Mon Initiation 3: Sodomie Sous La Douche

Je venais de me faire élargir le cul par la grosse bite de mon pote et je voyais ce dernier me fixer le fondement avec intérêt. Apparemment, voir son jus me dégouliner de ma raie lui plaisait et le rendait fier, du moins, c’est ce que j’en ai déduit de son petit sourire satisfait. Pour ma part, je cherchais ma respiration après une telle jouissance et la tête me tournait un peu. Je n’avais jamais imaginé à quel point cela pouvait être bon de se faire enculer. Même si j’ai toujours eu des tendances bisexuelles et même si le corps d’un bel homme m’excite autant que celui d’une femme, j’ai toujours eu peur du moment où je me ferais prendre pour de bon. Mais grâce à mon pote, je n’ai plus à avoir peur car cet étalon à une belle queue bien longue et bien épaisse et je me dis que, si lui m’a donné du plaisir, je n’aurai aucun problème avec des bites d’un calibre moindre. Une fois ma respiration redevenue normale, mes tremblements stoppés et mes esprits revenus, je me suis redressé pour me relever. Je ne sais pas si à ce moment là la sodomie y est pour quelque chose mais je du courir aux toilettes pour me soulager le rectum et je vous prie de croire que c’est super bien passé.

Une fois soulagé, je proposais à mon pote de prendre une douche. Nous avions quand même pas mal transpiré et je voulais, en plus de me débarrasser de ma sueur, me nettoyer le petit trou qui en avait vu passer lors de la dernière demi-heure. Il accepta avec plaisir et nous retrouvions encore nu l'un près de l'autre. L'eau fraiche nous faisait du bien et nous redonnait vie après tant d'effort dans la chaleur. Nous nous lavions donc bien soigneusement quand, tout à coup, la bite de mon pote reprit de la vigueur. Son regard était celui d'un prédateur en face d'une proie alléchante et facile. Je le voyais venir à des kilomètres !! Il voulait soit ma bouche soit mon cul voire même les deux. Même si j'avais adoré me faire baiser, je devais bien avouer que je voulais laisser un peu mon cul au repos car il me faisait un peu mal.

Et pourquoi ce ne serait pas lui qui me donnait son trou cette fois? Après tout, la fête ne doit pas toujours se faire dans le même village comme on dit chez moi. Anticipant donc toute demande de sa part, je lui dit que c'était son tour de se faire enculer et que s'il n'y consentait pas, il n'aurait rien d'autre ce jour là voire même de toute la semaine (et nous n'étions que le lundi).

Je me sentis méchant tout de suite après avoir prononcé ces paroles car lui ne m'avait à rien. Il était prêt à renoncer sans protester si je lui avais dit non. J'allais m'excuser et lui dire qu'il n'était pas obligé et que je comprendrais s'il refusait mais il me devança en acceptant. Il m'avoua qu'il avait adoré m'entendre gémir et crier sous ses coups de queue et qu'il aimerait bien savoir ce que ça faisait de se prendre une bite dans le cul. A la différence de lui, j'ai une petite queue assez fine et je me disait que se serait plus facile pour lui que pour moi. Avant de commencer, il me demanda de lui lubrifier l'entrée avec du savon car il avait vraiment peur d'avoir mal. Je fus très surpris car s'il y a bien une chose que je n'ai jamais vu dans les yeux de mon pote, c'était la peur. Là, je le sentais anxieux et extrêmement inquiet ce qui était une grande première. Il s'appuya sur les parois de la douche, se cambra et écarta les jambes pour se mettre en position. Je me mis à genou derrière lui pour le préparer. Pour le remercier d'avoir accepté de se faire enculer, je lui léchais une nouvelle fois la rondelle en enfonçant ma langue le plus profond possible. Ses gémissements étaient ma première récompense, son érection puissante ma seconde.

Après cinq bonnes minutes de massage anal avec ma langue et de massage manuel de ses couilles, j'appliquais une bonne dose de gel douche sur son petit trou. Pour être sûr qu'il soit bien lubrifié, je lui mis un doigt que je fis coulisser plusieurs fois. Ses gémissements me faisaient bander comme un malade et je n'y tins plus.
Je me suis donc relevé et ais placé mon gland à l'entrée de son cul. Je lui demandé à l'oreille s'il était prêt et il me dit oui dans un soupir. J'ai poussé mon bassin en avant tout doucement et ma bite a commencé à entrer. J'y allais avec précaution et j'ai fini par me retrouver au fond de son cul. J'ai attendu sans bouger qu'il me donne le feu vert pour commencer mes va et viens car j'ai moi même appris plus tôt dans la journée à quel point cela pouvait faire mal. Au bout de quelques instants, il me dit que je pouvais y aller mais en douceur. J'ai donc commencé à l'enculer doucement comme demandé. J'adorais sentir ma bite enserrer dans ce petit trou et bouger comme elle le fait dans ma main mais avec des sensations décuplées. Je le sodomisais tout doucement quand ses gémissements de douleur firent place à des gémissements de plaisir.

A partir de ce moment là, je me mis à accélérer de plus en plus et plus j'allais vite, plus mon pote criait de plaisir et me disait d'y aller. Sur la fin, je le baisais comme un sauvage en m'agrippant à ses hanches. A l'approche de la jouissance, je l'ai agrippé encore plus fort et j'ai poussé ma bite le plus profond possible afin de pouvoir bien déchargé tout mon foutre au fond de mon amant. Nous avons explosé ensemble, moi lui remplissant le cul, lui inondant la douche. Nous sommes resté comme ça plusieurs minutes pour reprendre nos esprits puis, je l'ai embrassé dans le cou en lui disant qu'à partir de ce moment là, mon corps était à sa disposition et qu'il pouvait me faire tout ce qu'il voulait de moi. Il hocha doucement la tête et c'est à partir de ce moment là que je suis devenu une vraie salope dans l'âme et que mon éducation de femelle allait réellement commencer.

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