolé, mais tu m'as vraiment rendu folle de
plaisir.
- Et ce n'est qu'un début, je vais bien te la bourrer ta
petite chatte cette nuit, je me sens dans une forme
extraordinaire.
- Super, je veux que tu me l'éclate complètement ma petite
chatte comme tu dis.
- Ne t'inquiète pas, je vais le faire, je vais te démolir la
rondelle, demain tu ne pourras pas t'asseoir.
- M'asseoir je m'en fous, ce qui compte c'est que demain tu
puisses encore me bourrer.
- Ce sera fait femelle gourmande.
- Je l'espère mâle lubrique.
- Allez, assez plaisanté, viens faire un peu ton boulot viens
sucer".
Je m'agenouillai devant lui, et pris son énorme phallus dans mes mains et me mis à le lécher ce qui eut pour effet de faire grossir encore la pine distendue.
Posant ses mains sur ma nuque, mon homme me força à emboucher sa splendide bite, je faillis m' quand le gland buta contre ma gorge, lui massant doucement les couilles je me mis à monter et descendre sur le pénis érigé.
Pierre ne fut pas long à exploser sous mes coups de langue experts, je reçus sa giclée de foutre au fond de la gorge et je l'avalai avec délice.
Sortant son membre d'entre mes lèvres, mon mec m'allongea sur un moelleux tapis puis s'étendit sur moi, son priape dressé se posta contre ma corolle, Pierre prenant sa verge entre ses doigts la fit glisser le long de ma raie, le désir afflua en moi, de temps en temps mon mec s'arrêtai face à ma pastille et pesai un peu dessus, sous ces attouchements je sentis mon oeillet s'ouvrir, j'écartai les cuisses à me faire mal, alors d'un violent coup de reins mon amant m'enfessa jusqu'à la garde me faisant gémir, puis il se mit à me ramoner à une vitesse folle, le formidable sexe coulissai en moi aisément, le plaisir reprenait de plus en plus possession de mon être, je nouai mes jambes dans le dos de mon homme et l'enlaçant de mes bras, je fermai les yeux tout à mon bonheur.
Pierre me besognait avec des "HAN" de bûcheron, me faisant avancer sur le tapis chaque fois qu'il m'enfilait, je me tordais comme un damné sous lui, mes ongles étaient plantés dans ses épaules musclées, ma tête ballottait de gauche à droite et de ma bouche grande ouverte ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh" continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me bourrait le fion mais c'était si bon que je voulais qu'il continue jusqu'à ce que mon cul ne soit plus qu'un immense trou où mon homme aurait pu y entrer entier, sous ses coups de boutoir répétés je me sentais sombrer, seul comptait pour moi le phallus roide qui me forait les reins, je ne vivais plus que pour et par cette merveilleuse verge qui m'ouvrait un peu plus l'anneau chaque fois qu'elle s'enfonçait au plus profond de moi.
Des vagues de plaisir affluaient vers mon visage prenant naissance dans le bas de mes reins, mes fesses étaient bouillantes et j'avais l'impression que de mon tunnel sortait de la lave en fusion, les bruits de succion que faisait mon anus, abondamment lubrifié par notre étreinte précédente, chaque fois qu'il avalait le formidable priape qui me tringlai ne faisaient que décupler mon plaisir.
J'avais perdu entièrement le sens des réalités, je m'enfonçais de plus en plus dans la jouissance chaque fois que la pine turgescente se plantait au fond de mon cul en fusion.
Soudain Pierre me leva et sans que notre étreinte se désunisse, me porta et me mit à quatre pattes sur une banquette et se mit à me pilonner le cul violemment, je devais me tenir pour ne pas tomber tant ses assauts étaient rudes, son ventre musclé claquait contre mon fessier porté au rouge à me faire mal, complètement cambré je tendais encore plus mon cul vers lui pour accen la pénétration et me mis à rouler des hanches en cadence, j'avais rejeté la tête en arrière et tel un pantin désarticulé je subissais les violents coups de bite qui m'envoyaient au septième ciel chaque fois, j'avais le sphincter complètement éclaté.
Pierre me possédait en me tenant aux épaules, me limant de toute la longueur de son sexe, la sortant presque entièrement de mon canal pour le replonger la seconde suivante jusqu'à la garde, je n'étais plus que jouissance, toutes les parties de mon corps étaient devenues tellement sensibles que le moindre attouchement se répercutait jusqu'au fond de mes entrailles, je sentais l'explosion proche, une boule de feu s'était formée dans le creux de mon estomac et remontait vers mon visage chaque fois que le phallus érigé me défonçait, soudain n'y tenant plus je me mis à hurler toutes phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant m'envahit, mon corps se tendit comme un arc s'offrant plus encore à celui qui me pilonnait le fondement, je hurlai de jouissance puis je me sentis tomber lourdement sur le théâtre de nos ébats et je perdis conscience.
Je ne sais combien de temps je restai dans les pommes, mais quand je revins à moi, Pierre me baisait toujours aussi violemment, quand il vit que je n'étais plus dans le cirage, il s'arrêta planté au fond de mon cul et me dit "Remets-toi à quatre pattes".
Flottant toujours dans l'univers cotonneux de l'orgasme j'obéis, aussitôt derrière moi, Pierre recommença à me posséder à une vitesse folle, j'avais du mal à rester en position tant les coups de boutoir de celui qui me ramonait l'arrière-train étaient violents.
J'étais comblé car la bite qui me pilonnait le trou du cul depuis au moins une demi-heure semblait inépuisable.
Soudain s'enfonçant au plus profond de mon être, Pierre éjacula en feulant, ses épais jets de sperme crémeux fusant contre mes parois intimes surchauffées me provoquèrent un orgasme dévastateur, je tendis ma croupe vers ce formidable sexe qui déversait sa semence en moi pour accen la pénétration, un "aaaaaaaaaaaaahhhhhhh" pulsa de mes lèvres et je tombai sur le divan couché en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.
Pierre me déposa sur le sol, il prit mes jambes et le posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis "Vas y défonce moi".
il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m'ouvrait un peu plus le cul, j'avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j'avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu'il plongeait en moi jusqu'à la garde.
Mes gémissements s'étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m'assenait, le cul complètement éclaté je remuait la tête de gauche à droite et griffai l'épais tapis, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l'angle de pénétration, Pierre se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je repris conscience, Pierre était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j'étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d'un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d'un calme olympien m'éclatait de plus en plus la pastille, j'avais l'impression qu'il était en moi depuis une éternité, j'étais secoué de frissons de désir, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Pierre me prit par les épaules et se mit à me pilonner l'arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j'étais excité chaque fois que mon homme m'enfilait jusqu'à la garde, j'étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n'étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Pierre de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m'affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accen la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, rarement je n'avais autant joui au cours d'une enculade, je voulais qu'il me démolisse complètement le fion, qu'il me déchire pour qu'il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l'air entièrement écartelé, Pierre m'ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des "HANS" de bûcheron, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m'affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l'immense verge sortir de mon canal et mon amant s'allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m'aperçus qu'il n'avait pas encore joui, s'étendant sur le dos Pierre me dit "viens t'asseoir sur moi en me
présentant ton dos".
Je m'exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j'étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l'enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s'enfonçait jusqu'à la garde.
Soudain Pierre me prit par la taille et m'immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu'il me tienne me faisaient sauter chaque qu'il m'enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m'affligeait mon amant survolté, mes râles s'étaient mués en cris de jouissance, j'avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m'inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j'avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l'extraordinaire phallus qui me forait les reins, j'avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le priape qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu'il m'enfilait.
Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.
Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l'air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l'air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendit comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l'inconscience.
Quand je recouvrais mes esprits, Pierre assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n'avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit "Alors
c'est bon ?
- Oh oui chéri, jamais je n'ai pris un tel pied, mais toi mon
pauvre amour, tu ne veux pas jouir ?
- Si mais après t'avoir vu toi jouir ma chérie, tu es si
belle quand le plaisir ravage ton visage.
- C'est gentil ce que tu dis, mais moi je voudrais avoir ton
sperme en moi.
- Je vais te le donner cette fois-ci, tu l'as bien mérité ma
puce, allez viens te mettre contre le mur en appui sur les
bras et les jambes bien écartées".
J'obéis, Pierre se positionna derrière moi en m'encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me tenir au mur pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accen la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de reins de Pierre étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes reins, mes pieds décollaient du sol, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seule comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier Pierre éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m'écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, Pierre me regardait en souriant assis sur un des tabourets du bar, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis "Qu'est ce
que tu m'as mis, jamais je n'ai ressenti un tel plaisir,
j'ai cru devenir fou.
- J'en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en
faisant l'amour autant regarder la télé.
- Tu as raison mais là c'était divin, tu m'as déjà fait bien
jouir mais ça n'avait rien à voir avec tout à l'heure.
- Je te l'avais promis.
- On peut dire que tu as été au delà de toutes mes espérances
- Tu sais, ça faisait une semaine que je ne pensais qu'à ton
petit cul, j'en rêvais même la nuit donc je me suis promis
de te faire monter au septième ciel.
- Crois-moi, tu as réussi, je me demande même si je suis
redescendu, j'ai l'impression que tu es encore en moi, tu
es vraiment un baiseur fantastique.
- Merci ma chatte.
- De rien chéri, c'est la vérité.
- Veux-tu boire quelque chose ma biche ?
- Un petit whisky s'il te plaît mon amour.
- Ça arrive".
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!