J'Aime Les Coups

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le principal est sa queue. Il doit finir ainsi, dans mon corps. Nous sommes ensemble depuis toujours, enfin depuis que j'ai 17 ans. C'est jeune que je me suis donné à cette pine. D'abord je l'ai caressé comme je savais : mal, très mal. J. m'a appris comment lui faire du bien. Il m'a à le faire aux autres. Je ne voulais pas trop toucher un sexe de garçon quand il était absent. La première fois que je m'amusais avec un queue plus grosse que la sienne, il me regardait de loin. Je n'aurais pas voulu, la nature sans doute m'a à être excitée. Je sentais que je coulais dans ma culotte. Dans une autre position j'aurais pu me calmer. Quand celui que je branlais jouissait, j'étais en manque. Je voulais être pénétrée.
J. me regardais en se branlant, en jouissant. Je voyais sa main aller et venir sur la queue, son sperme partir sur le sol. J'ai eu une récompense quand je le traitais de salopard : une belle beigne qui secouait le visage. Au lieu de me révolter, je prenais la main pour l'embrasser. J'acceptais ainsi la gifle et les suivantes.
J'ai sacrément grandi : à 25 ans, j'aime toujours baiser à droite à gauche. S'il me traite avec amour, il me frappe souvent Je dois le mériter quand je fais des bêtises. Comme je me laisse aller à des envies particulières depuis quelques jours, par exemple céder à une femme qui par ailleurs sait bien me lécher, Il sait me corriger. Je promet toujours de m'amender.
Je ne peux pas pour de multiples raisons : un , j'aime baiser comme j'ai envie, deux s'il ne me touche pas, même en faisant mal, c'est qu'il ne m'aime plus ; trois, j'aime quand il me fait mal.
Nous étions chez des amis. La soirée était uniquement consacré à l'amour. J. était avec une de ses x couchés en train de la lui mettre. Elle gémissait exactement comme il me l'avait dit. Je voyais LE garçon reconnue comme le meilleur coup de la ville. Ce que j'en voyais me plaisait bien, une bite pas des plus grosse, mais large, des lèvres gourmandes, des mains, heum ses mains.

... Il m'a mise sur lui. C'est moi qui me suis faite baiser. J'ai jouit la première fois quand il m'a mis deux doigts dans l'anus.
Quand je me suis relevée, il m'en engueulé devant tout le monde en me promettant un belle fessées. Il me donnais envie de la recevoir, surtout devant tout le monde. Notre hôte, charmé sans doute lui propose un fouet. Quel arme d'excitation massive. J. le prend, caresse lentement ma peau sur les épaules, glisse vers la seins. Deux légers coups sur la poitrine m'excite encore plus. Je veux qu'il frappe plus fort, que j'ai des marques. Il repasse derrière, sur le dos, où il ne me laisse même pas de marque. La lanière s'abat sur les fesses. Houï., J'ai mal, ça me fait du bien, encore.
La raclée ne s'arrête pas quand il me fait écarter les jambes. Je sens l'effet sur les fesses où je reçois quatre coups, le périnée (Que c'est bon à cet endroit, que c'est excitant) enfin le sexe. J'ai une sensation extraordinaire. De plaisir et de la douleur à ma fois. C'est le plaisir qui est supérieur. Je suis la plus en vue de l'assistance. Être vue, être battus, jouir devant les autre. Oui, je veux encore. Mes seins ballottent dans tous les sens, je les laisse aller.
Il arrête de de battre.Je le regrette. S'il pouvait recommencer un peu, à peine pour me faire plaisir. Je ne reçois plus les lanières. C'est le manche qui me tape. Pas trop fort au début, la fessée devient à peine plus fort pour s'arrêter totalement.
Je vois sa queue bandée qui bouge à chaque mouvement brusque. Il ne va pas tarder à me la mettre, où je ne sais pas, je m'en, fout. Il me pousse en avant, je me penche. Je sens que le manche est sur mes fesses, entre les fesses. Non, il ne va pas me..... non....si il le fait il entre le manche comme un gode dans le cul. J'en pleurerais si ça n'était pas si bon. L'assistance me regarde, certains se touche la queue, d'autres les femmes surtout caressent des sexes des autres. Mes mains sur le pubis, je subit ce qu'il fait. Je change mes mains pour aller sur le clitoris.
Je me branle sans complexe devant tout le monde.

J. laisse le fouet dans mon cul, il fait le tour, me donne sa queue sans un mot. Je sais ce qu'il : veut. Je m'attelle à satisfaire son envie de fellation. Son gland est très doux, je le mangerais. Il me baise la bouche en allant presque trop au fond au risque de me faire vomir.J'ai enfin une récompense quand il me donne sa semence. Je sens le jet chaud avec plaisir. J'aime récupérer son jus.
Il m'offre à ceux qui voudraient ou de mon con ou de mon cul. Oui, qu'on me baise ou m'encule, je veux une queue en moi.
J. les laissent me manipuler. J'ai droit à deux amants. Leurs bites me plaisent, même si une est un peu grosse, surtout pour le cul. Le premièr est sur le dos, je m'agenouille sur lui, mes jambes ouvertes pour que je puisse agir. Lui passe sa queue sur le clitoris, s'y attarde un bon moment, juste pour me faire jouir une fois rapidement.
Enfin il vient dans le con. Je suis tellement mouillée qu'il me baise sans coup férir. Il va au fond du vagin. C'est bon... Je m'allonge sur lui, l'autre derrière moi passe sa grosse queue dans la raie. Il est sec, trop sec. Il s'en fiche, il me veut, il me prend. J'ai mal horriblement mal.Il force pour entrer. Je m'ouvre d'un seul coup. La il est en moi, totalement. Je sens la grosseur de sa queue autour de l'anus. Les deux bites vont et viennent en moi, elle se touchent presque. C'est bon, encore meilleure que la dernière fois que je me suis fait mettre. Il manque quand même un peu de sel : une torgnole ferait du bien.
C'est plus fort que moi, j'adore recevoir des coups avant, pendant et après l'orgasme qui sinon est incomplet.

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