La Démoniaque Sarah 10
Je ressors dans le couloir me prépare à descendre quand jentends des bruits bizarres dans le studio da coté. Je tends loreille, ça ressemble à des cris de jouissance. Je mapproche de la porte, elle nest pas fermée, jentre les cris viennent de la porte du fond en même temps quun bruit deau. Ce doit être la salle de bain. Jappelle. Une fille sort, ma queue se relève immédiatement et elle me baise. Jsuis tout étonné, je repars. Je suis tellement surpris par ce qui vient darriver que je me trompe et au lieu de redescendre, je monte. Après avoir grimpé deux étages je réalise mon erreur et redescend. En arrivant à létage ou jai eut mon étrange aventure, ma queue se relève, je cherche, une porte est entrouverte, je mapproche et jentends deux femmes parler ensemble :
- Je suis Sous la douche, jentends mes voisines faire lamour, lexcitation me prend. Ma main savonnée parcourt mon corps transis ! Je caresse longuement mes petits seins Ma main glisse plus bas, elle balaie mon ventre replet, sarrête au-dessus de mon secret, se frotte à sa toison bouclée. Un doigt se fraie un petit chemin vers lintérieur, entre les grandes lèvres charnues. Il veut aller plus loin, mais il butte sur la petite membrane encore tendue. Je frotte plus fort, je gratte, jagite, jarrache, jusquà me sentir comme une braise. Je suis prise par un spasme, je frétille comme un poisson sous leau qui coule, je gémis de plus en plus fort. Jentends une voix qui résonne dans la pièce. Une voix inquiète.
- Ça va,
Je ne lui réponds pas ; je saute hors de la douche comme une folle, leau coule toujours. Jouvre la porte et je le trouve devant moi, surpris de me voir toute nue. Sans attendre, je le pousse sur le lit, ma main déjà sur sa braguette. Je sors sa queue bandée, je la frotte avec mes mains mouillées et je la prends dans ma bouche, comme si jallais manger une merguez après une grève de la faim. Rapidement, elle gonfle encore, alors que son propriétaire, ne comprenant pas ce qui lui arrive, me regarde avec des yeux de plus en plus curieux.
- Vas-y Maître, vas-y, je ne peux plus attendre ! Vas-y, je ten prie
Je ne vois plus que des nuages, des formes floues, des cercles concentriques qui séloignent et qui se rapprochent. Jentends des mugissements, des cris lointains, jentends des vagues que charrient des océans perdus. Et puis vient le petit déclic. Je sens la membrane qui craque, et une toute légère douleur entre les jambes. Je sens la queue tendue moccuper, menvahir, me remplir. Je serre les jambes autour du Maître et je pousse mon ventre vers lui.
- Vas-y mon amour, vas-y chéri, encore plus fort, encore plus fort, sil te plait.
Lorsquil jouit, je sens la coulée chaude dans mes entrailles, comme une huile chauffée. Je le serre encore plus et je lempêche de sortir. Nous restons ainsi un moment, collés lun sur lautre, en parfaite harmonie. Je me retourne sur lui, il me serre entre ses bras, je mets ma tête sur son torse velu, des petites larmes glissent sur son ventre et se logent dans son nombril. Cétait le plus beau jour de ma vie. Lui, il sest relevé et il est parti.
Jentre dans la pièce, la fille sécrie
- regarde, il est revenu, cest lui.
Une autre fille à peu prés du même âge que celle que je venais de baiser se retourne et me regarde. Je sens ma queue frétiller. Je la regarde, elle est dans un état second et se déshabille puis sapproche de moi et sattaque à mon chibre avec ses mains puis sa bouche. Je la fais se relever puis, je prends ses hanches la soulève. Elle enserre mon dos de ses jambes. Je la fais redescendre et lempale. Tout de suite elle gémit de plaisir. Lautre fille reste immobile et nous regarde. Elle sagite de plus en plus la jouissance lenvahie en même temps que mon foutre la remplie. Je la repose sur le lit, referme mon pantalon et repart. Je commence à fatiguer, il faut que je rentre.
Arrivé a la maison, je constate que les filles ne sont pas la pourtant il commence a se faire tard.
- Cest fantastique, je tai trouvé cinq vierges pour notre grande soirée et en plus je me suis fait draguer dans le train en rentrant.
- Cest normal, tu es une belle femme.
- Oui, peut-être mais depuis que je te fréquente cest la première fois.
- Tu las baisé ?
- Oui, cétais très bon, un peu trop rapide mais très bon.
- Si je comprends bien, tu voudrais que je te donne un peu de plaisir ?
- Oui, jai encore une énorme envie de jouir. Tu peu ten occuper ?
- Je ne sais pas, si tu tapplique bien peut-être.
Elle maide à me déshabiller puis vient sur le lit entièrement nu.
La porte souvre. Cest Mélanie.
Je peux me joindre à vous, dit-elle à Sarah.
Bien sûr Mélanie, avec plaisir.
Mélanie laisse tomber sa petite jupe et son bustier et nous rejoint toute nue. Ses petits seins en chapeau chinois font écho aux grands ballons de Sarah. Elles se mettent chacune dun côté et commencent à sembrasser. La main de Mélanie, délicate, avec des ongles laiteux, passe et repasse tendrement sur les seins de Sarah pendant que cette dernière, en émettant des petits gémissements, narrête pas de me branler le sexe. Un moment après, cest Mélanie qui sest pliée sur moi et qui ma pris la queue dans sa bouche. Sarah glisse son corps derrière Mélanie et plonge sa tête dans sa croupe. Ensuite, elles intervertissent les rôles. Tout en me suçant, Mélanie crie sous les coups de langue que Sarah lui donne par derrière. Je me sens bien excité mai narrive pas a bander.
La porte souvre de nouveau, cest Julie qui entre avec une autre fille.
- on peu entrer ?
- oui, vas-y. qui cest la fille avec toi ?
- je ne sais pas, elle marchait sans but au bord de la route.
Je lai regardé attentivement. Elle avait environ dix huit ans, les cheveux blond cendré, très courts, une silhouette adolescente et des petits seins pointus.
- bonjour, belle jeune fille
- bonsoir monsieur
- que faisiez-vous sur la route ?
- Je me suis enfuie de chez moi.
- Et où irez-vous maintenant ? Avez-vous de largent ?
- Non, et je ne sais pas où passer la nuit.
- Alors, restez ici. Les filles vont vous préparer un bon dîner, et vous disposerez dune chambre.
- Comment vous appelez-vous ?
- Jane.
- Je mappelle Pierre, tu es ici chez moi. Va à la cuisine avec les filles.
Cette fille me paraissait triste à mourir et en plus, elle ne ma pas fait bander.
Jai enfilé un short et un tee-shirt puis, je les ai rejoints.
A suivre
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