Elise Et Jean

Élise me dit sa joie d'avoir enfin un jeune amant : à 45 ans, c'est normal. Comme moi, sa copine depuis toujours qui cherche fortune sans trouver qui que ce soit pour faire l'amour. Pour Élise tout c'est fait simplement, d'après ce qu'elle me dit :
Un jour, un jeune plombier était chez elle pour réparer une fuite d'eau dans la salle de bain. En manque comme moi, elle osait le provoquer en montrant son entrejambe nue. Il regardait la chatte longuement, comme elle regardait sa braguette qui gonflait. Élise pensait la partie gagnée quand en se levant, le jeune Jean se touchait sans pudeur la queue à travers le pantalon. Elle a participé à sortir la pine pour, une fois bien en main commencer la masturbation. Pour elle c'était sa première fois depuis des années. C'est Jean qui l'a embrassé le premier. Bonne pioche, puisqu'ils se sont retrouvés couchés sur le lit de la chambre. Avant de le laisser faire, Élise a pris la queue dans sa bouche pour le sucer. La goût du sperme lui manque comme à moi.
Le pompier devait être bon puisqu'il giclait en elle rapidement. Son expérience ancienne peut-être, mais efficace a fait qu'elle le faisait bander rapidement. En voulant bien se faire mettre, elle se couche sur le dos, écarte bien les jambes prend la queue de Jean la conduit vers son passage. L'introduction habile lui laisse le goût de recommencer avant que de commencer. La queue ouvre son chemin dans le ventre d’Élise. La grosseur lui convient bien, même si la bite est un peu longue. Elle jouit plusieurs fois à la file : c'est bien meilleur que le gode.
Élise est charmante de me raconter son aventure qui dure quand même depuis presque un ans, alors que moi, je suis célibataire sans personne pour me baiser, sinon mon gode.
Il fût un temps où nous nous amusions avec Élise à la maman et la maman. Les contacts très intimes ne nous effrayaient pas du tout, au contraire même. Nous n'étions pas de gouines, nous nous faisions du bien faute d'aventure galante masculine.

Mais là, elle exagère, elle aurait pu m'en parler plus tôt, où nous nous serions masturbées de concert ou elle m'aurait prêté son Jean.
Tu sais, tu parle de celui qui te baise, sans me donner beaucoup de détail. Tu te fais enculer comme avant. Il te suce aussi bien que moi ?
Il me baise, m'encule et me suce, mais pour le cunnilingus, il ne te vaut pas.
Alors je vais te lécher, garce.
Ceci dit, elle est d'accord, comme quoi les amies restent des amies. Nous nous déshabillons ensemble pour être à l'aise. Nous allons nous coucher comme des gamines (à 45 ans, il faut le faire). Avant de nous coucher nous nous examinons de plus près. Bien sur nos seins ne sont pas de première fraîcheurs, même s'ils ne tombent pas, nos anches sont un peu plus fortes, nos tailles à peine moins minces. Par contre le principal est là, près à servir.
Nous sommes bien allongées cote à cote, sans doute mon sein plus porté vers le sien. Je caresse l'autre sein qui coquin durci comme avant. Son téton bande quand mon pouce le taquine un peu. Je descends ma main vers son ventre : elle a des frissons quand j'arrive au pubis. Je me redresse un peu pour mieux aller dans sa chatte. Elle est chaude, humide, prête pour la jouissance.
Élise reste immobile dans l'attente se la suite. Quand mes doigts passent dans sa chatte en évitant soigneusement son clitoris, elle gémit sachant que je vais aller dans son puits, comme avant. Mon mauvais fond m'emmène vers le périnée et plus loin. Je mouille un doigt avec ma salive avant de le poser juste sur l'anus. Je n'entre pas, je le branle comme un objet quelconque, sauf que quand je sens qu'elle ne tient plus j'entre dans son cul. Je la pénètre lentement au point qu'elle soulève ses fesses pour que j'entre en totalité d'un seul coup. Elle gémit et de surprise et de plaisir. J'aurais pu la faire jouir ainsi, mais je veux que son corps entier soit à moi, je monte un doigt vers le puits. Je l'entre en entier dans le con. C'est facile avec toute la cyprine qu'elle secréte.
Je fait aller et venir mes deux doigts à la fois. Cette fois je vais au bout de mon désir, je la fais jouir.J'aime sentir ses spasmes de jouissance autour de mes doigts.
Je change totalement de position. Je l'enjambe pour lui donner ma chatte sur sa bouche, et prendre la sienne avec ma langue. Nous aimons les 69 entre filles : d'abord il n'y a pas de bite ni de sperme, ensuite tout est doux tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. C'est vite vérifié quand je sens sa langue sur le clitoris. C'est meilleur qu'une langue d'homme mal dégrossie. Seules les femmes savent où aller et comment faire dans le sexe d'une autre femme. Nous savons doser nos caresses pour les faire durer, les faire recommencer. Si nous ajoutons nos doigts là où il faut, dans le con ou le cul selon l'inspiration l'orgasme est complet, délicieux en attendant le suivant qui vient toujours, aussi bon.
Nous prenons notre plaisir sans gêne, sans nous soucier de ce qui peut arriver : Jean, le jeune amant arrive dans la chambre. Le spectacle que nous lui donnons est pour lui plaire : deux gougars qui baisent. Il n'attend pas pour se mettre nu, il ne demande rien à personne. Je suis dessous Élise, je vois passer une bite en direction du cul de mon amie. Je l'aide même à entrer. Je me régale de voir l'enculage. J'en voudrais autant. Je suis punie quand Élise me laisse pour savourer la sodomie. Mais Jean n'est pas confortable ainsi sur nous. Il se couche sur le dos, la queue bien raide. Élise va sur lui, prend la queue dans la main, la pose juste à l'entrée de l'anus pour s'y laisser glisser dessus. Je suis aux premières loges pour voir la sodomie. J'aimerai moi aussi participer à cette curée. Je vais sur la bouche de Jean : je lui donne ma chatte en entier. Qu'il s'en débrouille seul. Élise l'a bien dressé. Il sait bien faire les cunnilingus même si elle m'a affirmé le contraire tout à l'heure. Il a une façon très personnelle de mettre sa langue dans le cul, en mettant également deux doigts dans mon con.
Nous pouvons nous embrasser avec Élise. Nous nous pelotons aussi. Bref le plaisir est complet sauf que je n'ai toujours pas eu de queue dans le ventre.
Puis Jean jouit dans le cul de son amante. Il la fait sortir : il bande toujours autant. Comme il ne bouge pas, je vais moi sur sa queue. Elle est toujours aussi dure. Élise ne m'a pas menti en disant qu'il tenait le coup. C'est beau la jeunesse. Je vais m'imposer sur sa queue. A mon tour de me faire mettre. A mon tour de jouir avec une vraie bite dans le ventre. C'est sacrément bon quand il entre. Il remue juste ce qu'il faut. Il me baise comme un dieu antique. J'accompagne ses mouvements, ne voulant en louper aucun. Je resserre mes muscles vaginaux pour mieux le sentir. Je me laisse aller dans une série d'orgasmes rares. Il baise réellement bien. Je comprends qu’Élise veuille le garder, pourtant il a de la réserve.
Quand je jouis c'est une véritable feu d'artifice dans ma tête et mon corps. Je remue dans tous les sens, quand je sens son jet de sperme dans mon ventre. Quand je me relève la bouche d’Élise est contre mon vagin pour récupérer du sperme qui coule du ventre ; Elle m'embrasse ensuite pour que nous partagions cette liqueur. Je suis définitivement adopté par ce couple. Nous recommençons une autre baise qui dure jusqu'au matin.

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