La Démoniaque Sarah 8
Au milieu de la foule je me contente dobserver les femmes, quand il frétille, je pars à lattaque. Voila, ça y est, une petite rousse, mignonne, jy vais. Je mapproche delle. Attire son attention, elle simmobilise et me regarde, je mapproche encore.
- bonjour Cest comment ton prénom ?
Elle semble hypnotisée par mon tatouage
- Gigi maître.
- Et moi cest pierre.
Elle vient tout contre moi, sa tête bascule en arrière, elle mabandonne sa bouche humide et passant ses bras autour de mon cou. Je la serre, mes mains sur ses hanches. Elle est un peu petite pour moi, un petit mètre soixante, peut-être soixante-cinq. Jessaye de retarder le plus possible le moment où je vais découvrir son trésor de poitrine. Je la guide vers une porte cochère, elle souvre comme par magie, nous entrons, elle se referme nous laissant dans une étrange pénombre. Sous son polo, je passe mes mains dans son dos. Sa peau est une soie ! En contact avec sa peau, je prends une pure décharge. Quand je réussis à mettre un doigt sur une fille, jai une arme secrète : des doigts magnétiques ! Je ressens tout ce quelle ressent. Je la caresse juste là où elle attend des caresses. Je la fais frissonner. Elle se plaque contre moi, elle embrasse comme une diva. Mes mains sont hautes sous son polo, dans son dos. Ça y est ! Le moment est venu de découvrir ce qui pointait si joliment vers le ciel quand elle passait devant moi. Je soulève lentement son tee-shirt et je tombe nez à nez avec ses nénés, les plus beaux quil mait jamais été donné de mordiller. Je reste là une fraction de seconde, halluciné par ce spectacle. Quils sont beaux ! On se sourit. Je les lape doucement, les tétons durcissent et se dressent. Quelle beauté ! Je passe mes mains sous ses fesses encore vêtues. Je la soulève comme une plume. Elle passe ses jambes autour de mes hanches et sagrippe. Mes mains se libèrent et partent caresser son dos, remontent dans sa nuque passent sous ses cheveux.
Je la repose au sol, me mets à genoux devant elle pour lui ôter son pantalon de survêt. Je libère ses chevilles et récupère deux pieds fins que plus tard je sucerai. Et là, en remontant les yeux vers elle, je ny crois pas, je tombe sur des jambes de mannequin. Fines, belles, épilées, toutes bronzées, douces, mais douces ! Je les caresse et lui fais comprendre dun regard tout ce que je ressens, elle passe ses mains sur ma tête. Mes mains filent en haut de ses cuisses, plutôt vers larrière, tout doucement, et là, deuxième électrochoc, qui me fait durcir comme rarement, un string me laisse libre de toucher une paire de fesses encore dix fois plus belle que ses seins. Petite cachottière sous tes pantalons bouffants ! Des fesses qui tiennent dans mes grandes mains comme deux grandes pêches bien douces. Pourtant, je nai fait lamour dans ma vie quavec des jolies filles, mais cette Gigi survole les débats, sans frimer, sans se prendre pour une princesse, elle surclasse un sacré paquet de petites péteuses. Elle aurait mesuré 1,80 m, ce serait une déesse vivante. Je lui laisse comme seul vêtement la petite ficelle verte qui délimite les deux pêches au verso quil me tarde vraiment de mieux connaître. Je me redresse, ôte mon haut, elle se baisse, enlève mon bas, elle descend mon slip et ma queue sort comme un diable de sa boîte. Je pense que pour ne pas bander face à Gigi, il faudrait être entre quatre planches, dix pieds sous les cyprès.
Elle prend ma queue entre ses mains douces, se relève en me caressant tout doucement. Gigi membrasse puis je la soulève à nouveau, mais cette fois plus haut, très haut, pour lui faire une petite surprise. Mes mains sous ses fesses, je la soulève jusquà avoir sa petite chatte devant les yeux.
Jécarte dune main ce qui lui reste de tissu, et découvre un petit triangle de pelouse bien entretenu, et une foufoune toute lisse. Je sens que Popol au premier étage commence à simpatienter, mais pour une fois que je tiens une Gigi entre mes mains, je bois chaque seconde. Alors je fais à Gigi la plus belle caresse que je sache faire en laissant glisser ma langue sur toute la longueur de sa chatte. Je la sens sabandonner quand je vais de son illet à son clit. Ma langue coquine furète partout. Je bande comme tout. Elle agrippe ses mains à mes cheveux et pousse ma bouche contre sa chatte. Elle se met à rugir, à pousser des cris. Cest en plein dans laprès-midi, elle ne peut pas se retenir. Alors ma langue commence à entrer et sortir doucement de lorifice de chacun des deux palais quelle moffre avec tant de gentillesse. Jaime ce moment où lon découvre un nouveau minou, de nouvelles lèvres, une nouvelle odeur, un nouveau clito, une nouvelle fille qui ne jouira pas comme la précédente ni comme la prochaine. Cest excitant !
Pour essayer de la faire un peu arrêter de crier, je la soulève à nouveau, la fait pivoter à 180 degrés pour quelle se retrouve la tête en bas, à hauteur de mon sexe, et moi je nai plus quà déguster sa chatte complètement ouverte devant moi. Ses cuisses sont complètement écartées, jy enfouis la bouche et le nez. Avec mon nez je pousse pour entrer dans son petit trou, avec ma langue je pénètre entre ses grandes lèvres, avec ma lèvre inférieure bien charnue je caresse son clito. Elle ne crie plus car elle est trop occupée à sucer loccupant du premier qui attendait son tour et qui est servi comme un roi.
Gigi me sourit et me branle. Je la regarde sappliquer et lui caresse ses seins mignons. Je ladore cette Gigi, quest-ce quelle me plaît ! Ensuite, elle me fait un énorme plaisir : elle guide mon gland vers lentrée de son minou, elle est à point, elle a envie, moi aussi, un peu, cest vrai, genre Yaaaouhhhhhh !!! Son minou est serré, ou petit, je ne sais pas, ou mon sexe un peu gros. Aussitôt en elle, elle reprend ses rugissements. Je ressors pour la calmer. Je me sers de mon gland pour me frotter contre son minou, du haut en bas, cest trop bon, elle en redemande, sagrippe à moi pour laisser fondre sa bouche dans la mienne. Je reviens en elle, elle est ouverte, jentre presque en totalité, et nous voilà partis en missionnaire, sur un tas de carton qui traînait la, dans une baise torride dont tous les détails méchappent à partir de ce moment-là. Je me souviens, je lai mise sur les genoux pour voir sa corolle souvrir au beau milieu de son derrière fabuleux. Après lavoir savoureusement léchée, de haut en bas, je suis venu en levrette, en découvrant un joli tatouage de féline sur le haut de sa cuisse droite. Et là je me suis abandonné, jai pilonné son minou comme un sauvage, elle a poussé des cris, et je me suis dit "Et merde, au moins, si certains ne baisent pas, on baise pour eux, déjà quils soient contents : sils nont pas limage, ils ont le son, et puis on ne fait de mal à personne". Gigi a crié comme une folle. Je me suis demandé comment il était possible de crier comme ça, mais je crois quelle prenait son pied.
A suivre
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