Damien 74 - La Vie Commune (Suite 3)
Quand nous rentrâmes à PARIS la nuit fut calme et le lendemain je fus heureux de me retrouver toute seule, je pus consacrer la journée à prendre soin de mon anus qui en avait bien besoin car il restait constamment ouvert avec tous les assauts que Pierre me faisait subir.
Les deux premiers mois de notre vie de couple furent idylliques, Pierre était un très charmant compagnon, financièrement parlant je n'avais pas à me plaindre car il me donnait chaque semaine plus d'argent qu'il n'en fallait pour faire tourner la maison, la première fois je voulus lui en rendre il me dit "Non garde le pour toi.
- Cest gentil mais je gagne ma vie tu sais.
- Je le sais bien, profites en pour t'acheter des dessous
affriolants".
En plus de ça sexuellement j'étais comblé, depuis que javais quitté mon boulot pour travailler à la maison il me faisait l'amour tous les jours et même plusieurs fois par jour.
Notre première dispute eut lieu le troisième mois, Pierre avait trois jours de congés et nous passâmes ce trois jours au lit, le lendemain soir en rentrant de travailler il voulut me prendre, je refusai et il me demanda "Pourquoi ?
- C'est simple, avec ce que tu m'as mis pendant ces derniers
jours mon cul n'a pas eu le temps de refermer aujourd'hui.
- Et alors, ma bite ne rentrera que mieux si ton trou est
déjà ouvert.
- Soit mais essaye de comprendre, plus ça va et moins il se
referme vite, il faudrait peut-être rester calme quelque
temps.
- Et moi dans tout cela je ne compte pas.
- Mais non, je peux te sucer mais je crois qu'il vaudrait
mieux que tu ne me baises pas tous les jours, sinon ce
n'est plus un cul que je vais t'offrir mais le tunnel du
mont blanc.
- Mais je m'en fous, j'ai une femme et je veux la baiser, que
ton fion reste ouvert ne me dérange pas, ce que je veux
c'est te niquer quand bon me semble.
- Il n'y a pas que ça, si mon cul reste ouvert constamment je
vais finir par avoir des problèmes.
- Lesquels ?
- Je ne vais plus pouvoir me retenir.
- Et alors tu n'as pas à te retenir, alors sous prétexte que
tu ne veux chier que quand tu as décidé, moi je dois faire
ceinture, non je ne suis pas d'accord, allez viens allons
baiser.
- Non Pierre.
- Bon ça suffit, j'ai une trique du diable, il me faut ton
cul tout de suite.
- Allons ne fais pas le gamin.
- Je ne fais pas le gamin, c'est toi qui fait ta mijaurée
avec tes histoires à dormir debout.
- Je t'en prie pas ce soir
.
- Quoi tu as tes règles peut-être ?
- Ne soit pas insultant.
- Je ne suis pas insultant, j'ai simplement envie de baiser
ma femme.
- Ce soir je ne veux pas.
- Mais pourquoi à la fin.
- Je te l'ai dit tout à l'heure.
- Et moi je t'ai répondu, n'importe si ton fouinedé reste
ouvert ça n'a aucune importance, il n'y a que moi qui le
voit. A moins que tu continues à le montrer à d'autres ?
- Tu es ridicule.
- Oui excuse-moi, mais cela n'empêche que je ne comprends
pas.
- Mais c'est simple, je ne veux pas finir par avoir un cul
immonde, qui finira par te dégoûter, je veux garder pour
toi un cul ferme parce que je sais que quoi que tu dises tu
aimes bien quand c'est la première fois de la nuit, je sais
que tu aimes quand tu me fais crier au moment où tu me
pénètres. Oui ou non ?
- C'est vrai mais j'ai envie.
- Bon écoutes-moi, pour aujourd'hui d'accord, mais à partir
de demain voilà ce que nous allons faire, on ne fera plus
l'amour que un jour sur deux. O.K ?
- Si tu le veux ainsi, je m'incline.
- Allez ne fait pas la tête, le week-end je me donnerais à
toi autant de fois que tu le veux.
- Bien je marche, mais maintenant viens dans la chambre, je
veux te prendre.
- Attends je vais éteindre le four.
- Moi c'est de ton four dont j'ai besoin.
- Je vais te le donner".
Une fois entré dans la chambre Pierre m'enlaça et me prenant dans ses bras, écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné, quand mon amant abandonna mes lèvres, j'avais les joues en feu.
Il fit passer mon sweet short au-dessus de ma tête et s'agenouillant devant moi, ôta mes chaussures et baissa mon cuissard, je restai en petite culotte, il se releva et me serrant contre lui entreprit de me caresser tendrement, sous ses attouchements manuels, une chaleur m'envahit et je me collai encore plus contre mon doux tourmenteur, contre ma cuisse nue je sentais palpiter son membre tendu, Pierre arrêta et me dit "déshabille-moi".
Je le débarrassai de sa chemise et après lui avoir enlever ses chaussures, je baissai d'un seul coup son pantalon et son slip, son pénis libéré pointa vers le ciel, je voulus le prendre en bouche mais mon mec me fit relever et m'enlaçant m'embrassa une fois encore avec fougue tout en posant ses mains sur mes fesses brûlantes.
Je m'abandonnai totalement, lentement Pierre fit glisser mon string le long de mes cuisses fuselées puis me penchant en avant, il écarta mes deux lobes charnus et sa langue râpeuse vint titiller mon anus qui ne tarda pas à s'ouvrir sous ce baiser lingué, je devais me tenir au mur pour ne pas tomber tant ce que me faisait mon amant était bon, j'avais la raie trempée de salive et je tendais mon fessier vers cette langue inquisitrice pour m'offrit encore plus, soudain un doigt me déflora me faisant gémir et se mit à aller et venir en moi, un deuxième puis un troisième doigt rejoignirent le premier, j'étais complètement parti, je planais sous les poussées de cette main qui, à chaque fois, m'ouvrait un peu plus le sphincter, j'avais envie que le formidable phallus de mon mec me transperce et je le suppliai de le faire mais lui sourd à mes cris et gémissements continuait à m'astiquer la pastille, j'avais perdu entièrement le sens des réalités, de sourds râles de bonheur sortait de ma gorge chaque fois que les doigts m'empalaient.
Soudain mon homme m'abandonna et revint face à moi, il me prit à la taille et me souleva, je mis mes bars autour de sa nuque et nouai mes jambes autour de sa taille, me maintenant d'une seule main, Pierre guida son fabuleux sexe entre mes miches en feu et le positionna contre mon antre béante, puis s'appuyant le dos au mur, il me pénétra d'un coup de reins si violent qui bien que fus ouvert me fit hurler de douleur, une fois totalement en moi, il s'immobilisa me laissant m'habi à sa monstrueuse présence, je sentais palpiter au fond de mon cul l'énorme pine roide.
Peu à peu la douleur fit place à une étrange langueur, et mon canal se décontracta, lovant ma tête dans le creux de son épaule, je lui dis "Vas-y défonce-moi".
Mon amant commença à me soulever et à me faire descendre son pieu érigé m'arrachant à chaque fois de petits cris, puis au bout de quelques minutes le plaisir prit possession de mon être et mon tunnel céda complètement et le membre turgescent coulissa en moi sans gêne aucune.
Je ne fus pas long à sombrer dans la jouissance sous les coups de boutoir répétés que mon homme m'assenait, je lui mordais les épaules pour ne pas crier, chaque fois qu'il m'enfilait jusqu'à la garde, j'avais l'impression que des torrents de lave coulait en moi, une boule s'était formé dans ma poitrine et explosait en mille étoiles vers mon visage, j'étais arrivé au point de non retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que m'empalant jusqu'à la garde, Pierre éjacula en râlant, ses épais jets de foutre crémeux m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, la tête rejetée en arrière je hurlai mon plaisir et battit des jambes ce qui eu pour effet de me faire tomber à terre entraînant dans ma chute celui qui m'enfessait, je restai sur le tapis les yeux clos, cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Mon amant me décula et se leva, quelques minutes passèrent où je restai étendu sentant encore les légers soubresauts que produisait mon anus quand soudain une chose chaude vint caresser ma joue, j'ouvris les yeux et vis Pierre à genoux à mes côtés qui promenait sa verge à demi flaccide contre mon visage, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l'effet ne fut pas long à se produire, le pénis s'érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j'entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.
Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide car comme toujours, après une sodomie, Pierre s'était lavé le membre avant de me demander de le sucer, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s'insinuer un désir langoureux, j'abandonnai un instant l'objet de ma dévotion, le priape était luisent de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu'il voulait, j'ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.
Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.
Je suçai cette merveilleuse pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Pendant plusieurs minutes, nous restâmes silencieux, moi les yeux clos et Pierre me caressant la cuisse, puis se mettant sur le côté il déposa un léger baiser sur mes lèvres, je posai mes mains sur sa nuque et me mis à lui lécher le visage, pendant ce temps Pierre avait glissé une main sur ma hanche et me caressai doucement, je plaquai la bouche de mon amant contre la mienne et nous échangeâmes un baiser enflammé, tout en me mordillant la langue mon homme se mit à me caresser la poitrine, je sentis les pointes de mes seins s'ériger et devenir dures comme de la pierre, je sentais contre ma cuisse le phallus de Pierre se redresser tandis qu'il me pinçait les tétons jusqu'à me faire mal, le plaisir avait complètement embrasé mon être, j'avais le cul en feu, il me fallait une queue bien raide pour calmer l'incendie qui couvait entre mes reins.
Quand mon amant abandonna mon corps brûlant de désir pour s'allonger sur le dos à mes côtés, je me ruais entre ses cuisses et entrepris de réveiller son phallus à grands coups de langue, il ne fut pas long à reprendre vigueur, me mettant sur le dos, jambes écartées, je lui dis "je t'en supplie,
encules moi, j'ai le cul en feu, défonces moi la raie, il
me faut ta queue".
Pierre se jeta sur moi et me pénétra d'un grand coup de reins qui me fit gémir, je nouais mes jambes dans son dos et rejetant la tête en arrière, je fermai les yeux pour m'abandonner totalement au plaisir, Pierre avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me possédait lentement de toute la longueur de son membre érigé, mes sens étaient tellement exacerbés que je me sentis plonger dans la jouissance, les coups de boutoir répétés de mon amant m'avaient amené au point de non-retour, je me tordais sous lui comme un damné, offrant totalement mon cul à cette bite qui me dilatait le fondement, mon plaisir était tel que je plantais mes ongles dans ses épaules musclées, je râlai de bien-être.
Pierre me besognait toujours aussi lentement me faisant basculer dans un monde ou seul comptait le priape qui me forait les reins, je le suppliais de gicler mais sourd à mes cris, il continuait de me limer à son rythme.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de moi, il explosa en râlant, ses épais jets de sperme, fusant contre mon rectum en fusion, me déclenchèrent un orgasme tumultueux, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, un hurlement de plaisir pulsa de lèvres, mes jambes battirent l'air puis je retombai lourdement sur le sol, savourant l'intense moment de bonheur que je venais de vivre. Je sentis le membre devenu à demi-flaccide sortir de mon anus et Pierre se retira, je restai immobile, les yeux clos, cuisses écartées.
Quand je rouvris les yeux Pierre était étendu à côté de moi fumant une cigarette, une main posée sur ma cuisse me souriant.
Il me dit "Ah ça va mieux.
- Profites en car demain niet, si tu en veux encore
aujourd'hui, c'est maintenant ou jamais.
- Pourquoi, on ne peut pas manger et puis recommencer après.
- Si tu veux, mais je te préviens de nouveau pas demain.
- Ca va j'ai compris ma chatte, c'est pour ça que je veux
prendre des forces pour me vider complètement les couilles
cette nuit.
- D'accord, allez viens. Veux-tu l'apéritif chéri.
- Oui mon amour".
Nous prîmes une douche, Pierre se vêtit d'une robe de chambre et moi d'une nuisette bleue marine.
Après manger Pierre me dit "Allez viens allons au lit".
Un fois parvenu dans la chambre, je me déshabillai, quand je fus nu, je tournai vers Pierre, il avait ôté sa robe de chambre et je vis sa queue dressée.
J'avançai la main vers elle, quand mes doigts touchèrent le gland, le sexe se dressa un peu plus et mon amant soupira d'aise, je le fis asseoir sur le lit et m'agenouillant entre ses jambes, je déposai un léger baiser sur son bout durci.
Après avoir embrassé et cajolé le phallus, j'ouvris la bouche et avalai la hampe érigée puis je me mis à faire monter et descendre mes lèvres dessus tous en la mordillant et la caressant de ma langue.
Au bout de quelques instants de ce traitement, la respiration de mon homme avait accéléré, il creusait les reins chaque fois que j'embouchai son membre jusqu'à la garde pour s'offrir totalement.
Soudain il posa ses mains sur mes épaules et me força à arrêter ma fellation, il me dit "Allonge-toi sur le dos".
J'obéis, il se coucha sur moi tête-bêche, son priape se positionna contre mes lèvres, je l'engloutis tandis que sa bouche avide prit possession de ma raie et de mon anus.
Sous ses coups de langue experts, mon trou s'ouvrit, je poussai un gémissement langoureux et creusai les reins. Je me mis à pomper plus vigoureusement tout en lui caressant les couilles, pendant ce temps là, sous ses attouchements buccaux le désir montait en moi sous forme de vagues de chaleur naissant dans le creux de mes reins et remontant vers mon visage. Soudain je sentis sur ma langue la bite tressauter, je me mis à la sucer encore plus vite et Pierre se cambrant éjacula en feulant, ses jets de sperme crémeux giclèrent au fond de ma gorge et je le bus avec délice tout en continuant à cajoler le sexe qui palpitait sur ma langue, puis mon mec se retira et s'étendit à mes côtés.
Tout en glissant une main entre mes jambes pour continuer à masser mon sphincter, il me dit "Tu suces vraiment bien, mais
je ne vais pas me répéter.
- Ne te répète pas mais il faut que tu t'occupes surtout de
mon cul.
- Je vais m'en occuper de ton petit cul.
- Tu as intérêt sinon je te viole.
- Tu n'auras pas besoin de le faire".
Pierre se tourna vers moi et m'enlaça, sa bouche écrasa la mienne, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand il m'abandonna, j'avais le souffle court et mes joues étaient rouges, je sentais contre ma cuisse le phallus en érection, Pierre me retourna, je me retrouvai allongé à plat ventre il se coucha sur moi, son membre s'insinua entre mes fesses brûlantes et se posta contre mon illet, il poussa lentement et le gland vermillon déflora mes chairs, je poussai un petit cri quand le bout durci pénétra en moi, mon amant s'arrêta et me demanda "Ne me dis pas que je te fais mal ?
- Non, continue enfonce toi, c'était pour te faire peur, mais
ce n'est rien j'ai envie de ta queue au fond du cul alors
continue pénètre-moi bien profond".
Pierre me prit avec une lenteur calculée par petits coups de reins, j'eus l'impression que l'intromission dura une éternité et quand je sentis les poils follets de son pubis je sus qu'il m'avait entièrement enfessé.
Mon homme resta un moment immobile, je sentais au tréfonds de moi-même la pine palpiter puis prenant appui sur les coudes, il se mit à me besogner lentement me faisant gémir chaque fois que le pénis s'enfonçait en moi jusqu'à la garde.
Sous les lents coups de boutoir de mon mec mes gémissements se transformèrent en râles de bonheur, je me sentais partir encore plus à chaque va et vient de pénis qui me forait les reins.
Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi mais je voulais qu'il y reste le plus longtemps possible tant le plaisir qu'il me donnait était grand. Dans mon trou maintenant bien dilaté, le phallus coulissait sans aucune gène, la bouche grande ouverte je râlais sans discontinuer tout en soulevant ma croupe de la couche pour venir à la rencontre du membre qui me ramonait le prose, tout mon corps était secoué de frissons de désir, je griffai les draps tant le bien-être que me procurait ce priape roide était intense, je voulais qu'il me tringle plus vite, qu'il me défonce le cul et je le suppliais de la faire, mais sourd à mes cris Pierre continuait à me posséder avec une régularité de métronome.
Peu à peu je me sentais décoller, je planais littéralement sous les lents mais non moins virils coups de bite que mon amant m'assenait, j'avais atteint le point de non-retour, je sombrais dans l'univers cotonneux de la jouissance où seul comptait pour moi la pine qui me limait de toute sa longueur, m'ouvrant encore plus le cul chaque fois qu'elle plongeait au plus profond de moi.
Mes fesses étaient bouillantes et j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum, ne pouvant plus me retenir, je me mis à délirer.
Un orgasme foudroyant me balaya, je hurlai mon plaisir à plein poumon tendant ma croupe vers le pénis qui me forait pour accen la pénétration et je retombai lourdement sur la couche sombrant dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, je me rendis compte que mon homme n'avait pas pris son plaisir, il continuait à me bourrer en de larges coups de boutoir, son ventre claquait contre mon derrière en fusion, chaque fois qu'il m'enfilait je faisais un bond en avant tant il me besognai avec vigueur, si il continuait comme ça, il allait me déchirer complètement le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il me casse le fion, mon corps n'était plus que jouissance, un brasier énorme brûlait en moi et seul cette queue pouvait l'éteindre, je voulais son lait qu'il m'inonde le cul.
Pierre me possédait avec des "HAN" de bûcheron, sous ses coups répétés, je me tordais comme un damné sous lui me cambrant au maximum et écartant les jambes à me faire mal pour me donner plus encore, je ne vivais que pour et par le pénis qui me fourrait me donnant un intense plaisir et je me remis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon fondement, Pierre déchargea en râlant, ses jets de foutre m'inondant le tunnel me provoquèrent un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, je griffai les draps et un hurlement strident pulsa de ma gorge, puis je retombai lourdement sur le lit, baignant dans le plaisir, je sentis la verge sortir de mon cul et mon homme se lever de sur moi.
Après avoir fumé une cigarette et bu un verre, nous refîmes une fois l'amour où il me fit encore admirablement jouir puis nous nous endormîmes enlacés.
Depuis cette nuit là, Pierre n'insista plus, nous fîmes l'amour une nuit sur deux sauf le week-end, c'est à dire quatre fois par semaine, les autres soirs je me contentai de le sucer et à ce rythme là mon anus ne se porta que mieux, il parvenait, entre deux baises, à retrouver un aspect normal.
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