La Table Du Séjour
Et voilà ! Toute propre suite à une seconde douche qui simposait après le traitement sexuel de la salle de bain...humm...jai encore envie de jouir rien quà y penser! Ma parole je deviens une vraie nymphomane. Pfiouu allé, il est temps de rentrer. Jallume mon téléphone qui est éteint depuis le début des cinq heures de baise monumental que je viens de moffrir. Waouh jai complètement oublié ma daronne qui doit se faire un sang dencre au vue de tous les texto quelle ma laissés. Cest pas grave, je trouverai bien une solution pour ne pas me faire engueuler. Kévin mappelle :
_Emilie, tu sors de cette salle de bain ou je viens te chercher ?
Je mempresse de le rejoindre dans le séjour parce que je ne suis pas sûr quen le voyant dans ce lieu où je viens de vivre des moments forts intenses je puisse me retenir de vouloir encore une séance spéciale baise pendant laquelle je le prendrai bien à fond en moi comme tout à lheure. Mon dieu je me pervertie de plus en plus !
_Oui je suis là, je réponds en le retrouvant vêtu dune simple serviette de bain blanche et moelleuse au toucher, ce que je viens de vérifier en lui caressant les fesses à travers ce simple rempart de son intimité, ne pouvant men empêcher.
_Alors tu pars vraiment, me demande-t-il dun air déçu en me voyant habillée avec ma sacoche en bandoulière, tout en menlaçant entre ses bras.
_Oui je réponds de la même voix un peu triste. Jaurais aimé rester mais on mattend chez moi. Mais tinquiètes pas, on se voit demain dis-je avec un clin dil qui ne trompe pas sur la nature de cette rencontre. Je vois quil comprend puisquil recommence à bander ce qui na pour effet que de me faire mouiller aussi. Je sens mon liquide couler entre mes cuisses puisque je nai plus ma petite culotte, trempée de mouille elle aussi. Et merde alors ! Jai vraiment le seum de partir là...il membrasse durement comme pour me punir de le laisser dans cet état dexcitation.
_Arrête chéri. Je dois vraiment y aller mais je te promets que demain je serai toute à toi lui dis-je tout près de loreille avec une voix chargée de promesses de plaisirs à venir.
_Je sais bien que tu dois partir mais regarde dans quel état je suis. Je fais comment moi pour me calmer ?me demande-t-il avec un air malheureux en me prenant la main droite pour la poser directement sur sa tige qui presque à lhorizontale distend sa serviette qui menace de ne plus couvrir cet endroit protégé des yeux, des miens en tous cas, jusquà lors. Hum, il est vraiment excité. Et puis au diable les convenances. Je ne peux vraiment pas le laisser comme ça, nest-ce pas ?! En plus jai toujours entendu dire que les hommes souffraient terriblement quand ils étaient bandés et quils ne pouvaient pas se satisfaire, pensée qui me déculpabilise complètement envers ma mère qui peut mattendre encore quelques petites minutes le temps de sauver une vie humaine. Alors au travail me crie une petite voix bien excitée par la perspective du bien fou qui arrive. Je la calme tout de suite ; nous nallons rien faire du tout, enfin à part rendre un immense service à mon mec en nous occupant de son attribut sans rien demander en retour ok ?! Pas le temps pour tout le reste.
Pas la peine dinformer mon vis-à-vis de vive voix. Ma main qui dénoue dun seul coup son cache-sexe de tissu linforme vite de mes nouvelles dispositions, dispositions qui lui conviennent visiblement, à voir son sexe qui se relève encore plus alors que je ne lai même pas encore touché. Hum, je mets ma petite main sur cette tige qui ma fait un bien fou quelques instants plus tôt. Tout en plongeant ma langue dans sa bouche et en jouant avec la sienne telle un as du roulement de pelle, je commence mes mouvements sur sa verge qui se raidit de plus en plus se calquant sur le rythme que ma main lui impose...il gémit...mes mouvements sont de plus en plus rapides et lui arrachent de petits cris vite réprimés. Il veut se retenir, faire durer le plaisir mais moi jai un tout autre programme. En continuant de le branler avec cette main, ce qui devient un peu difficile puisquelle devient bien grosse, je détache mes lèvres des siennes et dessine un sillon sur son corps ; je visite avec ma bouche son cou, son torse en tablettes bien fournies, ses tétons qui sont durs et que je prends lun après lautre dans ma bouche pour lécher et mordre, encore des gémissements...hum...jaime aussi, mais ce nest pas la destination que je me suis fixée .Je continue ma lente course que je facilite en magenouillant devant mon homme, enfin, devant sa queue serait plus exact. Elle est très belle, longue et toute lisse avec le gland gros et un peu rouge à cause de lafflux de sang...humm elle mattire trop. Je pose le bout de la langue sur elle et je lèche, tout doucement, presque avec amour. Ma main gauche a envie de participer ; je la laisse faire et elle vient attr ses gourdes pour les caresser, les malaxer. Je le tiens toujours dans de ma main droite qui na dautre boulot que le soutenir pour faciliter mon léchage qui devient débridé. Je ne laisse aucune partie de sa sublime anatomie échapper au traitement de ma langue qui bouge dans tous les sens ; il pose une main dans mes cheveux mi- longs dun noir de jais, mais nessaie pas de me baiser la bouche.
_Arrête je ten prie, me souffle-t-il. Je nen peux plus. Mais il na pas lair de détester vue quil ne se dérobe pas. Il aime ces sensations. La fraicheur de ma langue qui pendant les entrées de sa bite dans ma bouche le lèche tout doucement, les picotements dans sa queue qui lui annoncent un plaisir imminent, ma main sur ses couilles qui ne sont pas oubliés mais surtout la chaleur de mes lèvres qui le sucent sans retenue aucune. Ça y est, il est complètement dans ma bouche et ne ressort plus. Ma fellation se fait plus précise et plus cadencée aussi. Je le tourne dans ma bouche, le lèche dans tous les sens avec ma langue, fait mine de le sortir pour mieux le reprendre au fond de ma gorge. Je fais vite maintenant parce que je sens sa verge qui grossit au vu du liquide qui veut sortir...je veux quil sorte alors je le branle sauvagement...humm quel goût...il crie et se libère complètement entre mes lèvres. Pas le temps pour des cérémonies comme celles de la salle de bain. Javale tout et le nettoie avec ma langue. Je nai pas joui mais jai eu du plaisir à lui en donner. Je me relève et lui offre mes lèvres quil sempresse de prendre.
_Merci me dit-il avec un sourire tout en immisçant une main sous ma jupe entre mes cuisses quil effleure un moment avant de toucher mon sexe.
_Alors tu aimes me demande-t-il ? Jai pas la force de lui répondre tellement le plaisir me monte aux reins puis dans tout le corps. Mes cris et mes gémissements doivent lui répondre puisquil ninsiste pas et menfile vraiment plus vite comme un animal en rut. Je sens sa queue qui remue dans mon cul, gigote et tressaute pour me faire atteindre les cimes de plaisir tant aimés. Pour la première fois, je comprends vraiment lexpression se faire enculer. Jaime ça, cest aussi bon que dans la chatte...humm... mon tel sonne ; je le prends dans ma sacoche après avoir sorti mon slip tout collant. Je ne sais même pas où je trouve la force de le prendre. Cest ma mère, je dois répondre sinon elle risque vraiment avec son tempérament dameuter les flics. Mon mec ne sarrête pas pour autant et me défonce toujours le cul. Jai du mal à parler.
_Salut mum ! Oui jai vu tes messages ...Non je ne men fous pas si tu tinquiètes... Je suis en route. Ou jétais ? ...Non je nessaie pas de gagner du temps... Oui je comprends quil est tard. Oui, oui je serai là bientôt.
La situation mexcite encore plus. Ma mère au bout du fil me grondant, moi en train de me faire baiser et par le cul encore, sur une table, toute habillée, la jupe retroussée, la luxure en elle-même. Elle me parle des dangers qui courent les rues, des mecs sans scrupules qui attaquent les jeunes filles innocentes comme moi. Ah son discours moralisateur et le fait que je ne suis plus si innocente que ça, ajouté au fait que les mouvements de Kévin, que je sens bien grossir dans mon cul, sont de plus en plus, désordonnés annonçant sa jouissance toute proche, memmène encore plus vite au bord du gouffre et je jouis comme une folle en même temps que mon mec qui se lâche en moi en de longues giclées que je sens chaudes dans mon petit trou, plus si petit ! Ahan humm, cest bon, tellement bon que jai envie de crier ma jouissance mais ma mère me parle toujours et jessaie vainement de réprimer mes gémissements de plaisir...il est encore raide en moi et continue de bouger pour mon bonheur comme mon malheur puisque je ne me retiens plus et gémis longuement. Ma mère qui nest pas sourde me dit dune voix menaçante :
_Ashley Emilie Mary Lewis, tu peux me dire ce que tu fais et pourquoi je tentends gémir ?
_Maman je crois que je suis malade, je réponds en transformant mes gémissements de plaisir en gémissements de malade pour me rendre convaincante tout en profitant pour me lâcher. Elle se laisse duper et me demande avec une voix anxieuse de vite rentrer pour soccuper de moi. Prétexte pour raccrocher et laisser mes cris longtemps retenus sortirent alors que je jouis encore plus. Cest pas croyable. Je jouis vraiment du cul alors que je ne pensais pas que cétait possible. Lorsque je me fais jouir en solo je mets bien mes doigts dans mon cul mais cest agréable sans plus. Cette fois jai vraiment un orgasme et je comprends enfin toutes les sensations que les filles décrivent quand elles sont prisent comme ça. Mon mec se libère encore en moi en criant Emie, diminutif dont il use depuis quon baise et qui me plait beaucoup, puis se retire lentement alors que mon illet palpite autour de sa bite. Il me lèche la raie de fesse puis la chatte pour me nettoyer comme moi avec lui. Le sentir me faire un cunnilingus comme lavage et savoir quavec ma cyprine il lèche aussi son foutre, provoque encore une fois des vagues de jouissance en moi, lui donnant ainsi un surcroit de travail. Il membrasse et mavoue quil a été très excité de me baiser alors que ma mère me parlait au téléphone. Il limaginait en train de le voir menculer et a joui comme jamais. Moi aussi dailleurs. Cétait super. Faudrait le refaire! Après encore quelques baisers je refuse quil me raccompagne, lui donne mon num, prends le sien et pars en laissant ma petite culotte en guise de souvenir. Je déambule un moment, avant de prendre un taxi, et je sens le froid de cette soirée dété, traverser le fin tissu de ma jupe ovale et buter contre mon sexe en chaleur. Le paradoxe est excitant et agréable. Je devrais sortir sans culotte plus souvent. Je me fais un peu réprimander à la maison et pour donner le change, je suis obligée de prendre des médocs alors que je déteste ça. La nuit, seule sur mon lit, toute nue me caressant, un doigt dans mon cul, je repense à cette longue journée chaude ou jai été dépucelée de tous les trous, mais surtout au plaisir que jai pris par le petit trou, sur la table du séjour...je jouis !!!
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