Pascale Sans Culotte
Ce matin, en me réveillant, jétais dhumeur badine. Après une petite sucette à Antoine, je me suis levée pour aller faire le café. Un peu à la bourre, jai pris ma douche en vitesse et suis redescendu, toujours nue comme un ver, le boire avec lui. Comme jétais pressée, on a pas pu continuer
je me suis habillée, dune jupe noire un peu évasée et assez courte, et dun petit haut blanc sans manche. Il faisait soleil, et la journée sannonçait belle. Je nai mis ni culotte, ni soutif. Jaime bien me sentir libre, presque nue sous mes vêtements. Pas de culotte, cest agréable, mais si je rêve un peu trop, la mouille peu couler, faire des traces
Le soutif, cest surtout pour cacher mes tétons qui se dressent facilement. Avec mes petits seins, je nen ai pas vraiment besoin.
Et je suis partie au boulot. En marchant jusquau garage, je sentais lair frais sur ma chatte
cétait bon.
Au garage, jai revêtu ma combinaison et jai démarré sur ma moto. Arrivée à mon cabinet, je peux lenlever, ce qui me permet de mhabiller comme je veux..
La journée sest déroulée normalement.
Je porte une blouse pour travailler, donc mes patients ne voient pas trop que jai les seins à lair
Le dernier patient de la journée est un patient, à qui je dois faire une échographie. Je le fait allonger sur la table, torse nu, tourné sur le côté, et massied derrière lui, au contact de sa cuisse. Ayant un peu chaud, jouvre le haut de ma blouse. Je massieds près de lui en écartant un peu les cuisses. Je commence lexamen, mais après un petit moment, je sens une main sur le bas de ma cuisse. Ce nest pas désagréable. Je devrais larrêter. Ça ne se fait pas avec un patient. Mais je commence à fondre. Jai toujours envie de sexe, mais là un peu plus. Alors je le laisse faire. Jattends de voir. Je le sens qui caresse ma cuisse. Pas très facile de se concentrer. En plus je nose pas trop bouger de peur de larrêter.
Ma secrétaire passe la tête par la porte.
« je men vais, bonne soirée, a demain !
- A demain, bonne soirée.
Jentends la porte se fermer. Il na pas bougé pendant cet échange, probablement prêt à battre en retraite, mais finalement, il remonte, remonte vers ma hanche. Il doit chercher la culotte, mais ne la trouve pas, et pour cause.
Pas de problème, il poursuit son exploration et descend maintenant vers mon pubis. De mon côté, la mécanique est lancée, ma chatte me démange, plus du tout envie de larrêter.
Je termine mon examen quand je sens ses doigts sur ma chatte. Il passe sur le mont de vénus, puis descend vers le sillon, effleure clito qui dépasse et sattarde un peu sur la fente, qui laisse le passage au doigts vers lorifice vaginal déjà très humide
. Il me doigte doucement, un petit cri méchappe, jécarte les cuisses
Jadore avoir un doigt dans la chatte, jaimerai que ça dure
mais je termine lexamen, puis me lève doucement. Il se lève également et sapproche de moi, plante ses yeux dans les miens
et ses lèvres sur les miennes, je suis envahie par cette langue qui simpose, me pénètre, caresse la mienne. Comme cest bon. Sans lâcher laffaire, il me débarrasse de ma blouse puis dégrafe ma jupe, qui tombe à terre. Je me débarrasse de mes chaussures, il relève mon petit haut
sécarte pour le passer au dessus de ma tête, et reprend le baiser. Me voilà à poil et à sa disposition ;
Jai le temps daller verrouiller la porte à clé ; il me fait allonger sur la table dexamen, sur laquelle il était linstant davant, mécarte les cuisses et plonge dans mon entrejambe, tout en maintenant mes jambes. Je sens sa langue qui caresse délicatement la naissance des cuisses, glisse vers ma chatte, doucement sur le haut de la fente, descend délicatement, sans même toucher clito, qui doit pourtant bien dépasser, tendu quil est, glisse sur mon sillon, fouille un peu plus profond, touche les petites lèvres, sinsinue dans lorifice vaginal que son doigt vient de délaisser, tourne un peu autour, se glisse à lentrée.
Jai dû tomber sur le dieu du cunni ! et pourtant, ce nest pas le premier.
Il prend entre ses lèvres toute ma fente, puis lèche clito qui nen peux plus, je pousse des petits cris, je sens la jouissance monter, mais il arrête, le temps que la pression redescende, souffle doucement, reprend un petit lechouti délicat, puis insiste à nouveau, sarrête. Mes cris accompagnent les mouvements de pression, fort dans la montée, plutôt gémissement quand il arrête.
Et finalement, il reprend un rythme plus rapide et soutenu, je monte, je monte
. Et du plus profond de moi, je sens la vague de lorgasme qui déferle avec les spasmes dans mon ventre et limpression de tomber du ciel
au moment fatidique, sa langue sest immobilisée, comme sil savait que clito ne supporte plus dêtre touché à ce moment là.
Je reprends mes esprits lentement. Il se relève. A mon tour je me lève, déboutonne son pantalon, enlève ses chaussettes et le fait allonger sur le lit. Je monte à califourchon sur lui et passe mon visage sur son boxer, déformé par une bosse explicite.
A mon tour, je caresse avec mes lèvres et mes joues ladite bosse, puis délicatement, je passe mes doigts sous lélastique, et libère la bite tendue en faisant descendre le boxer jusquau chevilles. Nous voilà à égalité, nus comme des vers.
Je reviens vers la queue, bien gonflée, coiffée dun joli gland violacé qui dépasse du prépuce, une petite goutte perle au méat. Je commence par lécher le long de la hampe, vers les petites boules imberbes, que je caresse de mes lèvres. Je remonte en glissant ma langue le long de la verge, puis dans le sillon, très délicatement.
Puis je gobe le gland, et enfonce dans ma bouche cette queue qui va bientôt me prendre, jusquau fond de ma gorge, je fais des va et viens en gorge profonde. Bientôt, je lentends gémir à son tour doucement. Je continue les va et viens et la gorge profonde, tout en me déplaçant pour lui présenter ma croupe et notamment ma chatte palpitante. Il se met à lécher, laper, titiller clito, puis descend vers ma rondelle, la lèche, tente dintroduire la pointe de sa langue
du coup jai du mal à me concentrer, mais je garde la situation en main, en léchant sa queue comme un glace, en serrant la base et en caressant la paire de couilles de lautre main. Je le sens vibrer, il est moins pressant sur mon arrière train, moins concentré peut-être ?. Je marrête avant datteindre le point de non retour, jai trop envie quil me prenne.
Je me retourne, à califourchon sur lui, puis présente sa belle bite à ma chatte. Je massoie doucement, elle rentre progressivement, jusquau fond. Mmmhhh comme cest bon. Je lenserre en moi, puis commence à bouger. Je garde le contrôle de lexquise pénétration, même sil tente quelques mouvements. Je magite sur lui dans tous les sens.
Après un moment, il nous fait basculer, sans sortir de moi, et je me retrouve sur le dos, toujours embrochée. Il passe ses deux bras sous mes cuisses et les relève. Je me retrouve les genoux à la hauteur de la tête, la chatte bien ouverte. Il se met à pilonner façon marteau piqueur, sarrête, repart. Je nai plus aucun contrôle de rien. Me voilà dans mon bureau, à poil besognée activement par un homme
et jaime ça !
Je ne peux plus bouger du tout, je ne peux que sentir sa queue qui me défonce, me saillie. De temps en temps, il sarrête à lentrée, avec juste le gland en moi, puis repart, tantôt très lentement, profondément, tantôt très vite. Je couine en mesure.
Lidée dêtre baisée comme une salope dans mon bureau, dêtre défoncée, démontée, saillie en couinant par un mâle puissant amplifie le plaisir.
Chaque fois que la jouissance sannonce, il sarrête. Je ne cesse de monter vers le plaisir, et de redescendre ; un spécialiste des montagnes russes ?
Et puis il sarrête à nouveau, sort sa queue, recule, et me guide pour me faire mettre à 4 pattes. Il savance derrière moi. Jécarte un peu les cuisses, jai vraiment hâte quil me prenne à nouveau. Je sens son gland juste à lentrée de ma petite grotte. Quest-ce quil attend ? Ses mains caressent mes hanches, mes seins, mon dos, ma bouche
je souffle un : « viens, prends moi » à son oreille. On a tout le temps me dit il. Je suis folle de désir. Il poursuit ses caresses. Ses doigts viennent caresser doucement clito, qui doit être tout dur. Je nen peux plus, alors je recule dun coup sec, et sa queue revient en moi, je pousse un cri, il se met en mouvement, et me pilonne un moment en me tenant par les hanches, je perds pieds, puis il ralenti, mais sous mes cris, continue à me baiser, tout en caressant clito. Ça ne rate pas : je sens à nouveau la vague orgasmique qui sabat, je crie, fort
et je le sens qui vibre également et décharge sa semence en moi.
Je suis sonnée par cette jouissance. Nous restons quelques minutes dans cette position, puis il se dégage lentement, retire la capote pleine de sperme, puis me serre contre lui. Collé lun contre lautre tendrement, nous discutons un moment. Il me confie quil avait envie de me faire lamour depuis longtemps, mais quil nosait pas, et cest de voir ma poitrine en liberté sous ma blouse qui la déclenché.
De mon coté, je lui ai dit que javais adoré sa façon de faire et que rarement je navais été si bien baisée. Nous avons convenu de recommencer, de façon impromptue comme là ou plus formelle, éventuellement avec les conjoints
sa femme et lui sont bi. Nous pas, lui dis-je, mais pourquoi pas ?
En rentrant le soir directement enfilé ma combinaison de moto sur mon corps nu. Arrivée à la maison jai pris une douche, puis me suis habillée dun pantalon dintérieur et dun petit haut. Quand il est rentré, jai bien entendu tout raconté à Antoine. Il a été très intéressé, et content que je lai fait, mais il ma quand même dit : « ne saute pas tous tes patients quand même ! »
Il était un peu jaloux quil mait fait jouir comme ça, mais je lui ais dit que ça nétait pas aussi bien quavec lui.
Il a commencé à me déshabiller doucement, puis a me caresser. Jai ouvert sa braguette, et repris la sucette du matin. Il ma fait mettre en levrette, ma tartiné la rosette de gel, ma doigté, puis prise par derrière. Jadore quil me sodomise.
Nous avons violemment joui ensemble.
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