Damien 75 - La Vie Commune (Suite 4)
fameux vendredi.
La veille Pierre était rentré comme d'habitude et comme c'était un des jours réservés à la sexualité, il était joyeux.
A peine arrivé il me dit "C'est un bon jour.
- Ah bon ?
- Oui.
- Pourquoi.
- Coquine.
- Je ne comprends pas.
- Mais voyons, nous sommes jeudi.
- Oui et alors.
- Eh bien on baise aujourd'hui.
- Oui mais
.
- Alors arrêtes ta cuisine et viens m'offrir ta bouche et ton
joli petit cul de rêve.
- Tout de suite ?
- Oui j'en meurs d'envie, je veux te baiser avant de manger
et bien sur aussi après.
- Si tu y tiens.
- Comment ça, j'exige.
- Bien maître.
- Allez en vitesse dans la chambre".
Une fois entré dans la pièce, il s'assit sur le lit et écarta les jambes, je vins m'agenouiller devant lui et commençai à caresser le pénis érigé.
Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l'entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement. Au bout de quelques instants de ce traitement, Pierre qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi, j'arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent, mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j'enfournai l'objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.
Je suçai cette belle pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains, l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une bonne giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Quand Pierre me relâcha, il me dit "Tu suces vraiment comme
une déesse".
Sans répondre je m'étendis sur lit et regardai le beau phallus à demi érigé au milieu de la forêt de poils de son pubis cette vision me fit passer la langue sur les lèvres et une douce chaleur embrasa mon fessier.
Pierre s'allongea à mes côtés, posa sa main sur ma cuisse et me caressa lentement, je soupirai d'aise.
M'enlaçant, il écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris grand la bouche, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Les doigts de mon homme courraient sur mon dos, de mon cou à la naissance de mes fesses, je frémis sous cette caresse légère et glissant une main entre nos corps, je lui caressais les testicules.
Quand mon amant abandonna ma bouche, j'avais le souffle court et les joues en feu, Pierre se tourna et se coucha sur moi, sa bouche écrasa de nouveau la mienne, il me roula une pelle magistrale qui me laissa pantelant.
Ayant inséré une jambe entre mes cuisses, il me caressait le derrière tout en me mordillant les tétons, des bouffées de désir affluaient de mon bas-ventre, je ne pus réfréner un gémissement, mes mains courraient sur son dos je sentais sur mon ventre son phallus se tendre.
Délaissant ma poitrine, il se leva et écarta mes jambes, sa bouche avide se posa sur l'intérieur de mes cuisses, il se mit à les embrasser et les lécher glissant un doigt entre mes fesses titillant ma rosette, ce contact m'électrisa, un râle de bonheur pulsa de ma gorge.
Mon amant, m'ayant pris à la taille, m'avait relevé et avait glissé un oreiller sous les reins, il éloigna mes deux lobes charnus et sa langue inquisitrice vint darder ma corolle, je tendis mon fessier vers lui.
Sous ses coups de langue et ses attouchement experts, mon sphincter s'ouvrit, j'avais fermé les yeux et savourais le plaisir que mon homme me donnait chaque fois que sa langue ou un de ses doigt déflorait mon petit trou, j'avais le cul brûlant, tout en moi réclamait l'intromission de la superbe verge qui pointait, je suppliais mon mec de me prendre, mais sourd à mes supplications, il continuait de m'exciter.
Entre ses mains, je n'étais plus que désir, chaque fois qu'il me touchait, tout mon corps frémissait, j'avais la raie pleine de salive et mon bassin venait à sa rencontre pour s'offrir plus encore à la douce qu'il m'affligeait.
Soudain, Pierre arrêta et s'étendit sur moi, son priape érigé se glissa entre mes fesses bouillantes et se posta contre mon anus en fusion, d'un petit coup de reins, mon homme introduit son gland turgescent, bien que je sois suffisamment ouvert, le passage de son bout durci fut difficile, je criai quand il écarta mes chairs.
Mon amant s'immobilisa puis se mit à entrer et sortir la tête de son sexe de manière à m'assouplir la pastille, petit à petit mon canal se détendit, alors à ce moment mon mec m'enfessa lentement jusqu'à la garde.
L'intromission fut un délice, quand je sentis ses testicules gonflés de liqueur contre mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement, je nouai mes jambes dans son dos et mes mains sur sa nuque.
Je sentais en moi, le pénis palpiter, une vague de désir m'envahit, je voulais qu'il bouge, qu'il me fasse du bien, je lui dis "Vas-y,
défonce-moi".
Prenant appui sur ses avant-bras, Pierre commença à me posséder lentement de toute la longueur de son phallus, le membre puissant sortait presque entièrement de mon tunnel pour replonger complètement jusqu'à la garde la seconde suivante, mon cul était vraiment décontracté et la pine raide coulissait sans aucune gène entre mes reins.
Sous les assauts répétés de mon amant, le plaisir prit totalement possession de mon être, pour moi seul comptait la hampe qui me forait les reins.
Mon mec avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait avec une régularité de métronome me faisant atteindre le septième ciel, sous ses coups de bite, je planais littéralement, la tête rejetée en arrière, j'étais tout à mon plaisir, je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose, je ronronnais de bonheur creusant mes reins chaque fois que la verge tuméfiée se fichait entièrement au fond de mes entrailles.
J'avais de plus en plus de mal à garder le sens des réalités, les lents va et vient de Pierre me rendait fou, j'avais planté mes ongles dans ses épaules musclées et je l'enserrais dans l'étau de mes cuisses, mes hanches roulaient en cadence, venant de plus en plus violemment à la rencontre du phallus qui me bourrait.
A chaque coup de boutoir, je me sentais sombrer, j'avais atteint la plénitude rectale, tout en moi voulait ce sexe, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, mon homme se mit à me fourrer de plus en plus vite, chaque fois qu'il me pinait je faisais un bond sur le lit, il me cassait le cul avec des "HAN" de bûcheron.
Je ne savais plus depuis de temps il m'enfilait mais je voulais qu'il reste en moi indéfiniment tant cette bite roide me faisait du bien, soudain me prenant aux aisselles, il se leva m'amenant avec lui jusque dans la cuisine où il me déposa à genoux sur la table sans que nos corps ne se détachent, puis debout il se mit à me pilonner l'arrière-train à grands coups de reins.
Ses coups de boutoir répétés me firent perdre la raison, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon rectum, Pierre éjacula en feulant, ses puissants jets de foutre crémeux m'inondèrent le fondement, un orgasme déferlant me foudroya, je tendis mon cul vers la bite qui se vidait en moi pour accen la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je m'affalai sur la table, je sentis le pénis sortir de mon canal béant.
Quand je repris conscience, je descendis de la table et fis face à mon mec, qui assit sur une chaise me regardait.
"Ton cul est toujours aussi bon ma chérie.
- Merci, mais comme d'habitude tu m'a baisé comme un dieu.
- Possible, mais pour une bonne baise il faut être deux, et
tu es vraiment la reine des baiseuses.
- Je me défends pas mal.
- Plus que pas mal, allez viens allons rapidement dîner et
retournons vite au lit, j'ai encore envie de te tringler.
- J'espère bien car moi j'ai encore très envie, j'ai le cul
bouillonnant
- Ne t'inquiètes pas je vais le rafraîchir.
- Tu as intérêt, car ce n'est pas bien d'allumer de tels
incendies, espèce de pyromane.
- Je sais aussi faire le pompier et tu vas voir, ma lance est
très performante".
Nous nous levâmes et prîmes une douche, puis nous dînâmes, une heure après nous étions de nouveau couchés, Pierre me fit l'amour jusqu'au petit matin, à la fin j'avais le cul complètement éclaté mais j'étais comblé, nous nous endormîmes épuisés.
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