A L'Hôtel Avec Deux Hommes

5. Ph. Et Pa.
J’appelai donc les deux hommes et leur fis la proposition d’une rencontre à l’hôtel un soir. Tous les deux se réjouirent et Pa. Réserva une chambre au Roi Soleil près de Mulhouse. Il nous fallut une petite heure pour y arriver. ELLE était très excitée par l’idée de les revoir. Nous entrâmes dans l’hôtel et comme Pa. m’avait envoyé le numéro de la chambre par mail, nous pûmes monter directment au 4ème étage. ELLE frappa discrètement et Pa. ouvrit la porte, puis l’embrassa sur la bouche et enfin me serra la main.
Ph. n’était pas encore arrivé et nous nous installâmes autour d’un verre de champagne que Pa. avait apporté. La discussion fut interrompue par un toc-toc discret et Ph. fit son entrée.
ELLE était assise sur le lit, appuyée contre la tête de lit,les jambes légèrement écartées. il se dirigea vers elle et lui mangea doucement les lèvres en mettant sa main entre ses cuisses. C’était un signe très clair qu’ELLE était là pour baiser et que les choses allaient vite se mettre en route.
Ils se placèrent de chaque côté d’ELLE et lui caressèrent les seins et PH. se plaça entre ses cuisses et commença à la sucer pendant que Pa. prenait un téton entre ses lèvres. Elle s’ouvrit largement et chercha la queue de Pa. par dessus son jean.
Ils la déshabillèrent et elle garda que ses bas et ses chaussures. Ils étaient très actifs et on sentait qu’ils avaient envie l’un de l’autre, car elle allait sans cesse entre leurs jambes pour palper leurs queues et ils se relayaient pour lui sucer la chatte, les seins ou la bouche. J’avais le droit de filmer et de prendre des photos et de leur servir le champagne qui coulait à flot.
Pendant que Ph. la suçait goulûment et lui mettait déjà un doigt dans son cul, ELLE attira Pa. vers elle et commença à lui faire une pipe endiablée en lui caressant son anus. Elle gémissait sous les coups de langue de Ph. et son gémissement faisait vibrer la queue de Pa. . J’imaginais les voisins dans les chambres d’à côté entendant ces trois cochons forniquer et essayant de deviner combien de personnes étaient en train de leur procurer une petite musique de nuit.

ELLE eut un premier orgasme bruyant et ce petit monde prit un peu de repos. Ensuite ils la placèrent à quatre pattes sur le lit et lui annoncèrent qu’ils allaient la baiser dans tous ses trous. Ph., en grand maître, lui doigta la chatte et y enfonça deux puis trois doigts pour bien l’élargir pendant que Pa. lui mettait un gros doigt dans le cul et le tournait pour préparer le chemin de leurs queues.
Pa. m’ordonna alors de venir le sucer pour qu’il devienne bien dur, car il voulait l’enculer. Je le fis volontiers, car j’aime caresser les hommes.
Il l’encula ensuite d’un coup de rein ferme et se retrouva au fond de son sphincter.
En même temps, Ph. s’était positionné sous elle et lui mangeait sa grosse moule baveuse. Pa. se retira et ELLE vint s’asseoir sur Ph. et le chevaucha pendant un long moment prise par le cul. Pa. avait aimé que le je suce et il me faisait le branler pendant qu’il jouissait du spectacle.
Elle hurlait son plaisir, encourageait son amant et bougeait son cul sur cette queue comme une diablesse.
ELLE voulut être prise en même temps par les deux hommes. Ph. resterait dans son cul et Pa. investirait sa chatte. Ainsi fut fait. Ils se frottèrent longtemps, trouvèrent des rythme où, quand l’un sortait de son cul, l’autre s’enfonçait dans sa chatte, s’enfoncèrent ensemble dans le trou qu’ils occupaient, la faisant crier de bonheur, pour le plus grand bien de nos voisins.
ELLE eut encore un orgasme et se laissa aller sur Pa. qui l’embrassa tendrement, lui suçant sa petite langue. Ph. vint joindre sa bouche et ELLE passa de l’un à l’autre, léchant leur bouche et finissant de gémir de plaisir.
Tout a une fin, ELLE se rhabilla, prit congé avec une tendre reconnaissance et nous rentrâmes, non sans avoir vu une porte de chambre à l’hôtel s’ouvrir discrètement à notre passage. Arrivés à la maison, j’eus droit à ma récompense et pus lécher ses trous et placer ma queue dans son cul.