Les Talons Rouges (Épisode N°03)
LES TALONS ROUGES (épisode N°03)
Agathe Donamaria de Urroz vit avec sa sur et son beau-frère depuis son plus jeune âge, au Château de Garralda, qui se situe près de la frontière espagnole dans la vallée des Aldudes. Cest une vieille fille qui ne sest jamais mariée à cause dun amour de jeunesse infidèle. Âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse courtiser par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sur dAgathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Les deux femmes se prêteront à toutes les folies où les entraînera Jacques, se mélangeant avec le notaire de la famille et son épouse, goûtant aux amours saphiques et ueuses, allant même jusquà forniquer avec leur personnel, de la camériste au palefrenier jusquau bûcheron espagnol. Jacques leur fera connaître une nuit orgiaque dans un club échangiste de Toulouse et Agathe, devenue insatiable se fera prendre par le membre démesuré de son palefrenier jusquà sombrer dans la folie.
III - Le retour
En fin de matinée, Jacques est appelé à Paris par sa chaîne câblée, où il assure la fonction dun producteur indépendant, pour un contrat que lui seul peut signer. Il ne voit pas Agathe, qui justement, a dû partir à Bordeaux avec sa sur pour des courses urgentes. Le soir, Agathe nose demander où se trouve son amant. Cest sa sur, qui incidemment la met au courant lors dune conversation anodine. Agathe se morfond, se posant mille questions sur les suites de laventure quelle vient davoir et qui la révélée en tant que femme. Il est impossible que Jacques veuille entretenir une relation avec une personne comme elle, aussi insignifiante et de surcroît de son âge. Elle pleure une fois rentrée dans sa chambre, car elle ne peut se cacher quelle aime lhomme qui a su si bien la dévirginiser et qui a pu la transporter au septième ciel.
Elle passe une bonne partie des nuits déloignement de Jacques, à découvrir les milles facettes de son corps, se complaisant à de délicieuses caresses, tout en regrettant labsence de lhomme qui seul peut lamener à des orgasmes inouïs. Le troisième soir, allongée dans son bain, elle joue avec un savon parfumé quelle sintroduit dans son vagin, le poussant le plus loin possible et léjectant en contractant les muscles de sa matrice.
Elle ne sait pas que Jacques est rentré ce soir-là, assez tard pour ne rencontrer aucun occupant du château et quil sapprête à lui rendre visite. Il lui rapporte un bouquet de fleurs, une bouteille de parfum et un magnifique ensemble de nuit en soie et en dentelles dun ton mauve, coquin à souhait. Descendant à pas feutrés lescalier dérobé, et sachant que la porte dAgathe nest jamais fermée à clé, il sintroduit subrepticement dans lappartement, pose ses cadeaux sur la table du salon et, à pas de loup, il se dirige vers la chambre. Soudain il entend des soupirs et un clapotement en provenance de la salle de bains dont la porte est entrouverte.
- Ma chérie, cest formidable, vous vous passez très bien de votre professeur et si vous continuez ainsi vous aller me congédier cest certain.
- Vous êtes fou Jacques. Oh ! Je suis tellement contente de votre retour, vous me manquiez tellement. La preuve, jétais obligée de pallier à votre absence du mieux que je le pouvais. Je vous remercie pour les fleurs, et ces paquets, cest pour moi ?
- Ouvrez-les ma chère. Oui cest en pensant à vous que je vous rapporte ces quelques babioles de Paris.
- Oh ! Vous êtes fou, Calèche, cest mon parfum préféré, Oh ! Et puis ces vêtements. Jamais je noseraies porter cet ensemble. Cest trop
Cest
Cest indécent
- Mais ma chérie, vous le porterez au moins pour moi, et tout de suite même puisque vous êtes encore nue. Je vous trouve bien désirable dailleurs. Mais avant de vous faire subir les derniers outrages, passez cette nuisette affriolante et ce déshabillé vaporeux sur votre si joli corps. Oui, vous êtes superbe. Permettez que je prenne quelques photos. Tournez-vous merci. Asseyez-vous sur le canapé, croisez vos jambes. Oui comme cela, superbe ! Sil vous plaît, remontez un peu la nuisette et écartez vos jambes légèrement. Allons Agathe, cest pour nous uniquement. Ce sont des photos numériques qui ne seront pas développées. Je les regarde uniquement sur mon ordinateur.
Agathe perdant toute pudeur, se laisse aller, émoustillée par les mots convaincants de son amant ; elle se paluche avec ardeur, sécartelant devant lappareil de prise de vue sans se rendre compte de limpudeur avec laquelle elle sexpose. Ses yeux se révulsent et elle halète devant lorgasme qui ne tarde pas à envahir son corps entièrement et, soudain, elle se tend, jambes et cuisses généreusement disjointes, son minou, ruisselant de la mouille quelle secrète, alors que Jacques prend cliché sur cliché, en gros plans pour certains, excité par le spectacle que son amante lui offre.
- Tu es magnifique ma chérie dans ta totale impudeur. Je nai jamais eu une maîtresse aussi docile et si affriolante dans une tenue aussi insolente. Mais tu sais, ma Chérie, ta fourrure est vraiment trop abondante, je voudrais bien dégager cette toison disgracieuse pour apprécier au mieux tes chairs intimes.
Agathe regarde Jacques avec amour. Après tout sil veut lui enlever sa toison, grisonnante à présent, quelle importance. Cela la fera paraître plus jeune. Elle lui dit de faire ce quil lui plaît, quelle est sa chose et quil peut disposer delle comme elle le lui a dit.
Jacques va vers la salle de bains et rassemble une grande serviette de bain, une cuvette deau chaude, une éponge et un rasoir électrique destinés habituellement aux jambes dAgathe, puis, prenant un des paquets quil a rapporté de son voyage, il en retire un blaireau, de la crème à raser, un sac de rasoirs jetables et une bouteille dhuile parfumée aux amandes douces. Enfin, il fait sétendre Agathe sur la serviette de bain disposée sur le lit, tout en lui demandant de se tenir près du rebord du lit et de poser ses pieds sur le sol.
Maintenant, Jacques, après avoir essuyé le plus gros des poils quil a enlevés, badigeonne avec le blaireau trempé dans leau chaude le pubis de sa compagne, puis, avec un rasoir, il enlève délicatement tous les poils superflus qui restent encore. Il fait très attention en faisant le tour des lèvres, de ne pas blesser la chair si tendre, redoublant dattention quand il glisse la lame autour du capuchon du clitoris. Agathe halète légèrement, sa peur se mélangeant à lexcitation quelle ressent à cause du métal qui racle de si près ses chairs intimes. Enfin, Jacques lui relevant les jambes et les passant de chaque côté de son cou, badigeonne à présent la raie culière et lanus de la pauvre femme, qui nose même plus protester, anéantie par lhumiliation de montrer des parties aussi honteuses de son anatomie. Pourtant lhomme, rase délicatement et avec adresse la pilosité anale, faisant le tour de lillet contracté, épongeant au fur à mesure le surplus de mousse et les poils coupés.
Puis, après avoir trempé léponge pour la rincer, il passe cette dernière sur toutes les parties quil vient de raser, puis il les essuie avec la seconde serviette quil a apportée ; enfin, prenant lhuile adoucissante, il sen verse dans la paume de sa main droite, puis il létale sur la chair endolorie, massant légèrement avec lhuile lintérieur des cuisses, le mont de vénus, la raie culière et lanus, sattardant sur ce dernier en y introduisant même un peu dhuile, à la grande confusion dAgathe qui nose protester ; puis, revenant sur la chatte devenue aussi glabre que les cuisses dun nouveau né, il passe doucement ses mains sur les grandes lèvres, laissant ses doigts introduire de lhuile dans le vagin ; celui-ci est on ne peut plus brûlant, ce qui arrache un feulement de plaisir à Agathe qui souvre encore plus sous les attouchements libidineux de son amant. Celui-ci, fait rouler maintenant le clitoris sous ses doigts habiles et huilés, provoquant chez la femme des gémissements de bonheur qui la font hoqueter, pour partie de rires brefs, alors que des larmes de bonheur coulent sur son visage extasié.
Soudain, sans sen rendre compte, elle ne peut se retenir, laissant un jet durine séchapper de son méat entrouvert. Aussitôt, Jacques se penche et lèche la pisse qui dégouline, excitant de sa langue les chairs enflammées et provoquant le retour de lurine qui jaillit soudain dans la bouche de lhomme qui ne se dérobe pas. Agathe est éperdue, ne sachant comment se comporter devant cette ignominie quelle commet à son insu, reconnaissante à lhomme de continuer avec sa bouche à boire sa miction souillée sans sarrêter. Elle pleure et gémit, tout en jouissant intensément de cette situation dégoûtante à ses yeux. Cest à ce moment que Jacques qui veut profiter de son désarroi, tout en aspirant le clitoris turgescent dAgathe, a glissé sa main droite vers les fesses de sa belle et, a enfoncé soudainement un doigt dans le rectum qui sest à peine contracté sous leffet de la surprise. Agathe ose quand même protester pour la forme.
- Oh ! Jacques ! Que faites-vous ? Cest dégouttant, dans mon derrière. Oh ! Pardon, mon Chéri ! Je me suis oubliée et vous
Vous
1acques lui prend ses lèvres pour la faire taire, tout en faisant aller et venir son doigt dans lanus qui se contracte sur son doigt. Vaincue par la bouche qui enflamme encore ses sens, Agathe se laisse faire, éprouvant un certain trouble aux agissements pervers de lamant qui la déniaise. À ce moment, Jacques lui susurre à loreille son envie dêtre sucé, lui qui na pas encore joui. Agathe le regarde avec reconnaissance, au moins elle va pouvoir lui faire plaisir et effacer son oubli urinaire qui la perturbe profondément. Cest avec une joie certaine quelle reçoit dans sa bouche, le vit de son homme qui sest mis à califourchon sur elle. Elle pompe avec ardeur cette verge qui la dévirginisé, il y a si peu de temps, la mordillant doucement pour la faire gonfler le plus possible dans sa cavité buccale. Jacques au-dessus delle, la dominant de toute sa taille, sent le liquide séminal circuler dans le canal de lurètre. Il bloque avec ses doigts la base de sa verge pour ne pas éjaculer trop vite, mais il sent bien quil ne pourra se retenir très longtemps, alors il sadresse à la femme quil façonne comme il lentend.
- Ma chérie, je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps, acceptes-tu de boire ma liqueur comme je bois la tienne ? Je ne veux pas tobliger, mais jy trouverais un grand bonheur à me répandre en toi ainsi.
Agathe le regarde, éperdue, elle tremble de ne pas savoir contenter un amant aussi jeune et vigoureux, pourtant dans quelle ignominie il lentraîne, boire son sperme. Mais quil fasse ce quil veut, elle lui a dit quelle était prête à tout. Alors, elle ferme les yeux plusieurs fois en signe dassentiment, resserrant ses lèvres autour de lorgane mâle qui soudainement laisse séchapper un jus poisseux qui envahit sa bouche, la faisant dabord hoqueter décurement. Mais se reprenant, tout en laissant de grosses larmes couler sur son visage, elle suce et lèche le foutre de son amant, se complaisant à sen barbouiller les lèvres, alors que la semence coule sur son menton, ruisselant jusquentre ses seins. Pourtant, elle ne lâche pas la hampe dégoulinante de sperme, caressant les bourses qui ballottent sous ses yeux, asséchant jusquà la dernière goutte la sève quelle trouve maintenant délicieuse à lécher.
Jacques se retirant des lèvres qui viennent de le faire jouir à satiété, se laisse glisser contre elle et lui prend la bouche de ses lèvres encore enduites de lurine féminine alors quil goutte à son propre sperme. Agathe se love contre lui, lenlaçant étroitement, collant son pubis à la verge en détumescence, affolée par les odeurs fortes quils dégagent tous les deux, ayant envie de baiser et le criant à son amant qui nen peut mais.
Les deux amants nont même pas le courage daller se nettoyer, ils sendorment dans les bras lun de lautre, fourbus par ce déchaînement orgiaque.
Le matin, alors que Jacques et Agathe ont récupéré chacun dans leur chambre, jusquà un peu avant lheure du déjeuner, ils établissent ensemble le programme dune journée à cheval pour le lendemain. Agathe prépare un pique-nique, pendant que Jacques sort de la sellerie des selles de randonnées allemandes avec des sacoches appropriées. Lorsquils partent aux aurores, ils sont très reposés, car dun commun accord, ils ne se sont pas rejoints la nuit dernière, pour avoir une journée à eux dans la nature. Chevauchant botte à botte, ils devisent joyeusement tout en senfonçant dans la forêt du domaine qui couvre près de cent mille hectares. Vers neuf heures, ils sarrêtent près dun étang et boivent le café de la bouteille thermos quils ont eu la prudence demporter. Cest au moment de repartir que Jacques propose de monter nu sur les chevaux. Agathe a quelques réticences, bien que sachant quil ny a peu de chance que des personnes puissent les voir dans cette partie du domaine, rarement parcouru par les gardes-chasses. Elle se décide enfin à accéder aux plaisirs pervers de son amant. Ils mettent leurs vêtements, pour partie dans les sacoches, pour lautre, attachés aux selles de randonnée. Jacques prend des photos dAgathe, entièrement nue sur son cheval, il lui fait prendre toutes sortes de positions, certaines provocantes, dautres carrément obscènes. Celle-ci se prête presque complaisamment aux désirs de cet homme qui lentraîne de plus en plus dans des situations scabreuses, prenant même plaisir à exposer son corps, se trouvant même belle dans sa plus totale nudité. Puis, après avoir parcourus quelques kilomètres dans les allées forestières, ils arrivent dans une clairière ; ils descendent de cheval et attachent leurs montures, afin de se rhabiller. À ce moment, Jacques décide de faire lamour sur place dans lherbe ; en riant Agathe sesquive sous le prétexte que ce nest pas convenable. Une course-poursuite sengage en plaisantant, Agathe jouant à la biche effarouchée mais cherchant de toute évidence à se faire violenter par son amant. Cest à ce moment quils arrivent devant une prairie dorties où Agathe se trouve acculée. Jacques, coupant avec son couteau une grande tige dorties blanches, en menace sa maîtresse, lui annonçant que la poursuite doit continuer et quelle na pas le choix. Celle-ci ne croit pas aux menaces, mais lorsque Jacques lui cingle les seins avec sa tige qui lui brûle la chair tendre de ses mamelons, tout en criant sa souffrance, elle se précipite dans les feuillages piquants. Jacques la poursuit, et bientôt les deux amants, riant mais criant de lirritation urticante quils ressentent, se roulent ensemble dans les orties quils écrasent. Leurs corps deviennent dun rouge sang, alors que Jacques pénètre Agathe qui crie de douleur tout en sagitant de son mieux pour recevoir le dard enflammé par les orties qui ravagent aussi son vagin. Les deux amants font lamour comme des damnés, les cuisantes souffrances urticantes stimulant leur rage de se projeter lun dans lautre. Les orties ayant été écrasées par leurs corps enlacés, ne sont plus actives, seules les cuisantes brûlures les font encore souffrir. À ce moment, Jacques exprime un souhait à sa compagne.
- Mon Amour, je taime, tu veux bien me faire comme je tai fait avant-hier soir, introduits-moi un doigt dans lanus sil te plait.
Agathe, le regarde dun air effaré, mais, résolue à lui rendre la monnaie de sa pièce, surtout après les souffrances atroces quelle éprouve dans linstant, écarte les fesses de son amant, puis, avec une perversité quelle ne se connaissait pas, elle frotte deux doigts sur des feuilles dorties encore urticantes, les poussant ensuite dans lillet contracté de lhomme, qui pousse un rugissement de douleur, dabord à cause de lintroduction brutale des doigts de sa compagne, ensuite, de la brûlure que les doigts enduits dorties occasionnent à son fondement. Pourtant il se laisse faire, criant à Agathe.
- Oui ! Ma Chérie ! Encules-moi ! Allez, encore plus profond ! Mets un autre doigt ! Oui ! Comme cela. Ah ! Je Jouis ! Oui ! Encore mon Amour !
Cest à ce moment quil éjacule violemment dans la matrice de sa maîtresse, qui gueule elle aussi sa joie et sa douleur mélangées, embrassant son amant à pleine bouche, divaguant des mots sans suite et sécroulant, anéantie par la bacchanale quils viennent de vivre tous deux.
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