Les Talons Rouges (Épisode N°02)
LES TALONS ROUGES (épisode N°02)
Agathe Donamaria de Urroz vit avec sa sur et son beau-frère depuis son plus jeune âge, au Château de Garralda, qui se situe près de la frontière espagnole dans la vallée des Aldudes. Cest une vieille fille qui ne sest jamais mariée à cause dun amour de jeunesse infidèle. Âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse courtiser par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sur dAgathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Les deux femmes se prêteront à toutes les folies où les entraînera Jacques, se mélangeant avec le notaire de la famille et son épouse, goûtant aux amours saphiques et ueuses, allant même jusquà forniquer avec leur personnel, de la camériste au palefrenier jusquau bûcheron espagnol. Jacques leur fera connaître une nuit orgiaque dans un club échangiste de Toulouse et Agathe, devenue insatiable se fera prendre par le membre démesuré de son palefrenier jusquà sombrer dans la folie.
II - Le dépucelage
Agathe, après avoir donné le bonsoir aux convives qui ne sont pas encore partis se coucher, regagne son appartement situé au premier étage, au fond dun couloir, assez loin des appartements de son beau-frère et de sa sur. Il ny a personne dautre à cet étage. Les quinze chambres dinvités se trouvent au second, alors que Jean, le fils de la maison sest aménagé une garçonnière dans lancienne maison du garde-chasse ; dailleurs, actuellement, il effectue un stage aux U.S.A. Elle rêvasse un peu, puis se décide à faire sa toilette. Elle se déshabille complètement, puis elle prend un bain garni de sels parfumés et dhuiles adoucissantes. Elle se caresse les seins négligemment, les trouvant un peu opulents, bien quils soient très fermes et ne tombent absolument pas. Elle frotte légèrement ses mamelons quelle trouve aussi proéminents, les faisant durcir entre ses doigts.
Pendant ce temps, Jacques rassemble les achats quil a effectués en ville dans le courant de laprès-midi. Dans un sac isotherme, il place une bouteille de champagne bien frappée et une bouteille de Sauternes, des toasts au foie gras de canard, au saumon et au caviar dIran, achetés chez un traiteur, deux flûtes de champagne en argent, dans lesquelles les deux vins pourront se boire, tout est prêt pour une nuit coquine, et surtout, pour léducation sexuelle dune vierge
Car, il se prépare à déflorer une femme qui nest pas de première jeunesse bien sûr, mais Agathe est très agréable à regarder et ses appas paraissent prometteurs. La verge de Jacques devenant tout à coup très dure et gonflée, il décide quil est temps de partir à la conquête du corps qui le fait autant bander.
Agathe qui est sortie de son bain sest revêtue dune large culotte en satin blanc, passant par-dessus une chemise de nuit assortie, qui comporte deux petites bretelles sur un décolleté carré bien sage, le bas de la chemise arrive un peu au-dessus du genou et elle a mis des mules en cygne blanc quelle affectionne particulièrement. Lorsquelle entend gratter à la porte, sans réfléchir elle va ouvrir dans cette tenue, pas indécente bien sûr, mais tout de même trop désinvolte. Dailleurs elle pense que cest sa sur Gaëlle qui vient lui demander quelque chose. Lorsquelle ouvre, elle est surprise de se trouver en face de Jacques, confuse de se trouver devant lui dans une tenue quelle trouve trop osée et surtout, un peu paniquée par une échéance quelle nescomptait plus.
Oh !
Cest vous Jacques, excusez mo
. excusez ma tenue, je mapprêtais à aller me coucher. Je vous en prie, entrez et installez vous, je vais passer un peignoir.
En contemplant Agathe qui séloigne vers sa chambre, Jacques songe avec regret quil a indubitablement négligé de la regarder pendant de nombreuses années. Il admire ce corps très bien fait, contemplant ses seins et ses fesses qui ondulent sous le satin de la chemise de nuit qui fait apparaître en transparence des courbes prometteuses. Dire que lorsque quelle avait vingt de moins, il avait alors douze ans, et que ses premiers émois datent de cette époque.
Cest la première fois que vous venez dans mon petit appartement, cest gentil de me rendre visite, bien quil soit bien tard pour que cela soit convenable. Il est vrai que dans cette partie du château, nous serons les seuls au courant.
Ma chère Agathe, jai profité de cet après-midi pour faire quelques achats en prévision dune soirée en tête-à-tête. Jespère que vous êtes dans les mêmes dispositions que ce matin et que vous maccorderez la faveur dêtre votre précepteur particulier ?
Oh ! Jacques, je ne sais plus où jen suis. Jai même découvert des plaisirs troubles dans mon bain ce soir, jen ai presque honte. Dans quoi allez vous mentraîner ?
Pour linstant ma chère, nous allons boire de cet excellent champagne, en le sablant à un tête-à-tête que nous aurions dû provoquer, il y a bien longtemps. Je nai que des regrets à vous avoir négligé depuis que nous nous connaissons. Cela fait plus de vingt ans et cest seulement depuis deux jours que je découvre en vous la femme que vous êtes réellement. Je ne me le pardonnerais jamais. Tenez buvons à nous et à notre rencontre tardive !
Merci Jacques, Je sais quil est bien tard pour moi. Pourtant je nai aucun regret, je ne me suis jamais senti prête à aimer et à avoir des envies charnelles. Il a fallu que ce soit vous qui alliez chercher au plus profond de moi des ressources que je ne me connaissais pas.
Ils boivent en se regardant au fond des yeux, Jacques sert à nouveau le champagne dans les flûtes alors quAgathe avale sans rechigner le second verre, voulant sans doute senivrer un peu, préalablement à ce quelle pressent. Mais Jacques veut quelle soit consciente, aussi il range la bouteille de champagne dans le sac isotherme et enlace sa compagne en lui murmurant de doux propos dans loreille.
- Jai honte Jacques, je suis presque nue devant vous et vous êtes encore habillé comme si vous étiez un médecin en train de mexaminer. Jai peur, vous le savez bien. Toutes ces choses que je vais découvrir et que je considérais encore peu comme abjectes. Pourtant je ne peux vous cacher quà présent, jai une grande envie de les connaître.
Jacques, pour la mettre à laise retire sa veste dintérieur. Il se trouve ainsi torse nu, exposant sa peau bronzée et ses muscles proéminents. Le contact de la peau de lhomme nu contre son corps bien mal couvert par sa chemise de nuit, électrise Agathe qui se love maintenant contre le torse de lhomme. Celui-ci, prenant moins de précaution, englobe de ses deux mains les globes fermes des seins qui se trouvent à sa portée. Agathe pousse un gémissement, mais nose se dérober à la caresse de lhomme qui devient de plus en plus insistante. Jacques pétrit les gros nichons de la belle, pinçant par moments les bouts turgescents et arrachant des petits cris de douleur et de plaisir mélangés à la belle quadragénaire. Mais Jacques décide quil faut maintenant aller plus loin, aussi prenant les bretelles de la chemise de nuit, il les fait glisser rapidement des épaules et dénude la poitrine dAgathe qui ferme les yeux, ne pouvant soutenir le regard de son soupirant qui fixe avec avidité les deux globes charnus dont les aréoles brunes laissent percer des pointes durcies par lexcitation. Aussitôt, il embrasse et lèche à tour de rôles les deux mamelons, mordant sans vergogne dans la chair bien ferme et pinçant de ses lèvres les deux bourgeons contractés, faisant haleter Agathe qui se trémousse sous lui. Elle a lancé ses bras autour du cou de Jacques, lembrassant dans le cou et sur son torse, affolée par lodeur quil dégage, excitant son nez, plongé dans les poils du torse et des aisselles de son suborneur. Jacques ne se lasse pas de la gorge généreuse qui soffre à lui, mais il sait quil lui faut aller plus loin et que le risque dun refus existe toujours.
Il laisse maintenant une de ses mains se glisser le long du corps dAgathe, atteignant bientôt le genou qui sest découvert durant les ébats de la femme. Jacques sent aussitôt tout le corps dAgathe qui se contracte. Même innocente, elle se doute que la main va se glisser dans un endroit quelle nose nommer et que le moment crucial approche. Pourtant la main de Jacques avance comme un reptile sur la cuisse et remonte vers les replis de la culotte. Elle sarrête un moment, alors que la respiration de la femme saccélère, puis elle reprend sa reptation et vient se poser sur le ventre qui tressaute sous lattouchement un peu plus précis. Agathe halète carrément. Elle ne sait encore si elle va accepter que son compagnon aille plus loin.
À ce moment, il reprend ses lèvres et introduisant sa langue il laffole suffisamment pour quelle ne se rende plus compte de ses agissements. En effet, Jacques a glissé sa main dans le bas très large de la culotte et elle remonte maintenant vers le pubis nu dAgathe, qui, bouleversée, se laisse faire tout en serrant furieusement les cuisses. Jacques caresse délicatement le mont de vénus, entortillant ses doigts dans labondante toison qui recouvre la vulve. Petit à petit, il réussit à desserrer létau des cuisses raidies par langoisse et sa main effleure maintenant le renflement des grandes lèvres qui frémissent, glissant deux doigts dans la fente à peine éclose, quil trouve chaude et tendre. La femme inopinément se laisse aller, se résignant et se soumettant aux désirs du mâle. Jacques a bien senti que la résistance de la femme quil veut façonner, a disparu. Aussi, il agit le plus délicatement possible, laissant ses doigts parcourir lintérieur des cuisses, à lendroit le plus sensible de la peau féminine, puis lentement, il vient faire le tour de la vulve, appuyant à peine en passant sur le renflement du capuchon du clitoris. Tout le corps dAgathe frémit à ces attouchements voluptueux. Des larmes coulent le long de ses yeux et Jacques les sèche avec sa langue et sa bouche, essayant de rassurer la biche effarouchée, par des mots tendres glissés contre son oreille.
- Nayez pas peur ma bien-aimée, tout ce que je serais capable de vous faire ne pourra que vous être agréable. Détendez-vous. Vous êtes très belle ainsi. Votre corps est magnifique et votre peau est si douce. Laissez-vous aller dans mes bras. Vous êtes faite pour lamour ma chérie et votre corps ne demande quà sépanouir.
Cette fois, Jacques agit avec la plus grande rapidité. Se glissant aux pieds dAgathe, il retrousse sa chemise de nuit, retirant prestement sa culotte avant quelle nait pu protester, puis, tenant toujours le tissu le plus haut possible, il glisse sa tête entre les jambes galbées quil tient écartées avec ses deux mains, puis il embrasse lintérieur des cuisses, le pubis et prend le vagin entre ses lèvres, arrachant un hurlement à la pauvre femme, qui ne se doutait pas que lon puisse sans vergogne toucher avec une bouche des parties aussi intimes. Jacques agit avec adresse et célérité, ne voulant pas que la femme se reprenne, aussi il lèche les grandes lèvres et le capuchon du clitoris, dégageant celui-ci, puis, il prend entre ses lèvres le bouton orangé qui saille à présent de sa cachette. Agathe se tend en avant lorsque les lèvres sucent avec délicatesse cette excroissance aussi sensible du corps féminin. Soudain, vaincue, elle se laisse aller, ouvrant ses cuisses et laissant sa vulve béante aux regards et aux agissements de lhomme qui procède à son éducation, soffrant cette fois sans retenue au mâle triomphant. Ce sont ses premiers pas dans lacte charnel et, toute honte bue pour ce quelle est en train de subir, elle laisse la jouissance déferler en elle, oubliant son éducation, son honneur et sa vertu, perdant par la même toute convenance et décence alors que sa chasteté est bien près dêtre outragé. Jacques lape avec constance le clitoris et louverture du vagin qui laisse couler maintenant un flot ininterrompu de cyprine dont lodeur laffole.
Agathe jouie sans discontinuer, elle remue sa tête dans tous les sens et pousse de petits cris inintelligibles. Enfin, après un hululement prolongé, elle saffaisse, anéantie par la trop grande jouissance quelle vient déprouver. Jacques, tout en se redressant, la découvre inanimée, abandonnée dans une pose alanguie et offerte à la virilité du premier homme qui voudrait la pénétrer. Pourtant, il la veut en pleine possession de ses moyens lorsquil se sentira autorisé à la déflorer. Cest pourquoi, il profite de son inconscience pour la déshabiller entièrement, en fait il ne lui reste quà faire glisser la chemise de nuit, car le haut du corps était déjà dénudé alors que la culotte jonche au bas du canapé. Puis, la prenant dans ses bras, il lemporte dans la chambre et la glisse sous le drap. Enlevant prestement son pantalon de pyjama, il se glisse à côté delle et, lenlaçant, il bécote son cou et mordille ses oreilles. Sous les caresses stimulantes et agaçantes, Agathe reprend conscience et paraît étonnée de se retrouver dans son lit, sentant le corps nu de lhomme qui létreint contre lui. Soudain, se souvenant à quoi elle sest soumise avec la plus grande indécence, le rouge lui monte aux joues avec un sentiment de nausée. Elle nose regarder son compagnon, qui se rend bien compte de son état et qui essaie de la rassurer.
- Ma chérie, vous avez joui magnifiquement. Je sais que cest une sensation qui vous a été étrangère jusquà ce jour, mais je peux vous assurer que vous avez pris beaucoup, de plaisir et que vous navez pas à avoir honte de votre comportement. Je suis certain que votre sur dans les bras de son mari éprouve ou a éprouvé les mêmes émotions, pourtant, eh là, je veux vous rassurer, vous êtes encore vierge ma chère, je naie pas profité de la situation et de votre abandon.
Agathe nose regarder son compagnon. Elle a repris des couleurs, cette fois ses joues sont devenues rouge pivoine, de toute évidence, à cause des propos très suggestifs quelle vient dentendre. Pourtant elle se décide à répondre.
- Jacques, je me sens méprisable. Vous mavez vu plus que nue, étendue et grande ouverte devant vous, je ne men remettrais jamais. Oh ! Mon Dieu quelle déchéance, avec votre bouche et votre langue sur mon sexe et vos yeux qui plongeaient dans mon intimité.
- Allons ma chérie, arrêtez de faire l. Vous nêtes plus une petite fille. Nos corps nous appartiennent et ce que nous avons fait, des millions dautres gens de toutes conditions le font tous les jours, pour leur plus grand plaisir dailleurs. Vous avez un corps magnifique, je vous laie déjà dit et vous jouissez merveilleusement. Votre sexe est encore tout mouillé de lexcitation que vous avez éprouvée, dailleurs je le sens encore frémir sous mes doigts, vous ne pouvez en disconvenir nest ce pas ?
Jacques avait profité de la conversation, et de labandon incontestable de son amie, pour glisser une main entre ses cuisses et pour caresser à nouveau la vulve qui palpitait dune façon désordonnée. Agathe, malgré ses réticences, ne se dérobe pas sous les attouchements qui lui donnent des sensations si prodigieuses, bien au contraire, rassurée par les paroles de son compagnon, elle déploie ses cuisses sous la main qui explore son intimité, poussant de gros soupirs à la jouissance qui renaît dans son corps épanoui. Jacques lembrasse à nouveau sur la bouche, son corps se retournant vers elle laissant sa verge, qui bande furieusement, heurter laine et la cuisse de sa compagne qui, bien quignorante, ne peut méconnaître le sexe de son compagnon, dardant ainsi sa volonté de pénétrer linnocente quelle est encore. Après tout, elle a confié à son compagnon ce matin quelle désirait être initiée aux joies de lamour. Il ne lui reste plus quà subir lassaut final. Elle a eu trop de plaisir depuis plus dune heure pour reculer à présent, même si elle est effrayée par lengin qui va pénétrer ses chairs encore vierges à son âge. Va-telle avoir très mal ? Son hymen doit être racorni par le temps qui sest écoulé, aussi il sera sûrement très difficile à percer. Quelle idiote de navoir pas su profiter de sa jeunesse, alors quelle ressent des sensations aussi voluptueuses. Jacques pendant tout le temps de réflexion de sa compagne na pas perdu de temps, il masturbe et caresse avec application le sexe en feu, qui souvre de plus en plus sous sa main. Il a glissé un doigt au bord du vagin et a senti la résistance de lhymen intact. Cest bien une vierge quil va dépuceler et cela lexcite au plus haut point. Agathe sous les caresses libidineuses de son amant, ondule de plaisir et soudain, ny tenant plus, elle souffle dans loreille de son compagnon.
- Mon chéri, venez
Venez dans moi
Je vous en prie. Oh ! Cest merveilleux, continuez ou prenez-moi, je veux jouir, mais jai peur mon amour, si vous saviez comme jai peur !
- Allons ma douce, écartez bien vos cuisses et remontez les vers vous. Oui ! Comme cela, Nayez aucune crainte. Je ferais le plus doucement possible mon amour.
Ce faisant, Jacques sest mis à genoux entre les cuisses dAgathe qui, sur sa demande, les retient remontées sur son ventre en les écartant avec ses deux mains. À ce moment, Jacques, présente sa verge devant léchancrure de lorifice inviolé, puis, tout en maintenant son pénis dune main, il lui imprime une circonvolution lente en effleurant le clitoris, afin dexciter encore Agathe et de la rassurer. Enfin, appuyant sur lhymen qui résiste à sa poussée, il se laisse aller progressivement en avant, transperçant la fine membrane et, arrachant de ce fait, un bref cri de douleur à linnocente quadragénaire. En dernier lieu, sentant quil a crevé lhymen convoité, il glisse son organe graduellement dans lorifice qui, sollicité depuis plus dune heure, lubrifie à présent à profusion, senfournant jusquau fond de la matrice. Puis, il simmobilise, afin que la chaste ingénue shabitue à cette présence insolite au plus profond de son intimité jusquici inviolée. De grosses larmes coulent sur les joues de la vieille fille devenue enfin femme. Jacques étanche ces grosses gouttes avec sa bouche et bécote le tour des lèvres de sa proie enfin consentante. Elle lui sourit douloureusement, saccrochant à son cou de ses deux bras, alors quil commence un doux va-et-vient dans le fourreau étroit qui enserre aussi bien sa verge. Progressivement, le bassin de la femme sagite en cadence, dans le même temps où le pénis senfonce et se retire alternativement de lorifice vaginal. Agathe entoure le torse de Jacques de ses jambes nouées et projette en avant son ventre vers le membre qui la fouille et ravage ses chairs meurtries. Elle ne peut se cacher quelle prend du plaisir à laccouplement sexuel et cest, sans plus aucune retenue, quelle prend plaisir à faire lamour avec lhomme qui vient de la révéler.
- Je taime mon amour, je taime, Oh ! Je taime, viens dans moi encore mon chéri. Que cest bon. Oh ! Oui, encore, viens, viens. Oh ! Mon Dieu quel plaisir. Merci mon chéri, merci, merci
..
Cette fois, Agathe na plus aucune inhibition ni refoulement daucune sorte, elle se fait transpercer par la bite de Jacques avec une délectation incroyable. Celui-ci prend son pied sans vergogne, pilonnant sans interruption la trouée béante quil vient de faire dans cette chatte si longtemps immaculée. Il enfonce ses doigts dans les fesses dAgathe qui, toute à la houle de jouissance déferlante qui envahit son ventre de femme na aucune réaction aux doigts qui la nt. Elle voudrait que le dard qui senfonce en cadence dans sa chair intime ne sarrête jamais. Elle se surprend à crier sans retenue sa jouissance, sagitant sans cesse et sagrippant à son pourfendeur jusqu'à ce quelle sente un liquide chaud gicler dans ses muqueuses et, au bout de quelques secondes, lhomme sécrouler sur elle à bout de souffle. Elle lembrasse partout où elle le peu, le remerciant de lhommage et du bonheur quil vient de lui prodiguer.
Le couple enlacé étroitement reprend des forces. Il y a plus de deux heures que leurs ébats se sont engagés et ils ont besoin de reprendre des forces. Jacques suggère que lon fasse appel aux provisions quil a apporté dans son sac isotherme. Agathe acquiesce et en se levant, elle sapprête à enfiler son peignoir. Jacques larrête dun bras.
- Ma chérie, après ce que nous venons de vivre, hors de question que tu portes de nouveau un rempart à ta nudité. Nous nous restaurerons nus tous les deux. Je veux te voir telle que tu es, me rassasier de ton corps, de tes jambes et de tes cuisses, de tes seins et de tes fesses et surtout mon amour de ta jolie chatte que je viens de fouiller et de faire vibrer. Puis à toi de me voir nu, de thabi à contempler sans peur la queue qui ta fourré ton con dilaté et si accueillant.
- Jacques, tu es un monstre et tu me dis des choses affreuses de vulgarité. Mais viens avec moi, je veux bien faire tout ce quil te plaira malgré la débauche dans laquelle tu mentraînes et lhumiliation atroce que tu me fait subir.
Jacques la prenant par la main, lemmène dans le salon, et, déballant les victuailles et la bouteille de Sauternes, ils se restaurent en se regardant dans les yeux. Agathe est un peu pompette après avoir bue la moitié de la bouteille de vin blanc sucré, mais elle a repris des forces avec le caviar, le saumon et le foie gras ingurgités. Aussi, elle a de nouveau envie de faire lamour et se collant à Jacques elle lembrasse dans le cou en lui disant quelle recommencerait bien.
- Mais ma chérie, je ne suis pas une machine, mon sexe a besoin de repos, ou alors il faut le stimuler. Cest à toi maintenant de savoir lui rendre sa rigidité pour que je puisse à nouveau thonorer.
- Mais
Mais, je ne sais pas, tu mas promis de tout mapprendre, comment my prendre ?
- Eh ! Bien ma chérie, il faut me faire la même chose que je tai faite, avec tes jolies mains, tes doigts si agiles et, si tu ten sens le courage, avec ta bouche adorable.
- Oh ! Mon Dieu ! Je noseraies jamais. Tu es un monstre dégouttant, tu
tu.. veux
que je
prenne ton sexe dans ma bouche ?
- Mais ma chérie, cest bien ce que jai fait avec ton vagin et ton clitoris. Ce sont des choses qui se font habituellement entre deux personnes du sexe opposé tu sais. Le monde entier fais cela et toi tu refuserais de me rendre ce qui tas fait jouir autant ?
Un silence pesant sinstalle. Agathe nose plus regarder son amant qui se caresse la verge nonchalamment. Enfin, elle se décide soudain et lui glisse dans un souffle.
- Oh ! Comme jai honte mon amour. Je suis vraiment trop égoïste. Je vais faire mon possible, mais tu vas rire de ma maladresse, jen suis sûr.
- Mais non mon amour, pourquoi me moquerais-je de toi, je vais te montrer, tiens prends la tige de mon pénis entre tes doigts, tu sens comme il est mou, serre doucement et fais un va et vient avec tes doigts, tu vois, il durcit et grossit. Cest tout simple, Aïe ! Ne serre pas trop fort. Oui comme cela. Oh regarde comme il devient gros et dur. Tu vois que ce nest pas difficile de faire bander un sexe dhomme. Maintenant si tu veux vraiment me faire plaisir, penche-toi et prend le entre tes lèvres. Oui, ma chérie comme cela, tu vois ce nest pas aussi ignoble que tu le penses. Bien, maintenant enfonce le légèrement dans ta bouche et fais-le glisser entre tes lèvres. Ah ! Ma chérie, cest divin, oui continue, je suis aux anges, ta bouche suçant mon vit est délicieuse. Oh ! oui tu as deviné, ta langue qui lèche mon gland, cela me procure dintenses sensations. Arrêtes, non je ten supplie arrêtes ou je vais jouir.
Jacques, très excité, se retire de force de la bouche dAgathe, il ne veut pas éjaculer déjà. Et puis cest trop tôt pour quelle accepte de recevoir son sperme dans sa bouche et surtout quelle lavale sans haut-le-cur. Il le fera lorsquelle sera plus aguerrie. Il lui explique tout cela alors quelle lécoute avec des grands yeux effarés, découvrant des jeux libidineux auxquels elle ne sattendaient nullement. Jacques lui demande si elle veut vraiment connaître toutes les facettes de lamour et si pour cela, elle se sent prête à faire tout ce quil lui demandera ?
- Tu me demandes dêtre ton esclave consentante, prête à subir tous tes caprices, cest cela que tu veux mon amour ?
Jacques ne répond pas, il la regarde seulement avec une grande intensité jusquaux fonds des yeux, attendant quelle prenne sa décision seule et en toute conscience. Il ne veut pas linfluencer, car si elle accepte, il compte bien lui faire connaître tous les outrages et, pourquoi pas, la partager avec dautres hommes. Cela et bien dautres choses encore quil ne peut lui dire. Il veut seulement quelle soit prête à tous les sacrifices sans quil soit, à chaque fois, obligé de lui réclamer son accord. Le silence se fait pesant. Agathe a la chair de poule. Il ne fait pas froid dans son salon, mais la perspective dêtre entraînée dans une folle aventure où elle ne sera quun objet à la disposition dun homme aussi averti la fait sinterroger, car elle nest pas dupe, son jeune amant en voudra toujours un peu plus. Pourtant ses sens à peine éveillés lui demandent daccepter ; elle se meure denvie de faire des folies de son corps si tardivement révélé. Alors, des larmes dans les yeux, elle se décide.
- Tu pourras faire de moi ce quil te plaira Jacques. Jaccepte toutes les horreurs que tu voudras me faire subir, même si jy perds mon honneur et ma dignité. Je sais très bien que tu vas mentraîner dans la débauche et le vice. Du moment que tu me fais jouir, je suis daccord pour être ton esclave, sexuelle ou autre.
- Mais ma chérie, je ne ten demande pas tant. Progressivement jessaierais de te faire découvrir toute la jouissance que ton corps pourra toffrir, mais en échange il te faudra apprendre à me faire jouir aussi et peut être dautres. En attendant viens près de moi, nous allons encore faire lamour et jai envie de boire à ta source de volupté. Écarte tes cuisses et tend ton ventre que je vois ta vulve palpiter devant mes yeux !
Agathe, éperdue de confusion, souvre comme le lui a ordonné son amant et tend son pubis vers le regard acéré qui la fouille avec insolence. Lhomme avec ses deux mains écarte le vagin qui baille bientôt, offrant ses chairs dun bel rouge orangé, alors que déjà, une liqueur suinte de la fente largement ouverte. Aussi, penchant sa tête, il lape avec sa langue la miction vaginale, humant le fumet épicé qui se dégage de la moule gluante de la quadragénaire. Celle-ci râle sous la jouissance que lui procure la langue qui pénètre son puits damour, elle secrète de plus en plus un liquide visqueux que Jacques aspire et boit avec délectation. Puis, délicatement, lamant habile décalotte le clitoris avec ses lèvres et laspire tout doucement, pinçant ses lèvres pour le retenir dans sa bouche et le mordillant par moments, arrachant à la femme pantelante de sourds gémissements. Plusieurs fois elle jouit bruyamment, les orgasmes se succédant sans presque discontinuer et, alors quelle tente de séchapper, Jacques la maintient solidement pas les cuisses quil a enserrées dans ses bras, pompant son suc et lépuisant de jouissance jusquà ce quelle crie grâce. Se redressant vivement, alors quelle est presque sans connaissance, il la pénètre brutalement, la faisant sursauter sous le pieu quil enfonce sans ménagement dans sa vulve, la baisant furieusement et longuement, jusquà ce que tous deux, sécroulent anéantis par leurs jouissances respectives.
La grosse horloge du château sonne quatre coups, confirmant quil est maintenant quatre heures du matin. Il y a cinq heures que le couple sadonne aux joies de lamour, en conséquence, ils sendorment dun seul coup, terrassés par leur démesure.
Lorsquils se réveillent, il est presque huit heures du matin. Heureusement, les invités et les maîtres de maison prennent leur petit-déjeuner assez tard, vers 8h30 ou 9h. Malgré les supplications dAgathe qui veut à nouveau faire lamour, Jacques séclipse et remonte chez lui par lescalier dérobé avant que les autres chambres ne libèrent dans le couloir le trop plein dinvités.
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