La Démoniaque Sarah 9

Pendant que je me rhabille j’ai l’impression d’un regard sur moi, je me retourne, cherche, la loge de la concierge, ma queue se remet à frétiller. J’avance, je tapote discrètement à la porte-fenêtre de la loge. J’attends quelques instants… un bruit derrière la porte… Elle m’ouvre, m’observe un moment.
- Entrez maître ! me dit-elle, en me faisant un bisou au coin des lèvres.
Elle est vêtue de sa nuisette en satin qui épouse ses formes, pieds nus. J’apprécie du regard sa silhouette. Je la sens maquillée depuis peu. Nous sommes émerveillés de nous voir et d’être enfin réunis. Nos mains se touchent, les doigts se caressent, les regards se joignent. Nous nous enlaçons en partageant un premier baiser, profond et sensuel, les langues jouent. Ses bras autour de mon cou, les miens autour de son torse, mes mains caressent son dos. Le baiser devient vorace, sensuel, affamé. Je ne sens pas d’attache de soutien-gorge en la caressant. Sur ses hanches, la finesse de la couture me fait découvrir la seule présence d’un string. C’est la femme éternelle dans toute sa splendeur, une femme qui s’ignore dans sa beauté, son charme, son pouvoir de séduction…
Pendant qu’elle se dresse sur la pointe des pieds, je sens son ventre plat et son pubis bombé s’appuyer contre moi. Le baiser devient ventre à ventre ; j’essaie de reculer mon bassin pour ne pas qu’elle sente de suite l’érection qu’elle me provoque. Je descends sur sa gorge pour en lécher la peau, peau de femme parfumée. Sa tête bascule en arrière, elle s’offre, c’est émouvant et troublant à la fois. Je la tiens par la taille d’une main, l’autre caressant son sein. Des caresses douces dessus, la pointe s’érige et sa respiration devient plus courte. Elle est légèrement courbée, mes mains caressent son torse, ses hanches, ses fesses tandis que les siennes déboutonnent ma chemise pour me caresser le torse.
- Viens ! me dit-elle dans un chuchotement.
Nous entrons dans le salon, le canapé nous tend les bras.

Elle ferme à demi les volets. Chacun d’un côté du canapé, nous nous déshabillons fébrilement. Nue la première, elle s’allonge sur le dos. J’adore la vision de son corps élancé, ses jambes fuselées, ses seins aux pointes si sensibles, son pubis épilé, son sexe glabre…
Je m’allonge sur le côté, près d’elle. Ma main parcourt son corps en appréciant les courbes. Un nouveau long baiser. Ma main part sur le bombé de son pubis, déjà moite, pour une douce caresse. Ses jambes s’ouvrent imperceptiblement pour me faciliter l’accès. Mon doigt commence par parcourir les lèvres de sa fente, trouve le bouton d’amour et le caresse. Elle est déjà humide de désir, exhalant son parfum d’amour qui m’enivre. Sa main empoigne mon sexe en le pressant fortement. Ma bouche descend sur les seins que je lèche, suçote, lape, et descend encore au creux de son nombril. Je dépose de petits bisous sur son pubis, une odeur enivrante s’exhale d’elle.
D’une reptation, je me glisse entre ses cuisses maintenant ouvertes. Mes deux pouces écartent ses lèvres que je sens humides, ma bouche se pose sur sa vulve. Elle soupire et ma langue lèche ce sillon. Elle sent bon, j’adore son odeur de femme en désir. Ses mains tiennent le haut de ma tête. Je suis affamé de son miel. J’entends ses soupirs, ça m’excite. Le compas de ses jambes est grand ouvert, son utérus baille. Ma langue plonge tant elle est ouverte, gémissante. Elle se donne totalement, elle se cambre. Mon sexe est dur, dressé, décalotté… J’ai envie de pénétrer dans sa chatte humide, je me redresse, m’agenouille entre ses cuisses.
- Non ! Attends ! me dit-elle en me repoussant.
En appuyant sur mon torse, elle me fait allonger sur le dos. Elle se met sur le côté et me saisit dans sa main, regarde un court instant mon gland gonflé et m’avale d’un coup, profondément. Sa langue presse mon gland sur son palais, puis ses lèvres se referment et commencent un lent va-et-vient. Sa main caresse mes bourses gonflées. Je regarde son visage m’avaler.
Elle me mouille de sa salive, c’est très excitant. Ses dents effleurant ma hampe, je me sens à sa merci. Je lui dis de faire attention, car avec ce traitement elle risque de me faire jouir rapidement. Elle sourit, suspend sa fellation, m’enjambe et s’accroupit au-dessus de moi. Elle me prend dans sa main, me guide fébrilement, s’empale dessus toute seule, visage crispé, yeux fermés, lèvres pincées. Sa chaleur humide est douce, elle est trempée. Immobile, elle savoure l’instant. Je suis dans un puits de velours brûlant qui me caresse. Je regarde sa tête légèrement renversée en arrière, ses seins dressés et les pointes saillantes. Elle soupire et ondule pour s’empaler au maximum. Sa chaleur se communique à mon gland. Elle pose ses mains sur ma poitrine et continue à onduler, soulevant son bassin et se laissant retomber. Je regarde ma verge, mouillée de son plaisir, apparaître et disparaître, gluante de traces blanches alors qu’une mousse blanche se forme sur les côtés des lèvres de son sexe. Mes mains sur ses hanches la libèrent et mes pouces entrouvrent le haut de son sexe pour caresser le haut de sa vulve et son clitoris…
Avec moult gémissements et soupirs sa cavalcade s’accélère, le plaisir la dépasse. Pendant que je la caresse, ses mains pincent la pointe de mes seins, elle m’excite. D’un coup, sans prévenir, elle jouit en miaulant et resserrant ses cuisses, tétanisée. Je me cambre encore plus pour mieux l’empaler, arqué.
Elle s’effondre sur moi, haletante, tremblante, chatte…
Toujours fiché en elle, je la laisse retrouver ses esprits.
Elle se déboîte et s’allonge sur le côté. J’ai la verge et le pubis mouillés. Elle me donne un long baiser, son regard se pose sur mon membre dressé. Se rendant compte que je n’ai pas joui, elle commence à caresser ma verge dure et dressée, doucement, puis plus fermement. Mes bourses pleines sont flattées et sa bouche me happe.
Je la fais mettre tête-bêche. Sa chatte est ouverte, les lèvres gonflées, rougies.
Elle sent la femme, j’adore ! Ma bouche se colle à sa grotte brûlante, elle est dégoulinante, juteuse. Son odeur est excitante, son goût est bon. J’aime la lécher et elle adore ça.
Ma verge dans sa bouche, ses cheveux caressant ma poitrine, je sens mon plaisir venir. Elle le sent aussi, un ongle caresse mon anus, insiste et me pénètre je suis au bord de l’explosion. Ses lèvres se resserrent, emprisonnant mon gland. Sa joue posée sur ma cuisse, ses succions reprennent. Sa caresse se veut très douce. Je colle son bassin sur ma bouche, encore plus, et recommence à la lécher plus tendrement. Je la déguste, le visage barbouillé, gluant d’elle. Précipitamment au bord de la jouissance je la retourne et la pénètre d’un coup. Elle râle, gémis, se contracte et j’explose au fond de son ventre. Un long baiser nous unit. Nous mélangeons nos saveurs, nos jouissances, nos salives. Baiser d’union… baiser communion… Bisous… Caresses… Nous nous levons. Dans le coin de la pièce, une jeune fille nous regarde, elle est toute rouge ses mains dans sa culotte.
Devant mon regard interrogatif elle me répond
- C’est la fille des gens du cinquième, elle est un peu neuneu, je la garde pendant qu’ils sont au travail.
- Présente la moi.
Elle part, lui prend la main et la tire dans la lumière à coté de moi. Je sens ma queue frétiller.
- tu croies qu’elle est vierge
- Oui, maître, sûrement. Elle n’a que dix huit ans et elle ne sort jamais.
- Déshabille-la.
Elle la pousse entièrement nue devant moi. Je lui caresse un peu la poitrine, elle se met à gémir et je voie des gouttes s’échapper de son sexe. Elle est sûrement très excitée. Je lui prends la main. Nous allons dans la chambre, je l’enlace et appuis ma caresse quand elle crie sa jouissance je la lâche. Elle tombe sur le lit plus qu’elle ne s’y allonge. Impudique, provocante, elle écarte les jambes, me montrant sa fleur mauve, gorgée de sang et de désir, gluante. L’intérieur des cuisses est mouillé par son désir.
Je rampe, je la rejoins, agenouillé au milieu de ses cuisses ouvertes. Du bout du gland, je caresse ses lèvres huilées de son miel. Dans un souffle, elle me dit :
- Pénètre-moi vite, j’en peu plus d’attendre !
Je me guide, m’appuie sur son puits. Son bassin se cambre, elle me fixe dans les yeux. J’entre prudemment, je sens la résistance de son hymen elle gémit, je pousse fort et dans un grand cri, Je la pénètre d’une seule poussée. Je m’immobilise de peur de lui avoir fait mal. Ses jambes se referment sur mes reins, ses bras sur mon torse, ses mains dans mon dos. Elle se colle, devient pieuvre.
- Baise-moi fort !
Elle devient pieuvre, m’aspire en elle, cannibale dans ses baisers, femelle réclamant la semence. Je la pistonne violemment. Elle m’excite par ses geignements, l’odeur de sa chatte… Sa tête dodeline, ses talons martèlent mes reins. Mon gland est pilon, je me sens mâle de la dominer de ma queue. Je la baise littéralement, voulant l’assouvir, l’asservir. J’ai envie de la défoncer, de l’éventrer, tellement son amour me bouleverse. Mes bourses gonflées bouillonnent. Je veux jouir avec elle. Des "oui ! oui !" me préviennent de son envolée et un cri strident venu du fond de son ventre me fait exploser en elle, arc-bouté, soudé. Ses ongles sont plantés dans mon dos, son bassin est soudé au mien. Je me vide en elle, elle feule. Je m’effondre sur elle, torse contre torse. Nos souffles s’harmonisent, nous ne bougeons plus. Sa vulve m’enserre, gluante, collante, visqueuse. Je suis bien dans son ventre.
- Mon chéri… Mon chéri… c’est merveilleux murmure-t-elle tendrement à mon oreille.
Le temps est suspendu. Après le plaisir vient la tendresse. Mon sexe ramolli sort d’elle, c’est le moment des bisous et des câlins. Je me relève, il me faut partir en inséminer une autre.
En sortant de la loge, je regarde vers les cartons, la belle rousse est partie. Un bruit de pas dans l’escalier, je lève les yeux et j’aperçois rapidement une jambe une jupe qui vole et une petite culotte blanche. Ma queue se remet à frétiller. Je monte les marches quatre a quatre a la poursuite de mon apparition. Elle est la, cherchant ses clefs devant une porte. Je m’approche doucement. Je l’observe comme un rapace observe sa proie.
C’est une petite blonde qui approche de la quarantaine, très naturelle et sans chichis. Elle a des cheveux courts, de grands yeux verts qui rendent son regard hypnotique, une poitrine très menue des hanches larges et des fesses très rebondies, un derrière magnifique qui ne doit laisser aucun homme indifférent.
Elle ouvre la porte. J’entends une autre voix féminine
- c’est toi ?
- oui, bien sur.
- T’a pensé au pain ?
- Non, j’y vais.
Elle ressort et part sans refermer la porte à clef. J’hésite un moment puis mon instinct me dicte mes gestes. Quand elle est en bas, je sors de ma cachette et j’entre dans l’appartement. C’est tout petit. Ce doit être un studio. Devant moi, Un lit simple, deux vieux fauteuils en velours beige, une petite télé noire sur un meuble en bois aggloméré, assorti avec le reste des meubles, un coin bureau et trois étagères fixées au mur. Des livres partout, on y voit des corps, des squelettes, le système digestif. À gauche, un grand placard marron aux ferrures en bronze vieilli. À droite, la fenêtre sur cour, le voilage épais tendu pour empêcher les yeux curieux des dizaines d’ouvertures d’en face, à quelques mètres de distance. Deux petites portes en face de l’entrée sûrement, la salle d’eau et la cuisine. Des bruits proviennent de l’une de ces portes. J’avance doucement. Une jeune fille est entrain de faire la vaisselle. Ma queue frétille toujours.
- Je peux te toucher ?
La jeune fille sursaute et se retourne. Reste un moment en arrêt, m’observe.
- Euuh, oui, bien sûr !
- Je peux t’embrasser ?
- Euuh, oui, vas y, je ferme les yeux ?
- Je peux t’enlever le chemisier ?
- Euuh, oui, vas-y !
- Tu es vraiment magnifique, quels beaux petits seins !
- Oh oui, Maître, vas-y, presse-les encore…
- Voilà, tu vois comment ils se réveillent, quel beau mamelon, je vais le sucer… ne bouge pas… viens…
Je la tire par la main
- allonge-toi sur le canapé… c’est beau… Oh, que t’es belle !
Je lui retire sa jupe et sa culotte elle ne s’y oppose pas. Avec mes mains je lui caresse la poitrine pendant que ma langue fouille son intimité, elle gémit de plaisir. J’amplifie mes caresses. Je sens son jus dégouliner, elle est prête à me recevoir. Je dégrafe mon pantalon tout en continuant mes léchouilles. Je remonte sur elle et la pénètre d’un coup. Ses gémissements s’amplifient. Elle agite son bassin à l’encontre du mien, je sens son vagin se contracter sous l’orgasme qui l’envahie. Je lâche ma semence au moment ou elle crie son plaisir. Nous retombons doucement sur le canapé.
Soudain j’entends pousser la porte d’entrée. Une grande silhouette entre dans la pénombre. En se rapprochant, je reconnais la femme que j’avais suivie.
- voila, j’ai le pain.
Surprise de ne pas avoir de réponse elle parcourt la pièce du regard. Nous découvre sur le canapé. Je me retire de ce vagin qui m’a donné tant de plaisir et me relève. Elle m’observe, je sens son regard posé sur mon sexe toujours bandé. Comme hypnotisée, elle se déshabille
Elle est toute nue devant moi.
- Alors Maître, je te plais ?
Elle se rapproche de moi, alors que je bande un maximum. Elle se met sur le bord du canapé, me rapproche ses gros seins avec des mamelons noirs, excités.
- Ils te plaisent, mes seins ? Maître, vas-y, tu peux les embrasser
Me dit-elle en me mettant un sein sur la bouche. Je me mets à le lécher du bout de ma langue. Elle me ramène l’autre sein, le presse devant mes yeux alors que je prends le téton délicatement entre mes lèvres. Après, elle va chercher ma queue et la pétrit d’une main, puis, elle se penche et va la mettre dans sa bouche.
Elle commence à me sucer c’est très agréable mais ma mission n’est pas de prendre du plaisir. Je lui prends les épaules pour la faire se relever. Elle redresse sa grande silhouette et me pousse, je tombe sur le dos, elle vient se mettre sur moi. Ma pine, bien tendue, s’enfonce dans sa chatte mouillée ; en même temps, l’autre fille, assise à côté, lui pétrit les seins. Nous restons ainsi un moment. Elle sursaute, jappe, gémit, balance tout son corps affolé à gauche et à droite. Soudain, elle est prise par une transe de folie. Elle frissonne, frémit, émet des petits cris en crispant ses mains sur ma poitrine, je sens ses ongles entrer dans ma chair, et cela m’excite encore plus. Puis, elle se calme, et se replie sur moi pour m’embrasser le cou. Elle se relève, me fait sortir d’elle. Elle se met à quatre pattes au milieu du salon, moi, je me place à genoux, et l’autre fille me guide en elle, par derrière, en levrette. Je lui donne des coups francs, au plus profond, en prenant un grand élan à chaque fois. Elle gémit, crie, me dit d’aller encore plus fort. L’autre fille se glisse sous elle, ramène sa tête jusqu’à mes couilles et se met à les lécher. Son con arrive au niveau de la tête de celle que je pine elle regarde le sperme qui s’en échappe puis enfonce tout son visage dedans. Nous restons un bon moment ainsi. Cinq, dix minutes, peut-être plus, il n’y pas d’horloge pour minuter. Ça crie, ça gémit, ça se balance, ça s’agite, ça vibre, le plancher crisse. Quand je sens la décharge arriver, je m’enfonce au plus profond de ce vagin offert et je crache mon plaisir elle crie tout le temps que les flots de sperme fouettent le plus profond de son intimité puis elle tombe sur le coté, fermant les yeux et serrant les mains autour des ses seins. Je débande rapidement, rajuste ma tenue et laisse ces deux femmes tête bêche à se brouter le minou en gémissant.
A suivre

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