Dernier Arrêt
Elle doit avoir une vie sexuelle développée pour son âge. Elle a, quoi, une vingtaine dannées. Je la regardais pour passer le temps entre les deux stations en fin de parcours. Sans être belle, elle me semblait baisable. Ce nest que plus tard quand jai vu son épaule sagiter que je comprenait quelle se masturbait en me regardant. Jaurais pu mapprocher delle, remplacer sa main par une des miennes. Jai simplement préféré faire comme elle.
Jai massé la fermeture de la braguette. Elle pouvait deviner ce que jallais faire. En sortant la queue je poussais un soupir de contentement. Je ne pouvais empêcher mon regard de voir le gland. Je le trouvais beau, brillant, digne daller investir une chatte ou un cul. Je le dorlotais dans ma paume avant de lentourer totalement avec la main.
Nos regards se croisaient : elle savait ce que je faisais, je savait quelle se branlait. Un cahot a faillit me faire tomber. Je me suis levé, japprochais delle, la bitte dehors conquérante. De moi, elle ne regardait que la pine droite et ma main. Je me suis assis sur le siège en face delle. Nous nous masturbions de concert. Et puis le train sest arrêté.
Elle sest levée, a pris doucement le sexe dans sa main droite comme pour me dire de la suivre. Dehors il faisait nuit depuis longtemps, les quais étaient sombres. Nous pouvions marcher ainsi moi la tenant par la taille, elle me guidant en tenant toujours la bite. Drôle de fille.
Sur le quai à quelques mètres de nous un banc, un seul. Elle my a conduit. Assis nous pouvions faire ce quelle voulait : la baiser.
Sa culotte partie depuis longtemps, mon pantalon baissé nous pouvions nous aimer, enfin laimer.
De sa place à mes cotés elle est venue sur moi, les jambes autour de ma taille. Je sentais bien la peau de ses cuisses chaudes. Les paumes des mains sur ses fesses, jarrivais à caresser vers son cul. Elle tenait mon vit dans sa main, me branlait facilement avec virtuosité.
Mes doigts arrivaient juste sur son anus qui souvrait. La salope elle connaissait bien les façon de prendre son plaisir et dun donner. Ses lèvres sont enfin venues sur la mienne. Une ventouse naurait pas fait mieux en avalant presque ma langue.
Son autre main fouillait sous la chemise. Pour y trouver mes tétons, elle faisait un chemin compliqué plein de chatouillis, passant sous les aisselles.
Elle a lâché la queue pour venir encastrer sa chatte autour de moi. Je sentait là aussi sa chaleur tropicale. Son bas ventre faisant tous les mouvements je navais pas à bouger. Je me faisait baiser par plus forte que moi.
Je nétais pas totalement satisfait. Jaurais voulu lui bouffer la chatte, lui aspirer le berlingot, mettre ma langue dans la moule. Je lui demandais tout ça.
Elle se levait, laissait ma pine en plan, venait presque sur moi, écartait ses cuisses en montant sur le banc. Je devais lever le visage pour lécher ses conduits. Sa cyprine métouffait presque malgré son goût un peu ambré. Mon nez sur le pubis, mon menton sur son bijou, ma langue léchait en me donnant lavantage dêtre maître de la situation. Jentendais son souffle saccélérer au dessus de moi. En même temps que ses spasmes je recevais la juste récompense dans la bouche: un petit jet de je ne sais quoi, gouteux, aromatique.
Lentement elle se laissait descendre pour à nouveau prendre ma queue dans son con. Jentrais lentement, selon son rythme dans ses chairs. Mon gland se découvrait dans son sexe : le prépuce ne faisait pas le poids dans son étui.
Mon esprit totalement tourné vers les délices de son corps, je ne résistais pas longtemps. Jéclatais dans son ventre en longues giclées. Elle savait bien ce quelle avait dans son sein, elle se levait pour que ma liqueur se répande. Je sentais encore les spasmes que mon jus venait sur mes couilles.
Elle me laissait pour venir lécher les restes de sperme sur mes joyeuses. Javais connu des filles chaudes, pas comme elle. Elle me demandait limpossible : la fister sur le bancs. Sans que je puisse my refuser, elle restait sur moi, ouvrait en grand ses jambes pleines de cyprine. Je la laissais faire quand elle prenant ma main droite. Je peux dire que cest elle qui a commencé à se mettre deux de mes doigts dans sa chatte. Le reste des doigt a disparu lentement en elle : elle gémissait sans cesses avec des encore, oui
Je la laissais enfin quand je sentais autour de mon poignet les crispations de son orgasme fort long. Jen avait assez vu et eu, je lembrassais sur les joues avant de partir. Je ne lai jamais revue.
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