Leslie An18
Leslie AN18 - Anastasia, week-end à Epernay, au petit matin, chez Benoît
Nous avons enfin dormis un petit peu, il me fallait un peu de repos car à cette allure-là, je nallais pas tenir jusquà la fin du week-end.
Le lendemain au petit-déjeuner, je me réveillais de bonne heure et descendait pour prendre un café et retrouvais Benoît qui était déjà levé, et alors que nous buvions notre café, il continua ses confidences.
« Etant jeune, je navais à priori aucune attirance particulière pour les hommes, dévergondé par mes deux vieilles salopes qui avaient quelque peu abusées de mon inexpérience, pour mon plus grand bien dailleurs, je ressentais malgré tout une envie daller plus loin dans le sexe et javoue que je ressentais parfois un trouble étrange et me posait des questions en regardant de jeunes éphèbes. Je ne me sentais pas attiré par les hommes mais javais envie de faire des expériences hors normes.
Les questions qui revenaient sans cesse à mon esprit étaient que si les femmes suçaient, et prenaient du plaisir, alors pourquoi ce ne serait pas pareil pour nous les hommes, certaines se faisaient enculer et y prenaient du plaisir, peut-être était-ce bon pour nous aussi, mais comment savoir
Jai longtemps hésité à faire le pas, reculant sans cesse le moment dune rencontre avec un homme, je me suis décider quand même à franchir le pas en allant dans des cinémas particuliers où jai eu des expériences de masturbations avec mes voisins, puis naturellement ce fut le moment des fellations qui à priori, ne me semblaient pas très risquées, mais quelque chose en moi se refusait daller plus loin.
Les risques davoir mal me semblant trop importants pour une simple expérience, alors je suis resté ainsi attendant le moment venu daller plus loin
Un jour, bien longtemps après, alors que jétais au cinéma, un homme vint sasseoir à mes côtés, et sans attendre, extirpa de sa braguette déjà ouverte un sexe de belle taille.
Mon cur à cet instant se mit à battre plus fort.
Alors lentement, je commençais à masturber mon voisin. Ma main montait et descendait régulièrement le long de sa colonne de chair. La peau était douce, sa queue raide et chaude me procurait une étrange sensation. Petit à petit mon appréhension disparaissait.
Je me retournais vers linconnu pour être plus à laise et vit ce dernier, la tête renversée sur le fauteuil, les yeux clos, se contentant de jouir de ma caresse.
Jaccélérais mes coups de poignets, découvrant le gland turgescent dun coup sec, puis le recouvrant de sa gaine de peau. Le souffle du mon voisin se fit plus rapide et je senti mon partenaire de linstant prêt à jouir, jaccélérais encore mon allure, diminuant lampleur du mouvement au profit de la vitesse et dun coup je senti la veine se gonfler, et la première goutte gicla hors du méat et retomba sur mes doigts.
Machinalement, comme je laurais fait pour moi et pour éviter quil y en ait partout, je remontais ma main jusquau gland. La gaine de peau se referma sur le bout, et les gouttes suivantes ne jaillirent plus, mais formèrent une petite mare qui bientôt déborda et coula sur les doigts serrés autour de sa verge.
Lhomme haletait à petits coups mais ne bougeait pas, je sentais dans ma main le volume du sexe décroître rapidement. Puis le lâchant, le sexe retomba mollement, répandant le sperme sur le slip de lhomme. Celui-ci, reprenant ses esprits, remit le morceau de chair flasque encore gluant dans sa braguette.
- Merci souffla-t-il simplement en quittant son siège.
Et il disparut.
Jen restait là, ne voulant pas aller plus loin, me retranchant dans des aventures aves des femmes et me référant toujours à ce que les femmes mavaient appris.
Dans les mois qui suivirent, je dus mavouer que je me sentais sexuellement frustré, de ne pas avoir franchi le pas et de ne pas connaitre les fameuses joies de la sodomie.
Par ailleurs mes dernières rencontres et expériences diverses avec des femmes et surtout avec Delphine me plaisaient bien, mais cétait certainement sans comparaison avec ce que je pourrais vivre autrement.
Javoue que mes rapports avec les femmes ne mapportaient pas tout ce que jattendais dans mes rapports sexuels.
Sans rejeter la fermeté des petits seins et la douceur du petit cul de Delphine, les fesses dAurore, si malléables et si douces sous mes doigts, les seins de Blandine que jadorais caresser du doigt ou de la pointe de la langue et la générosité du clitoris bien charnu de Claire, tout cela mexcitait au plus haut point, mais je restais toujours dans une certaine frustration.
Un jour cependant, rentrant chez moi je me suis connecter sur le net et après quelques recherches, je suis tombé sur un site dhistoires de sexe, là jai commencé à chercher et je suis tombé sur tes histoires, Leslie, une transexuelle qui racontait sa vie et ses aventures.
En lisant tes récits je bandais comme un fou et chaque jour je me suis branché sur le site pour lire une de tes nouvelles histoires.
Je me suis senti attiré par toi, je rêvais de toi, je ne vivais plus que pour toi, ma petite transexuelle chérie et cest tout naturellement que je tai écrit, sans bien sûr le moindre espoir de réponse de toi, mais je me trompais, tu mas répondu et nous avons commencé une relation virtuelle sur le net.
Puis nous nous sommes rencontrés et tu as exhaussé mes plus chers espoirs.»
En racontant son histoire, le peignoir de Benoît sétait légèrement ouvert et il me montrait une violente érection.
Naturellement les jambes écartées, je me masturbais dune main et me caressais langoureusement les seins de lautre.
- Oh ! Benoît, mon chéri, quelle histoire, si tu savais comme cest bon de se caresser en técoutant, viens, mon chéri, nous sommes seuls et les autres dorment encore
Benoît se hâta de se mettre nu, le sexe dur, orgueilleusement dressé, et sapprocha de moi les yeux brillants de désir.
Sa queue était à la portée de ma main alors prenant un peu de beurre sur mes doigts je lui ai enduit, puis lorsque sa verge fut bien enduite, jai découvert entièrement le gland, et je me mis à le frotter avec insistance de la paume de ma main bien enduite de beurre.
Changeant de mouvement, jai entouré le sexe de mes doigts en forme de fourreau et, sans trop serrer, je lai masturbé lentement prenant bien soin de faire en sorte davoir le maximum de contact avec le gland bien gonflé.
Rapidement Benoît eut des sensations intenses, cétait beaucoup plus fort quune masturbation normale et sétait si intense que ses jambes flageolèrent.
Il sappuya de la main sur mon épaule pour ne pas tomber en soupirant, et tout en continuant à le masturber, je lui ai caressé avec ma langue son gland en lui pelotant les fesses.
Petit à petit, jai progressé vers sa raie, lenduisant aussi avec du beurre et je neus donc aucune peine à introduire mon majeur dans son anus. Sous cette soudaine caresse, Benoît banda encore plus fort et comme jinsistais, jai senti que ses testicules trop pleines allaient expulser sa semence hors de son corps, alors il hurla :
- Ça vient, chérie, ça vient !
- Vas-y, mon chéri ! Viens et jouit !
Assise bien en face de lui, lui debout, son sex à la hauteur de ma bouche, je lai sucé tout en continuant à le masturber, larrivée de ses premières gouttes de semence ne se firent pas attendre et lorsquelle vint, il crut défaillir tellement la jouissance était forte.
La giclée était abondante, épaisse et violente, et la reçue sur le bord des lèvres et sur ma langue, puis je repris son sexe dans ma bouche avant de recevoir sa semence, emplissant ma bouche avide.
Tout en avalant le chaud liquide, je passais ma langue sur la base du gland, augmentant sensiblement le plaisir de Benoît, mes coups de langue et lexcitation de Benoît firent quil ne débanda pas, montrant ainsi quil avait envie de poursuivre cette séance matinale.
- Jai envie que tu mencules, me dit Benoît.
- Ton désir va être exhaussé, mon chéri.
- Oh oui, Leslie ! Prends-moi !
Benoît se retourna pendant que je me levais et sappuya sur la table des deux mains et écarta les jambes pour mieux soffrir, et reçut avec bonheur mon sexe dans son illet qui la pénétra facilement, glissant dans le beurre enduisant son intimité.
Aussitôt pénétré, Benoît, prenant ses fesses offertes pour les ouvrir au maximum comme une invite à lenculer au maximum à grands coups de queue.
Les mains sur ses fesses, il se cambrait au maximum et je lai tenu par les hanches pour le garder au contact et quand il commença à jouir, je me suis encore plus accrochée à lui comme une naufragée à une bouée sentant monter en moi une jouissance certaine.
Il eut une série dorgasmes consécutifs qui le secouèrent des pieds à la tête. En même temps, que jémettais un long feulement de plaisir qui lui montrait mon propre plaisir.
Subjugué par le plaisir, les mouvements de mon membre en lui eurent tôt fait damener sa verge au bord de lexplosion. Il tenta de se retenir quelques secondes de plus en contractant son anus sur mon sexe, mais les sensations étaient trop fortes, et avec un grognement sourd, il éjacula violemment sur la table, se vidant complètement.
- Ohhh ! Comme jaime ça, dit Benoît.
A suivre
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