La Démoniaque Sarah 13
On sest séparé, elle est repartie en chasse et moi je me suis laissé guider par ma queue. Elle ma amené vers un grand magasin. Je me suis promené dans les rayons a la recherche dune victime jen repère une, une grande blonde en minijupe. Je lai raccompagnée jusquà sa voiture, je la trouvais agréable, je lai prise contre la portière de sa voiture rapidement elle a jouis et je lai rempli de mon plaisir puis, je suis remonté dans le magasin.
Ce jour là la caissière était une grande brune plutôt mature, sensiblement mon âge et à peu près ma taille. Elle passa les bouquins sans rien dire et, lorsque je lui présentai ma carte, elle précisa simplement :
- Il faut la glisser dans le boîtier et composer votre code.
Simple mais efficace : un bon point pour elle
Mais, alors que je la dévisageais en attendant que la machine veuille bien prendre en compte mon paiement, elle ajouta un clin dil coquin des plus évocateurs, suivi dun léger sourire complice.
Fichtre ! Elle plutôt jolie femme et elle est tombé sous mon charme. Encore une.
- Je sors dans une demi-heure aujourdhui, ça vous dirait de mattendre à la sortie
Si ce nétait pas une invitation ça !
Je me suis mis à bander presque aussi sec en la regardant.
- Votre reçu
monsieur, votre reçu
votre reçu
votre reçu monsieur.
Elle a dû dire ça plusieurs fois mais jétais dans un autre monde. Jai saisi le ticket sans rien ajouter, la cliente suivante nous écoutait, une pointe de curiosité sarcastique au coin des lèvres.
Je me suis arrêté au bout de la galerie marchande. Allait-elle passer par là ? Une fois dehors, je me suis assis sur un banc et jai attendu bien sagement.
Une bonne heure plus tard, mais jétais dans mes pensées et un peu hors du temps, une femme sest penchée vers moi :
- Excusez-moi mais ça a été un peu plus long que prévu.
- Oh, ce nest pas grave, pas grave du tout.
- Je mappelle Sabine, et vous ?
- Pierre.
- Et bien Pierre, on va chez vous ou chez moi ?
- Pardon ?
- Écoutez, je vous plais et vous me plaisez, alors pas de chichis entre nous. Vous avez envie de baiser et jai moi aussi très envie de baiser, ne perdons pas de temps
Allons chez moi, ce nest pas très loin.
- Mais vous faites ça avec tous les clients qui achètent des livres pornos ? ai-je demandé bêtement, en la suivant sur le parking.
Elle éclata dun rire franc et massif :
- Oh non, rassurez-vous, vous êtes lun des premiers
Hi, hi
Et, en plus, vous, vous nêtes pas un inconnu. Vous venez souvent au magasin, je vous ai vu plusieurs fois, et jai repéré votre petit manège. Je sais que vous venez ici pour aborder des femmes. Et comme vous me plaisez, je me suis dit « Tien, pourquoi pas moi ?». Il ny a pas que les clientes qui ont envie de ce genre daventure, les caissières aussi ont des envies pressantes. Je métais juré que si un jour il vous prenait de passer par ma caisse, je vous mettrais le grappin dessus.
Jen suis resté baba elle ne savait pas a quoi elle sexposait.
- Vous ny allez pas par quatre chemins, Sabine.
- Je sais ce que je veux. Jaime baiser et je le dis, ça vous dérange ?
- Mon dieu non, bien au contraire, je trouve ça très excitant.
- Et pour ce qui est des revues pornos, moi aussi jaime bien en regarder. Alors, vous voyez Pierre, nous sommes vraiment faits pour nous entendre, non ?
Elle me fit un nouveau clin dil.
- Et ne dites pas que je ne vous plais pas, lune de vos dernières victimes me ressemblait comme deux gouttes deau.
- La grande brune à lunettes ?
- Vilain flatteur ! Le principal cest que je vous fasse bander
Vous me suivez ? Je possède la petite R5 bleue qui est là-bas.
Une fois arrivés chez elle, elle me proposa un verre. Mais je neus pas le loisir de le déguster.
A peine étais-je assis sur son canapé que Sabine se jeta à mes pieds et commença à défaire un à un les boutons de mon jean.
En silence, sans même échanger un mot, elle commença à me branler, à me caresser les couilles, avec inspiration, avant demboucher sauvagement mon sexe. Tout laissait supposer quelle adorait sucer ma bite et quelle avait lhabitude de ce genre de pratique. Un sacré savoir-faire même ! Il fallait voir comment elle lavalait cette queue, avec quel appétit féroce. Cétait trop bon, trop fort, elle était vraiment trop douée cette fille.
Ensuite, elle se redressa et me présenta ses seins. Des seins lourds et gonflés, entièrement couverts de taches de rousseur, comme le reste de son corps. Je me suis penché pour les embrasser tout en les soupesant, ces beaux globes lourds et pulpeux. Les bouts commençaient à durcir.
Sa respiration saccéléra tandis que je tétais fiévreusement ses tétins, en excitant ses aréoles.
Elle sallongea delle-même sur le tapis et mattira à elle, et me fit venir entre ses cuisses. Apparemment, elle avait très envie de se faire manger. Jécartai sa culotte mais elle me demanda de la lui déchirer, ce que je fis de bonne grâce :
- Bouffe-moi, je nen peux plus dattendre, dévore-moi ma petite chatte.
Je décidai de mappliquer, de lui en mettre plein la vue, de grignoter avec passion son beau sexe charnu. Cette belle fille couverte de taches de rousseur était vraiment délicieuse à manger, à sucer, à aspirer. Elle finit par jouir comme une damnée en se contorsionnant dans tous les sens, en criant sa jouissance avec force et sans pudeur. Un jet de cyprine gicla sur mon menton, un jus chaud et enivrant.
Sabine mattira alors à elle, les cuisses grandes ouvertes, entièrement offerte à cette saillie :
- Je nen peux plus, prends moi maintenant, baise-moi, là sur le tapis mais fait attention, je ne prends rien.
Je voulais bien croire quelle nen pouvait plus. Elle désirait que je la pilonne, fort, plus fort, très fort. Elle implorait mes coups de reins, mes coups de queue dans ses entrailles.
- Vas-y, à fond, plus fort, défonce-moi profond.
Elle saisit mes fesses et mattira encore plus à elle. Le clapotis de sa mouille était obscène mais bougrement excitant.
Mais mon pilonnage en règle ne suffit pas à la rassasier. Elle en voulait encore bien plus. Elle se releva, me fit allonger sur la moquette et vint sasseoir sur moi. Puis elle attrapa ma queue avec dextérité avant de la guider en elle. Cest alors quelle sempala sur moi, et ce jusquà la garde.
Je la voyais de dos, son grand dos constellé de taches de rousseur. Elle montait et descendait sur mon sexe tendu à lextrême. Elle en voulait vraiment.
Puis elle varia les positions, par-devant, par derrière, à quatre pattes sur le canapé ou penchée sur le fauteuil. La chatte toujours insatisfaite et un sacré coup de rein
Elle me chevaucha ainsi comme une Amazone sans faiblir pour un bon moment.
Et puis elle sarrêta net, terrassée enfin par une série de spasmes violents. Cest ainsi quelle jouit sans retenue et quelle mentraîna dans sa jouissance. Au plus profond de son être jai libéré ma semence.
- Oh ! Non, tu as jouis en moi.
- Je nai pas pu me retenir.
- Oh non, je risque de me retrouver enceinte.
- Tu es déjà enceinte, tu va grossir pendant neuf semaines et mettre au monde un de mes frères.
- Non, ce nest pas possible.
- Oui, cest possible et ça arrive à toutes les femmes avec qui je baise, je ne les baise que pour ça. Va à cette adresse, on va ty accueillir et ils taideront. Maintenant il faut que je parte.
Quand je lai quitté, elle était en pleurs mais je suis sur quelle ira à ladresse que je lui ai donné quand son ventre gonflera.
Jai continué mon travail et jen ai baisé encore quatre puis jai eut un coup de fatigue et je suis rentré.
A la maison Démonia était déjà la. Elle ma regardé mécrouler dans un fauteuil et dun air narquois elle ma demandé
- Alors combien aujourdhui ?
- Six, cest mon plus mauvais score depuis plus de quatre semaines.
- Tu es battu.
- Moi, battu ?
- Oui, avec mes cinq amants, jen ai fait vingt justes aujourdhui et ils sont tous déjà au travail. Pour toi, les premiers arriveront dans quinze jours.
- Oui, mais en sept mois, avec une moyenne de dix par jour, jen suis à presque cinq cent.
- Peut être mais pour le moment, je gagne. Les miens sont déjà au travail. Les tiens ne sont pas encore sortis.
- Bon, je ne dis plus rien, je suis fatigué.
- Ne dors pas trop, il faut quon aille voir ce que nous ont préparé tes servantes.
- Oui, daccord, je dormirais plus tard.
On est parti. A coté de la chapelle, il y avait comme un camping. Sarah est venue me voir et ma présenté les dix vierges quelle avait sélectionné pour moi puis Mélanie a présenté a Démonia les cinq males qui lavaient suivi. Démonia se léchait déjà les babines en regardant ces males prêt à tout pour elle.
De mon coté en faisant le tour des vierges jai repéré une fille, je la connaissais bien, cétais Marie, une de mes premières petites amies, cest moi qui lai dépucelé a la sortie de lécole. Des le premier jour de classe, cette fille ma tapé dans lil. Jai travaillé pendant tout un trimestre pour men faire une petite amie prête a tout pour moi. Ça mavait couté beaucoup defforts pour la charmer et arriver à la faire jouir a chaque fois que je la voyais sous mes caresses, et enfin un soir, jai réussi à la culbuter dans le bosquet en la raccompagnant chez elle. Elle a beaucoup aimé ce que nous avions fait ensemble et le mois suivant, je me la tapais tous les week-ends un jour son père nous a surpris et après une engueulade sévère, ça a été fini entre nous, ils lont envoyé en pension religieuse. Je suis resté très longtemps amoureux delle et même de la revoir, comme ça, ça me fait quelque chose. Jai appelé Sarah, lui ais montré Marie en lui disant
- Elle, elle nest pas vierge, je men souviens très bien, cest moi qui lai embroché.
- Ah bon, je ne comprends pas, cest une sur et elle ma jurée quelle était vierge.
- Ne bouge pas, je vais la voir. Cherche une autre fille pour la remplacer.
Je me suis approché de Marie, Marie me regarda droit dans les yeux.
Tu es sûre que tu es vierge ?
Marie rougit violemment, et referma ses jambes dans un dernier et inutile acte de pudeur. Puis elle détourna les yeux.
oui, jen suis sure, je suis aussi pure que le petit oiseau dans son nid.
Je la fixai longuement.
- tu es bien Marie, de Lyon ?
- Oui.
- Tu ne me reconnais pas ?
- Oui, tu es lex petit copain de ma sur.
- De ta sur ?
- Oui, ma grande sur, elle sappelle aussi Marie.
- Elle porte le même nom que toi ?
- Non, moi, cest Marie Hélène. Je me fais appeler Marie pour simplifier.
- Ah bon, je tai confondue avec elle.
- Oui, cest possible on ma déjà dit que je lui ressemble beaucoup mais jai huit ans de moins quelle.
- Quest-ce que tu connais de lamour entre les homes et les femmes ?
- Une femme doit se parer pour son homme, et apprêter chaque endroit de son corps. Mais ce lieu sacré, ici, doit être le plus beau, le plus doux et le plus parfumé. Cest là quils goûtent notre plaisir, et là quils nous font jouir et nous fécondent. Je ne comprends pas pourquoi tant de filles le négligent
La règle est pourtant simple : plus cest caché, plus cest secret, plus ça doit être beau. Elles font toutes le contraire
- Tu en sais des choses, toi. Et dire que je te prenais pour une oie blanche !
Marie cligna plusieurs fois des yeux.
- Quest-ce que tu veux dire ? Je te rappelle que jai dix-sept ans, je ne suis pas une ignare tout de même.
- Oh, je pensais juste que tu ignorais un tas de trucs sur le sexe
Marie rougit à nouveau.
- Jignore peut être un tas de choses sur le sexe. Mais je suis avide dapprendre
Je nai pas su quoi répondre.
- Est-ce que tu es amoureux de moi ?
- Je te trouve bien indiscrète pour ton âge. Jespère que tu ne mentais pas en affirmant que toi tu ne létais pas de moi !
Elle se mordit la lèvre, mais continua, les sourcils froncés :
- Jai le droit de savoir, se défendit-elle.
Mon regard bleu azur traversa Marie comme un poignard.
- Tu parles de tout ça comme une grande personne, Marie, mais tu nen es pas encore une.
- Pourquoi ? Parce que je suis vierge ?
- Arrête. Non, pas seulement parce que tu es « vierge ».
- Pas seulement ? Ça veut quand même dire que cest un obstacle ! Tu nas quà me prendre, quest-ce que ça peut faire, maintenant ?
- Non.
- Pourquoi, non ? ça changerait quoi ?
- Ce nest pas à toi de décider.
- Ah oui ? Alors qui doit décider pour moi ? Toi, peut-être ?
- Pourquoi pas ? En tout cas, ny compte pas
Marie se coula contre moi, chaude et douce.
- Sil te plaît, Pierre, fais-moi lamour
.
- Non.
- Je peux te faire oublier ma sur,
- Et comment pourrais-tu faire ça, Marie ?
- Mais je peux te donner beaucoup de plaisir en retour, moi aussi ! Apprends-moi le plaisir, je serai une bonne élève !
- Oh oui, je nen doute pas
- Alors, tu me feras lamour ?
A suivre
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