La Démoniaque Sarah 7

Je suis rentré me coucher. J’ai dormis presque toute la journée. A mon réveil, j’avais mes trois fidèles servantes au pied du lit à attendre mes ordres. C’étais fantastiques, il suffisait que je pense à quelque chose comme boire par exemple et l’une d’elle se précipitait avec un verre a la main. Il suffisait que je bande pour qu’elles se battent pour avoir l’honneur de recevoir ma précieuse semence.
C’est décidé, je pars seul remplir ma mission. J’ordonne aux filles de me trouver des filles vierges de préférence pour ma prochaine soirée puis, je pars en ville. Je flâne sur le trottoir, aux aguets de la perle rare, lorsque changeant de direction, j’aperçois une vieille traction noire se garer. Je remarque tout de suite la jeune femme se trouvant derrière le volant. Je stagne sur place, espérant en voir un peu plus. La dame ouvre sa portière et s’apprête à descendre. Me voyant, elle hésite et entrouvre un peu la porte, me permettant de voir tout de même sa tenue vestimentaire, un tailleur jupe-veste.
Agacée par ma présence, elle veut précipiter sa sortie pour me montrer le moins possible de son anatomie. Elle ouvre complètement la porte et tente de descendre rapidement, mais malheureusement pour elle, son sac à main reste accroché à je ne sais quoi. Elle reste ainsi coincée, une jambe à l’extérieur de l’habitacle et l’autre à l’intérieur. Ses cuisses largement écartées laissent apercevoir sa culotte blanche.
Mon sexe se réveille alors.
Elle gesticule, ce qui fait accroître la montée de sa jupe, pour mon plus grand plaisir. Je suis à l’arrêt, comme un chien de chasse, profitant en toute impunité de cette belle vue.
- Vous voulez que je vous aide, ma chère dame ? dis-je.
- Oui, allez au diable ! rugit-elle.
- C’est le mot juste. Poussez-vous un peu.
Elle remonte dans la voiture, je fais le tour et m’installe a coté d’elle. On s’embrasse, je suis chaud comme une belette. Je passe une main sous son tee-shirt, j’att un de ses jolis seins, ses tétons durcissent en deux secondes.

Comme une furieuse, elle ne résiste pas à descendre mon short. Elle me regarde en souriant en sortant ma queue gonflée à bloc par toutes ces émotions, elle la décalotte et, comme d’habitude, l’engouffre en salivant à merveille sur mon gland bien doux. Je vois ma longue queue disparaître dans sa bouche, ses mains caresser mes bourses d’amour. Elle suce, elle suce, elle aime et moi aussi, elle adore me sucer et moi j’adore voir ses lèvres, toutes écartées par la largeur de mon sexe, s’appliquer à me donner de la douceur. J’enlève son short, je caresse l’intérieur de ses cuisses, elle est complètement trempée. Quelle gourmande ! Je n’en peux plus, il faut que je vienne en elle. Je la repousse, la retourne moi derrière et elle devant, sur les genoux, cambrée, avec sa chatte qui regarde le ciel. Je ne peux pas résister à lui donner des coups de langue sur toute la hauteur de sa fente, à titiller du bout de ma langue son petit œillet. Ma langue continue à explorer son petit trou, je pousse de plus en plus loin, elle gémit, elle adore, je branle ses seins qui pendent, elle est hyper excitante comme ça. Je finis par craquer et venir poser mon gland à la porte du paradis dont les parois sont chaudes et glissantes. Ce n’est pas moi qui pousse, c’est elle qui m’aspire. Je plonge ma queue jusqu’au fond de son vagin, je serre ses cuisses de mes mains. Levrette de l’apocalypse, mon corps suant, glissant, collé au sien, elle qui râle, moi qui me cogne partout dans cette voiture Ces va-et-vient de mon sexe dans son sexe ne mettent pas longtemps à nous faire partir dans le pays de la tête qui tourne. Je me libère, l’inonde, elle crie son Orgasme par Saccades. Violente envie de dormir. Elle s’écroule de sommeil sur la banquette. Je me rajuste et repart en chasse.
J’ai juste terminé de me rajuster que mon attention se porte sur la mère de famille qui descend de l’autobus avec dans chaque main une fillette. Cheveux bouclés très noirs, elle porte un petit haut de satin qui épouse parfaitement ses formes, rehaussé joliment de dentelles.
Cela me donne envie de venir la caresser, de faire passer son sein au-dessus de cette dentelle. Une minijupe sous son manteau déboutonné, le tout monté sur des bottes.
Elle ondule des hanches jusqu’au portail de l’entrée de l’école, où elle et ses deux fillettes prennent position, attendant que les portes s’ouvrent. Je rentre dans le bistro qui fait l’angle et je me place près de la vitrine pour l’observer. Je lui donne la trentaine. Soudain, sans savoir pourquoi, elle se met à me fixer, et je crois deviner très vite un vague sourire sur ses lèvres. La douceur de ses traits et la beauté de son sourire me laissent rêveur. Malheureusement pour moi, le portail de l’école s’ouvre et elle disparaît dans le bâtiment. Sa frêle silhouette ressort quelques instant plus tard, sautillant vers l‘arrêt du bus. Elle reste là, seule à attendre. Sans perdre de temps, je me lève et patiente près de l’entrée du bistrot l’arrivée du prochain autocar, bien décidé de le prendre en sa compagnie.
Je prends un siège pas trop près de mon inconnue, bercé que je suis par le déplacement. La jeune femme ne cesse pas de me surveiller, de sa place. C’est le genre de jeune femme ayant ma préférence, les plus vulnérables. Celles dont le mari, après la naissance de ses s, passe son temps devant la télé en décoiffant les cannettes de bière au lieu de satisfaire sa conjointe câlinement. Peu à peu elle devient un meuble, dont il n’est pourtant pas question de se séparer. Résumant tout cela, ça donne la monotonie du couple.
Au bout du troisième arrêt, elle descend, moi à ses trousses. Dans le trottinement saccadé de ses talons hauts, je la suis. Elle sort alors des clés, ouvre la porte d’un hall et se retourne, constatant ma poursuite. J’avance jusqu’à l’ouverture. Ne parlant qu’avec mes yeux, je m’engage dans un intérieur sombre, sans toucher à la minuterie. Je ferme tout de même la porte derrière moi.
L’entrée sent le propre. Peu à peu ma vue s’habitue à l’obscurité, ce qui me permet de la distinguer.
Elle se dirige sous l’escalier. Ne sachant que faire, je reste dans ma position. Elle m’appelle, je m’engage à mon tour. J’entends des froissements d’étoffes venant du lieu où elle se trouve. Je comprends vite qu’elle est en train de se caresser.
Elle m’attire à elle, et me murmure d’une voix hachée par le désir :
- Caresse mes seins maîtres.
Elle me prend la main, la glisse sous son haut. Elle est inconsciente, elle est sous mon charme.
- Maintenant relève ma jupe, trousse-moi, j’aime me faire trousser par un inconnu, viens par là, on va se mettre contre le coin du mur.
Elle m’aide à retrousser sa jupe, en se tordant. Elle s’en prend soudain à ma braguette, très maladroitement, au point que je dois l’aider, tant son impatience est grande.
Quand ma verge jaillit enfin, la jeune femme se dresse sur la pointe des pieds pour venir se poser dessus en la guidant de la main.
Elle se pend alors à mon cou, aussitôt emmanchée, puis se lance dans des mouvements de rotation, elle danse carrément sur ma verge. Je l’accule au maximum, me plaçant à grands coups de reins poussés dans ses derniers retranchements.
Peu à peu, mes yeux commencent à voir dans l’obscurité, ce qui me permet de l’apercevoir. C’est à ce moment-là que la porte du hall s’ouvre, et la lumière fait son apparition. Je réalise tout à coup dans quel décor je suis en train de m’envoyer la coquine, dont son haut de vêtement relevé laisse apparaître deux seins magnifiques, fermes et ronds, s’affaissant à peine sous leur propre poids, et dotés de deux mamelons bruns, incroyablement dressés.
Le pas de l’inconnu résonne sur les marches. Ma partenaire d’un jour a mis un terme à ses gémissements. La personne entrée chez elle, je me mets à administrer à ma partenaire de violents coups de reins dans son con, l’écrasant contre le mur. Elle grogne des mots incompréhensibles. Je m’autorise alors le droit de jouir, elle le sait, elle le sent, mais elle n’est pas d’accord et le dit :
- Non ! Non ! Pas tout de suite, je t’en supplie.

Elle veut profiter de moi quelques instants encore. Je ralentis le rythme, retenant mon éjaculation. Légèrement fléchi sur mes genoux, mes mains la maintenant sous ses fesses, je reste en elle posément jusqu’à la garde. La minuterie se coupe, nous sommes de nouveau dans le noir.
Elle apprécie, se balançant alors d’avant en arrière. Je prends la décision de précipiter les choses, je fourre ma langue dans son oreille. Le résultat ne se fait pas attendre, elle pousse un cri d’extase, couvert aussitôt par un grognement assourdissant.
Je sens ma partenaire vibrer grâce aux ondes violentes de son plaisir. J’y ajoute alors le mien, quelque chose de considérable, je crois que je n’ai jamais joui aussi fort de ma vie. Je n’en finis plus de me déverser dans le con de ma partenaire en transe. Elle entre dans une espèce de coma, je la laisse s’écrouler par terre et rajuste ma tenue. Je suis content de mon travail, dans neuf semaines deux de mes frères reviendront sur terre. Je repars en chasse. Je me laisse guider par mon sexe.


A suivre

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