Les Aventures De Johanna

Depuis toute petite et au plus loin que remontaient ses souvenirs, Johanna se touchait et aimait ça. Bien sûr elle le faisait quand elle était seule et c’était devenu mécanique, comme un soulagement quand elle était stressée ou comme d’autres auraient fumé une cigarette.
C’est par curiosité qu’elle s’était donnée au premier garçon qui l’avait caressée car elle voulait savoir ce que ça faisait d’être touchée par une autre main et, bien sûr, d’être pénétrée.
Elle avait trouvé cela fort agréable malgré que le garçon fût plutôt maladroit et pas très beau, ce qui ne l’empêcha pas de continuer de se toucher tout en multipliant les conquêtes. Sa soif de plaisirs la fit devenir une salope réputée au lycée puis à la fac. Puis elle rencontra David et tout changea.
David était le type d’homme qui lui plaisait : Il était grand, beau et surtout il avait une énorme bite dont il savait se servir à merveille. De plus, il avait toujours envie de sexe et prenait Johanna partout et n’importe quand ce qui était merveilleux pour elle. Il la baisait en arrivant du boulot, dans la cuisine, en levrette tandis qu’elle était accoudée au plan de travail .Elle faisait celle qui continuait d’éplucher ou de laver jusqu’à ce que la jouissance lui fasse lâcher prise. David aimait ces scènes de quasi-viol où elle jouait l’indifférence et se permettait ainsi de la bourrer à fond sans remords.
Elle adorait aussi le sucer, prendre cette grosse queue dans sa bouche et la pomper jusqu’à ce que le jus d’amour lui noie les amygdales, la faisant tousser mais sans jamais recracher une goutte du précieux liquide. Elle avait appris à aimer ce jus, un peu comme on avalerait un médicament au début, puis le gout était devenu familier à tel point qu’elle ne pouvait passer une semaine sans avoir avalé deux à trois fois le sperme de David. Johanna pensait avoir trouvé l’homme idéal si bien qu’elle devint fidèle et qu’ils finirent par se marier.
Six mois passèrent et tout allait pour le mieux pour Johanna.

Toutefois, elle ne pouvait s’empêcher de penser aux multiples aventures qu’elle avait eu avant son mariage et malgré son amour pour David elle se disait qu’elle ferait bien un jour une petite entorse au contrat, d’autant que leur voisin, un beau brun au regard profond, ne lui était pas indifférent.
Il suffisait que Johanna mette un petit haut coquin, le voisin se retrouvait dans l’ascenseur avec elle à plonger ses yeux noirs dans son décolleté ce qui la faisait immédiatement mouiller comme une fontaine. A croire qu’il savait quand elle sortait. Pourtant elle avait des remords et n’osait se décider.
Ce soir-là, elle pensait encore au voisin quand David l’appela de son portable : « Ma chérie, je suis en panne de voiture … »
_Et moi qui avais une si grosse envie de toi, tu vas être en retard ? »
_Non car quelqu’un m’a pris en voiture et nous arrivons. Je serais pratiquement à l’heure. »
_Ok mon cœur, je t’attends. »
Johanna était émoustillée par ses pensées. C’est vrai qu’elle avait un gros besoin que son mari la prenne violemment car elle s’était excitée toute seule à penser à ce voisin. Et maintenant David n’aurait peut-être plus envie de sexe avec les ennuis mécaniques auxquels il avait été confronté. Il allait avoir une humeur de chien bien que ce n’était pas trop son habitude. Elle avait préparé le repas quand la clé tourna dans la porte.
_Entre, tu as bien mérité un apéro mon vieux ! » Disait David à celui qui l’accompagnait.
Johanna sortit de sa cuisine et vint à la rencontre des arrivants. Là se trouvait David et … Le fameux voisin ! Une chaleur envahit son ventre et le regard noir plongea en elle comme un feu qui ravageait tout sur son passage. Elle sentait ses jambes trembler et se dit qu’il fallait faire quelque chose pour ne pas se faire remarquer.
_Entrez, installez-vous, je vais vous le servir cet apéro, ce sera un plaisir … »
_Partagé ! » Lui rétorqua immédiatement le beau brun.
Le rouge montait aux joues de Johanna.
C’était flagrant, David allait s’apercevoir de quelque chose.
Elle se remettait. De toute façon il n’y avait rien entre cet homme et elle. Elle se maudissait intérieurement. Juste des envies, des pensées, mais David ne pouvait savoir…
Les hommes s’étaient installés sur le canapé et sirotaient les whiskys que Johanna leur avait apportés.
_Alors Vincent, comment tu la trouve ma femme ? » Dit David, un sourire coquin aux lèvres.
_Très jolie, surtout très excitante ! »
Johanna ne comprenait plus. David parlait d’elle avec cet homme comme d’un objet, d’une voiture. Elle était déçue et en même temps excitée à mort. Et Vincent lui avouait pratiquement devant son mari son désir de la sauter !
_En plus c’est une sacrée coquine, elle adore le sexe, c’est un bon coup !
_Mais David… » Essaya-t’elle de rétorquer.
_Ne me dit pas que Vincent te laisse froide, je suis sur du contraire. »
_Non mais… »
_Montre-lui tes seins ! » Ordonna David.
Johanna ne l’avait jamais entendu lui parler si brutalement, le ton était autoritaire et ne souffrait aucune contestation. En même temps, c’était ce qu’elle souhaitait. Elle arrêta de réfléchir et se soumit. Elle arracha d’un coup son tee-shirt et son soutien-gorge ensembles. Ses jolis seins apparurent aux yeux des garçons.
Ils n’étaient pas énormes mais une main ne suffisait pas à en contenir un en entier. Ils se tenaient dressés, fiers et leurs aréoles claires semblaient fixer Vincent dans les yeux.
_enlève le reste ! » Ordonna à nouveau David sur le même ton.
Johanna obéi encore à son mari, sentant cette chaleur dans le ventre augmenter et sa chatte s’humidifier au fur et à mesure de l’effeuillage. Elle aimait ce que David lui faisait faire. Vincent, lui, avait sorti sa queue et la massait lentement en regardant le strip-tease.
Elle était toute nue devant cet inconnu et elle se mit à tourner sur elle-même pour qu’il profite de la vue de son corps sous tous les angles.
Son plaisir augmentait dans la même proportion que la queue de Vincent augmentait de volume. Cette bite semblait déjà plus grosse que celle de David qui était pour sa part bien dimensionnée. Johanna avait déjà vu bien des sexes d’hommes dans ses prouesses d’adolescente et pouvait juger en connaisseuse.
_Suce-le ! » Continua d’ordonner David.
_Tu es sur ? Tu veux aller plus loin ? » S’inquiéta-t-elle.
_Suce-le ! » Reprit-il plus fort.
Johanna n’avait jamais sucé d’autre homme que David, son mari. Tous les autres l’avaient prise sans préliminaires et toujours dans son vagin car c’était la condition qu’elle leur imposait. Elle n’avait cherché avec eux que le plaisir immédiat, brutal.
_Allez, dépêche-toi ! »
Vincent était assis dans le canapé. Johanna se mit à genoux entre ses jambes et se mit à lécher doucement le gland déjà énorme de Vincent. Sa langue parcourait la hampe, le gland et elle le prit en bouche. A ce moment, la main de David appuya fortement sur la nuque de sa femme, la forçant à avaler la bite de Vincent jusqu’au fond de sa gorge. Dans le même temps, Vincent donna un coup de reins qui enfonça encore davantage sa queue dans l’œsophage de Johanna qui s’étouffait. Jamais David ne s’était enfoncé si profondément à cet endroit et cette bite était si grosse et longue ! David la relâcha et elle put ressortir le monstre de sa bouche, mais elle le renfonça d’elle-même aussitôt et aussi profondément. Elle voulait montrer qu’il n’y avait pas besoin de la forcer.
Vincent, qui n’avait pas dit grand chose depuis son arrivée s’exclama :
_La vache ! Elle aime ça ! »
_Je te l’avait bien dit que c’était une bonne salope » Répondit David.
_Elle est vraiment bonne, voyons voir sa chatte maintenant » reprit Vincent.
Il se leva, laissant sa place à David qui mit sa bite à son tour dans la bouche de sa femme. Vincent se plaça derrière Johanna et enfonça sa queue dans sa chatte trempée. Elle y entra sans problème malgré la taille.
Johanna était au paradis, son homme dans sa bouche et le sexe de son nouvel amant au fond de son ventre qui la fouillait profondément. Il la bourrait sans ménagement et elle sentait tous ses organes se malaxer sous les coups de boutoir. Vincent l’inonda d’une marée de sperme, remplissant le ventre de Johanna. David le suivi de peu, surprenant sa femme qui essayait de crier sa jouissance en s’étouffant dans le sperme de son mari. Ils se désunirent et se laissèrent tomber dans le canapé épuisés.
_Merci à vous deux, dit Johanna dans un souffle, mais comment as-tu deviné David ce que je voulais ? »
_Depuis plusieurs nuits tu rêves à voix haute, et comme j’avais envie de te prêter depuis un moment … »
_On va continuer alors ? » Demanda t’elle, l’air faussement innocent.
_Non seulement on va continuer mais tu auras l’ordre de satisfaire à toutes les envies de Vincent même en mon absence. Tu devras tout me raconter après …
Johanna était ravie. Pourvu que Vincent soit imaginatif !!!

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