Leslie An20

Leslie AN20 - Week-end à Epernay, au petit matin, chez Benoît, suite et fin

Aurélie, après s’être retirée de l’étreinte de Delphine, vint vers moi pour que la prenne sur mes genoux et la câliner un peu, alors nous nous sommes tendrement enlacées et caressées.

Delphine à peine remise de ses émotions haranguait Benoît :
- Benoît, viens mon chéri, Aurélie m’a bien chauffé la chatte et elle en réclame encore, viens vite éteindre ce feu qui brule en moi, avant que je ne me consume de désirs.
Benoît s’approcha et regarda Delphine, La jouissance d’Aurélie lui coulait entre les cuisses en longues traînées luisantes.
- Tu as peut-encore des désirs, mais Aurélie t’a déchargé un max, tu as du sperme plein les cuisses.
- Tant mieux, dis Delphine, tu vas trouver ma chatte bien soyeuse.

Il rejoignit Delphine, la verge dressée vers le ciel, déjà prête.
- Tourne-toi, je vais te prendre en levrette sur le bord de la table, dit-il.
Lorsque Delphine fut installée les mains appuyées sur le bord de la table, les fesses cambrées et la chatte entr’ouverte prête à l’hommage de Benoît, elle le regarda en disant :
Regarde si ce n’est pas beau, une femme qui s’offre, une femme avec le cul en l’air, prête à se faire enfiler comme une chienne. Regarde, ma fente en redemande.
- C’est vrai, que tu es bandante ! Dis Benoît
Et il saisit son membre et présenta le gland juste à l’entrée du vagin de Delphine, puis, lorsque le bout eût écarté les grandes lèvres et commencé à pénétrer le sexe de Delphine, il la prit aux hanches et s’enfonça d’un violent coup de reins jusqu’à ce que ses testicules viennent frapper contre son mont de Vénus.
Sans attendre il se mit à la baiser en donnant de grands coups de boutoir. Son membre s’enfonçait en entier dans la crevasse bien juteuse et son ventre s’écrasait contre les petites fesses offertes.
Puis il ressortait presque complètement, ne laissant que le bout de son gland dans l’antre d’amour pour mieux s’enfoncer à nouveau et pénétrer bien à fond.


Delphine, la tête pendante, les seins oscillants au rythme imprimé par Benoît, sentait le foutre qui bouillonnait en elle, prêt à jaillir de sa chatte en chaleur.
- Oh oui, baise-moi fort, je sens que je vais jouir et ma chatte en feu est bien remplit bien. Ohhh oui, comme c’est bon quand tu accélères tes coups de queue.
Benoît ne ménageait pas ses efforts et soudain Delphine hurla en disant :
- Ahhh ! Je jouis.
Dans un râle de bête blessée, Delphine jouissait follement. Le foutre coulait à flots de son vagin qui palpitait, enserrant plus fort le sexe mâle dans ses chairs chaudes. Benoît de son côté, le sexe soumis aux mouvements du vagin de Delphine en pleine jouissance donna encore quelques rapides coups de bite, puis jouit à son tour dans ce vagin, apparemment si accueillant.
Lorsqu’il se retira, la chatte de Delphine resta un peu béante, prête à recevoir un nouvel hommage.

Delphine gémit :
- Vite, vite Leslie, viens me la mettre, mets-moi ta bite, ne me laisse pas !
Je suis allé entre les cuisses de Delphine remplacer Benoît dans la chatte toute chaude et toute excitée de Delphine, que mon chéri venait d’abandonner.
Mon membre est entré d’un coup, glissant parfaitement dans les chairs bien lubrifiées par le foutre De Benoît.

Benoît, de son côté, vint présenter sa virilité à la Aurélie. Elle ouvrit les lèvres et les posa délicatement sur le bout tout congestionné. Le membre se redressa sous la douceur de la caresse, manquant de lui échapper.
Aurélie ouvrit la bouche plus largement et le gland tout entier disparut entre les lèvres de la petite transexuelle. Benoît ressentit une onde chaude courir le long de son sexe jusque dans ses reins.
Elles devaient être bonnes ces lèvres qui savaient si bien insister sur les points sensibles. Qu’elle était mutine cette langue qui lui léchait la base du gland.
Anastasia regardait en se caressant, prête à venir se joindre aux deux amants, Aurélie était décidément très douée pour les pipes.

Aurélie se branlait au rythme des coups de boutoir que Benoît désormais imprimait avec son sexe entre ses lèvres, bien incapable d’exprimer verbalement ses sensations, mais elle prenait vraiment du plaisir à sucer Benoît intensément.

Delphine pour sa part, était heureuse de se faire mettre, coup sur coup, par des attributs virils, lui donnait un sentiment puissant d’être une femelle complètement soumise aux désirs de ses amants. Cette sensation, jointe à l’action de mon sexe sur ses muqueuses, fut rapidement efficace et elle eut un nouvel orgasme presque aussi violent que le premier avec Benoît.
Ses fesses se tortillèrent avec fureur de manière à profiter au maximum de mon membre complètement fiché en elle.
Benoît, était soumis à rude épreuve, et malgré le fait qu’il eût déjà éjaculé deux fois, sa jouissance revenait très vite. Il accompagnait chaque succion d’Aurélie, d’un rugissement.

Anastasia, s’étant rapproché de Benoît et d’Aurélie, le caressait aux le faisant encore plus frissonner d’excitation et de jouissance.
L’odeur de sexe se répandait dans la pièce…
Quand Delphine fut au bout de son orgasme, Aurélie, elle, accéléra les mouvements de sa tête entraînant Benoît dans une jouissance inéluctable, le résultat ne se fit pas attendre et la belle vicieuse vit ses efforts récompensés.
Le sexe de Benoît se gonfla à nouveau, il se cambra en grognant de plaisir, serra ses mains sur la tête de la petite transexuelle prête à recevoir don plaisir.
Il arriva brûlant en giclées chaudes et épaisses entre les lèvres d’Aurélie, heurtant le palais de la belle suceuse, puis coula sur sa langue.
De longues traînées s’écoulèrent à la commissure de ses lèvres, jusque sur son menton. Anéanti de bonheur, Benoît grognait de plaisir tandis qu’Aurélie se délectait de sa jouissance.
Il fallut plusieurs minutes pour que Benoît ne reprenne ses esprits.
Radieuse, Anastasia contempla les deux amants…

- Bravo ! Vous m’avez tous drôlement fait jouir, dis Delphine.

Je venais de jouir en elle et elle était encore prise des spasmes du plaisir qu’ils l’avaient emportés vers d’autres cieux.
- J’ai la chatte bien graissée, j’espère que la grande fête n’est pas terminée et que nous allons continuer cette partie de cul.
Anastasia, encore excitée ajouta :
- Ohhh oui, surtout que personne ne m’as encore fait le cul !
- Ça c’est la prérogative de Benoît, ajouta Delphine.

L’heure avait tourné, ensemble et nus comme des vers, nous avons repris une bonne tasse de café bien chaud, histoire de se refaire un peu et se changer les idées, puis nous sommes allés prendre une douche.
Tour à tour nous avons pris notre douche, puis nous nous sommes maquillées, enfin les femmes, pas Benoît, bien sûr et nous avons flânés en attendant le repas du midi qu’Anastasia et Delphine préparaient.

Pendant ce temps, Aurélie se reposait dans sa chambre, tandis que Benoît, à demi allongé sur le lit, m’écoutait, assise dans un fauteuil près du lit, racontant des souvenirs.
- En lisant mes histoires, tu sais beaucoup de choses sur moi, enfin, presque tout.
- Que veux-tu dire par presque tout ?
- Je vais te dire, écoutes…

A suivre…

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