J'Offre Ma Copine En Ganbang 2
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Depuis cette expérience Céline est devenue ma chienne docile, ma pute obéissante, ma salope offerte et je continue son dressage. Non seulement elle est soumise mais en plus elle a découvert un côté de sa personnalité quelle aime et qui est pour elle une source de plaisir et dexcitation. Plusieurs autres rencontres se sont passées depuis. Et une particulière dont je me souviens.
Un jour, après mavoir sagement pompé la queue et vidé les couilles je lui ordonnais de shabiller et de rester comme ça avec des trainées de sperme plein la gueule. Javais jouis en quantité importante sur son visage et divers jets sétaient répandus sur ses cheveux, ses joues, ses lèvres et son front. Javais pris soin de changer à chaque fois la direction des giclées pour qu'elle soit recouverte partout.
- Ne te lave pas, je temmène voir des amis dans cet état.
Elle mis une jupe et un débardeur en prenant soin de ne pas effacer le sperme quelle avait sur le visage avec le passage du coton. Dans la rue, elle avait mis des lunettes de soleil mais on voyait clairement des trainés de sperme sur ses joues, son front et dans les cheveux. Je me tenais un peu devant elle et me retournait régulièrement pour profiter du spectacle ou prendre quelques photos avec mon téléphone. Le foutre commençait à perler et des goutes pendaient le long de son menton. Cétait bandant ! Des passants semblaient choqués dautres agréablement surpris. Certains mecs lui faisaient des réflexions carrément salaces et vicieuses en la croisant. Le mot pute revenait souvent. Je me souviens de quelques phrases qui mont pas mal excité.
- Allé, chérie vient me vider les couilles à moi aussi, spèce de salope vulgaire.
- Ptain tas vu ta gueule tes vraiment quune serpillère à foutre
- Cest du sperme que tas sur la gueule ? Tes une pornstar ou tes la banque du sperme ?
Un rital qui passait dans une rue pratiquement déserte la plaqua contre un mur, pris son avant bras avec sa main et lobligea à lui caresser la bite au travers de son pantalon.
Mon jean était déformé par une bosse énorme. La scène mavait tellement excité que je décidais de rebrousser chemin et daugmenter dun cran lhumiliation que je portais à ma propre copine. Céline semblait ravie. Le sperme quelle avait sur le visage commençait à partir, évaporé par le soleil et avalé par les pores de sa peau.
Nous sommes repassé à lappartement et je lui confectionnais une tenue des plus vulgaires et obscènes possible, à la limite de la décence. Des talons noirs plateforme de 20cm de hauteur, des bas à grosses résilles roses, un mini jupe moulante blanche transparente et un chemisier à nouer en dessous des seins. Elle compris vite où je lemmenais et le jeu que je voulais réaliser avec elle. Elle ne semblait pas gênée ou craintive et ne se fit pas prier pour shabiller de la sorte. Elle enfila un string noir quelle fit dépasser de la mini jupe, sappliqua des faux cils et se maquilla à outrance. Fard à paupière bleu, eyeliner noir, joues fardées rose et un rouge à lèvre rose bonbon accentuant encore davantage sa bouche de pompeuse de queues. Elle passa même des boucles doreilles à grands anneaux, le type même que les pouffiasses mettent. Le tout complété par un collier en cuir de chienne avec des pics en métal et un anneau au milieu.
Elle était enfin prête, debout, dressée devant moi comme une vulgaire pute, une catin des bas étages, une prostituée peu onéreuse de la rue Saint-Denis. Javais envie de lui crachais à la gueule ou de la prendre par les cheveux pour la forcer à sagenouiller et lui faire bouffer littéralement ma queue mais je voulu accroitre lexcitation et nous sortîmes. Elle ressemblait au type même de la pornstar blonde américaine dans un film gonzo sans histoire.
Arrivés dans la rue, je prenais un peu de distance. Les ficelles de son micro string noir dépassaient de chaque côté la mini jupe transparente, ses fesses étaient intégralement visibles en plein soleil, et beaucoup lont remarqué. Le triangle de tissu était vraiment minuscule. Elle faisait exprès de se tortiller et de rouler du cul. Elle salluma une cigarette et se dandinait comme ça en descendant la rue. On aurait réellement cru à une vraie pute en train de tapiner. Sans soutien-gorge, son 95D débordaient de la chemise blanche déboutonnée. On apercevait ses tétons dressés au travers et le contour de ces deux grosses boules. La hauteur des talons lui allongeait encore davantage les jambes, elle avait du mal à marcher mais dépassait tout le monde en hauteur. Les passants la dévisageaient, elle se devinait enviée, jalousée ou critiquée. Elle était aguicheuse, provocante, obscène. Plusieurs mains lui claquèrent les fesses sur le chemin, les insultes fusaient. Quelques flashs crépitaient également et je voyais des types la prendre en photo en rigolant. Un couple de vieux sest carrément arrêté scandalisé.
- Quelle salope !
- Mais quelle grosse pute ! Elle a même un collier de chienne à dresser
- Hey chérie, cest combien pour msucer la queue ? demanda un rebeu
accompagné par trois potes. Toi tas du en sucer des kilomètres de bites, reprit-il.
Un de ses potes fit remarquer quon lui voyait tout le cul. Il avait complètement raison.
- Allez viens te faire peter le cul, pouffiasse.
Quon la prenne pour une pute était tellement excitant que je voulu pousser le vice jusquau bout, et de go je leur proposais de se faire sucer la queue par cette chienne dans la parc dà côté pour 10 euros chacun. 10 euros est le tarif que je mettais sur cette trainée vulgaire. Bien quavec un corps comme le sien on eu pu monter la somme mais à ce moment là, vêtue comme elle létait, je ne lestimais pas à plus et je souhaitais lavilir et lhumilier.
- Putain mais cest que tu mouilles comme une pute, dit le type ressortant ses doigts plein de cyprine.
Ils nen pouvaient plus et la trituraient de partout, lui malaxant les seins en pleines rues et en plein jour, lui remontant sa mini-jupe pour exhiber à quiconque voudra le voir ce petit cul. Ils trifouillaient son anatomie. Ils lui tiraient le string, le minuscule bout de ficelle disparaissant dans sa raie. Elle roulait toujours du cul exagérément, en se léchant les doigts ou en suçant son index, le cul à lair. Des voitures klaxonnaient ma copine, habillée comme une vulgaire prostituée, en string dans les rues de Paris., avec un chemise nouée sous les seins qui exposait son ventre et ses hanches. Je bandais. Elle me sourit.
Arrivés au parc, beaucoup de personnes ont levé les yeux, déshabillant du regard Céline qui nétait déjà pas très vêtue mais qui avait réussi à recouvrir ses fesses rebondies avec sa mini-jupe. Nous trouvâmes un petit bosquet ombragé avec quelques haies relativement hautes qui nous cachaient un peu. Javais remarqué quelques hommes qui nous suivaient et nous épiaient de loin. Elle commença à caresser la queue des trois mecs au travers du jean. Elle se frottait le cul à un des types, cambrée, en branlant les queues quelle venait de sortir. Sa jupe fut enlevée par le haut.
- Oh putain, elle est trop bonne quel garage à bites. Sortit un des types en lui malaxant ses nibards.
- Ils sont énormes la vache, vous avez vu les meules, les gars ?
Céline semblait excitée et ravie.
- Oui, ils sont énormes et tu pourras même les recouvrir de foutre, si tu veux, mais tas intérêt à éjaculer, répondit ma copine, accroupie, le cul de nouveau à lair, en se malaxant ses énormes nibards.
- Spèce de pute tu vas pas comprendre ce qui va tarriver !
Ses tétons dépassaient et le bout de tissu qui couvrait jusqualors sa poitrine ne dissimulait plus grand-chose. Elle sortit ses deux obus et vint entourer la queue du mec avec. Bien que la queue du type soit assez longue, sa poitrine la recouvrit presque entièrement. Seul son gland dépassait. Le rebeu lui agrippa la nuque et se branlait entre ses seins, balançant ses reins davant en arrière, en lui imposant son rythme.
- branle moi avec tes mamelles de pute, Ah pauvre conne, cest trop bon. Allé salope, branle moi. Tes trop bandante.
Elle tenait ses seins dans ses mains et venait lécher le gland de temps en temps quand il ressortait par le haut. Puis dun coup, elle lui prit la bite et lenfonçât dans sa bouche, son autre main lui soupesant les couilles. Le mec poussa un râle de satisfaction.
- Salope je savais que tétais une gourmande. Jparie que tas ouvert plus de braguettes que de dictionnaires dans ta vie.
- Oh, cest des bonnes grosses couilles quon va vider sur ma gueule, ça. Réussît à prononcer Céline
- Ta gueule salope et suce plutôt que douvrir ta bouche de truie.
Elle sexécuta.
De nouveaux clients arrivèrent et plusieurs personnes lui demandèrent son tarif. 10 euros la pipe messieurs. Et moi jencaissais les gains pendant que ma copine, devenue une pute au rabais suçait, léchait et pompait en alternant les queues. Moyennant quelques euros tout le monde pouvait se vider les couilles sur elle, petits, grands, gros, laids
Les mecs formaient une chaine. Elle, a quatre pattes comme une chienne, venait sucer les types, bien alignés, au fur et à mesure. Les queues étaient dressées à la hauteur de sa bouche. Elle léchait les couilles de lun pour ramper à quatre pattes vers le suivant et venir lui aspirer le gland, le cul bien en lair. Pendant quelle sappliquait à sucer, les autres lobligeaient à leur branler la bite.
Les clients se soulagèrent en se vidant sur sa gueule ou sur ses seins. Le sperme jaillissait de partout et venait sécrasait sur ce visage de prostituée. Il lui recouvrait et lui inondait peu à peu les lèvres, les cheveux, et les yeux. Un des mecs lui ordonna de tendre les mains et recevoir ainsi le foutre comme un réceptacle. Elle du tirer la langue et avaler son sperme dans sa paume. Elle se lécha les doigts ensuite avec ce qui restait imitant une pipe.
Un autre mec est arrivé par derrière et lui présenta sa bite encore molle quelle avala sans rechigner. Elle lui goba les couilles, le lécha pour remonter le long de sa hampe et atteindre son gland.
- Regarde moi dans les yeux salope quand tu msuces, pétasse !
Elle sactivait sur la queue du mec jusquà ce quil déverse toute sa semence sur son visage. Elle avait pris soin douvrir sa bouche bien en grand et de tirer la langue pour avaler la plus grande quantité possible. Avec sa queue ramollie il étalait le liquide sur le visage de cette catin.
Ses seins, son visage et ses cheveux blonds étaient barbouillés de sperme chaud et gland, et elle continuait de nettoyer le gland afin de récupérer les dernières gouttes de semence. Puis elle recommença à pomper les queues qui se présentaient devant elle.
Cétait un objet sexuel, une poupée barbie affublée en pute. Elle était entourée de queues. Son corps ne lui appartenait plus. Son corps de bimbo, ce cul étroit et mince, cette taille fine, ses seins exubérants appartenaient lespace dun instant à cette quinzaine de types, qui déboursant quelques euros ont le privilège de la posséder. Ils envahissaient et investissaient cette bouche pulpeuse. Son rose à lèvres débordait de part et dautre de ses lèvres. Les propriétaires tapaient leurs queues sur le visage de cette chienne en essayant de lui forcer la bouche déjà occupée avec un autre membre. Elle prit deux bites en même temps en bouche pendant que ses mains en branlaient deux autres. Sa bouche était distendue, sa gorge ployait sous les coups de boutoir. Tous les hommes linsultaient, lui triturant le sexe, la bifflant, lui enfonçant des doigts dans le cul ou la chatte. Elle mouillait comme une chienne. Certains lui crachaient dessus et la forçaient à dire merci ou à tirer la langue pour avaler. Un mec lui tira les cheveux pour lui faire bouffer sa bite. Il lui imposait son rythme et lui cala son gland tout au fond de la gorge. La queue du type létouffait mais lui continuait son va et vient. Il lui baisait la bouche comme si cétait son cul ou sa chatte. Sa bite avait disparue dans la gorge de Céline, sa mâchoire était grande ouverte et elle réussit quand même à déployer sa langue hors de sa bouche pour venir lécher les couilles du mec. Elle narrivait plus à respirer.
- Avale ça ! Avale tout souillon, une bonne pute comme toi ça avale. Dit le mec, en éjaculant dans la gorge de ma copine.
Le jet était trop puissant et pour ne pas suffoquer, elle dut se retirer en toussant. Manquant de chanceler elle se retint au sol. Un peu de sperme coula le long de son menton.
- Salope ! je tavais dis de tout avaler ! ten as foutu sur mes pompes maintenant tu nettoies tout connasse !
Céline comprit avec quoi elle devait nettoyer. Elle se cambra, se plaça à quatre pattes, la croupe bien en lair, déploya sa langue et se mit à lécher le foutre quelle avait recraché. Sa tête était à quelques centimètres du sol nettoyant avec sa langue la chaussure crade du mec. Un type profita de sa posture pour lui assener une gifle sur le cul. Il tenta de lenculer à sec mais je larrêtais avant.
- lèche serpillère à foutre ! éponge à sperme ! Jen ai pas eu pour mon fric ! Tu vaux pas plus que 10 euros sale trainée. Tu vaux pas mieux que de lécher mes chiottes.
Elle se redressa en bombant le torse, ses deux énormes seins pointés vers le type, elle ouvrit en grand la bouche pour bien lui montrer la semence récupérée et déglutit le tout en souriant comme la dernière des salopes pour le provoquer.
- Ca cest une bonne chienne ! Jsais pas combien de queues tu pourrais avaler avant dêtre rassasié toi
On devrait te menotter à un arbre pour te faire sauter et servir de réceptacle à foutre par tous les passants.
Son visage était maculé de sperme, les cheveux gluants. Elle sest remise à finir de sucer les derniers clients. Au comble de lhumiliation elle semblait pourtant adorer ce faire malmener. Le dernier mec, un gros type dont le ventre heurtait le visage de Céline à chaque à-coup la saisit par les cheveux et les tirant en arrière se masturba sur son visage maculé de foutre. Je ne lavais même pas fait payer. Son gros sexe était sale et odorant. Ses doigts graisseux lui trituraient les seins. Je prenais quelques photos de la scène. Le type navait jamais du rêver pouvoir se taper un jour une fille avec ce physique.
- Elle te plait hein! Salope, renifle la bien barbie. Voilà cquon fait aux filles dans ton genre.
- Ah putain salope ! Prends toi ça dans la gueule !
Il larrosa de longs jets de sperme épais, qui coulait sur ses deux gros obus, désormais à la vue de tous. Il lui ordonna de tout avaler et de nettoyer tout ce quelle avait sur le visage avec ses doigts. Elle récura le sperme pour ensuite tout avaler avec une mine de dégout. Elle était à genoux, le maquillage coulant, les faux cils sur ses joues, haletante, couverte de sperme et de salive devant le sexe du type redevenu mou. Puis il se rhabilla, la gratifiant dune légère tape sur la joue et dinsultes et repartit.
Elle a été exhibée, souillée, humiliée mais elle sest relevée, la mini jupe tirebouchonnée sur ses hanches, maculée de sperme. Elle semblait ravie. Le retour ce fit beaucoup plus calmement.
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