La Démoniaque Sarah 11

Dans la cuisine en pleine lumière, elle me paraissait juvénile. Elle but, et dévora. Elle dit qu’elle avait sommeil. Nous l’avons guidé vers une chambre a coté de la mienne et nous sommes tous parti nous coucher. Deux ou trois heures plus tard, je l’entendis appeler. Je me suis levé et je suis partie la voir. Elle était assise sur le lit, comme une gamine épuisée et elle me fit s’asseoir tout à côté d’elle. J’aperçus alors sur son visage une constellation de minuscules taches de rousseur que je n’avais pas remarquées jusque là. Elle me dit que le vin lui avait fait tourner la tête mais elle n’avait presque rien bu. Elle me dit que c’était la première fois qu’elle buvait du vin et qu’elle avait aimé ça.
Elle me demanda de l’embrasser pour lui souhaiter bonne nuit. je le fit. Elle était inexpérimentée. Elle me rendit un baiser innocent et son inexpérience m’excita. Je fis durer le baiser, glissa plus loin ma langue dans la petite bouche. Elle se laissait faire. Elle était docile. Elle tirait sur le tee-shirt qu’elle portait pour cacher le haut de ses cuisses… mais sans conviction.
Je me sentais de plus en plus excité. Nous nous sommes allongés côte à côte. Elle semblait contente, presque soulagée. Je décidais de lui apprendre à embrasser et lui dit :
- Donne-moi ta langue comme je t’ai donné la mienne.
Elle était obéissante.
Je lui ai demandé:
- Est-ce que tu aimes ça ?
Elle fit oui de la tête.
Elle plaçait avec application sa langue entre mes lèvres et attendait des initiatives.
Je lui demandai de remuer la langue par petits coups rapides. J’étais très excité mais ne bandais pas du coup je ne tentai aucune autre caresse.
- Quel âge as-tu ?
- Presque dix-huit ans.
Elle répondait presque timidement, comme une .
- Tu n’avais jamais embrassé un homme avant moi ?
- Non. Mais j’en ai toujours eu envie et c’est pour cela que je me suis enfuie. Ma mère m’interdisait de sortir de ma chambre et, pendant ce temps, elle recevait des hommes chez nous.

Je les entendais. Ils s’enfermaient dans sa chambre. Je ne pouvais pas bouger et j’avais aussi envie d’avoir des hommes pour moi toute seule.
- Des hommes ! un seul ne suffit pas ?
- Je ne sais pas. L’avenir me le dira.
je reçus cela comme un appel. Je me consacrai à ses petits seins fermes et pointus. Les mamelons se tendirent. Je la caressais par-dessus le tee-shirt, puis je lui couvris le visage de baisers, sans cesser les caresses. Le bas du corps de Jane apparaissait maintenant mais je n’y prêtai pas attention. Soudain, Jane se mit sur le côté, appuyée sur un coude, et déboutonna ma chemise qu’elle entrouvrit. Elle colla ses jeunes seins durcis contre ma poitrine robuste et commença à se frotter tendrement, tel un chat langoureux et plein de volupté. Mes mains sont parties a la découverte de son corps. Je la caressais doucement. D’une main je pétrissais la pointe de ses seins, de l’autre je remontais doucement entre ses cuisses pour atteindre la fente abondamment mouillée. Mon index ainsi lubrifié titillait son clitoris. Cuisses écartées, elle se donnait entièrement. Mes caresses sont alors devenues plus violentes, la paume de la main plaquée sur son sexe, je pétrissais son bouton pendant que de l’index je forçais l’étroit passage du sphincter. Mes lèvres avaient abandonné sa bouche pour mordiller ses tétons. Ses gémissements sont devenus des hurlements de plaisir. Assommée par la jouissance elle s’est endormie. J’ai regagné ma chambre et je me suis couché.
Le lendemain, ce fut en quelque sorte le même programme que la veille. J’ai fécondé une dizaine de femmes avant de rentrer.
Une fois a la maison, je suis parti prendre une douche et en sortant de la douche, surprise, Camille et Madeleine deux des vierges qu’avaient sélectionné Sarah étaient dans ma chambre, en chemise de nuit, aux alentours de dix heures du soir. Elles commencèrent par m’affirmer qu’elles n’étaient venues que pour ne pas me décevoir, qu’elles voulaient simplement me tenir compagnie et qu’il était hors de question que j’entreprisse quoi que ce fût qui pût porter atteinte à… ce que je savais.
J’opinai d’abondance. J’étais en robe de chambre et je n’avais rien dessous. Rien d’autre que mon désir à l’ample turgescence, hé hé hé !
Un baiser ne tire pas à conséquence. Elles ont vite compris qu’il faut ouvrir les lèvres, accueillir la langue du partenaire, ne pas hésiter à avancer la sienne propre… comme cela, oui ! Délicieux, n’est-ce pas ? Positivement délicieux !
Assis au bord de mon lit, j’eus tôt fait de les tenir par les hanches, comme cela. Puis de m’emparer de l’un de leurs seins, comme cela. Je l’avais déjà fait, donc je pouvais le refaire. Sur leur chemise puis dessous, après en avoir déboutonné le haut. Comme cela. Votre robe s’ouvre sur le devant, c’est bien pratique. Mon Dieu qu’il faut de petits doigts pour défaire tous ces boutons de nacre ! … Leur sein palpitait fort gentiment sous ma main, J’y portai même les lèvres, comme cela. Taquinant de la pointe de la langue la délicieuse pointe du sein, puis tétant quelque peu, tel un bébé assoiffé. Comme cela. Seigneur que c’est agréable !
Tout en les embrassant, j’aventurais la main sous leur chemise de nuit, mais en bas cette fois, tantôt chez l’une, tantôt chez l’autre. J’y trouvais, une fissure humide, Vous pouvez me faire une absolue confiance, nulle atteinte ne serait portée à votre virginité. Chez chacune d’entre elles, je n’eus nulle peine à débusquer un petit bourgeon qui ne demandait qu’à être câliné. Et si j’y portais les lèvres et la langue, leur dis-je, ce serait encore meilleur. Elles voulurent bien.
…Voilà ! J’adore le goût de votre intime liqueur, mademoiselle Camille. Vos soupirs puis vos petits cris ont bien accompagné la joie que j’avais à vous procurer du plaisir. Ma langue a-t-elle ajouté à vos sensations ? Venez, approchez vous, regardez mon chibre, il ne demande qu’a rentrer se mettre au chaud en vous.
Regarde il entre, c’est bon, c’est chaud. Oh votre hymen s’est rompu et as libéré le passage, je butte maintenant sur la bouche de votre utérus, elle palpite, elle a faim, soif, attendez, je vais la nourrir de mon jus.
Voila, c’est fait. Camille, tu va bientôt gonfler et donner naissance a un de mes frères.
Viens, Madeleine, a toi, maintenant, à toi de connaitre le plus grand des plaisirs. Comme Camille. Approche-toi, laisse-moi découvrir ton antre dégoulinante. Ton jus est délicieux, viens laisse moi entrer. Voila, j’y suis, bien au fond, t’a pas eut mal, je te l’avais dit. Jouis maintenant et laisse-moi te remplir. Maintenant, nous pouvons dormir tous les trois dans mon lit.
A suivre

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