Premiere Sodomie

Je vais vous raconter ici la manière dont s'est déroulée ma première sodomie. Cela s’est passé en fin d'année 2006. J'avais alors 22 ans et était encore étudiant. Lors d'un stage, en Angleterre peu avant, j'avais eu l'occasion de pratiquer la fellation et j'avais découvert que j'aimais faire du sexe avec des hommes. J'étais en couple avec une fille à l'époque et je continuais ma vie amoureuse avec elle. Toutefois, quand l'excitation montait que j'avais un manque, je me connectais sur des chats internet, pour trouver un homme à sucer, une relation sans lendemain. Je préférais, et c'est d'ailleurs toujours le cas, les hommes plus âgés. Ils ont un côté plus rassurant, plus directif, et je prends plus de plaisir à être dirigé et guidé par quelqu'un de plus expérimenté.

Pascal m'avait contacté sur un tchat. Il avait une quarantaine d'année et habitait sur paris. Nous avions passé plusieurs jours à dialoguer, d'abord en direct puis par mail. Il me posait beaucoup de questions sur ma sexualité, voulait savoir à quelle fréquence je suçais des hommes, comment j'aimais faire cela, combien de fois par semaine je faisais l'amour à ma copine, dans quelles positions, ce que nous faisions. Il me disait que tant que je n'avais pas connu la sodomie en tant que passif, je ne pouvais pas connaitre la vraie jouissance. Il voulait connaitre mon type d'homme, comment j'aimais que les rencontres se déroulent. Il voulait savoir si j'aimais les grosses bites, les petites, les larges, les fines, les poilues. Il prenait beaucoup de temps pour me connaître et me rassurer. De son côté, il me disait qu'il était homo, qu'il avait vécu en couple mais s'était séparé, qu'il aimait rencontrer des jeunes, que c'était toujours pour lui un bonheur de leur faire découvrir à quel point on pouvait se faire du bien entre hommes. Il se voyait en initiateur pour la bonne cause. Nos conversations ont alors un peu dévié. Il me dit un jour qu'il aimerait me faire découvrir le bonheur de la sodomie, que je ne le regretterai pas et que je jouirai d'une manière que je n'avais jamais connue.

Il accompagne son mail de deux photos de lui, nu. Sur la première, il est assis sur un fauteuil. Son torse est large, assez poilu. On ne voit pas son visage. Entre ses jambes pends son sexe au repos. Sur la deuxième, on voit son sexe en pleine érection. Ses boules sont rasées de près. Il est bien décalotté et son gland est foncé et lisse. A la vue de ces photos, je me suis mis immédiatement à bander dans mon pantalon. J'ai commencé à rédiger un mail lui disant que ces photos m'avaient beaucoup excité et que j'étais prêt à passer aux choses sérieuses avec lui. Je n'arrivais pas à écrire. Je revenais sans arrêts sur mes mots, mes tournures de phrases. J'avais peur d'en dire trop ou pas assez, j'étais dans l'inconnu. Avant d'envoyer le mail, j'ai regardé encore une fois ses photos. Mon érection a repris de plus belle. Je me suis branlé sur ma chaise en regardant son sexe, en imaginant ce qui je lui ferais, ce qu'il me ferait. Au bout de quelques minutes, j'étais dans un fort état d'excitation et j'ai finalement cliqué sur "envoyer". Une demi-heure plus tard à peine, Pascal me renvoyait un mail pour me donner rendez-vous, dans un bar près de chez lui, le samedi suivant. J'ai confirmé le rendez-vous et ai fini de me branler sur mon lit en pensant au sexe de Pascal.

Le samedi j'étais extrêmement nerveux. J'appréhendais cette rencontre. Mes précédentes relations avec des hommes n'avaient été que des rencontres fugaces, dans des lieux plus ou moins publics, pour une branlette ou une petite fellation, mais cette fois, je devais passer plusieurs heures chez un homme, qui allait enfoncer son sexe dans mon anus. Nous nous étions donné rendez-vous en fin d'après-midi à la terrasse d'un bar non loin de chez lui. 1 heure avant, je passais à la douche pour me faire une beauté, et m'assurer de ma propreté. Je pensais à la rencontre et j'ai dû me retenir de ne pas me toucher en me lavant. Une fois propre, j'ai mis des vêtements et je me suis rendu au bar. Je suis arrivé avec 5 minutes de retard et Pascal était assis à une table, sirotant une bière.
Il me proposa une chaise, commanda une autre bière pour moi, et nous parlâmes quelques minutes. Il était comme sur les photos physiquement, dans la force de la quarantaine. Sa discussion était très agréable, il faisait tout pour me rassurer. Il me complimenta, me dit qu'il me trouvait très beau et qu'il était très heureux de pouvoir me faire découvrir de nouveaux horizons. Il me demanda si j'étais toujours d'accord, ce à quoi je répondis d'un faible hochement de tête. Les bières furent rapidement descendues. Au moment de régler, Pascal posa la main sur ma jambe et me dit de le suivre chez lui, sous le regard amusé du serveur.

Dans son ascenseur, il se rapprocha de moi en me caressant le dos. Sa main s'égara autant sur mes fesses que la mienne allait flatter son entrejambe. A n'en pas douter, il était déjà excité, la bosse dure que je sentais ne trompait pas. Arrivé dans son appartement, il me proposa de m'installer sur le canapé et de boire un verre pour discuter un peu. Il me reposa des questions très précises sur ma sexualité, Il voulait que je lui dise que je voulais qu'il m'encule aujourd’hui et que j'étais venu le voir dans ce but. J'étais un peu honteux mais excité par cette discussion et lui également. Il me proposa de mettre un film porno, "pour détendre l'atmosphère" (!!). Il me précisa qu'il avait sélectionné le film tout spécialement pour moi.

Les images commençaient à défiler sur sa télévision. Les scènes s'enchaînaient rapidement, telle une bande annonce et montraient invariablement des garçons, à peine plus jeunes que moi, en train de baiser avec des hommes plus âgés. Je compris pourquoi il l'avait choisi pour moi. La première scène commença. Avant même que les acteurs ne retirent leurs vêtements, j'étais déjà très excité et je bandai dur dans mon pantalon. Pascal s'en rendit compte et posa sa main sur ma cuisse, par petits mouvements il remonta et frotta mon entrejambe. Il parcouru mon membre sur toute sa longueur, en apprécia la dureté.
Je rougis, ma respiration s'accélérait et j'avais chaud. Lentement, Pascal défit un à un les boutons de mon pantalon et fit sortir mon sexe. Il me dit que j'avais une belle bite et me caressa doucement. Je restai les yeux rivés sur l'écran. Dans le film, un jeune blondinet était en train de se faire peloter par homme velu. Pascal arrêta ses mouvements. Il me demanda doucement de faire pareil que lui et se recula dans le canapé. Sans un mot, j'approchai ma main de son entrejambe. Il bandait lui aussi et son sexe jaillit dès que j'ouvris les boutons de pantalon. Il ne portait pas de sous-vêtements. Je pris son sexe en main et entamai un lent va et vient. Pascal se souleva légèrement pour faire tomber son pantalon à ses chevilles et le retirer. Il ôta son T shirt et était nu à côté de moi alors que j'avais encore tous mes vêtements. Je continuais à le caresser une main sur son sexe, l'autre sur le mien. Pascal me dit de me lever et d'ôter mon polo. Je me redressai et alors que je m'exécutai, il me retira lentement mon pantalon. Il me fit asseoir à côté de lui et plaça ma main sur son sexe, tout en attrapant le mien. Nous restâmes ainsi quelques minutes à nous branler l'un l'autre.

La scène du film avait changé, le blondinet était maintenant en train de prendre en bouche la bite de son homme, énorme. Pascal me chuchota à l'oreille de faire comme le garçon. Je me penchai sur lui et le pris en bouche. Il sentait bon et avait bon gout, je pris du plaisir à le sucer avec douceur. Je pris le temps de bien gouter toute la longueur de sa bite et de lécher son gland. D'une main, il me caressait la tête pour m'encourager. Il me disait que c'est bon. Je m'appliquais à lui prendre les couilles en main alors que je le suçais, le plus profondément possible. Par moment, je posais la tête sur son ventre de côté, son gland se positionnait naturellement devant moi et je le tétai. Alors que j'étais tout appliqué à ma sucette, Pascal me redressa la tête pour que je regarde l'écran.
Sur le film, le garçon était en train de tenter d'avaler les litres de semence de son homme, il en avait partout sur le corps et sur le visage. Pascal me demanda si j'aimerais faire cela pour lui. Il me dit que si je le faisais jouir maintenant, j'en profiterai encore plus tout à l'heure. J'approuvai de la tête. J'aimais sucer son sexe et j'avais envie de continuer. Je m'appliquai à bien le lécher et le téter et j'accélérai mon rythme. Pascal accentua la pression sur ma tête. J'enfonçais alors son sexe plus profondément dans ma bouche, en accentuant la pression de ma sucée. J'accélérai mon rythme et continuais à le branler. Je sentis son corps se tendre et dans un râle il jouit. Le premier jet me surprit et resta dans ma bouche. Je me reculai et les autres jets vinrent frapper mon visage. Pascal gémit doucement et ferma les yeux. Il resta quelques secondes sans bouger, alors que je caressai lentement son sexe. Puis il m'attrapa le visage et m'embrassa. Il me demanda si je voulais moi aussi jouir maintenant. Je refusai, sa proposition, sachant qu'après avoir jouit, je ne pourrais pas continuer cette expérience. Pascal comprit et le temps de reprendre ses esprits, il me caressait le corps et le sexe en douceur.

Au bout de quelques minutes, il me proposa d'aller prendre une douche avec lui, ce que j'acceptai volontiers. Nous entrâmes dans la cabine et nous nous embrassâmes alors que l'eau chaude ruisselait sur nous. Pascal me caressait tout le corps et insistant sur mes fesses. Il ne bandait plus pour l'instant, mais j'étais pour ma part complètement dur. Il savonnait mon sexe avec ses deux mains, en tournant et en frottant dans tous les sens. Il savait parfaitement à quel moment accélérer pour me redonner du tonus et à quel moment ralentir pour ne pas dépasser le point de non-retour. Il me dit soudain qu'il avait envie de pisser. Devant mon absence de réaction, il me demanda si je voyais un inconvénient à ce qu'il le fasse dans la douche. J'acceptais et il commença à se lâcher. Je regardais son sexe uriner, fasciné. Voyant mon regard, Pascal dirigea lentement le jet sur mes jambes puis sur mon sexe. J'étais tétanisé et ne pouvais bouger. Ma bite était dure comme l'acier, en temps normal, cela m'aurait dégouté mais j'étais dans un tel état d'excitation que tout ce que pouvait me faire cet homme me plaisait. Il s'arrêta de pisser et me dit de me mettre à genoux. Comme un robot, sans volonté propre, je m'accroupi devant lui. Son jet reparti lentement, frappant mes jambes, s'arrêtant sur mon sexe, balayant mon torse, il remontait, remontait, quand il arriva sur mon visage, je ne pus retenir un dégout et mon visage se crispa, bouche fermée. Il redescendit son jet et m'arrosa le visage que des dernières gouttes. J'étais estomaqué par ce que je vivais, je ne savais plus ou me mettre, je me sentais comme la dernière des trainée. Pascal me sourît en disant que j'étais un mec génial et plein de ressources, ce qui me rassura. Il attrapa ma tête pour que je le reprenne en bouche mais je refusais, je n'étais pas prêt à faire cela. Sans insister plus, Pascal fit recouler l'eau pour nous rincer. Il me dit de me retourner et de m'appuyer contre le mur de la douche, dos à lui. Il se plaça derrière moi et je senti ses mains me caresser les fesses. Il se mit du gel douche sur un doigt et l'enfonça dans mon anus. De son autre main, il me caressait les boules. Il entrait et sortait, avec des mouvements de rotation, pour bien m'assouplir le sphincter. Rapidement, un second doigt rejoint le premier dans son mouvement. Il fût un peu plus dur à rentrer alors Pascal prit bien son temps et tourna lentement, jusqu'à sentir que ma résistance faiblissait. Satisfait, il me dit de le suivre dans la chambre.

Pascal me dit de m'allonger sur le ventre, au milieu de son lit. Il se plaça à genoux au-dessus de moi. Je sentais ses mains masser, palper et écarter mes fesses. Il se baissa et je senti son souffle chaud contre mon œillet. Il me lécha consciencieusement l'anus, à grand coups de langue, déposant un maximum de salive. Cette nouvelle caresse m'excitait. Je tournai ma tête pour regarder Pascal et vit qu'il bandait de nouveau. J'attrapai son sexe de la main pour le branler alors qu'il me léchait le cul. Il se releva et alla chercher dans un tiroir de sa table de chevet tout le matériel nécessaire. Il posa sur son lit des préservatifs, du gel, et 2 godes, un petit et l'autre plus volumineux. Celui-là, me dit-il, est comme ma bite. Si tu te sens bien avec, la suite ne sera que du bonheur. Je me laissais aller à sa préparation. Il posa une noisette de gel sur mes fesses et me massa le trou comme sous la douche. Ses doigts rentrèrent facilement grâce au premier traitement qu'il m'avait prodigué. Il remplaça ses doigts par le plus petit gode. Celui-ci rentra sans problème. Il me proposa sans attendre de passer au plus gros. Il le posa sur mon anus et poussa lentement. Le gode s'enfonça, centimètre par centimètre dans mes entrailles. Il remit une noisette de gel et tout en le maintenant en place, il se changea de position pour me présenter son sexe à sucer. Je le repris avidement en bouche. Il avait retrouvé toute sa rigidité. Je sentais les mouvements de la bite de plastique entre mes fesses, mais aucune douleur, juste une sensation jusque-là inconnue. Pascal me dit que j'étais près et me demanda de me mettre sur le dos.
Il se positionna à genoux sur mes épaules. Sa bite à demi molle pendait devant mon nez. Il me demanda de lui redonner envie de moi. J'ouvrais la bouche et gobait toute sa verge. En quelques secondes il était de nouveau parfaitement dur. Il resta néanmoins quelques instants à se faire sucer dans cette position, puis attrapa le préservatif dont il déchira la pochette. Il se couvrit, me demanda d'attr mes genoux et se positionna au niveau de mon arrière train. Il appliqua une noisette de gel sur son gland et le posa à mon entrée. D'une petite poussée, il entra le gland et me demanda si tout allait bien. Je le sentais, mais je n'avais aucune douleur, je lui fis signe de continuer. D'un mouvement lent mais ininterrompu, il rentra en moi. Malgré ma préparation, je ressenti une vive douleur et je grimaçais. Pascal le senti et resta en place. J'avais perdu toute rigidité, alors Pascal entrepris de me rebranler. Rapidement, le plaisir revint et une fois dur, Pascal commença les va et viens. Il entrait profondément en moi et ressortait à moitié. A chaque coup, je sentais ses poils venir frotter mes fesses. Il attrapa mes chevilles et accéléra.
Je bandais comme un malade, je sentais au creux de mes reins une chaleur que je n'avais jamais jusque-là ressentie. Je n'arrivais pas à savoir si c'était seulement le plaisir de ma prostate ou le plaisir lié à la situation qui m'excitait mais je prenais un pied d'enfer. Il me pistonna régulièrement pendant 5 bonnes minutes avant de me dire de me mettre à quatre pattes au bord du lit. Je m'exécutais et tortillais ma croupe avec indécence pour l'inciter à revenir en moi. Il le fit d'un coup, m'arrachant un cri. Pendant 15 minutes, il alterna les rythmes, profond et lent, court et rapide. Il s'amusait parfois à sortir pour que je revienne m'empaler de moi-même sur sa bite. Il me redressa dos contre lui et attrapa d'une main un téton, de l'autre mon sexe tendu à se rompre. Alors qu'il était fiché au plus profond de moi, il me branla avec vigueur. Je me senti rapidement partir et le calmais pour ne pas jouir en premier. Il me poussa violemment sur le dos et je tombais à plat ventre sur le lit. Il s'allongea sur moi et entra, m'écrasant de tout son poids. Il respirait vite et transpirait. Je commençais à chauffer au niveau des fesses et lui dit.
Pour toute réponse, il s'activa et me transperça. Il me bourrait à toute vitesse et au bout de quelques secondes, je senti en moi les contractions de sa bite, alors qu'il jouissait dans un grand cri. Il s'affala sur mon dos et m'écrasa de tout son poids. A bout de quelques temps, il retrouva ses esprits, sorti de moi et jeta sa capote dans une poubelle. Je m'allongeais sur le dos et il vint se placer entre mes jambes. Il prit mon gland en bouche et me branla à grande vitesse. Je réussi à tenir quelques secondes avant de cracher mon sperme dans sa bouche. Il n'avala pas et toute ma semence coulait de sa bouche sur mon sexe alors qu'il finissait de me branler. Je m'écroulais en arrière alors qu'il partait se refaire une beauté.

Quand il revint près de moi, la pression était redescendue. Ma libido également et je me sentais mal. A y regarder de plus près, Pascal ne m'attirait pas du tout! Je restai près de lui quelques minutes et me rhabillais prestement avant de rentrer chez moi. Une fois rentré, je consultais ma boite mail. Pascal m'avait écrit pour me féliciter de ma prestation, pour me dire qu'il avait adoré dépuceler mes fesses, et que je pouvais repasser chez lui n'importe quand. A la lecture de ce mail, je me rendis compte que je bandais de nouveau.
Malheureusement, nos chemins se sont séparés et je dois avouer que je n'ai jamais recroisé un initiateur expérimenté comme lui, mais je cherche toujours.

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