Soumission Totale
Deux jours après mon retour à mon domicile, mon épouse rentre à son tour. Nous sommes sincérement heureux de nous retrouver ; ma femme n'a pas besoin de toute sa perspicacité pour se rendre compte que mon apparence n'est plus tout à fait la même : sans encore avoir constaté l'absence de pilosité sur le sexe, les jambes, la poitrine et des bras différents.
Mon comportement l'intrigue ; je n'ai pas l'impression d'avoir changé, j'essaie de me resi comme le mari que j'étais et que je suis.
Elle me pose les questions habituelles de retrouvailles, où, comment, sur la qualité de mon séjour, mais elle ne semble pas entièrement convaincue par mes réponses assez évasives sur certains aspects.
Elle-même a effectué, semble t'il, un très bon séjour magyar avec ses amies. Elle n'est pas très expensive sur le sujet.
Nous montons nous coucher et comme d'habitude après une période relativement longue de séparation, son très beau cul me procure un feu sexuel immédiat que nous nous empressons d'éteindre ; je crois que je ne lasserai jamais de son superbe corps.
Toutes ces fortes émotions me font oublier que, depuis la dernière séquence de chauds ébats avec ma femme, mon apparence physique a quelque peu évoluée ; quant à elle, lorsqu'elle s'apprête à enrober ma bite de ses lèvres, l'absence de pilosité ne lui échappe pas.
Surement surprise, elle continue cependant de bien me sucer, puis soudain s'arrête et m'en demande la raison ; je lui explique confusément que j'avais envie de le faire depuis longtemps, question de confort personnel...
_et tes jambes sont bien glabres aussi, mon chéri, est-ce aussi pour confort personnel ou t'es tu remis au cyclisme ?
Ma bandaison en prend un coup, j'aimerais pourtant qu'elle aille au bout de sa fellation ; et puis, basta ! Je lui présente un mari bisexuel, qui souhaite des expériences homme, et que j'en ai envie depuis bien longtemps. Je n'en peux plus de mentir et je lui déballe tout depuis ma première expérience homo, jusqu'à mon besoin de travestissement et ma recherche de soumission.
Une demi-heure d'aveux, ou plutôt de révèlation, car je me sens de moins en moins géné, encore moins coupable.
Et que croyez vous qu'il arrivât ?
Elle se lova contre moi, m'obligea à me mettre sur le dos, me chevaucha, me prit le sexe, me masturba légèrement jusqu'à la raideur souhaitée et d'un coup s'empala sur ma bite. Elle se trémoussait, ondulait comme jamais ; soudain elle s'arreta, me garda bien au fond de son vagin, elle se couchat sur moi et m'embrassât fougueusement.
_Je t'aime mon chéri ; je ne sais comment te dire, mais j'ai toujours aimé ton côté compréhensif, cette façon de me comprendre ; je ne suis pas surprise par ta bisexualité et je pense que je te considére quelque part comme un mari idéal.
Je ne serai pas un obstacle, au contraire, je souhaite continuer à participer activement à ta vie sexuelle.
Autre chose aussi, le fait que ton premier amant ait été un noir rajoute à l'érotisme de ton comportement. Je me souviens qu'à l'époque, il t'arrivait de te comporter en amant noir, que tu décrivais avec détails ; et j'en puisais une source de plaisir que j'essayais de te cacher tant bien que mal.
Nous fîmes l'amour comme jamais, torridement et sans frein, libérés, des idées plein la tête.
Nous étions pratiquement au premier jour de notre liaison.
Bizarrement l'idée d'être seul, soumis à l'autorité d'un maitre, me lancinait moins, mais n'avait pas disparue. L'idée de mon cher Bernard, de baiser ma femme, refaisait jour en moi ; cependant, il m'apparaissait difficile de prendre contact avec lui dix-huit ans après.
Je décidais toutefois d'appeler un ex-collègue toujours dans mon entreprise à Dakar et qui connaissait Bernard. Il me promit d'essayer de le retrouver.
Plusieurs jours plus tard, je pouvais reprendre contact avec Bernard. Je l'appelais ; à priori il n'avait pas changé et je prenais plaisir à dialoguer ; lorsque j'abordais ma promesse de proposer ma femme, il y a bien longtemps, il partit d'un grand éclat de rire.
_c'est dommage, que tu ne l'as pas fait étant sur place.
_c'est vrai, mais il n'est pas trop tard ; j'aimerais te revoir tu sais. Si tu le veux je te paie le voyage...
Il m'expliqua ensuite que c'était bien tentant et qu'il m'enverrait un mail le soir même.
Après accord sur la date, en novembre, je lui fis mettre un billet d'avion à disposition ; je le prendrai entièrement en charge dès son arrivée.
J'avais à peu près deux mois, pour préparer sa venue matériellement et surtout pour préparer ma femme ainsi que tout mon entourage : voisin, famille, collégues, etc.
J'avais imaginé dans un premier scénario, qu'il couche à la maison dès le premier soir, mais je pensais que, dans ce cas, il n'y aurait pas le piment d'une approche progressive et surtout désirée par ma femme. Il fallait que mon maitre soit aussi librement adopté par ma chère et tendre.
Pour elle, je décidais de lui présenter Bernard comme étant un ancien collègue qui venait en stage au siège de la société.
Le jour attendu, je récupérai Bernard à l'aéroport ; la sortie ne se fit d'ailleurs pas si facilement que cela, les raisons du voyage n'étant pas très claires pour les policiers ; enfin tout se termina bien.
Mon Bernard avait encore forçi, quelques cheveux gris qui lui allaient très bien ; je le trouvais superbe et à nouveau une vague de chaleur me prit au ventre.
Je le déposais à son hotel où j'avais réservé une grande chambre ; à peine la porte refermée, je lui sautais au cou pour l'embrasser ; ses lèvres et sa langue avaient toujours ce goût salé que j'adorais.
Je l'attirais vers le lit, impatiente de lui prodiguer toutes les caresses qu'il méritait ; mais, il n'avait pas perdu de cet esprit de domination qui me poussait à bout de désir, qui se refusait pour ensuite mieux me prendre ; il souhaitait prendre une bonne douche avant toute chose.
Nous nous sommes dévêtus, puis sous la douche tiède je lui passais du gel doucement ; la mousse sur son corps d'ébène magnifique, et le contact onctueux de sa peau m'électrisaient à nouveau.
Tendrement je lui pris le sexe et doucement sous mes baisers et mes succions il me dévoila la force du désir qui montait en lui ; son érection était à nouveau impressionnante mais tellement jolie ; quelle belle bite tu as mon Bernard.
Il me prit debout sous la douche sans autre préparation et marqua la possession de son territoire par un énorme jet de sperme dans mes entrailles. Les retrouvailles étaient consommées.
Je rappelais à ma femme, le soir même, le rendez vous que nous avions avec mon pseudo-collègue, Bernard, demain soir. J'en profitais pour présenter quelques traits particuliers de Bernard, je le décrivais comme très dragueur, amateur de femmes et ne parlais pas de son côté bi. C'était son premier déplacement en France, donc il ne connaissait pas trop tous les usages locaux ; enfin, je le présentais comme un excellent ami du temps où j'étais en Afrique.
A Bernard, j'avais présenté mon épouse comme peu délurée, non pas farouche mais discrète ; il ne s'agissais donc pas d'agir en hussard. D'autre part elle n'était pas au courant de nos rapports sexuels.
Le lendemain, je récupérais Bernard à son hotel ; en chemin je m'arrétais chez un fleuriste et fit faire un superbe bouquet que Bernard offrirait ; si ça n'est pas la classe !
Habillé de vêtements neufs que je lui avait achetés, tendant le bouquet et plaçant un sourire aux dents étincelantes, Bernard marqua ses premiers points dès l'entrée ; à la façon de se comporter de ma femme, j'avais la conviction que le contact était positif et que le courant passait bien.
Bernard se comportait en parfait homme du monde, courtois, à l'écoute, il m'étonnait un peu, mais j'en étais fier.
Nous abordâmes de nombreux sujets, le repas de mon épouse fut récompensé par des applaudissements ; Bernard adore le vin mais n'en fit pas une consommation excessive et à la fin du repas, que Bernard et moi aidèrent à desservir, nous bûmes un excellent cognac.
A un moment donné, ma femme était en cuisine, je dis à Bernard d'accen sa drague vis à vis de ma femme et, quand à mon tour je me serai éloigné, de lui proposer de la revoir.
Vers 23 heures, je raccompagnais Bernard à son hotel, il me fit un petit rapport de ses conversations en tête à tête avec ma femme et je rentrais rapidement chez moi.
Ma femme, qui ne dormait pas, me dit qu'elle trouvait que mon ami était très sympa mais aussi très entreprenant et en se blotissant dans mes bras, me fit part des propos de Bernard quant au plaisir de la revoir rapidement.
_Et alors tu as envie de le revoir, que lui as tu dit ?
_Si je le revoie, c'est avec toi ; je lui ai dit qu'il était le bienvenu ici quand il le voulait.
_Bien, je le réinviterai demain,
_Pourquoi, ne lui laisserions nous pas, la chambre d'amis? Ce serait quand même mieux qu'à l'hôtel.
_Tu as raison, je le lui proposerai.
Dès le lendemain, notre ami pris possession de sa chambre ; il devrait s'y sentir à l'aise. Ma femme avait pris un soin particulier à la décorer.
Bernard prit ses marques tout de suite ; il était naturellement chez lui ; il se conduisait avec ma femme comme une amie de tous les jours et celà ne la choquait pas du tout. Ils riaient de bon cur et chose impensable, il n'arrétait pas de la prendre par le cou, par la main en ami, rien de sexuel mais inhabituel chez ma femme.
Dès le premier soir, à peine couchée, ma belle se précipita dans mes bras et me dit avoir envie de Bernard ; c'était plus fort qu'elle, il la magnétisait. Je comprenais d'autant plus que j'avais vécu ce même tumulte intérieur à Dakar.
Je lui proposais d'aller le chercher ; elle se cabra et me demanda d'éteindre la lumière. Je me levais et partis chercher mon maitre amant.
Je passais devant en entrant dans la chambre, ma belle Isabelle était assise dans le lit, revêtue d'une nuisette d'un bleu tendre avec des dentelles. Bernard et moi sommes assis de part et d'autre du lit et Bernard la complimente ; elle minaude. Je passe derrière ma femme, lui met la tête sur mes genoux et bernard en slip toujours se met à genoux et avance la tête vers l'entrejambe d'Isabelle ; il la caresse, ses immenses mains noires sur le velouté du ventre de ma femme sont magnifiques. Ma chère épouse est en route pour le nirvana.
Bernard s'applique et de ses grosses lèvres et de sa langue il suce, titille, aspire, appuie sur la belle chatte offerte ; belle offrande rose au mâle noir.
Moi, je maintiens toujours Isabelle et lui dit des mots d'amour ; elle se tend, puis se relache un peu, sa tête roule d'un côté et d'autre. Sa main se pose sur la tête de Bernard et appuie pour le sentir plus encore ; il en profite pour lapper plus fort. Puis de longues minutes plus tard, ma femme prend la tête de Bernard à deux mains et l'attire à elle. Il est couché sur elle et ils s'embrassent fougueusement, un bras d'Isabelle autour du cou de Bernard.
Nous changeons de position ; Bernard est allongé sur le dos, il occupe une grande partie du lit et c'est un magnifique soixante-neuf qu'il pratique avec Isabelle ; elle enfourne, sa petite main remonte sur la hampe, elle est éperdue de reconnaissance à ce membre délicieux qui lui prodigue de merveilleuses sensations ; moi je lui caresse les fesses, le dos : sois heureuse, ma chérie !
Ce soir, je t'offre mon maitre, il est entièrement à toi ; demain il faudra partager...
Ponctué de multiples orgasmes, leur soixante-neuf dure une éternité, mais je partage à distance ; à peine s'est il arrété que Bernard retourne mon Isabelle pour la couvrir de toute sa masse, et cette fois je présume que rien ni personne ne pourrait l'empêcher de la posséder.
Comme une poupée, il l'avance, la déplace afin d'être au mieux, pour la pénétrer. Isabelle me lance un regard de feu, je ne la reconnais pas. Je regarde ravi et médusé, le beau gland s'approcher de la vulve de ma femme consentante, doucement, lentement.
Une force majestueuse se dégage de ce membre noir lorsqu'il pénétre et disparaît entre ses lèvres distendues... c'est merveilleux.
Ma femme ne bouge pas, seul le bassin de Bernard ondule avec puissance mais sans mouvement brusque. Ils sont délicieusement emboités, arme noire sur tunique blanche.
Seuls de petits gémissements réguliers de mon Iabelle ponctuent ce lent labourage de Bernard ;
quelquefois, le mouvement s'accélère, les gémissements sont plus intenses et les ondulations repartent inexorables.
Quand, arrivé au paroxysme de cette fusion bicolore, il se libère enfin et rempli de sa semence le ventre de ma petite femme, nous sommes tous les trois unis dans un bonheur total.
Longtemps après, à regret, mon Bernard se retire, encore ivre de désir, et je prends sa place, ma tête dans les cuisses d'Isabelle et là je récolte le trop plein de ce merveilleux nectar, à pleine bouche.
Le reste de la nuit fut une fête permanente ; notre seul objectif était de rendre notre maitre heureux.
Jamais repue, ma petite Isabelle, fut transpercée tant de fois...
Nous nous sommes régalés de ce corps d'ébène majestueux, l'esprit accaparé par la volonté de notre maitre.
Dès le premier soir mon maitre nous avait entièrement possédés, que présageait l'avenir ?
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