La Démoniaque Sarah 12
Les jours suivants idem, une petite douzaine de fécondation par jour avant de rentrer complètement épuisé.
Quinze jours plus tard, de bon matin, alors que je mapprêtais à partir faire mon travail jai eut la visite de Verba et Carnivora, elles ont apparu dans ma chambre dun coup dans un petit nuage de fumée.
Cest très bien, ton travail est appliqué mais cest trop lent.
Comment trop lent ?
Oui, il faut que tu nous trouve une vierge et que tu la déflore pour permettre à ta sur Démonial de venir taider.
Une vierge, jen connais une mais elle ne me fait pas bander.
Va la voir maintenant.
Vous croyez vraiment ?
Vas-y, je te lordonne.
Après cette explication et cet ordre elles ont disparues. Je suis donc parti voir Jane dans sa chambre. Jai frappé, pas de réponses. Je suis entré. Elle dormait profondément. Je me suis approché de son lit. Jai tiré sur la couverture, ma queue sest levée. Je me suis mis à la caresser doucement, elle a ouvert les yeux
Tu me fais jouir ! Oh cest bon ! Cest bon ! Jai un orgasme ! Jen suis sûre, je ressens exactement ce que jai lu dans les livres !
Ainsi je venais dapprendre quen bonne élève elle cherchait dans les livres à se documenter sur les choses de lamour. Elle venait de jouir pleinement pour la première fois. De grosses larmes de bonheur coulaient sur ses joues :
Mon chéri, maintenant je veux être toute à toi, prends-moi je ten supplie.
Son visage sest illuminé dans un large sourire, elle sest assise sur mes genoux. Je lai embrassée avec fougue. Bouche ouverte elle nattendait que ça. Nos langues enlacées, chacun buvait la salive de lautre.
Jane, tu mas excité, je nen peux plus, il faut que je te baise.
Mon chéri, mon maitre, je suis là pour te satisfaire, fais-moi tout !
Je vais tapprendre une position, va te mettre en levrette sur le canapé.
Mais cest comment en levrette mon amour ? Je suis ignare.
À quatre pattes sur le canapé, la tête en bas, le cul en lair, et trousse ton déshabillé pour me présenter ta croupe. Dépêche-toi, je ne peux plus attendre.
Oh jai compris !
La tête enfouie dans les coussins, des deux mains elle écartait ses globes fessiers afin de moffrir son petit illet. Dans sa naïveté amoureuse elle était persuadée que jallais maintenant lenculer.
Je saisis ma queue bien raide, et lentement, doucement, je promenai le bout de mon gland contre sa fente et la rondeur du clitoris luisant. Jane avait fermé la bouche, pour retenir ses petits gémissements. Elle me regardait entre ses paupières mi-closes, les jambes ouvertes et tendues. Je pouvais sentir à la cambrure de son dos à quel point elle aimait ce que jétais en train de faire.
Quelquun ta déjà caressée ici ?
Elle hocha la tête.
Qui ?
Clément
un copain, dit-elle dans un souffle.
Clément, tiens donc ? Tu avais quel âge ?
Je ne me souviens plus.
Lentement, je repris, en caressa du bout boursouflé de mon gland lentrée humide du sexe de Jane, qui souvrit un peu plus à la pression.
Comment cétait ?
Elle eut un petit sourire.
Cétait super
.
Quest-ce quil ta fait, exactement ? Tu mas pourtant fait croire que tu navais jamais vu de sexe dhomme
Jane resta silencieuse un instant, attentive, ruisselante de plaisir, tandis que je continuais mon manège.
Il est resté habillé, Il ma emmenée dans les toilettes et a soulevé mes jupes. Ensuite il ma doucement écarté les jambes. Puis il a embrassé mon ventre, ma chatte, il les a embrassés encore et encore
Elle se tut.
Et ensuite.
Elle ferma les yeux.
Il a enfoncé ses doigts. Javais mal, parfois.
Et le reste du temps ?
Cétait très bien
Tu as déjà joui ?
Je crois que oui, la première fois, cétais avec toi lautre soir.
Jai accentué mon frottement ses gémissements se sont amplifiés.
Tenant fermement le début du gland entre mes doigts, me retenant pour ne pas la pénétrer jusquau bout, jusqu'à sentir Jane se crisper et remuer de la manière attendue. Elle jouissait. Je me sentis soudain cogner contre son hymen, et jai poussé fort. Elle eut un spasme, un cri, je me suis enfoncé jusqu'à butter au fond de son vagin pour mimmobiliser. Elle sest remise à bouger doucement en gémissant jai repris mon va et viens jusquà ce que lextase détende brusquement les membres crispés par lorgasme de Jane. Enfin, je me suis autorisé à jouir, et une explosion de sperme éclata au plus profond de sa fente, elle poussa un nouveau cri étouffé, de surprise cette fois. La sensation ne devait pas être déplaisante, car elle me souriait sans ouvrir les yeux. Après un long moment où je me suis senti débander en elle je me suis retiré et allongé a coté delle. Je lai regardé. Doucement elle changeait, sa chevelure claire est devenue dun roux de feu, sa peau sest éclaircie, sa poitrine a gonflé, ses taches de rousseur et. Sa toison ont disparues. Elle a ouvert les yeux, ma regardé.
Bonjour grand cornu.
Sa voix avait changée, elle était maintenant roque et sensuelle.
Merci de mavoir faite revenir parmi les hommes.
De rien, je nai fait que mon devoir.
Je vais enfin pouvoir taider à faire venir nos frères démons.
Tu viens maider ?
Oui, tu ne travaille pas assez vite.
Je lai suivi. Nous sommes partis en ville, en nous promenant, elle a jeté son dévolu sur un jeune homme bien bâti, elle ma dit
Avec lui, je pense pouvoir faire revenir au moins quatre de nos frères.
Elle sest approchée de lui, la caressé doucement. Il lui a pris la main et la entraîné vers un immeuble, elle ma fait signe de les suivre. Ils sont entrés dans un appartement, la porte est restée entrouverte, jentre à mon tour. Ils étaient face à face dans la pénombre de lappartement. Lhomme se fige et laisse tomber ses bras de chaque côté. Il attend. Aucun son ne lui parvient dans cette atmosphère feutrée.
Elle fait un léger signe de tête et de la musique retentit, douce, lente, langoureuse. Cest prévu, tout ici ne sert quun seul but. Il faudra que le destin du jeune homme saccomplisse. Un système de ventilation se met en marche pour accompagner le chuchotement des instruments ancestraux.
Il ne peut plus rester sans bouger. Le Souffle, vient le caresser, le provoquer. Il peut sentir toute sa peau exposée à cette douceur entêtante. Il se sent enveloppé, emporté dans un monde inconnu. Il résiste, parce quil doit être fort, parce quil ne doit pas tomber. LEnseignement est très clair sur ce point. Il se concentre sur celle qui est assise à ses pieds, sans vraiment la regarder. Il sait quelle est la maîtresse. Elle seule saura laider à traverser les épreuves, y compris celles dont il na pas encore connaissance.
Il se laisse porter par ce vent, les bras écartés, la bouche ouverte, offerte, la tête renversée. Puisquil est entièrement rasé, le Souffle latteint intensément et il ne peut pas sy soustraire. Il doit connaître cette épreuve, elle laidera à devenir un Homme.
Le Souffle incessant le plonge dans un univers de sensations troubles. Il ne sagit plus de ses propres mains sur son corps, mais bien dun élément étranger chargé de le perturber. Il doit parfois fermer les yeux et respirer profondément pour ne pas se laisser aller et résister, toujours résister.
Elle sait que le moment approche. Le temps est venu de passer aux choses plus sérieuses. Un geste de sa part et le Souffle cesse. Le jeune homme reste immobile, légèrement tremblant de plaisir contenu, les yeux grand ouverts. Il la voit qui se lève et savance vers lui dun mouvement plutôt leste. Elle ne sourit pas. Son visage reste impassible. Rien ne doit indiquer dans son expression le désir qui est pourtant monté en elle, pour la première fois depuis bien longtemps.
Elle sapproche jusquà pouvoir le toucher et tend la main vers son torse glabre, puis le frôle et il ne peut sempêcher de frémir. Il tente de se contrôler en respirant profondément et en regardant ailleurs, mais il ny a pas dailleurs, uniquement la noirceur et cette main qui le caresse voluptueusement. Surtout, il ne doit penser à rien, surtout pas aux soubresauts sournois au niveau de son bas-ventre.
Elle voit son corps tendu de plaisir, au bord du gouffre qui pourrait lentraîner vers une jouissance extrême, mais elle juge quil doit encore attendre, encore souffrir un peu. Et surtout, elle désire au plus profond de son être profiter un peu des sensations qui humidifient son propre entrejambe. Le désir est réel.
Elle enveloppe le jeune homme de ses caresses, tout en évitant soigneusement son sexe toujours couvert. Elle peut voir que ses yeux sont maintenant dans le vague. Il retient lexpression de son plaisir, ne sachant pas encore comment extérioriser ses sensations. Elle sait quil doit le découvrir seul.
Au rythme des mains qui stimulent chaque centimètre de sa peau, il commence à onduler, un peu pour échapper aux mains, un peu pour sen rapprocher, comme un appel au secours muet. Il narrive plus à penser, son esprit sembrume de plus en plus. Sa bouche est ouverte en un rond silencieux et sa respiration saccélère malgré lui. Une douce chaleur descend dans ses reins. Ses fesses se contractent. Il prend conscience de son sexe, qui réclame une fin, qui mendie une caresse, qui espère une chaleur mouillée, une pression cadencée, un va-et-vient soutenu.
Elle voit tout cela, mais elle attend encore. Il doit découvrir par lui-même la suite des événements. Elle continue de stimuler chaque parcelle de peau, évitant toujours son bas-ventre. Le corps soumis à la se glisse davant en arrière dans un mouvement de plus en plus instable, comme sil allait seffondrer sur le sol, la tête renversée en arrière laisse apercevoir les yeux révulsés, il cherche une dernière fois à se raccrocher à quelque chose, son esprit tente de vaincre le corps, dans un ultime effort il redresse la tête et croise le regard de la belle Demonia
Elle sait que le moment est venu, quil est presque prêt. Les yeux noirs de lhomme sondent les siens, dans une supplique muette. Elle attend, avec le moins de réaction possible, ne laissant surtout pas voir le désir qui lassaille depuis un bon moment maintenant. Lexpression dans le regard change. Lhomme nest plus suppliant, il est pur désir. Encore faut-il quil franchisse une dernière étape. Démonia sait ce qui va se passer, en gros, mais chaque homme trouve son propre chemin, ils sont tous différents. Cest linstant quelle préfère, linstant de la Révélation.
Le jeune homme laisse son désir sexprimer dans ses yeux, il veut que la belle Démonia en face de lui le voie, quelle ressente toute la force du désir contenu dans son corps. Mais le désir est traître. Une fois le contrôle relâché, cest son corps en entier qui se met à vibrer dattente exacerbée, malgré lui. Son sexe est encore plus impatient et exige ardemment sa libération. Il ressent le plaisir dans son corps tout entier et une envie irrépressible de partager ce plaisir. Démonia cest la femme qui va laccompagner dans sa libération.
Intuitivement, il sait maintenant ce quil doit faire. Lentement, il descend son slip, révélant à sa compagne toute sa virilité, mais elle ne voit que ses yeux, soudée au désir qui émane de ceux-ci, appuyée de ses deux mains sur son torse pour ne pas glisser au sol alanguie. Il prend ses deux mains et les glisse doucement mais fermement vers le bas, vers sa puissance érigée.
Démonia comprend quil est maintenant un Homme et que son devoir sachève bientôt, puisquil vient de réaliser son pouvoir et sa virilité. Elle baisse sa garde, adoucit son regard, se laisse séduire, lui laisse voir son propre désir. Il comprend enfin et apprécie loffrande.
Elle entoure de ses mains la verge tendue à lextrême, sur le point dexploser, puis en presse rapidement la base, afin de relâcher un peu la tension. Il enregistre le geste, reconnaissant de son savoir. Ensuite, ils coulent tous deux vers le sol, enfin enlacés, enfin réunis.
Chaque caresse de la femme provoque maintenant un gémissement incontrôlé chez lhomme. Il se laisser aller entre les mains expérimentées. Et lorsque la bouche remplace les mains, des cris sélèvent, preuve dun plaisir toujours plus grand. Elle se garde bien de lui demander de lui donner du plaisir, ce serait trop risqué, trop engageant, il pourrait sattacher et elle ne le permettrait pas.
Elle décide que le moment est venu. Lui sur le dos, elle le chevauche et sempale lentement sur son sexe. Il écarquille les yeux de plaisir, un râle séchappe de sa gorge. Il inspire profondément, tout son corps se tend, sa verge encore plus, il expire et tente de faire durer un peu plus longtemps linstant qui semble figé. Elle remonte et sempale de nouveau. Nouveau râle, inspiration, expiration très longue, il doit résister. Cent fois, elle recommence lentement, cent fois il lui résiste. Le plaisir est dans tout son corps, prêt à exploser. Elle aussi est prête à prendre le seul plaisir qui lui soit autorisé.
Elle remonte, ne redescend pas. Il se fige dans son inspiration, attend. Lhomme grogne soudain et empoigne la femme par les hanches avant de la basculer sur le dos. Il enchaîne ensuite les va-et-vient sans plus aucun contrôle, redevenu animal, soumis au désir trop puissant, à la force sauvage de son sexe qui lentraîne vers des sommets inégalés. La chaleur dégoulinante de lintimité de sa compagne lenserre compulsivement, suivant un rythme bien à elle, le rythme de lorgasme quelle ressent au plus profond de son ventre. Il ne se retient plus, il sent la sève qui monte, il ne veut pas se retenir, il ne pense plus à rien, le plaisir éclate au centre de son corps et se propage jusquau bout de ses orteils et de ses doigts.
Il hurle sa jouissance, sa libération, ses muscles se tendent une dernière fois avant de se relâcher complètement. Il sécroule sur la femme qui ne le repousse pas. Encore en elle, il sent des contractions régulières sur son membre. Cest plus quil nen peut supporter, après sa jouissance son sexe lui semble trop sensible. Cest la dernière chose que Démonia veut lui montrer, le plaisir après le plaisir. Jusquà ce que sa verge soit complètement dégonflée, elle joue à lenserrer fortement de ses muscles intimes, autant pour lui donner du plaisir que pour profiter de ces derniers moments. Et lorsque tout est terminé, Démonia laspire en elle doucement, le corps de lhomme se dessèche et entre en elle avec douceur. Quand il ne reste plus rien de lui, elle se relève son ventre est gonflé à l extrême. Elle me demande de mapprocher, de laider. Quelques minutes plus tard, allongée sur le lit, elle a les premières contractions, elle écarte les jambes et de son sexe sort déjà une tête, puis le corps. Le bébé cri et séloigne à quatre pattes pendant quune autre tête se présente puis une autre et encore une autre.
Démonia se relève.
Javais raison, avec ce beau gosse jai fait remonter quatre de nos frères.
Les bébés ont déjà grandi. Lun deux ressemble à sy méprendre au beau gosse qui les à engendré. Démonia me prend la main et mentraîne à lextérieur.
Voila, dans deux heures ils seront adultes et pourront continuer notre travail.
Et lhomme que tu as charmé ?
Un de nos frères va prendre sa place. Il a hérité de sa mémoire. De cette façon, linvasion sera plus discrète et rapide.
Oui, tu as peut être raison.
Bon, pars travailler, pour le moment cest moi qui gagne par quatre à zéro.
A suivre
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