Ah Le Facteur 3

Ah le facteur ! (3)
La nuit a été chaude et avec Corinne nous prenons un petit déjeuner bien mérité pendant que Michel vaque aux tâches domestiques. Odette va être surprise car ce matin nous avons habillé Michel en petite bonne avec bas talons hauts jupette plissé corsage blanc perruque et maquillage léger. Le tout sans culotte sans plug mais avec toujours la cage de chasteté. Nous venions à peine de finir notre petit déjeuner que l’on sonna à la grille. Je répondis à l’interphone, c’était Odette, elle dit alors : bonjour, c’est le facteur pouvons nous entrer ? Là je suis intrigué et je vais jeter un coup d’œil par la fenêtre du salon. J’aperçois alors Odette avec un homme, je comprends alors son attitude et passant un peignoir j’invite Corinne à en faire autant puis je réponds à Odette qu’ils peuvent entrer. Michel ouvre la porte, Odette le regarde à deux fois et s’avance en disant : bonjour je vous présente le collègue qui va me remplacer trois semaines pendant les vacances. Je lui sers la main, Odette me tend le courrier et deux paquets pour lesquels je signe les reçus et je leur propose de prendre un café. Odette rougit un peu et dit qu’ils n’ont pas le temps. Quand ils sortent Odette me glisse, je t’appelle puis part avec son collègue. Je regarde Corinne et lui dis : tant pis allons faire les courses nous aviserons après, Odette devrait m’appeler. Nous laissons les consignes à Michel et partons en courses.
Quand nous rentrons Michel nous dit qu’il y a un message sur le répondeur, je m’empresse de l’écouter, c’est Odette qui explique qu’elle passera cet après midi après son service mais ne pourra pas rester longtemps. Nous déjeunons tranquillement et alors que nous prenons le café on frappe à la porte, Michel va ouvrir, c’est Odette avec une petite robe d’été boutonnée par devant, des chaussures avec semelles compensées et légèrement maquillée. Je l’att et l’embrasse tout de go en la pelotant un peu rudement. Elle se débat un peu et me dit : je n’ai pas trop le temps, je lui claque durement le cul et lui dit : tu vas le prendre, je commence alors à déboutonner la robe.

Elle veut m’en empêcher alors Corinne lui tient les bras en lui disant : bouge pas salope ! Je continue et quand la robe et entièrement ouverte j’ôte le soutien gorge et baisse la culotte. Je caresse et tête ses tétons puis embrassant doucement son ventre je descends jusqu’à son sexe et là je la force un peu à écarter les cuisses et commence à la travailler avec ma langue et mes doigts, elle halète et gémit. Je continue l’amenant au bord de la jouissance et m’arrête puis je recommence ainsi deux autres fois, là elle crie d’un coup : viens, viens prends moi ! Je recommence avec mes doigts et ma langue et elle se tortille se débat mais Corinne lui tiens toujours les bras. Elle hurle bientôt et se tord de plaisir. Je m’arrête et la fais mettre à quatre pattes dans l’entrée puis sortant ma queue je lui ordonne : suce ! Elle me suce comme une folle et je dis à Corinne fesse là. Corinne la fesse alternant caresse et claque, quand je sens que je vais jouir je stoppe Odette et passant derrière j’écarte ses fesses et l’encule. Elle hurle et je lui dis caresse toi le clito salope, pendant qu’elle se branle je la lime à grands coups quand soudain son cul se serre à mort sur ma queue et elle crie, je lui claque le cul et donnant encore quelques coups de reins je décharge. Sortant alors ma queue je la fais relever, att sa tête et la plonge sur ma queue en lui disant : suce. Elle me lèche et suce la queue jusqu’à ce que je l’arrête car cela devient désagréable. Elle me dit alors : il faut que j’y aille Denis m’attend pour faire des courses je voulais juste, là je l’interromps en lui disant : ce n’est plus lui qui commende c’est nous sinon comme on te l’a déjà dit on arrête là et tu regagnes ta vie de bonniche de Denis. Elle rougit, je lui claque le cul et lui tord les tétons en lui demandant : c’est compris ? Elle répond oui, je lui tords les tétons et lui dis : on dit oui maître ! Elle reprend : oui maître, je lui dis alors que je garde son soutien gorge et sa culotte, dorénavant elle n’en portera que si on le lui ordonne. Elle balbutie : mais je coule, cela va se voir ! Corinne en souriant lui dit : débrouille toi c’est ton problème. Je réplique alors : tiens essuies toi et je lui tends un mouchoir qu’elle s’empresse d’utiliser pour éponger le plus gros qui coule de son anus. Puis je l’embrasse et lui dis : après les courses débrouilles toi mais tu reviens ici, si tu ne revenais pas ce ne serait plus la peine de revenir après et tout s’arrêtera là.
Corinne me dit en souriant : t’imagine elle sent le foutre j’aimerai voir la réaction de son mari, je lui réponds que c’est fait exprès et on va voir si elle revient alors là on pourra passer aux étapes suivantes. Corinne me caresse la queue en disant : et moi tu me fais jouir ! On commence un 69 et bientôt Corinne jouit, je continue jusqu’à ce qu’elle jouisse encore deux fois et là comme je rebande, merci Cxxxxx, elle me crie : viens prends moi et elle se met sur le dos écarte les jambes, les relève et les tiens avec les mains. Je viens alors la fourrer d’un coup avec ma queue raide et quand je commence à la limer elle lâche ses jambes et les noue autour de mes reins et m’enlace pour m’embrasser à pleine bouche. Je donne de lents et petits coups de reins et elle gémit, m’embrasse et me murmure : je t’aime, je suis à toi ! Puis je sens sa chatte se serrer à me broyer la queue et elle bascule la tête en arrière en gémissant et se tend comme un arc hurle puis crie : viens donne moi tout ! Je donne alors des coups de reins plus amples et sa chatte me serre tellement la queue et le gland que je finis par éjaculer en m’enfonçant d’un dernier et puissant coup de reins. Je m’apprête à me relever quand elle resserre ses jambes autour de mes reins, m’enlace brusquement et m’embrasse à pleine bouche. Nous restons un long moment ainsi et elle me demande : quand viendras tu vivre quelques semaines avec moi ? Monique est d’accord cela l’arrange pour être avec Josiane, on pourra même lui laisser Michel si tu veux. Je ne réponds rien et sentant ma queue glisser hors de sa chatte je me dégage et alors je lui dis : tu sais je bosse et partir de Rouen cela me fait lever plus tôt et rentrer plus tard on ne va pas avoir beaucoup de temps pour nous. Devant son air dépité je lui promets que je chercherai une solution. Nous allons prendre une douche et nous changer puis Michel nous sert un café à la demande de Corinne.
On finit de boire nôtre café quand on sonne. Corinne répond à l’interphone, c’est Odette. Quelques instants après elle est la dans sa petite robe collée par la chaleur, je lui dis : mets toi nue de suite, Odette s’exécute très vite, je lui demande alors de se tourner et se pencher en avant puis d’écarter ses fesses avec ses mains pour que je puisse examiner son cul. Je la laisse un instant dans cette position et je dis à Corinne : tu as vu ce bon gros cul de salope, il dégouline encore. J’ajoute que c’est un vrai garage à bitte puis me levant je passe derrière Odette et lui claque le cul, comme elle lâche ses fesses je lui dis : tiens les salope. Elle les reprend et je lui pince une fesse en disant : qu’est ce qu’on dit ? Vite elle lance : oui maître. Je souris, elle est prête à aller plus loin. J’ajoute alors : c’est aujourd’hui que tu vas être épilée, je te laisse aux bons soins de Corinne. Cette dernière entraine Odette dans la chambre du fond et pose un grand drap de bain sur le lit puis fait allonger Odette bras écartés et jambes grandes ouvertes. Elle s’absente quelques instants et revient avec cire crème épilatoire raclette gel à raser peaux sensibles ainsi qu’une bassine d’eau chaude et elle barbouille les dessous de bras d’Odette avec la crème puis prépare et verse la cire sur les jambes. Elle att alors une petite éponge mouille l’entrejambe et l’anus d’Odette et la rase intégralement. Une fois ceci achevé elle arrache d’un geste sec les bandes de cire, ce qui fait légèrement gémir Odette, puis elle racle la crème sous les bras avant d’entrainer Odette à la salle de bains ou elle la douche longuement avant de l’enduire de crème à l’amande douce en la caressant doucement. Odette ferme les yeux et gémit doucement, je m’approche alors, tout ceci m’a excité et j’ai une érection d’enfer. Je la caresse et l’entraine dans ma chambre cette fois ci, l’allonge jambes écartées et lui demande de les relevées et les tenir puis m’avançant entre ses cuisses je la prends d’un coup. Je la baise doucement, lentement et lui murmure : t’es à nous maintenant mais il va falloir aller plus loin. Je la baise longuement elle jouit deux fois de suite et tente de m’enlacer pour m’embrasser, je l’en empêche et lui dit : je veux que tu te fasses tatouer comme Corinne et Monique. Elle me dit : non pas ça, ce n’est pas possible ! Je la baise à grands coups lui arrachant une nouvelle jouissance et lui ordonne : tu vas te faire tatouer c’est un ordre. Elle jouit et crie oui, oui, je ralentis et m’arrête et lui dis : tu vas te faire tatouer ! Elle me répond mais mon mari ? Je lui répète ce que je lui ai déjà dis : tu es à nous maintenant, à nous ! Je reprends mes va et vient et continue jusqu’à ce qu’elle jouisse à en avoir mal. J’ai du mal à éjaculer je sens plus trop ma queue mais je continue, cela dure longtemps et Odette crie arrête, arrête quand d’un coup je lâche un long et unique jet de foutre et retombe sur elle. Je l’embrasse et comme elle m’enlace je lui murmure : t’es à moi ! Elle gémit et dans un souffle me dit : je suis à toi, à toi ! Je me relève et laissant Odette affalée sur le lit et vais à la recherche de Corinne. Je la trouve dans le salon jambes écartées avec Michel, à genoux entre ses cuisses, qui est en train de la faire jouir. Je m’approche et l’embrasse pendant qu’elle se laisse aller à sa jouissance. D’un coup un léger bruit, je me retourne, Odette est là nue qui regarde la scène, Corinne la regardant alors lui dit : c’est maintenant que les choses sérieuses vont commencer……….