Sa Queue

Il bande quand je lui demande de me faire des choses agréables : j’aime me faire baiser. J’ai un besoin urgent d’orgasme. J’aime voir les queues raides, j’aime les avoir en moi. Aujourd’hui je la veux dans l’anus. Je me colle contre lui quand il est couché sur le coté. Je remue les fesses pour mieux le sentir. Je l’excite normalement. Je le sens gonfler doucement dans la raie des fesses. Je le masturbe doucement en bougeant. Il me semble que mon cul a des spasmes, comme s’il jouissait.
Enfin il passe sa queue dans ma raie, il glisse doucement vers la chatte. J’écarte un peu les jambes : il est en moi, je mouille. Il coulisse dans ma moule C’est bon, je vais jouir après lui peut-être. Je ne peux m’empêcher de mettre ma main sur le clitoris. Je le caresse pendant que je me fais baiser. Ca y est, je craque en jouissant. J’aurais voulu attendre encore un peu.
Il sort de la moule, j’ai un vide. Je retiens sa queue avec la main. Je le dirige vers le petit trou. Le gland se pose sur moi. J’écarte encore un peu les fesses. Il ne fait rien jusqu’au moment où d’un seul coup en arrière j’arrive à le faire entrer. Quelle sensation de sentir sa queue venir me remplir par l’anus.
La première fois qu’il m’a enculée, je n’ai pas aimé : j’avais mal partout quand le sphincter anal le laissait passer. Je le laissais faire pour son plaisir. Un soir, comme ça j’ai ressenti la meilleure des sensations d’avoir une bite dans le cul. Depuis, j’aime me faire sodomiser après qu’il m’ait baisée. Je suis attentive : quand je la sens grossir dans l’anus, je sais qu’il va éjaculer. Je sens à peine son jet. J’aime garder sa semence au fond du cul, jusqu’au lendemain. Dès fois il m’en met tellement que je coule du trop plein.
Le lendemain matin j’aime le sucer, j’aime le sentir bander dans la bouche. Dès fois il me semble sentir le gout de mon cul sur sa bite : j’aime assez. Je décalotte le gland doucement, je lèche le bout un instant, juste pour qu’il soit dur.

Je n’aime pas trop le sentir mou.sur la langue. Quand il bande bien, je me tourne pour lui donner mon abricot. Sa langue passe entre les lèvres, survole le con, descend souvent sur le cul. Elle tourne sur l’anus, le lèche doucement : il me fait frémir. Mes dents jouent alors avec son bout, je le mordille. Je rends à ma façon ce qu’il me fait. Je passe deux doigts sur les couilles d’abord, puis doucement vers l’anus. Il doit aimer la chose puisqu’il me laisse faire. Je caresse doucement le bord de son anus. Seul l’index entre en lui. Selon ma position je peux voir mon doigt : c’est excitant de le voir entrer d’aller et venir sans le cul de son amant. Là, je sens sa bite gonfler se tendre pour me donner la semence. J’aime ce goût légèrement salé, plus ou moins acre selon qu’il a jouit depuis plus ou moins longtemps.
Il est le premier que j’avale. Les autres voulaient que je le fasse, mais je savais que je ne pouvais pas, rien quand goutant la petite goutte juste avant. Je crachais toujours le fluide. Mais lui, c’est différent. Il ne me force jamais. Les autres, des fois me demandaient de baiser avec d’autres pour me voir. Lui me baise pour notre plaisir seulement.
Quand nous finissons de jouir en 69, nous nous embrassons encore. J’aime lui donner le peu de sperme que j’ai encore sur la langue. Il me lèche la bouche, les lèvres et la langue. Je lui donne aussi ma cyprine qu’il lèche à la source. Dans nos bouches nos jus se retrouvent. J’aime y sentir mon gout, mon odeur. Lui me dit qu’il aime sentir son gout sur la langue.
L’autre jour nous étions dans un restaurant. J’ai eu envie de lui. Je touchais sa queue sous la table. Je voulais le branler, le faire jouir. Il n’a pas voulu. Nous avons été aux toilettes. Là dans une cabine il m’a enlevé le string. J’étais trempée quand il m’a fait mettre debout sur la cuvette, les jambes écartées. Je tendais mon pubis. Il m’a bouffé la chatte en me mordant le bas ventre. Je gémissais de désir. Il a enfoui sa tête, sorti sa langue pour lécher tout le con.
Il a tout arrêté juste avant que je parte. J’allais hurler de désespoir quand il m’a baisé avec sa main : il m’a mis presque tous les doigts. Je ne savais plus comment me mettre tellement c’était bon. Je crois avoir crié quand j’ai joui. Je l’ai branlé doucement pour lui donne ce qu’il m’avait fait. Son jet m’a surpris de sa soudaineté et sa violence : il giclait très loin à mouiller un mur de la cabine.
Quand nous sommes revenus nous asseoir j’ai vu qu’il avait un peu de cyprine sur le menton. Je l’ai léché devant tout le monde.
Il doit acheter un gode pour que je me branle quand il est absent. Je sais que quand nous l’auront il voudra que je l’essaye devant lui. J’aime lui faire plaisir, je me régalerais de jouir sans qu’il me touche. A moins que je le suce pendant que je me fais reluire. Ou alors il se branlera comme l’autre fois quand je ne pouvais pas me baiser. Je lui racontais comme j’aimerais qu’il me baise après, quand je serais disponible. J’aimais voir sa main sur sa pine, aller et venir. Il aurait voulu me la mettre. Je l’encourageais à se faire du bien. Le gland disparaissait des fois sous la main, avant de réapparaitre. Sa semence est sortie avec force. Ou alors il me baisera avec sa queue, je pourrais me faire du bien de l’autre coté avec l’engin. Je serais double pénétrée enfin. Je pourrais comparer ainsi avec sa queue seule. Je pense que ça doit être bon d’avoir sa queue dans le con et l’autre dans le cul : je me caresse des fois quand il me baise.

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