La Maman Marocaine De Mon Pote

Mounir, je le connais depuis tout petit. Pour vous dire, on était à la maternelle ensemble. Très vite nous sommes devenus de bons amis, puis les meilleurs comme on aime se le répéter plus jeune. On fantasme sur des vieux jours entre potes, mais bien souvent on se perd de vue. Avec lui ce ne fut jamais le cas. Il habitait dans la cité à côté de la mienne, avec ses parents, son petit frère et ses deux petites sœurs. Franchement, on était toujours fourré l’un chez l’autre. A jouer, rigoler, faire des conneries jusqu’à ce que les parents mettent un coup de pression ou change de chaîne quand les ados blindés de beverley Hills en venaient à se prendre la bouche, « pas de ça chez nous » ronchonnait son père en appuyant d’un coup sec sur la télécommande. Sa famille était marocaine, originaire de Oujda où je suis souvent parti avec eux. Le paternel était beaucoup plus âgé que sa maman, Malika. Je n’ai jamais su le vrai du faux, vous connaissez les tabous qui règnent autour de cela dans certaines familles, mais il semblerait que sa mère n’ait pas eu vraiment le choix. Lui avait perdu sa première femme, et il fallait qu’il se remarie. Il vivait déjà en France et l’avait fait venir du bled, un mariage arrangé en quelque sorte. Comme dans la plupart des familles maghrébines, il n’y avait aucune démonstration physique ou sentimentale à la maison, et pour être honnête, ils ne me semblaient pas partager grand-chose hormis la couche. Quoi qu’il en soit, j’ai passé chez eux les plus belles années de ma vie. Contrairement à chez moi, il y avait toujours de la famille qui débarquait, les cousins, tantes, tontons, et on se marrait, dévorant les matchs de foot ardemment. Que de bons souvenirs durant les ramadans… Je le précise tout de suite, Malika était une seconde mère pour moi. Elle me traitait comme ses propres s, allant même parfois jusqu’à me privilégier sur les parts à table ou me donnant les meilleurs morceaux, invité oblige. Elle était gentille, toujours souriante, affable, ayant le sourire facile.

Elle ne travaillait pas et s’occupait des s, pendant que lui bossait chez Renault comme ouvrier. L’appartement n’était pas très grand et des années plus tard, ils ont déménagé pour avoir une pièce supplémentaire dans le 95, le département voisin. A la maison le plus clair de son temps, elle a comme beaucoup de mamans au foyer, pris des kilos avec les années. Grande amatrice de sucre, elle était très gourmande et ne semblait pas se soucier de sa ligne. Pas très grande elle avait des formes avantageuses, voir débordantes au niveau des hanches. Une poitrine volumineuse et un très joli visage qui en faisait une femme ravissante à mes yeux même si elle ne correspondait évidemment pas aux critères de beauté en vigueur. A chacune de ses sorties elle couvrait ses cheveux d’un voile qu’elle retirait une fois à la maison, et notamment devant moi, au vu de ma place dans la famille. Elle avait une jolie chevelure noir corbeau qui lui tombait presque jusqu’aux fesses. Elle avait tendance à marcher le dos très droit, presque voutée, ce qui faisait ressortir son postérieur, si imposant qu’on aurait pu poser son assiette dessus et manger en toute tranquillité. Pour être sincère, je me suis souvent masturbé en pensant à elle et ça m’arrive encore aujourd’hui d’ailleurs.

Bien des années plus tard, alors qu’ils avaient déménagé à Ermont, je leur rendais visite dès que je le pouvais. A la retraite, le papa passait le plus clair de son temps au bled où il gérait les différentes constructions qu’il avait fait bâtir. Samira partait l’été, mais le reste de l’année elle le passait à la maison à s’occuper de ses s. Mounir n’était pas un de cœur, et les conneries de gamins sont devenus des soucis bien plus compliqués à gérer mais elle s’en occupait, seule, sans jamais se départir de son sourire lumineux. Les années n’avaient pas entamé sa beauté, et ses kilos ajoutés depuis lui permettaient de conserver ce visage si doux, aux traits fins. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais les femmes rondes vieillissent beaucoup mieux, leur peau est moins creusée par les années.


A l’époque où les faits se sont passés, j’avais 23 ans, et mes obligations ne me permettaient plus de passer aussi souvent. Je voyais plus Mounir seul, à l’extérieur, où parfois au parloir quand les choses tournaient mal pour lui. Malgré l’espacement de nos rencontres, je considérais toujours sa famille comme la mienne et ça n’a pas changé depuis. Si j’ai fait référence à la prison c’est justement car ça a joué sur le déroulé des choses. Il était en prison pour une grosse arnaque, une boite qui vendait à des clients des produits qui n’existaient pas. ment ça a fini par se savoir et vu ses antécédents, il est parti faire un séjour à l’ombre. Mounir avait besoin de quelque chose chez lui mais à cette époque, il refusait que sa mère vienne lui rendre visite. Une habitude qu’il a gardée depuis, « je vais pas lui infliger ça » me répétait il en boucle. Son frère aurait pu lui ramener mais il était au Maroc à cette période et j’ai donc accepté volontiers. Ca me faisait plaisir de l’aider et de revoir sa mère et ses sœurs. En rentrant j’appelais sa mère pour lui dire que je passerai le lendemain, elle semblait enchantée me demandant comment allait la famille.

C’était un mercredi. Je n’oublierai jamais cette journée. Il faisait beau, et surtout très chaud, nous étions début juin et la température me semblait excessive pour la saison. La route était anormalement calme ce jour-là, comme si tout le monde s’était donné le mot pour éviter sa voiture et squatter les parcs qui bordaient les bords de Seine. Dans ma super 5 blanche, sans clim évidemment, je crevais de chaud, j’avais beau avoir ouvert les deux fenêtres, rien n’y faisait, de grosses goutes perlaient le long de mon dos. Tout ce que je déteste.

J’arrivais à 14h, avec des pâtisseries achetées à la boulangerie de mon quartier le matin même, connaissant son goût pour le sucre, je savais que ça lui plairait. « Fallait pas ! » me lança-t-elle en me serrant dans ses bras. « Tu crois que je suis pas assez grosse comme ça ? » rigola-t-elle.
« Tu est très bien » lui répondis je sans réfléchir. Je crois que c’était la première fois que je lui faisais un commentaire sur son physique. J’ai vu à son regard qu’elle était un peu surprise puis sourire aux lèvres elle me dit, « c’est gentil même si je sais que tu ne le penses pas ». Je voulais réagir et surenchérir mais je me suis abstenu pour ne pas me montrer irrespectueux.

Elle était seule, ses filles avaient profité du beau soleil pour sortir avec des copines. Dans son salon marocain où de grands canapés rouges faisaient le tour de la pièce, elle ramena le thé et les pâtisseries. Après les banalités de rigueur, « comment va la famille », « et les études », « tu vas bientôt te marier ? » etc, vint très rapidement sur la table le sujet incontournable, Mounir. Au moment même où j’ai su que je viendrai, je savais qu’on y passerait. Elle avait besoin de vider son sac et je l’écoutais religieusement en mangeant mon éclair au chocolat. Je ne disais pas grand-chose, me contentant d’acquiescer ou de la rassurer quand elle m’affirmait que les déboires de son fils étaient le résultat de son éducation, « pas du tout ! Tu as fait tout ce que tu as pu. Tu lui as donné de bonnes valeurs, ses actes lui appartiennent, tu n’en es en rien responsable ». Elle sorti un mouchoir en tissu de sa longue djellabah rouge aux motifs dorés, essuya les larmes qui commençaient à gagner la commissure de ses lèvres, « tu es tellement gentil, j’aurais aimé qu’il soit aussi gentil que toi ». « Il l’est, il fait juste les mauvais choix parfois mais je suis certain que dans quelques années tout ça ne sera qu’un lointain souvenir ». Elle hocha la tête et se contenta de sourire. De mon côté je continuais d’avoir chaud. L’appartement était orienté plein sud, sans clim, et le soleil tapait, j’en pouvais plus et Malika ne tarda pas à le remarquer. « Ca va ? Tu es tout rouge. ». « Oui désolé tata (je l’appelais souvent comme ça), je crève de chaud ». Elle se leva, s’approcha et passa sa main sur mon dos.
« Tu es trempé, va prendre une douche ». Je refusais poliment mais devant son insistance, je finis par céder, surtout que je rêvais d’une bonne douche. « Vas-y, je te donnerai un t-shirt de Mounir ». Ni une ni deux, je me précipitais dans la salle de bain, me déshabillant vitesse grand v pour sentir l’eau me rafraichir. Quelques minutes plus tard, j’étais bien plus frais. A moitié rhabillé, je dû sortir torse nu, assez gêné pour récupérer le fameux t-shirt. « Tata ? Tata ? ». Aucune réponse. Bizarre. Elle était peut-être aux toilettes, alors je me suis précipité dans la chambre de Mounir et son frère pour récupérer un t-shirt. A peine avais je poussé la porte que je me retrouvais face à Malika, torse nu et je dois l’avouer, assez gêné. « Euh désolé tata, je venais chercher le t-shirt et je… ». « Ce n’est rien, ne t’inquiète pas » dit-elle dans un éclat de rire qui me permis de me détendre un peu. Elle me tendit le t-shirt, « tu as un très beau corps, les filles doivent te courir après » me dit-elle en souriant. Un énième sourire certes mais celui là avait je ne sais quoi de provoquant. « Euuh, oh tu sais tata, pas tant que ça en fait. Enfin j’ai eu des copines mais rien de sérieux ». « Détends-toi, tu es tout rouge » s’esclaffa-t-elle avant de reprendre, « c’est naturel, et puis tu es beau garçon, il faut en profiter. Ca fait si longtemps pour moi…. ». Avais-je bien entendu ses derniers mots ? Ou était ce juste le fruit de mon imagination ? Cette maman marocaine, que je connaissais depuis tout petit et qui n’avait jamais fait aucune allusion sexuelle ou sentimentale devant moi venait de m’envoyer un signal. Ca bouillait à l’intérieur de moi, mon cerveau tournait à 100 à l’heure et un début d’érection commençait à déformer la couture de mon jeans. « Si longtemps ? Tu es une très belle femme. Je suis sûr que ton mari s’occupe bien de toi ». « Lui ?! » me coupa-t-elle avec un zest de dégoût dans la voix, « ça fait cinq ans qu’il ne m’a plus touché ». J’étais totalement déboussolé et la conversation prenait une direction totalement inattendue. Mais en même temps une partie de moi me poussait à aller plus loin, je savais qu’une telle occasion ne se représenterait sans doute plus jamais. Je la regardais de la tête aux pieds et lui dis, « je ne comprends pas, tu es une femme superbe, c’est un crime de ne plus te toucher, il devrait être condamné pour ça ». Elle rit de bon cœur. « Tu es trop gentil mais arrête, je suis sûr que je ne te plais pas ». Trop tard pour revenir en arrière. « Au contraire, je te trouve magnifique, et depuis des années je fantasme sur toi ». Oula, j’avais franchi la ligne rouge. Dans ma tête un petit bonhomme agitait son dau à toute vitesse mais c’était trop tard. Son sourire n’était plus là, elle semblait réfléchir à ce que je venais de lui dire et je me demandais si elle allait appeler ma mère après mon départ. La honte…. « C’est très gentil mais nous deux c’est….pas bien, tu es comme mon fils ». A ces mots je sentis que ce n’était pas qu’une illusion. Je fis un pas vers elle pour quasiment me coller, je sentais sa poitrine lourde s’aplatir contre mon torse, « oui mais tu n’es pas ma mère, rien ne nous empêche de ». « Non il ne faut pas, c’est pas bien » dit elle dans un murmure. Sans lui laisser le temps de réfléchir je posais ma main sur ses hanches pour la coller à moi et je commençais à l’embrasser. Ses lèvres au début réticentes, s’ouvrirent grandement et sa langue me fut donnée avec plaisir. Je sentis que cette pratique ne devait pas être une habitude pour elle car elle faisait aller sa langue à toute vitesse dans ma bouche comme pourrait le faire une collégienne qui roule une pelle pour la première fois. Mais pour être honnête peu m’importait, j’étais en plein fantasme et plus rien n’existait. Mes mains commencèrent à caresser ses fesses, qui étaient si volumineuses que je ne pouvais en faire le tour. On continuait à s’embrasser alors que ma main droite remontait le long de sa raie lui arrachant un premier gémissement qui ressemblait à un gloussement. Ses mains se baladaient sur mon torse et passaient dans mon dos. Trop excité par la situation je fis remonter sa robe pour lui retirer par le haut. Elle se laissa faire se retrouvant en soutien gorge culotte de couleur sombre devant moi. Ses cheveux toujours aussi noirs, tombaient désormais sur ses fesses. Malgré les bourrelets et les vergetures, elle était tellement bandante, j’en avais une douleur entre les jambes. Je mis un peu de temps pour dégrafer son soutien gorge mais quel spectacle ! Ses seins étaient énormes, surplombés d’auréoles foncés et de tétons qui pointaient témoignant d’une excitation certaine. Malgré les années et leur dimension, ils tenaient encore bien et je me jetais dessus comme un mort de faim. Je les dévorais, les léchant, aspirant les tétons, les mordant. « Hummm, oh oui » commença-t-elle a lâché timidement. Je continuais mon entreprise de dévorage, je perdais ma tête entre ses gros seins, déposant ma salive sur chaque cm2. Alors que je sentais qu’elle devenait de plus en plus excitée, je descendis une main pour caresser son entre jambes, au-dessus de la culotte. Elle était trempée. Je la fis s’asseoir sur le lit de son fils, tout en faisant glisser sa culotte qui à ma grande surprise laissa apparaitre une chatte lisse et épilée parfaitement, tout comme ses jambes. J’approchais mon visage quand elle posa mes mains sur mes épaules, « que fais-tu ? Tu n’es pas obligé » me dit elle sans doute pas initiée à cette pratique par son mari. « Laisse-moi faire, je vais m’occuper de toi ». Et comme pour ses seins je me mis à la manger, la dévorer. Elle sentait bon, et sa mouille coulait le long de ma bouche, j’en avais partout et je me régalais. Assez silencieuse au début, elle commença à devenir plus expressive quand ma langue s’amusa à faire rouler son clitoris. « Oh oui ! C’est bon ! Alalala ! Aaaahhhh ». Je l’aspirais, puis le léchais avant de le faire rouler, tout en insérant un doigt dans son fourreau brûlant. Je continuais quelques minutes jusqu’à ce qu’elle se mette à trembler de partout, « ah ! Oui ! nan ! Oui ! Aaaaaaaah ». Sa tête se leva, je sentis ses mains se poser sur ma tête, quand dans un dernier mouvement de langue, son corps se contracta et elle s’écroula sur le lit. Je venais de la faire jouir avec ma bouche, et c’était une première pour elle. Elle semblait chercher de l’air les yeux encore mi-clos. Des cheveux collés sur ses tempes venaient caresser ses lèvres, et il lui fallut un effort important pour porter sa main à sa bouche pour les retirer. Je m’allongeais à côté d’elle quelques minutes sans rien dire, lui laissant le temps de retrouver ses esprits, puis je me mis à l’embrasser à nouveau. Au début elle semblait éreintée puis très vite sa langue supersonique repris du service. Je l’arrêtais puis lui lança, « à toi de t’occuper de moi maintenant ». Elle ne dit rien et semblait ne pas savoir quoi faire, alors je pris les choses en main. « Mets-toi à genoux ». Sans un mot, elle se mis à genoux au bord du lit. Je me leva pour déboutonner mon jeans. Mon boxer en dessous semblait vouloir exploser, je le fis descendre à son tour faisant apparaître ma queue bandée comme jamais, « Oh ! » fit elle en se retrouvant nez à nez avec l’engin, « elle est énorme ! ». Ne lui laissant pas le temps d’en dire plus je lui mis quasiment dans la bouche. Difficilement elle suçait mais là encore, elle semblait manquer d’expérience. Ses lèvres passaient à peine mon gland et elle aspirait comme si elle ne savait rien faire d’autre. Je prix sa tête pour tenter de lui enfoncer plus profondément, lui mettant quelques coups puissants qui la firent presque vomir. A ce moment j’avais envie de la défoncer. « Ouvre grand ta bouche, je vais la baiser » et sans qu’elle puisse réagir, je commençais à la défoncer de plus en plus violemment. Ses yeux se mirent à pleurer et à chaque fois que je sortais ma queue, de longs filets de baves la reliaient à sa bouche. « Bouffe mes couilles » lui ordonnais je en les présentant devant sa bouche et elle se mis à les lécher et les aspirer comme une vraie chienne. Elle semblait y prendre de plus en plus de plaisir. Elle remonta le long de ma tige avec sa langue pour la gober à nouveau et se baiser la bouche toute seule, jusqu’à ce que des bruits de déglutition sortent de sa gorge. J’étais surexcité il fallait que je la baise sinon elle aurait fini par me faire cracher. Je la laissais à genoux, la positionnant à 4 pattes, son cul énorme devant moi. Je présentais mon gland gonflé par l’excitation à l’entrée de sa chatte, « vas y doucement, ça fait longtemps ». Je fis rentrer ma queue cm par cm, lui arrachant un râle à chaque palier de la progression. D’abord en douceur, la cadence augmenta toute seule, la faisant râler de plaisir, « oh oui ! C’est trop bon ! Ca fait si longtemps, continue ! ». Elle se lâchait et moi aussi, on était déchainé. « T’aimes ça salope hein ! C’est ma grosse bite que tu voulais ! ». « Oh oui ! Défonce-moi avec ta grosse bite !!! Encore !!! ». Je lui mettais des claques énormes sur son cul qui vibrait à chaque coup donné. Ma queue ne la baisait plus, elle la défonçait littéralement. Et plus je tapais fort, plus elle gueulait, « oh oui !!! Encore !!!!!! ». « T’aimes ça ??! Dis le que t’aimes ça !!! ». « Oh oui j’aime çaaaa !!!! ». « T’es ma chienne toi, ma grosse chienne ! ». « Oui je suis ta grosse chienne. Ta marochienne !!!!! ». A ces derniers mots l’excitation pris le pas sur le reste et ma queue déchargea des litres dans sa chatte qui se mis à trembler. Des spasmes la saisissaient et elle hurla une dernière fois, « ouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!! » avant de tomber presque inerte sur le sol de la chambre. Je m’écrasais sur elle, restant au maximum dans sa chatte si chaude et si accueillante.

Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle récupéra ses affaires sans un mot et fila dans la salle de bain. Je me rhabillai rapidement, pas vraiment conscient de ce qu’il venait de se passer. Elle sortit de la salle de bain sans un mot, avant de me faire promettre que ce qui venait de se passer ne devait jamais sortir de cet appartement. Elle me remercia, « ça faisait si longtemps » et me donna ce que je devais ramener à Mounir le lendemain.

Sur le retour il faisait toujours aussi chaud mais je n’en ressentais pas ses effets. Je pensais à ce qui venait de se passer. A mon ami. A notre enfance. A ces années. Je venais de le trahir, mais en même temps j’avais adoré coucher avec sa mère. Je devais apprendre à vivre avec la culpabilité et ne jamais en parler à qui que ce soit.

Le lendemain la visite se passa bien même s’il me trouva un peu bizarre, « t’as vu un mort ou quoi gros ?! ». Je prétextais une nuit compliquée. « Tu devrais ken une meuf ça te ferait du bien ! » dit il en rigolant. Je lui répondis par un ultime sourire avant de voir le surveillant venir le chercher.

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