La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1452)

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode précédent N°1451) -

- pute montre à e7569MDE ce que tu es véritablement… fait-nous ta pute…

Alors, à mon grand étonnement, je vois celui à qui j’appartenais il y a encore quelques minutes, se déhancher, se caresser d’une façon lascive, plus que suggestive le corps, arracher de lui-même sa chemise, la faire tourner au-dessus de sa tête puis l’envoyer loin de lui… puis ouvrir sa bouche en grand pour y pénétrer un, puis deux doigts qu’il lèche et suce voluptueusement. Puis ce sont son pantalon qui vole dans la pièce, il est nu, aucune forme de pudeur, il mime un coït anal et une extase …Il vient le long d’un tréteau se frotter l’entre jambes sur l’un des pieds et suce les montants comme il le ferait sur un corps. Monsieur le Marquis et Monsieur Walter prennent du plaisir et cela se voit. De mon côté je suis un peu mal à l’aise devant ce scabreux spectacle, mais tout de même excitant, je dois bien l’avouer…

- Tu ne te doutais pas de cela, venant de lui, n’est-ce pas e7569MDE ?
- Non Maître.
- C’est vous deux qui allez terminer ce spectacle, afin de nous donner l’envie de jouir à nouveau, comme nous l’avons fait tout à l’heure dans cette chienne … pute allonge-toi sur le ventre et sur ce tréteau
.
Pierre s’allonge, écarte bien les jambes, prend les pieds du meuble avec ses mains … Visiblement, il connaît l’instrument.

- e7569MDE, Mon nouvel esclave, présente-lui ta nouille de chien, qu’il la durcisse…mais pas plus…

Je n’y crois pas, mais j’obéis tout de même immédiatement, je vais me faire sucer…

- Oui, tu as bien entendu… c’est une pute il est là pour cela… pour Me satisfaire, rien de plus important pour le rendre heureux est Ma seule Satisfaction…

pute obtempère immédiatement et prend ma queue et s’affaire à la rendre dur, comme le Maître l’exige. Je suis tellement excité qu’il n’a pas beaucoup d’effort à faire pour me provoque une érection si flagrante.

- Enfonce-là bien au fond de sa gorge.

J’obéis… même ma façon de pénétrer est contrôlée et ordonnée

- Retire, mais laisse le gland…

Je suis un gode aux mains du Maître rien de plus.

- Enfonce-là, mais pas à fond… bien… fais plusieurs allers et retours…

Un gode rien de plus !

- Au fond de sa gorge, encore…maintient sa tête… bien … relâche.

pute bave et c’est moi qui le fait baver ainsi…

- Ta queue est dur esclave e7569MDE ?
- Oui Maître.
- Alors encule-le…
- Mais…

Un « mais » de trop car Monsieur Walter, rapidement debout vient m’éduquer dans mon langage par une volée de deux gifles qui fusent…
- C’est comme cela que tu réponds, esclave, au Maître. Il commande et tu obéis, me lance Walter d’un air réprobateur.

Alors, j’avale ma salive et me positionne devant la rondelle de celui qui est « pute »…

- Qu’est-ce que tu attends… encule-le et à fond. On veut voir une véritable saillie bien profonde, jusqu’à la garde…

Je dois obéir, Le Maître l’ordonne, alors je pénètre jusqu’à mes couilles le cul de pute… Une petite réaction de l’enculé. Cela me fait ‘tout chose’…Mais je dois perdre même cette sensation. Je n’ai pas eu besoin de forcer, le cul de pute semble habitué à la sodomie et il est vrai également que je ne suis pas grandement monté. Nos deux spectateurs sourient de me voir copuler si maladroitement… Ils se frottent leurs braguettes… de plaisir. Cela m’excite au plus haut point…

- Retire-toi ? espèce de chien, mais simplement le gland …

J’obéis et reste sur place, immobile, ma nouille droite devant cet anus élargi, en position d’attente, n’ayant pas reçu l’Exigence de me renfoncer de nouveau dans ce fondement si accueillant

- Maintenant à fond, au plus profond

Je suis comme un parfait automate sous contrôle…

- Alors pute tes impressions à te faire enculer par ton ex-soumis ?
- Hummmm …. Ouiiiiiiiii… Merciiiiii Maître de … de m’humilier ainsi, je le mérite…
- e7569MDE pistonne-le encore un peu… Fait des allers et retours vigoureux, donne de bons coups de reins, le chien… Mais interdiction de jouir en lui…

C’est tellement jouissif, cette déchéance, cette humiliation de nous deux… que j’ai du mal à me retenir… je fais tout ce que je peux … Oui l’humiliation m’excite grandement, je l’avoue et je dirais même que j’en ai besoin pour assouvir mes pulsions serviles, quand à la limite de mon éjaculation, j’entends enfin l’ordre :

- C’est bon esclave, retire toi… mets-toi à Mes côtés en position d’attente et écoute bien.

Ma queue, bien évidemment est encore au garde-à-vous. Frustré mais heureux d'avoir réussi à obéir.

- ‘pute’, tu ne recevras ni Ma Semence, ni Ma Verge dans ton cul tant que tu ne M’auras pas payé le beagle que tu M’as promis et que tu Me destinais…
- Maître ?
- Oui ?
- Mais comment faire ?
- Attend … Je suis le Maître et j’ai trouvé une solution, la solution. (J’écoute, sans bouger) Tu vas faire ton travail de pute. Tu m’apporteras chaque jours les enveloppes des gains jusqu’à ce que tu ais réuni la somme suffisante pour m’acheter ce chien que tu Me dois… Les clients, c’est moi qui te les enverrai. Je leur signifierai la tarification que tu n’as pas à connaître. Des gains, je déduirai la location de la chambre de passe qui sera située dans la maison des gardes à l’entrée de Ma propriété. Bien entendu, Mes gardes ont toutes les permissions voulues pour t’utiliser à leur gré, gratuitement bien évidemment, et c’est même eux qui auront la charge de te graisser chaque matin avec leur sperme.
- Bien Maître
- Tu n’auras aucun contact avec les autres esclaves du Château… Quand tu auras fini ta journée, tu dormiras, si les gardes ne se servent pas de toi, entravé pour que ton cul soit toujours à disposition.

Wahoo ! Je me sens rougir à entendre ce traitement infligé à Pierre, enfin je veux dire à désormais ‘pute’… et moi que vais-je subir dans tout ça ?…

- Mon bon Walter, emmène cette pute vers sa nouvelle demeure. Pendant que je m’occupe de e7569MDE.
- Oui Monsieur le Marquis…

Monsieur Walter prend pute par les couilles et le traîne derrière lui. Ils sortent tous les deux… Je me retrouve seul face au nouveau Maître qui me soumet désormais…

(A suivre …)