Colocation Ambiguë - Chapitre 1
Jentrai dans la pièce sans trop savoir à quoi mattendre. Je dormais depuis trois heures quand javais entendu des gémissements provenir du salon. Mes deux colocataires mavaient e à aller me coucher quand ils mavaient vu mendormir sur le canapé devant le dernier Mission Impossible.
Ça faisait trois ans que je vivais avec Théo et Simon, on se connaissait par cur, ils savaient bien que sils me poussaient pas vers mon lit, jallais passer la nuit sur le canapé. Alors avant de partir, je leur avais fait mon habituel bisou sur la joue et je métais lamentablement trainée dans ma chambre pour mécraser sur mes oreillers.
Mais trois heures plus tard, je métais réveillée en sursaut, en sueur. Je venais de faire le plus beau rêve porno de ma vie. Ça marrivait souvent de me réveiller la chatte en feu, après avoir imaginé des parties de jambes en lair plus torrides les unes que les autres. Quatre ans que javais pas eu de mec dans ma vie, jétais en manque. Mon cerveau divaguait.
À lépoque où jétais avec mon ex, ma vie sexuelle était dune banalité affligeante. Un petit missionnaire par-ci par là, de temps en temps une levrette, si javais de la chance, et cétait tout. Déjà à lépoque, je mennuyais. Mais là, alors que javais pas croisé une bite depuis quatre ans, je bouillonnais. À défaut de trouver un mec pour me faire jouir, javais investi dans quelques jouets qui mavaient permis dexplorer ma sexualité, des choses que je ne me serais jamais imaginée faire quelques années plus tôt. Mais là, ça ne me suffisait plus. Mes rêves pornos devenaient de plus en plus extrême, comme si mon cerveau essayait de me faire rattr tous ces jours sans bites en men offrant toujours plus.
Bref, pour en revenir à cette nuit. Alors que je reprenais mon souffle, la main encore plongée dans ma culotte, javais entendu des gémissements dans le salon. Des gémissements de mec. Le genre quon essaie d pour ne pas se faire repérer quand on baise alors quil y a du monde à côté.
Alors, intriguée par ces gémissements, la tête encore embrumée de plaisir, je métais levée. Mon instinct me disait que ça puait le sexe clandestin. Il voulait pas que je me tienne éloignée de la partie.
Sur la pointe des pieds, jétais arrivée dans le salon. Le canapé me tournait le dos et ses deux occupants ne me remarquèrent pas tout de suite. Jeus tout le loisir dobserver quelques instants les scènes qui se déroulaient sous mes yeux ébahis et envieux.
À lécran de la télévision, ce nétait plus Tom Cruise qui sagitait, mais deux mecs baraqués qui empalaient une meuf épaisse comme une brindille. Il ny avait pas de son, juste les images excitantes à souhait. Combien de fois javais rêvé dun plan à trois dans lequel je me faisais démonter ? Je sentis ma culotte shumidifier un peu plus, si cétait possible étant donné quelle était déjà imbibée de mouille.
Mais ce qui attira le plus mon il nétait pas à lécran, mais sur le canapé. Théo était assis, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, la mâchoire contractée, les jambes écartées, les mains cramponnées aux cheveux blonds de Simon qui sattelait à faire coulisser sa bite dans sa bouche en bavant un max pour lubrifier lengin.
Han, putain, grogna Théo.
Ta gueule, elle va nous entendre, marmonna Simon, la bouche pleine.
Si ça pouvait lui donner des idées, comme cette pute qui se fait tringler comme une chienne, ricana Théo.
Oh si tu savais toutes les idées que ça me donne
Je restai immobile, incapable de bouger et de réfléchir.
Ils bougèrent, je restai dans lombre pour ne pas me faire repérer. Théo se retrouva à quatre pattes sur le canapé, Simon derrière lui. Simon poussa doucement son gland contre lanus de Théo, qui souvrit avec une facilité déconcertante. Alors ils nen étaient pas à leur coup dessai, ces petits salauds.
Quest-ce que jaimerais lui défoncer le cul comme toi, éructa Simon.
Il doit être tellement serré
Alors, quand ils baisaient, cétait à moi quils pensaient ? Cen était trop. Je pouvais plus rester cachée. Il fallait que je les rejoigne, parce que là, même mon womanizer ne suffirait pas à calmer le feu qui se propageait en moi. Je ne répondais plus de rien. Je ne savais quune chose : je voulais me faire défoncer, baiser comme jamais.
Discrètement, je me débarraissai du peu de vêtements qui me couvraient encore et je mapprochai silencieusement du canapé où Théo prenait un pied denfer. Je métais toujours demandé ce que pouvaient ressentir les mecs quand on stimulait leur prostate, mon ex navait jamais voulu, pas même du bout du doigt. Ça avait lair de conduire Théo au septième ciel. Les yeux révulsés, il grognait de plus en plus fort, ce qui semblait énerver Simon qui avait peur de me réveiller. Il nallait pas tarder à se rendre compte que cétait trop tard et que Théo avait bien fait, de gémir aussi fort. Parce que je pouvais nous prédire une nuit de folie. Et toutes les autres aussi.
Je peux me joindre à vous, couinai-je de ma voix la plus sensuelle, celle qui me faisait vibrer moi-même quand je me chuchotais des mots cochons en me branlant.
Ils sursautèrent tous les deux. Simon se retira de Théo et tomba à la renverse. Je ne pensais pas leur faire tant deffet. La surprise et la gêne se mêlèrent un instant dans leur regard, puis leurs yeux se posèrent sur mon corps nu.
Je dois vous faire un dessin ou vous avez compris ?
Tu
Tétais pas censée nous surprendre, bredouilla Simon.
Il fallait peut-être penser à ne pas baiser sur le canapé, dans ce cas, dis-je, un air malicieux aux lèvres.
Je navais quune hâte, que ce sentiment bizarre sestompe au profit de lexcitation et du désir. Mais ils restaient complètement prostrés, la bite à lair, les yeux rivés au sol pour ne pas croiser mon regard brûlant, qui laissait transparaitre quelques reproches. Sils avaient tant envie de moi, pourquoi ils navaient jamais rien tenté, rien montré ?
Alors, je pris les choses en main, laissant parler mon côté le plus animal. Jétais en chaleur, je navais besoin que dune chose : que mes trous soient comblés rapidement.
Je les observai tour à tour. Simon sétait ramolli dans sa capote. Théo était en demi-molle, tout nu. Jallais commencer par lui. Je maccroupis face à lui, écartai un peu ses jambes pour me frayer une petite place et effleurai sa verge du bout des doigts. Il frissonna et me repoussa doucement. Ses doigts se perdirent dans mes cheveux. Je relevai les yeux vers lui et les ancrai un instant dans les siens. Jy trouvai une lueur particulière. Il avait envie de moi, cétait certain, mais à la caresse quil fit sur ma joue, je compris quil y avait autre chose. Il tenait à moi. Moi aussi. Tous les deux, je les aimais profondément, jaurais pu tout faire pour eux, ils auraient pu tout faire pour moi. Cétait ce qui rendait notre relation si particulière. Peut-être aussi ce qui les avait poussé à menvier sans jamais passer à lacte, par peur de la détruire.
Laisse-moi faire, susurrai-je.
Je passai une main une main sur mes lèvres humides, puis la reposai délicatement sur sa bite de nouveau tendue. Je commençai des va-et-vient lents et sensuels avant demprisonner son gland entre mes lèvres et de le titiller du bout de la langue. Il grogna.
Ne tinquiète pas, ce sera bientôt ton tour, mon chat.
Je laissai mes doigts glisser sur ses bourses et les malaxer délicatement alors que jenfonçai sa bite tout au fond de ma bouche. Je variai le rythme, je descendais, je remontais, je lâchais tout, je revenais à la charge. Il aimait. Mon pouce ségara sur son anus encore lubrifié. Il sy enfonça sans que je naie à forcer. Théo eut un spasme de plaisir. Je sentis quelques gouttes salées perler sur la langue. Il se retenait, je le sentais. Il nétait pas sûr de pouvoir se lâcher. Je relevai les yeux et tombai dans les siens, fous de plaisir. Je lui lançai un regard sensuel et redoublait dintensité dans mes caresses buccales.
Crache, ordonna Simon. Elle attend que ça
Théo fronça les sourcils, lair de me demander sil disait vrai. Je souris, sa bite toujours en bouche. Alors, je le sentis se détendre. Et je repris mon travail jusquà sentir une première contraction entre mes lèvres. Son gland frappa mon palais. Son engin semblait se débattre dans ma bouche, jusquà relâcher son liquide précieux. Enfin. Cétait la première fois de ma vie que javalais. Jen avais souvent rêvé. Cétait encore mieux en vrai.
La salope, sémerveilla Simon.
Je le sentais sagiter près de nous. Il attendait son tour avec impatience. Je léchai alors les dernières gouttes qui dégoulinaient le long de son pénis ramolli par léjaculation. Puis, je me redressai et embrassai Théo goulument.
Simon passa une main sur mes fesses, puis entre mes cuisses trempées par la mouille qui coulait lentement de ma fente. Ça me rappela à lordre. Il était temps que je moccupe de lui.
Je lui réservai le même sort quà Théo. Il sétait débarrassé de sa capote qui nous aurait gênés tous les deux. Sa verge était un peu moins longue que celle de Théo, mais plus large. Jeus du mal à ne pas mettre les dents tant mes lèvres sécartaient. Plus en confiance que notre ami, Simon donna quelques coups de reins lorsque je nallais pas à assez vite à son goût. Il ne se retint pas aussi longtemps, trop impatient de me voir avaler sa semence.
Quand je me redressai pour admirer mon chef-duvre, ces deux hommes ramollis de bonheur, ils passèrent tous les deux une main autour de mes cuisses et les remontèrent ensemble jusquà ma chatte détrempée.
Si on allait dans ta chambre ? me proposa Théo.
Jacquiesçai, incapable de parler tant cet effleurement mavait fait frémir. Ils se levèrent alors et me poussèrent doucement devant eux. Simon éteignit la télévision. Elle navait plus de raison dêtre allumée. On allait faire mieux que ces acteurs, ce soir.
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