L'Inconnue (Suite) &Quot;Elle L'Était Beaucoup Moins&Quot;
Nous avions explorés déjà quelques facettes des divers fantasmes qui sommeillent dans chacun dentre nous, il en restait nen doutons pas
Nous nous endormîmes tous deux lun contre lautre sans que les jus collants sécrétés lors de nos ébats nentravent en rien le plaisir de nous tenir si serrés entre les draps. Pour que nos sens, nos esprits en ébullition sapaisent. Le temps passa. Je me réveillais la nuit venue. Sans la bousculer je décidais de labandonner là. Je laissais mes coordonnées sur la table de chevet, avec un peu de présomption peut-être, mais quel autre risque prenais-je, que de ne jamais plus la revoir ? Bien men à pris car aujourdhui sur mon mail, mon inconnue qui ne létait plus autant, mas fait parvenir un message. Nous devons nous retrouver tout à lheure dans les bois. Jattends dans ma voiture depuis quelques minutes, souhaitant ne pas avoir fais ces kilomètres pour rien. Les femmes peuvent être cruelles de tellement de façons. Je supporterai de sa part une fessée dorties, alors quun rendez vous raté me mettrais au supplice. Mais non, ce jour là elle a décidé dêtre la plus douce dentre elles, puisque je vois sa silhouette savancer dans lallée darbres qui donne sur le par-king ou je suis garé. Ma joie de la voir na dégale que lempressement quelle même met à se précipiter vers moi. Sans autres préambule elle membrasse fougueusement mettant sa langue dans ma bouche à m et créant de cette manière un durcissement prononcé à un endroit de ma personne que la décence minterdirai de nommer si nous nétions entre nous. Aussi puis-je vous dire que ma verge en érection tout à lheure à son apparition est devenue un bâton si dur quun professionnel des services de sécurité aurait honte de le brandir devant des caméras. Je suis si dur maintenant que placé derrière le volant de ma voiture je ne pourrais aller bien loin dans limpossibilité ou je serais de le tourner. Il nous faut donc improviser pour limmédiat.
Mais elle à de la ressource, qui en douterai maintenant. Elle mentraine un peu plus loin dans le taillis, pour me montrer qua son habitude elle ne porte aucun sous-vêtements, je vois ces orifices ouverts et si accueillants, déjà luisants des sucs qui nous dispenserons dartifices pour les pénétrations douces ou violentes que nous allons pratiquer sans plus attendre. Bien quils soient déjà connus de moi, chacun deux exercent sur ma personne un attrait si violent quimmédiatement je la pénètre, là debout, tandis que ses mains sont posées sur le tronc dun arbre centenaire qui en as peut-être vu dautres et dont la sérénité ne sera pas ébranlée. Je lai prise ainsi pour notre satisfaction commune, nos deux esprits unis dans la recherche dun plaisir sauvage, dans les bois comme aux premiers jours de lhumanité, sans autre préoccupation ou entrave que laccomplissement du coït, comme les bêtes que nous étions au fond de nous. Mais voila la nature humaine est ainsi faites que laspect si naturel de cette étreinte ne me suffit plus. Il me faut pimenter ces ébats forestiers, je veux la voir savilir, la sentir à nouveau sous ma coupe de mâle, comme lautre soir, entravée par la corde des rideaux, mais cette fois par ma simple volonté. Je veux quelle accepte puisque sa témérité la poussée jusquà moi, quelle accepte disais-je de sexposer aux regards dinconnus, de risquer quau contraire elle puisse être reconnue. Je veux quelle me montre tout, sa jupe largement troussée dévoilant sa chatte nue, ses gros seins libérés de toute entrave, nus eux aussi, sous un chemisier si fin que son opacité nétant que supposée, lon puisse bien voir même de loin, même en roulant en voiture, le long de cette route forestière que lon voit que là, une pute est au tapin. Que son attitude sans équivoque provoque les coups de freins brutaux des hommes tout à coup mis en ruts par sa vision de salope. Je lui fait passer des bas noir a résilles de ceux quune honnête femme ne regarde même pas dans létalage.
Et bien sur elle accepte de se travestir ainsi pour mon plaisir mais sans conteste possible parce quelle aussi y prend du plaisir, je le vois sinon dans ses yeux, je le sens sur ma main lorsque je passe celle-ci entre ces cuisses, elle est abondamment mouillée déjà
prête sans doute si le besoin sen faisait sentir a satisfaire, lusager de cette route qui sarrêtant tout à fait et contre quelques billets pourrait obtenir delle tout les savoirs et les douceurs dont elle est capable.
admin
Jan. 31, 2023
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