Mes Vacances À L'Ile Maurice

Je me prénomme Céline, brune, les yeux noirs, 1m75 pour 55kg.
J'étais en vacances à l'Île Maurice, je n'avais que 18 ans, il en avait 30, il était serveur à l'hôtel où je résidais avec mes parents.
Je ne me rappelle plus son prénom. En revanche, je me souviens de nos ébats...

Après son service, nous sommes allé nous promener sur la plage le soir. Une semi pénombre régnait, les lumières de l'hôtel au loin se reflétaient sur la mer. Nous continuions notre conversation entamée sur cette même plage l'après midi. Nous nous sommes assis sur l'un des transats de l'hôtel que personne ne se donne la peine de ranger la nuit. Le calme, le bruit de l'eau. Des mains qui se frolent, des regards gênés qui se croisent. Puis le premier baiser, presque volé, maladroit. Bientôt suivi d'une ribambelle d'autres, mieux ajustés, plus profonds, plus profitables... Les corps qui se rapprochent, des levres qui ne se quittent plus, les mains s'aventurant sur les dos, dans le dos nu de ma robe, sous sa chemise. J'ai ployé sous les baisers, me suis allongée sur le sable, lui contre moi. Nos jambes se mèlent, les mains se font plus aventureuses.

Il cesse un instant de m'embrasser et se recule un peu, sa main remonte le long de ma jambe, puis de ma cuisse, entrainant la robe dans son sillage, ses yeux courant le long de ma jambe. Ses doigts stoppent en buttant sur l'elastique de mon string, le suivent, mais je dégage sa main, la ramène sur ma taille... Il reprend alors ses baisers langoureux. Ceci a duré un moment. Puis je suis retournée à ma chambre, raccompagnée par lui sur un bout de chemin...

Nous nous sommes retrouvés le lendemain, à la discothèque de l'hôtel. Nous avons dansé, sans nous embrasser. Vers 1 heure du matin, nous sommes sortis, nous sommes dirigés vers ma chambre. J'ai vérifié que mes parents dormaient, que personne ne se trouvait dans le couloir, et lui ai fait signe d'entrer... Nous voici dans ma chambre, un peu gênés.

Je retire mes talons, lui fait signe de s'assoir sur le canapé, ne tardant pas à le rejoindre. Je me love contre lui, cherche ses lèvres, lui prend la main. Il répond à mon baisers, m'enlace.

A ce moment, je sais que je vais coucher avec lui, j'en ai envie, lui aussi, et nous le lisons dans nos yeux. Il se lève, me redresse, et là, doucement, fait passer ma robe par dessus mes épaules, je me souviens que je ne portais pas de soutien gorge ce soir là. Me voila donc vêtue d'un string, face à lui. Il s'est éloigné, et passe sans cesse son regard sur mon corps, je me sens admirée comme jamais. Son regard passe et repasse, de mon visage à mes pieds, s'attardant sur mon cou, mes épaules, mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes jambes. Je me sens bien. Et le voila qui tombe la chemise et son pantalon. Il me serre contre lui. Mes seins se pressent sur son torse musclé, sans aucun poil, sa peau est douce. Ses mains caressent mon dos, mes fesses, mes cuisses.

Il m'étend sur le lit, et caresse mon ventre, mes seins, ses caresses me rendent folle de désir. Il écarte doucement mes cuisses, passe délicatement la main sur la fine etoffe de mon string, caressant tout aussi délicatement mon sexe niché dessous. et soudain, le plongeon, il retire doucement mon string, le fait glisser le long de mes jambes, le dégage presque, il reste suspendu à l'une de mes chevilles. Mes cuisses s'entrouvrent à nouveau, et il entame un langoureux cunnilingus, tout en douceur mais terriblement efficace... Ma main se promène dans ses cheveux, mes yeux sont clos, je suis si sensible au mouvement de sa langue...

Je le ramène vers moi, baisse son caleçon et l'en dégage à l'aide de mes pieds. Nous sommes nus serrés l'un contre l'autre. Je sens sa verge dure contre mon pubis, et je prend conscience de sa taille... C'est ma première fois avec un "non caucasien", et je suis un peu anxieuse pour la suite. Il ondule doucement, son sexe me frole. Je l'écarte doucement pour aller chercher un préservatif dans la salle de bain. Me revoici dans la chambre, tenant la capote. Je passe ma main sur sa verge, il m'arrête "Non ce soir le plaisir est pour toi, laisse toi faire". Il enfile le préservatif, m'allonge sur le dos, je l'attire à moi en écartant les cuisses, qu'il ramène contre moi... Ton sexe frole le mien, parvient à son orée. Il me pénètre tout doucement, sans cesser de me regarder. Quelle sensation. Le voici en moi, il ondule tout doucement, de petits mouvements de bassin. Mes mains soutiennent mes jambes, ramenées vers moi. Elles retombent doucement le long de son corps, et l'enserre. Ses mouvement sont font plus courts, moins amples, mais toujours aussi doux. Ma repiration devient langoureuse, je suis au bord de l'orgasme tant cet homme sait s'y prendre. Et il le remarque, il se dégage, et me fais pivoter sur mon flanc. Il vient se placer derrière moi, étendu contre moi, son sexe me refrole, et le voici de nouveau en moi, ses mains courant sur mon corps. L'orgasme vient, je n'en peux plus de l'attendre. Il est intense, violent, tout mon corps se contracte, je suis sure d'avoir laissé échapper quelques cris de bonheur. Les contractions sont longues, intenses. Cet orgasme est incroyable, l'un des plus intense de ma petite vie... Son bassin ondule toujours...

Maintenant, j'ai envie de lui rendre la pareille, je voudrais qu'il jouisse aussi. je me dégage et me positionne au bord du lit, à 4 pattes, cambrée et offerte, un petit sourire sur les levres. Il ne tarde pas à me rejoindre, passe derrière moi, debout sur le sol, me penetrant dans cette position que j'appréciais déjà tant. Ses mains se posent sur mes hanches. Ses mouvements sont courts, rythmiques, secs. Ses mains me serrent de plus en plus fort. Il se tend, je sens son sexe vibrer et exploser en moi. vaincu, il tombe sur mon dos, alllongé. Nous restons un moment comme ça, haletants, suants, béats. Il se retire, noue le préservatif, le jette. Puis il ramasse son caleçon, rassemble ses affaires. "Dors ici" m'entend-je lui dire.

Malgré le fait qu'il se levait tot pour le service le lendemain, nous avons dormi ensemble, nus l'un contre l'autre. Il est parti au petit matin travailler. J'ai pris mon petit déjeuner seule aussi ce matin là, je le voyais servir, je le revoyais encore nu contre moi, ondulant en moi... Nous avons eu le temps de reparler un peu, et de se fixer rendez vous dans l'après midi, dans ma chambre à nouveau.