Rendez-Vous Chez Une Pro -3 En Fin
Je tenais à remercier les lecteurs pour leurs mots dencouragement
Javais bien conscience du spectacle lamentable que je pouvais offrir aux éventuels curieux qui passeraient dans le couloir. Malgré lhumiliation lexcitation allait crescendo. Mademoiselle Véronique appuyais maintenant son talon sur mon épaule pour mobliger à me cambre davantage
- Cambre toi bien, fais ressortir ton petit cul de salope, écarte moi ces cuisses, ouvre-toi, offre-toi.
Encore une fois jobtempérais. Mademoiselle se leva mais mordonna de rester dans cette position. Elle tournait autour de moi, commentant le spectacle que je lui offrais avec de mots blessant qui me troublaient. Je sentis alors un liquide froid couler sur mes fesses.
- Alors comme ça monsieur fantasme de se faire enculer ? Alors écoute : si tu es bien obéissant je ferais en sorte que ton fantasme soit exhaussé. Mais attention, le chemin que tu devras parcourir pour atteindre ce but, sera peut-être compliqué et tobligera sans doute à repousser certaines de tes limites. Tu en es daccord ? Si tu craques avant en me disant stop, ton enculade senvole. Alors ?
- Daccord Mademoiselle Véronique
Je sentis immédiatement un doigt ganté pénétrer dans mon intimité et y faire quelques allers retours. Cette sensation était sublime et je nai pu refreiner quelques gémissements de plaisir.
- Tu aimes ça salope ?
- Oui Mademoiselle Véronique
- Dis le plus fort
- Oui jaime ça Mademoiselle Véronique
- Dis plus fort que tu aimes te faire enculer comme une salope ; que tout le monde tentende.
Tenailler entre lenvie de vivre enfin mes fantasmes et lauto-humiliation demandée, javais limpression que le souffle me manquait. Je dus prendre sur moi pour enfin crier :
- Jaime me faire enculer comme une salope
Mademoiselle Véronique me mit un bandeau sur les yeux et mannonça que nous allions faire le tour du propriétaire.
- Respire bien salope et remercie-moi du cadeau que je te fais. La prochaine fois je te ferais boire mon breuvage en guise de pot de bienvenue.
Elle tira sur le papier et sessuya. Jaurais tant aimé lui faire la toilette mais Mademoiselle Véronique avait trouvé bien plus humiliant. Elle mordonna douvrir la bouche pour y introduire le papier WC que je dus avaler. Pour lui prouver ma vénération elle me demanda ensuite dembrasser la lunette de toilette sur laquelle elle sétait assise. A la sortie des toilettes ma Maîtresse me laissa en plein milieu du couloir. Je devais my tenir à genoux, les mains derrière la tête, la bouche grande ouverte et la langue sortit. Jignore le temps que jy suis resté, mais assez pour entendre des allers retours dans le couloir. Une des hotesse sest même permis de me ridiculiser devant un de ses clients en lui disant.
- Tu as de la chance, aujourdhui la maison toffre deux bouches pour le prix dune.
Quand Mademoiselle Véronique est revenue me chercher, elle mannonça quelle avait eu le temps daccueillir un autre client et quil nous attendait. La nouvelle me terrorisa quelque peu. Elle memmena dans la chambre.
- Charles est un habitué ; cest un vrai pervers. Quand il est arrivé, il ta vu dans le couloir et ma demandé qui tu étais. Quand je lui ai expliqué, il a souhaité pouvoir assister à la séance. Tu ny vois pas dinconvénient ?
-
- Je tai posé une question me semble-t-il
Me rappelant de lenjeu de la séance, je répondis timidement
- Non Mademoiselle Véronique
- Dis à Charles que tu acceptes sa présence et remercie-le davoir payé pour assister à ta déchéance
- Jaccepte votre présence Monsieur
- Et
.
- Et merci davoir payé pour assister à ma déchéance
- Bien. Tu vois, en quelque sorte tu es une pute. Charles aimerais certainement que sa petite pute lui taille une pipe. Tu pourrais faire ça pour lui non ?
Je suis abasourdi. Jai envie de prendre mes affaires et de partir sur le champ. Mon esprit ne mappartient plus ; malgré le dégout, la honte je me dirige vers le vieil homme.
- Non mais je rêve
Regardez-moi cette salope qui se rue vers la queue.
Je reçois un coup de cravache qui me fait crier.
- Demande-lui sil tautorise à le sucer
- Puis-je vous sucer Monsieur ?
Nouveau coup de cravache
- Monsieur Charles
- Puis-je vous sucer Monsieur Charles ?
Le vieil homme se lève du lit et pose sa verge flasque sur mon nez avant de se masturber. Je place instinctivement mes mains derrière le dos et reste immobile. Mademoiselle Véronique sactive derrière moi. Jignore ce quelle fait. Pendant quil se masturbe, de son autre main il colle mon visage entre ses fesses et mordonne de lécher. Brisé je lui administre une feuille de rose malgré le dégoût ressenti. Mademoiselle Véronique linvite à monter sur le lit pour être plus à laise. Il se positionne à quatre pattes et mordonne de finir le travail. Derrière lui, dans la même position, je caresse cet endroit intime avec ma langue.
- Regarde- moi ça comme elle souvre cette salope. On lui fait bouffer un cul et la voilà toute offerte.
Elle dit vrai, je suis dans un état second, je me sens chienne, il me faudrait pas grand-chose pour que jexplose sans même me toucher. Mademoiselle Véronique sen est certainement rendu compte car elle sort ses doigts. Je sens mon anus béant.
- Tiens, enfile ça à ton Maître ; avec la bouche
Elle me tend un préservatif. Délicatement je commence à dérouler celui-ci sur la verge du vieil homme puis finis par le dérouler avec ma bouche. Pendant ce temps, Mademoiselle Véronique me couvre également avec beaucoup moins de délicatesse. Monsieur Charles est maintenant allongé sur le lit et moi, à quatre pattes entre ses cuisses en train deffec ma première fellation. Jexécute les recommandations dictées par mon Maître, je laisse aller sa verge au fond de ma gorge. Il ne se soucie pas de moi : seul son plaisir compte. Pendant ce temps, Mademoiselle Véronique équipée dun gode ceinture entreprend la pénétration tant attendue et redoutée. La préparation permet une sodomie non douloureuse et même agréable. Mes deux trous sont utilisés au rythme de chacun : je ne suis quune poupée de chiffon quon malmène. Malgré moi je jains comme la dernière des trainées. Mademoiselle Véronique me besogne de plus en plus violemment en me fessant et me traitant de tous les noms ; Monsieur Charles se sert maintenant de ma bouche comme dun vagin, me pilonnant et me giflant.
Cest mon Maître qui jouit le premier, se déversant dans son préservatif. Il lève ses jambes et mordonne de lenculer avec ma langue. Mon plaisir arrive ensuite dans une explosion abondante.
Mademoiselle Véronique se retire ensuite avec une grande lenteur comme pour me faire prendre conscience de la longueur du gode qui ma fouillé.
- Reste comme ça salope
Epuisé je reste inerte, la tête toujours entre les fesses de mon Maître et la croupe offerte.
- Garde-les. Retire le tien et donne-le moi.
Ma Maîtresse me fait mettre à genoux devant elle et me demande douvrir la bouche. Elle invite Charles à cracher dans cette bouche qui lui a été vendue. Elle y verse ensuite ma semence quelle mordonne davaler.
- Rhabille-toi petite lope
Une fois rhabillé, Mademoiselle Véronique me ramène jusquà laccueil où Natacha est encore là.
Cest devant elle que ma Maîtresse me présente mon préservatif encore souillé devant le nez.
- Avale le devant nous salope.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!