Fâcheries Familiales

Les disputes familiales sont désolantes. J’avais une seule sœur qui poussée par je ne sais qui, ni quoi a voulu m’éloigner d’elle. Avant cette fâcherie j’étais en très bon termes avec elle au point que je suis devenue la marraine de son fils Jean. Puis, heureusement au fil des ans, nous nous sommes réconciliees au point qu’elle m’invite pour des vacances à la neige, tout près de chez elle à Mont Louis, dans les Pyrénées Orientale. Elle y possède un chalet pour ses vacances, même si elle habite Lyon.
Pour ne pas arriver trop tard, je prévois de m’arrêter deux minutes prendre Jean que je n’ai pas revu depuis la fâcherie : il avait 11 ans. Je vais trouver un gamin…
Il m’attends devant chez lui. C’est lui qui me reconnais. Un « grand gamin »  de 17 ans qui m’appelle Tata. Je suis contente de le voir. Nous partons quand je me pose la question de l’hôtel où je n’ai retenu qu’un chambre pour un gamin et moi. Avec un presque homme qui se rase déjà (comme le temps passe). Comment je pourrais faire. Lui, joyeux de pendre des vacances me parle de tout ce qui intéresse un ado.
Nous arrivons tard à Montpellier, l’hôtel est plein. Le concierge, bon prince téléphone à ses concurrents. Je dois me contenter de ce que j’ai. Ma foi tant pis. Comme pour retarder l’échéance nous dinons dans un restaurant réputé avant de rejoindre la chambre après minuit. Là, bonne surprise il y a un grand lit que je m’attribue et un lit à une place que je donne à Jean. Pour le déshabillage c’est simple : je passe la première dans la salle de bain pour en sortir avec ma chemise de nuit un peu olé-olé. Jean passe à son tour pour en ressortir en pyjama. Ouf tout ce passe bien. Sauf que j’oubliais qu’avant, bien avant, quand Jean était un marmot il m’arrivais de le faire venir dans le lit avec moi.
Les lumières éteintes, je suis sur le point de m’endormir quand Jean demande d’une petite voix suppliante de faire comme avant. Je n’ai pas le temps de répondre, il ouvre le lit se glisse contre moi, comme avant.

Il se tourne vers moi, passe ses mains sur ma taille puis entre les cuisses.
- Enfin jean que fais-tu ?
- Tu le vois, je te pelote.
- Je suis ta tante.
- Et alors, plusieurs copains se sont fait dépucelés par leur tante. Faisant autant.
Je me tais d’abord et surtout parce que je n’ai pas eu d’homme contre moi depuis 6 mois et qu’il me donne envie non pas de le déniaiser, mais de jouir pour moi en solitaire sans trop m’occuper de lui.
- D’accord, pour une fois seulement pour te montrer.
- Je sais comment sont faites les filles, j’en ai déjà branlé, une même a joui.
Sans attendre il veux me montrer sa science en montant une main sur la chatte. Bon, c’est vrai, je commence à mouiller. En plus je sens contre ma hanche sa queue qui bande. Je le laisse faire, même s’il ne sait pas masturber. En prenant sa main dans la mienne, je peux lui imposer ma cadence. Il pensait que j’arriverais à jouir en remuant ses doigts comme sur sa queue.
- Fais comme je te le demande.
- Oui, tata.
Ah, je tata en plein milieux d’une partie me coupe tout. Je le rejette malgré ses besoins, car visiblement il a besoin de jouir, pas en se branlant. A force de se plaindre j’accepte à nouveau sa présence. Cette fois c’est moi qui mène le jeux. Comme il est jeune je vais en profiter au maximum pour me faire mettre comme je veux.
Nous nous mettons nus : il regarde mes seins qui se tiennent bien, ma chatte poilues, mes fesses où il pose une main. Moi je regarde son torse maigrelet, surtout sa queue: il est bien monté, la vache, je ne sais comment je ferais quand il m’enculera, car j’ai envie qu’il me la mette au cul.
Il est près du lit, sa queue dirigée vers moi. Je m’assois sur le bord su lit pour prendre sa queue dans la bouche. C’est sa première fellation. Je tiens la base du sexe, caresse un peu les couilles pour les sentir monter un peu. Je commence en faisant descendre le prépuce avec mes lèvres. Son gland est d’une douceur anormale.
Son méat laisse passer la goute pré-séminale. Elle a bon goût. Je lèche d’abord le frein , il sursaute de plaisir. Ma langue passe du bas vers le haut, lentement pour qu’il s’impatiente et apprenne le calme de la baise. Mes lèvres le prennent le gland en entier avant de le suçoter. Quand il tend sans cesse son ventre vers ma bouche, je passe sa queue entre ma langue et une joue. Je vois ses yeux se fermer dans l’attente de son premier orgasme naturel. Quand je sens qu’il gonfle dans la bouche, j’attends qu’il jouisse avec plaisir pour moi. Il y a trop longtemps que je n’ai pas eu de sperme dans la bouche.
Je recueille une dose inespérée de semence. En la gardant en bouche, je tarde à l’avaler : je déguste son germe. Il débande lentement : j’en profite toujours pour laver avec la salive le fût de sa queue.
Il est tout à moi maintenant. Nous sommes enlacés, il m’embrasse en goutant lui aussi le goût de son jus. Je le fait mettre de coté pour qu’il me touche la chatte (toujours plutôt mal) surtout pour que je puisse aller à la recherche de son anus. Il ne va pas s’en tirer comme ça. Je l’embrasse en cherchant son trou que je trouve bien cadenassé. J’ai beau forcer, lui cherche à éviter ce que je lui destine. Finalement j’ai raison de sa résistance : mon doigt entre lui dans son cul. Je le fais aller et venir. Je ne sais si c’est ça, il commence enfin à me branler convenablement. Il ose même entrer deux doigts dans mon puits trempé. Je me crispe : il me fait jouir, ce jeune con. Je me venge en lui mettant un autre doigt dans l’anus. J’arrive au but, il bande plus fort.
- Baise moi avant de m’enculer.
- Montres moi bien comment je dois faire pour les copines.
- Tu les feras vite jouir. Mets moi la, tu parleras après.
Je prends sa queue bien dure maintenant. Je ne fais que la poser à l’entrée de mon vagin. Il connait la suite. Il entre comme le ferait un pilote de formule 1. Je l’arrête pour qu’il me baise proprement. Il comprend vite.
Sa bite entre et sort lentement. Je passe mes mollets sur les siens. C’est moi qui ferme les yeux. Enfin j’ai une pine dans le ventre. Je sens le plaisir atteindre mon cul d’abord puis mon bas ventre. Sans que je le lui demande il va plus vite. J’ai beau forcer, je n’arrive pas à retenir mon orgasme. Il est un peu étonné de sentir mes spasmes autour de sa bite il demande d’un air abasourdi si je jouis. Ma réponse positive fait de lui le roi de la baise !!!
Je le fais sortir de mon con pour qu’il m’encule. Je me mets en levrette. Je me mouille avec ma cyprine avant qu’il vienne encore sur moi.
- Vas-y, encule moi doucement en entrant. Il y a longtemps que je n’ai pas eu de bite à cet endroit.
Comme un véritable amant il accompli la merveille de me sodomiser fort bien. Je l’ai à peine senti quand il me la mettait. Par contre son va-et-vient me donne plusieurs orgasmes. Il lime comme s’il avait fait cette chose plusieurs fois. Je me laisse aller à mes plaisirs. Je suis tellement morte de plaisir que je me laisse aller sur le ventre. Lui suit le mouvement. Enfin il me fait jouir quand il jouit aussi : ses spasmes ont entraîner les miens.
Nous passons le reste de la nuit dans le même lit, nous recommençons plusieurs fois. Nous en avions envie l’un et l’autre : lui à cause de sa jeunesse, moi à cause de mon manque de bite dès notre arrivée chez sa mère : je ne veux pas me fâcher encore avec ma famille.

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