Découverte De Soi
Je nai jamais eu envie dun homme, jai toujours été attiré par les femmes. Pourtant en commençant à travailler, un homme a commencé à me troubler. Il avait plus de cinquante ans, 1m80, les cheveux blancs et bien portant.
Jétais nouveau et cest lui qui ma aidé à mintégrer en minvitant au café avec les autres, ainsi quà la cantine. Il était très sympa et mappelait « mon lapin » parfois. Les autres se moquaient mais je tournais ça à la dérision. Deux trois ont fait des allusions sur lui mais rien de concret. Il avait en outre un grand garçon et une femme.
Nous commençâmes à aller à la piscine pour faire des longueurs. Un an environ passa quand un geste changea quelque chose pour moi. Lors de la douche (avec le maillot), en sortant, il me mit un claque sur les fesses. A partir de cet instant jai commencé à le voir autrement.
Là encore le temps passa, nous échangions des images cochonnes et il recommença sa tape quelques fois. Il fit des allusions sur le passage de savon dans le dos mais sans le repousser, je ne lencouragea pas trop. Lors dune douche, alors quil passait sa main dans le maillot, je ne sais pas pourquoi jeu envie de voir son sexe et mon regard se perdit dans les ombres de son maillot. Ce que je cru nêtre quun instant fut certainement plus long car je le vis me regarder. Vite je fis mine de regarder ailleurs. Il ne dit rien ce jour-là.
Le temps passa encore et certains mails « rigolos-pornos » avaient des images dabord avec des travestis puis plus que des hommes. Sur lune delle il me fit un commentaire et nous engageâmes un échange plein de sous-entendus.
Pendant un mois environ les mails furent plutôt tournés vers des images/vidéos homos mais toujours vers la plaisanterie. Cette plaisanterie par contre nétait plus sur la liste de messagerie mais quentre nous. Je commençais à me masturber en limaginant. Cétait complètement nouveau, jétais soumis. Au début mes pensées étaient plutôt soft mais très vite ce fut hard.
Puis ce fut les vacances. Il partit et je fus sevré dun coup. Un certain manque sinstalla et jeu le temps de fantasmer.
Lorsquil revint il menvoya un message me disant quil avait pensé à moi et même fait un rêve. Jai longtemps hésité à répondre, tant javais peur mais je lui demanda quel était ce rêve. Il refusa dabord mais jinsistais en disant que je ne me vexerai pas quoi que je fasse dans son rêve. Il me dit que je lavais sucé comme un fou, après cette réponse je tournais cela à la plaisanterie mais jétais heureux intérieurement.
A la fin de la première sortie piscine, je plaisantais lourdement sur le peu de cabines. Je ne pouvais pas aller jusquau bout de mon idée mais rien que ces plaisanteries me chauffaient le sang et me faisaient peur. Il me surprit alors en entrant sans rien me dire avec moi dans la cabine. Là, mon cur raisonnait dans mes oreilles. Ma vue se brouilla presque. Il fit comme si de rien était et sortit son maillot. Son sexe en demi-érection. Il commença à sessuyer avec sa serviette et moi je navais pas fait un mouvement. Je repris mes esprits et me déshabilla à mon tour. Je vis juste son regard sur moi. Je ne sais pas pourquoi je fis tout pour montrer mes fesses, mon dos et ma cambrure. Je pus voir que son sexe étais maintenant tendu et ses mouvements de serviette, plutôt une légère masturbation. Aucun mot navais été échangé. Puis enfin, je me tournais vers lui et maccroupis pour « messuyer les pieds ». Lui savança légèrement et je fus quasi au contact de son sexe, il bougeait légèrement. Il était circoncit, plutôt fin.
Je referma ma main sur sa hampe et sentis la chaleur. Je leva les yeux vers lui et vis que les siens étaient fermés. Je ne savais plus quoi faire même si tout en moi me disait de toucher, embrasser, sucer, lécher. Timidement je commença à le masturber, découvrant son corps, ses bourses. Il se raidissait de plaisir et posa sa main sur ma tête.
Dehors on discuta comme si de rien était mais avec une gêne terrible. Mais par mail se fut plus facile. Je lui dis que ça mavait plu et lui espérait plus. Il me dit quil était seul dans 3 semaines et que je pourrais passer un après-midi chez lui. Je ne fis plus que fantasmer mais langoisse montait également.
Cétait bizarre, je navais pas envie dun autre homme, et je navais pas envie de lembrasser mais cétait le sexe, juste ça qui menflammait.
La semaine juste avant il me demanda décrire des fantasmes et de les lui montrer.
Au début ce fut dur décrire cela, le premier mot soft envoyé fut horrible.
Jattendis sa réponse pendant ce qui me parut un siècle. Il semblait content pourtant et mencouragea à plus hard.
Lun deux fut mon préféré, jécrivais et lui faisait. Jétais assis entre deux chaises, et je lui dictais tout en écrivant mes envies. Il me demanda den écrire le plus possible et que lon verrait ensemble la suite. Autant dire que je ne pensais plus quà cela.
Chez lui, jeu toute les peines à entrer, je tremblais. Il me servit un thé puis je lui demanda sil avait un truc un peu plus fort. Nous bûmes (surtout moi) et je retrouvais mon calme. Il alla chercher son ordi et via ma clé usb je pu accéder à mon fichier. Lorsquil vit le début, il alla me chercher une serviette de bain, car je ne portais quune serviette dans mon histoire.
Je me déshabilla et mis ma serviette puis je posa le PC sur la table, me positionnant une fesse sur chaque chaise. Lalcool aidant, javais moins peur et surtout je me sentais excité. Je le sentis approcher et je pus lui montrer le texte petit à petit.
Il est derrière moi et passe ses mains sous la serviette. Une par devant, lautre par-dessous.
Il me caresse les cuisses
Puis descend vers mon sexe. Il me masturbe doucement.
Une main passe sur mes couilles. Cest bon, continue. Je mouvre, je me cambre et mes jambes poussent les chaises qui sécartent un peu plus.
Le coquin joue avec ma serviette en me caressant et moi jai limpression donduler. Je tremble en écrivant.
Il caresse mes fesses, ma queue, mon ventre, mes bourses et moi je tends mon corps vers lui.
Sa deuxième main se dirige entre mes fesses
Il caresse autour de mon trou, innocemment, puis il le touche, le frotte. Un de ses doigts commence à appuyer puis senfoncer, juste légèrement.
Il doit aller chercher le gel qui nest pas loin.
Je me retrouve seul, nu et jai limpression davoir froid. Les mains froides. Cela maide décrire. Je lentends revenir. Jai envie de me cacher.
il quitte ses vêtements car je veux maintenant sentir sa queue me frôler.
Les caresses reprennent puis il fait glisser ma serviette.
Le gel est froid et il me le passe abondamment sur mon trou, ma raie, mes fesses puis même mes bourses et mon sexe.
Cela fait un drôle de petit bruit de succion.
Tout en membrassant le dos et les épaules, il reprends son exploration.
Un de ses doigts me masse lentrée du trou puis me pénètre alors que son autre main me masturbe lentement.
Je me cambre encore, les chaises sécartent encore un tout petit peu.
Doucement. Je sens sa main qui est plaquée sur mes fesses, le majeur dans mon cul.
De lautre main il alterne entre mes couilles et ma queue. Mais doucement car je me sens déjà près de jouir.
Il joue avec son doigt en moi. Mon excitation est totale, je ne peux plus marrêter.
Jen veux un autre
Il fouille puis le deuxième est là. Ce fut plus dur mais délicieux.
Doucement
Voilà, de longs mouvements de va et vient. Sa main est plaquée sur mes fesses alors que ses doigts son dedans.
Jentends sa respiration rauque, dun coup je penche ma tête en arrière et je lembrasse à mon tour. Ma bouche souvre et ma langue cherche la sienne.
Ma queue me fait mal de plaisir
Jai envie dun troisième doigt, je veux être plein.
Sa main libre passe sur mon sexe puis le reste de mon corps. Il étale du gel partout. Jai limpression dêtre « sale ».
Je laide en résistant à sa poussée. Cest plus dur mais le gel laide
Là, voilà 3, doucement
Jentends son souffle plus fort. Il membrasse le cou, les épaules.
Ses doigts mécartent mais ne vont plus aussi loin. Trois doigts ! de savoir mon trou dilaté, de sentir son désir, je veux être baisé !
Il me caresse les couilles et je me tends. Je ne veux pas jouir.
Je lui dis que je veux sa queue, que je suis prêts.
Il sort ses doigts
Se colle à moi, bien derrière. Une de ses mains caresse mon dos maintenant et lautre guide sa queue.
Jai un creux au ventre
Je tremble
Son sexe se frotte à ma raie et doit se couvrir de gel
Il butte sur mon trou plusieurs fois
Pousse
Je veux quil sarrête au gland
Je me re-cambre encore, offert
Le bout passe. Pas de douleur, juste un bien être, la tension autour de mon anus se relâche. Le bien être remonte jusque dans les reins
Il ne bouge pas. Le bout en moi.
Il a ses bras et une main sur moi
Je pose ma main gauche sous mes fesses et je sens mon trou avec sa queue.
Je pousse et son sexe viens de plus en plus loin.
J adore j aime j ai envie quil me défonce mais en même temps pas tout de suite.
Vas-y entièrement mais doucement
Je le sens avancer
Ça y est il est là dedans, entier.
Ma queue me fait mal dêtre si tendue.
Il est plaqué contre moi, ses mains me tiennent
Vas-y doucement
Il mencule,
Ça y est, je sens son sexe et mon anneau qui lentoure. Je sens son corps cogner le miens.
Enfin
Une main sur mes couilles et lautre sur ma queue mais sans me masturber car je suis au bord de la jouissance, il fait des vas et vient. Il me dit que jai un super cul, il soupire.
Non attends néjacules pas
Ne bouge plus
Jondule sur sa queue
Je repasse ma main gauche sous mes fesses pour la sentir entrer et sortir.
Je fais des vas et viens, puis dun coup, il me serre, il va venir.
Le point de non retour.
Il se lâche complètement ! son bas ventre vient taper contre moi, il accélère.
Vas-y vas-y vas-y
Branles moi
Jai éjaculé sur le parquet et lui en moi.
Son corps se contractait et venait se coller.
Le bruit du gel
Ses mains qui envahissaient mon sexe, mes bourses.
Ma bouche était grande ouverte comme pour crier.
Lorsque jai joui, jai senti mon anus avoir des contractions autour de sa queue.
Je fus pendant quelques instant surexcité, désinhibé.
Il est là, encore en moi avec quelques mouvements lents.
Il me demande de rester ce week-end aussi ?
Oui
Je lui annonce que je veux du sexe, du sexe et du sexe. Je le sucerai, le lècherai, je lui donnerai tout.
Et il me prendra mais je serai sur le dos, les jambes écartées. Je veux le voir jouir.
Cela lui remit le feu au sang, il se retire et me demande de le suivre dans sa chambre.
Déjà ?
Là il massoie et me présente sa queue à demi en érection. Elle sent le sexe, le sperme.
Jhésite une seconde puis je me saisit de son sexe. Je men occupe doucement.
Mes mains touchent ses bourses et revoilà son sexe qui gonfle. Je lavale et je mapplique.
Je salive, je lèche, je suce, je masturbe.
Ses mains ont saisi ma tête.
Plusieurs fois je le regarde sa queue dans ma bouche, il respire fort à nouveau.
Il me dit que jen veux vraiment, quil ne pensait pas que jallais être comme ça, en chaleur.
Il me repousse vers le lit, reprends du gel et je comprends ce quil va faire.
Fou dexcitation je mallonge sur le dos au bord du lit, je lui livre mon cul.
Mon cur bat à fond à nouveau. Il regarde mon cul et guide son sexe et moi je le regarde, il est rouge dexcitation, comme une bête.
Mon anus est encore plein de sperme et de gel mais il en remet.
Je soulève mon bassin et écarte mes jambes. Je mhumilie.
Une de ses mains remonte une de mes jambes et mon anus se dévoile plus encore. Sa queue touche mon trou et commence à pousser.
Il me regarde, le bouche ouverte, il force
Mon anus résiste et cède le faisant entrer.
Je lui demande de recommencer, jaime.
Après plusieurs fois il ne veut plus ressortir, il mencule doucement puis par puissant et lent coup.
Jatt mes jambes et lui se tiens dun bras et commence à me branler
Son bassin viens taper mes fesses, jentends le claquement de la peau et du gel
Il sarrête dun coup, crispé. Il va jouir mais il ne veut pas tout de suite.
Je sens un pouvoir de faire jouir et jondule mon bassin.
Il halète et me soupire un non de plaisir.
Dun coup il reprends. Je suis aux anges, il va jouir, il ne peut plus se retenir.
Il accélère, je lencourage « vas-y »
Jéjacule sur lui et moi puis je le sens qui jouit aussi.
Je passe ma jambe devant lui et lui demande de saccrocher à moi sur le côté.
Nous sommes là, essoufflé et jai encore sa queue dans le cul.
Jaime ça, jen veux plus. Du cul. Je ne sais pourquoi je menflamme comme cela. Je découvre et je veux tout.
Je lui dis que je vais vénérer sa queue.
Il semble hésitant et me dit quil ne me voyait pas aussi chaud.
Tout en plaisantant à moitié il me dit que ses copains madoreraient, mon cul est enchanteur.
A peine avait-il dit cela que je me sentis une nouvelle envie.
Mais je lui explique quil ny a que lui que je veux voir, les autres cest juste des queues. Je ne me sens pas avec dautres que lui.
Il me propose de me bander les yeux et que lui me parlerait, me décrirait.
Je dois vraiment avoir un problème car jaccepte.
Il se rue sur le téléphone, me laissant vide.
Je lentends discuter et leur dire ce quil a fait et que ça vaut le coup.
Dun coup je rougis, jai honte quand il parle de moi comme cela.
Il raccroche et me dit quils passeront manger.
Ce soir, dans 4 heures. Dans 4 heures jallais subir ses amis.
Il me dit quil les connait depuis longtemps et quil leur avait parlé de moi et leur avait fait lire mes mails.
Mes mails ! à deux de ses copains ! javais encore plus honte.
Jhésite entre partir et rester mais au final jaime le sexe.
On se douche puis on va à sa piscine nager un peu et on parle de tout et de rien. Je ne pense plus quà ça. Je crois que cest les fantasmes de piscine.
Le temps passe doucement et son téléphone sonne. Il raccroche et me dit quils vont arriver.
Je narrive pratiquement plus à bouger et respirer. Jai limpression de ne plus avoir de jambe.
Mais je le suis dans sa chambre. Il tire les rideaux et me déshabille doucement. Jai trop peur pour bander.
Je narrive plus à penser mais je le rassure et lui dit que cest bon.
Il mallonge sur le dos et me pose une serviette sur le sexe. Je relève mes genoux et coince la serviette, dernier rempart entre eux et moi.
Je lentends remonter en discutant puis il entre, et vient me passer un bandeaux sur les yeux.
Il se mets sur le lit également, et me parle à loreille.
Il veut que je me dévoile petit à petit, que je me caresse.
Au début je narrive quasi pas à bouger, puis il me caresse le torse et vient toucher mes bourses et ma queue sous la serviette. Mes jambes se sont écartées pour le laisser passer.
Jai entendu du bruit sur ma droite et au fond du lit. Ils sont là. Lun deux doit être de lautre côté, près de mon cul.
Dun coup mon excitation prends le dessus, il a réussi à ranimer mon sexe qui se tends contre la serviette.
Mes mains remplacent les siennes et il revient près de mon oreille. Il me dit que je leur fais de leffet et quils bandent comme des bêtes.
Je continue à me masturber doucement, à caresser mon anus aussi. Je bouge également la serviette, jai limpression de dévoiler mon intimité.
Le lit sest enfoncé sur ma droite et en face de moi. Ils se sont approchés.
Je fais glisser ma serviette et cache mon anus avec une main. De lautre je continue de me toucher.
Je me cambre un peu et souffle un peu plus fort. Ma bouche est ouverte légèrement. Je maperçois que je suis essoufflé.
Il me dit quils vont me caresser maintenant. Je me crispe un peu, ne sachant pas où va être ce contact.
Doucement, je sens deux mains se poser sous mes cuisses et les caresser. Une autre sur mon ventre puis qui glisse vers mon sexe.
Mon ami remonte alors mes mains vers lui par-dessus ma tête vers ses jambes. Je my accroche.
Ça y est, je suis entièrement à leur merci.
Celui de droite commence à me sucer et lautre remonte mon bassin et plonge sa tête dans ma raie. Il me lèche le cul, me lembrasse.
La pipe est lente et me maintient en excitation totale. Je nai plus de tabou tellement je suis excité.
Je sens que lon me tartine les cuisses et les fesses de gel, je vais y passer.
Mon ami est tendu, je touche son sexe dur. Je suis là, sous ses yeux en train de me faire baiser par ses copains.
Deux doigts me pénètrent, je soupire, je me cambre, jondule.
Je demande quon me baise maintenant. Mon ami me demande de parler plus fort, de répéter, de demander.
Alors je mhumilie en prenant une voix mi- suppliante quil enfonce sa queue.
Cest ce quil fait. Je sens son gland puis il pousse et me mets quasi tout dun coup. Mon anus sest ouvert pour lui et mon cul la gobbé.
Aucun deux na parlé mais là je les entends se lâcher.
Jai droit à « tes une belle salope » et « cest tout chaud et serré » puis dautres dont je ne me souviens pas.
Une fois dedans, deux mains accrochent mes jambes et mouvre encore plus. Je suis littéralement offert, les jambes en lair et une bite dans le cul.
Quel spectacle dois-je donner ? je men moque, jaime ça.
Il commence son va et vient.
Son bassin vient me percuter à chaque coup. Mais il nest pas violent. Cest délicieux, je me sens plein.
Il ressort complètement et je me sens perdu. Il me dit quil voulait voir mon anus ouvert.
Puis il rentre à nouveau.
Je suis au bord de la jouissance et jen perds toute inhibition. Je demande à mon ami de le sucer.
Il passe son bassin au-dessus de moi et maladroitement au départ je latt. Puis je lengloutis, je le caresse.
Lautre dit quil va jouir dans mon cul, il accélère et dun coup se crispe plusieurs fois.
Son copain lâche ma queue quil avait maintenu juste ce quil faut en état dexcitation. Je sens quils échangent les places.
Je suis retourné à genoux et à peine je suis à quatre pattes que déjà le gland est sur mes fesses.
Je tends mon cul.
Une deuxième queue me pénètre, jen veux encore !
Lun deux passe sous moi, je ne sais même plus qui et nous nous suçons.
Les deux mains sur les hanches, la bouche qui me titille et cette queue qui va et vient dans mon trou, je leur dis que je vais jouir.
Mais ils continuent. Jessaie de me retenir pour ne pas aller dans sa bouche mais le plaisir est trop fort.
Quelques secondes après je sens celui de dessous se tendre. Je ne me retire pas et prends dans ma bouche son sperme.
Lautre derrière finit également.
Je lui demande de rester un peu. Je suis là sur le lit, le cul en lair. Avec cette queue dans le cul et mon visage est plaqué contre le bas ventre poisseux de son copain.
Le goût du sperme dans la bouche.
Mon ami sort alors mon bandeau, je ne résiste même pas. Je vois le spectacle. Je les vois.
Jai honte mais cétait tellement bon.
Je suis à eux
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!