Chauds-Kabyles

Salut, je m’appelle Wahiba, 45 ans, responsable politique, j’habite Alger. Un beau jour du printemps 2012, j’avais pris l’autoroute pour me rendre à Tizi-Ouzou pour une mission de quelques jours. J’avais réservé une chambre dans un grand hôtel de la ville. Une fois arrivée, j’avais déposé ma valise dans ma chambre. Le réceptionniste m'avait dit qu'il y a des festivités à la maison de la culture de la ville. Donc, c’est une occasion pour moi de découvrir un peu la région, ses activités et ses traditions. Donc j'ai décidé d'y aller pour une possibilité de drague éventuelle mais je m'étais aussi préparée à l'idée de profiter de ces moments.
Il était autour de midi et la maison de la culture était inondée de monde. Wow, c’était fantastique ! Des femmes en robes kabyles, des objets anciens, des plats traditionnels,….etc. J'ai même vu des hommes en burnous. Cà me retournait le sang de voir des kabyles dans leurs vêtements traditionnels parce que ça symbolise la virilité.
J'ai donc commencé à les draguer par un clin d'œil et un sourire. Puis j’ai flashé sur un jeune, 30 ans maximum, bien bâti avec le teint bronzé et une moustache épaisse. Juste le type dont je rêvais. Il ne fit aucun signe de reconnaissance et passa devant moi. J'ai continué à regarder les expositions. Quand je suis sorti du lieu je l'ai vu dans le parking entrer dans sa voiture. Il m'a vu aussi je lui ai donc fait le sourire d’une dame qui cherche "le zob" sachant qu'il ne s'intéressait pas à moi. Tandis que je marchais vers l'hôtel, je vis une auto s'arrêter à quelques pas devant moi. Quand j'ai atteint la porte du passager, la fenêtre s'ouvrit progressivement et là Il m'a souri et m'a demandé "Vous voulez que je vous dépose quelque part " ? Non merci je suis devant mon hôtel sauf que si vous voulez prendre un café ensemble ! Lui-je répondis. Il ne s’est fait pas prier car il a garé sa voiture dans le parking de l’hôtel. Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le cafétéria de l’hôtel.

Après les présentations, j’ai su qu’il s’appelle Idir, enseignant à l’université, célibataire. Durant cette rencontre, il a tenu à me donner son numéro de téléphone portable et m'a dit de l'appeler chaque fois que je viendrai dans sa ville.
Après une heure de discussion et de découverte, j’ai voulu atteindre ma chambre d'hôtel afin de prendre une douche. Il a souri et m’a demandé s'il pouvait m’accompagner. Cette question a illuminé mon esprit. Je pensais qu'il allait réaliser tous mes fantasmes de femme mariée. J'étais ravie de cette idée et me suis précipitée à quitter les lieux toute excitée. Une fois dans la chambre, je me dirigeais vers la salle de bain. Idir s'était déjà déshabillé et bandait à plein. Il avait le plus beau zeb que j'ai jamais vu autour de 21cm épais et massif. Ma bouche était béate d'admiration. Je l'ai rapidement saisi dans mes mains et l'ai serré passionnément. Idir m'a aidé à me déshabiller et m'a serré d'une forte étreinte. Il me tenait dans ses bras costauds puis m'a soulevée pour que son zeb dur puisse se frotter contre la fente de mon cul. J'étais plein d'extase de sentir son sexe continuer ses mouvements d'aller-retour. Nous restons ainsi pendant quelque temps avant que je ne lui demande de me prendre sur le lit. Il m'a allongé lentement et s'est couché à côté de moi. J'ai serré son zob fermement entre mes doigts et nous nous sommes caressés ainsi un bon moment. Il bandait si dur que je voulus avoir son zeb dans ma bouche. IDIR était allongé sur le dos, j'ai commencé à lécher et sucer avidement son zob brun dur comme la pierre. J'étais très excitée de sucer un si grand zob et de si belles couilles rien que pour moi toute seule et avec du temps devant moi pour en profiter vraiment.
Je suis sûre que ce jour là, j'ai donné à IDIR la meilleure éjaculation de sa vie à cause des gémissements qu'il faisait et dans son regard comme s'il avait une terrible douleur ou une exceptionnelle excitation. Quand il fut sur le point d'exploser il a commencé à crier de plus en plus fort, avant qu'il ne lâche tout.
J'arrêtais de le sucer et je m'assis sur son zob jusqu'à ce qu'il fût entièrement enfoui dans mon anus. IDIR ne tarda pas et après quelques secousses déchargea tellement que çà lui fit un soulagement énorme.
Nous restâmes pendant quelques minutes à nous regarder, son zeb encore planté au fond de mes entrailles. À ce moment là nous nous sommes rendu compte que nous n'avions pas encore pris la douche et l'eau coulait toujours.
Idir m'a promis qu'il viendrait de nouveau me baiser. Mais au lieu de cela, j'ai eu la visite de Juba, un autre kabyle bien monté lui aussi, et lui aussi voulait connaitre la meilleure éjac de sa vie. C'était un voisin de l'hôtel qui m'avait vu avec IDIR et s'était peut-être renseigné à la réception où me trouver pour me niquer. Quelle nuit torride avec cet autre étalon qui avait toute la nuit pour s'épuiser à me donner et à prendre un plaisir partagé, et aussi quelle puissance ! Son zeb qui peut se vanter de m'avoir pratiqué dans toutes les positions.
Depuis ce jour là, je rêve de ces moments agréables que j’avais passé avec ces zeb kabyles durs comme les troncs d’oliviers.

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