Chapitre 37 : Éric, Mon Mari, Homo Et Cocu Humilié. Episode 2/3.

Bonjour, c’est Caroline, je vous propose de vous narrer la suite de nos aventures, et en particulier l’épisode 2/3 des chapitres : Éric, mon mari, homo et cocu humilié. C’est notre neuvième rendez-vous ensemble… Mais vous devez lire impérativement l’épisode 1 (chapitre 36) avant celui-ci.
Baptiste va chercher la fameuse bouteille, nous restons à nous regarder Éric et moi, sans broncher, puis nous trinquons en parlant de tout et de rien, la situation est étonnante et un peu confuse, puis Baptiste s’adresse à Éric :
- Alors la lopette, il parait que tu aimes être cocu, ça te fait bander petite pédale !!!
- Oui, c’est vrai, Monsieur, mais ce n’est pas prévu. Reprend Éric.
- Tu m'as bien dit que tu allais m'obéir, sans discussions ?
- Oui, Monsieur. Répond Éric, sans sourciller, je vais vous obéir en tout.
Je pense à ce moment que l’on va enfin basculer vers notre scénario « bis » et Baptiste en se tournant vers moi me demande :
- Et toi « la catin », c'est vrai que tu aimes tromper ton mari, que tu aimes être baisée par un autre que lui ? Devant lui comme une belle salope !!!
- Disons que j’aime bien le sexe, peut-être un peu trop, lui répondis-je.
- Tu es une belle salope, toi !!!
- Merci Baptiste !!!
C’est ma seule réponse, un peu bête, mais je mouille comme une gamine excitée au plus haut point par cette manière de me parler.
Baptiste m’adresse un clin d’œil et demande à mon Éric :
- Donc, le pédé, tu vas m’offrir ta femme, tu vas diriger les opérations, tu vas me la déshabiller et me la préparer comme je le souhaite, je vais te rendre cocu, il parait que tu aimes ça, voir ta femme se faire défoncer devant toi !!! Petite lopette.
- Si Caroline n'est pas contre, mais je connais sa réponse, je suis prêt à obéir et faire ce qui vous fait plaisir. Mais et pour moi ? Demande Éric.
- T’inquiètes pas, je m’occupe de ta salope devant toi et je t’encule comme tu le souhaites ensuite si tu fais ce que je souhaite.

Reprend Baptiste.
Pendant ce temps j’observe mes « deux » hommes et écoute attentivement leurs échanges. Je commence à être très excitée, la vue du beau membre de Baptiste gober littéralement par Éric m’a donné l’envie d’en faire autant.
Baptiste se lève, m’att par le bras un peu brutalement et me dit :
- Et toi, la salope…Qu’est-ce que tu veux ?
J’avoue être surprise par cette question, je ne sais quoi trop répondre :
- Te faire plaisir Baptiste, simplement te faire plaisir.
- Bon, nous sommes tous d’accord, alors à toi de jouer la pédale !!! Nous lance Baptiste.
Éric s’approche de moi, me prend la main, m’amène près de Baptiste, me prend mon visage et le tourne vers le visage de Baptiste en disant :
- Tu peux l’embrasser chérie, comme tu aimes, sors ta langue, s’il te plaît mon amour.
J’adore embrasser et Baptiste est doué, nous nous roulons une pelle qui me rappelle mes amours adolescentes.
Pendant ce temps, Éric dézippe ma robe, la fait glisser au sol, nous continuons de nous embrasser, Éric me retourne, mon soutien-gorge dégrafé, me pousse complètement contre Baptiste. La situation est excitante, je sens la grosse queue de Baptiste contre mes fesses, pendant ce temps rapidement je me retrouve en string, dim-up avec mes talons-hauts. Je sens les mains de Baptiste parcourir mon corps guidées par celle d’Éric.
Baptiste à la demande d’Éric me caresse délicieusement les seins, les tétons, les fesses et mon ventre. Éric prend l'autre main de Baptiste, et je sens les deux mains rentrer en contact avec mon pubis, puis ensuite je sens une main glisser dans mon string. C'est sublime, le plaisir est extrême et je tremble tant l’excitation est forte.
- Chérie, tu vas sucer Monsieur…Si Monsieur le veux !!!
Baptiste acquiesce de la tête, délicatement Éric le met à l’aise, Il lui enlève son pantalon et son boxer et sort un sexe bien raide, qu’il me dépose dans une main pour que je la caresse, il me guide la main pour je branle cet objet que je désire tant.
Éric semble apprécier ce moment, nous restons quelques minutes comme cela, je branle Baptiste en sentant le plaisir monter en moi.
Durant ce moment nous sommes Baptiste et moi les yeux dans les yeux. Pendant ce temps, ma main continue de glisser sur sa queue. Mes doigts se resserrent sur elle.
J’adore ce contact, son pénis commence à prendre de la vigueur et cela m’excite vraiment.
Éric fait parcourir les mains de Baptiste sur mon corps, ils me touchent délicatement, je me laisse faire, en ce moment c’est Éric qui contrôle la situation, mais je dois branler, masturber, sucer à n’en plus finir, notre maitre Baptiste, j’ai même envie de recevoir son sperme dans ma bouche, ce doit être un délice...
Je sens la queue de Baptiste qui gonfle de plus en plus sous l'effet de mes caresses, je la sens grossir. Sa queue est si bonne, je respire le parfum de son sexe. Encore une fois je regarde cette queue avec des yeux de gourmande, elle me plait, c’est une invitation à la débauche, fièrement dressée.
A la demande d’Éric, je caresse la queue de Baptiste de ma joue, lui lèche les couilles, les prends dans ma bouche, mes doigts caressent ses cuisses, les écartent un peu, pour y passer un doigt, Baptiste semble apprécier vraiment ce que je lui fais car j’entends des gémissements, des râles. Je sens Baptiste chavirer.
Mon majeur s’insinue légèrement dans son anus, lui qui refusait toute sodomisation, il se laisse faire et adore le contact que je lui procure, titillant de plus en plus son anus, je l’entends gémir de plaisir.
A ma grande surprise et celle d’Éric, il écarte encore les jambes, maintenant mes mouvements sont plus libres, je lui enfonce encore plus mon majeur, chose que je fais sans tabou, je suce son gland en même temps.
Baptiste pose sa main sur ma tête, m’invitant à continuer cette belle sussions, je m'applique à bien insister, je fais des « va et vient », je sens la chaleur de son corps, sa respiration brûlante et saccadée, en même temps ma main lui caresse les testicules, je les masses, j’accentue encore plus le mouvement de ma bouche.
Puis Baptiste respirant plus fort me dit :
- Humm !!! continue, Vas-y, salope, pompe moi la queue !!! Devant ton cocu !!!
Cela m’excite encore plus, je le pompe encore plus fort, Baptiste me donne un léger coup de bassin, son pénis est bien au fond de ma gorge, je sens son éjaculation arriver, mais il se retire. J’ai tellement sucé fort sa queue, tellement dure que mes lèvres me semblent
gonflées.
Après un court instant, Baptiste se lève et s'adressant à Éric en le regardant droit dans les yeux :
- Bon, maintenant la lopette, je veux que tu sois encore un peu plus cocu, car à me sucer comme ta pute vient de le faire, elle doit avoir la chatte en feu !!! De plus, je veux que ce soit toi qui guides ma bite dans la chatte de ta femme. Compris !!!
- Oui, oui, j'ai compris, Baptiste !!! Lui répond Éric
- C'est vraiment ce que tu veux ? Petite pédale !!!
- Oui, je veux vraiment être encore cocu, ce n’est pas la première fois. Crois-moi, ce n’est pas la dernière, j’adore être cocu !!!
- Eh bien, continue pédé, ce que tu as commencé !!! Reprend Baptiste hilare.
Éric se lève, réunit les deux canapés d’angle pour former un lit devant la cheminée sous le regard interrogateur de Baptiste le maître des lieux, me prend par la main en m’invitant à me lever.
Éric me fait allonger sur « son » lit improvisé, jambes grandes ouvertes et commence à me lécher. Baptiste regarde en attendant…En faisant comprendre à Éric d'accélérer le mouvement. Éric lui demande alors de s’allonger à son tour à côté de moi. M’ordonne de venir chevaucher Baptiste. Je suis allongée de face sur lui, nos deux corps sont entièrement en contact, Je glisse un peu sur lui pour que ma chatte mouillée soit en contact avec sa queue durcie.
A la demande d’Éric, il m'embrasse doucement, il aime mes lèvres, ses baisers caressent ma peau, il doit m'entendre respirer plus fort.
Merci Éric, car j’apprécie cette position qui offre de larges possibilités d'échanges de caresses, de baisers et de mots doux.
Je suis bien dans les bras de Baptiste à le chevaucher ainsi, Éric très servile me regarde avec beaucoup de tendresse dans le regard et me demande de me soulever légèrement. Il prend la queue de Baptiste et la dirige vers ma chatte, il frotte longuement le sexe de Baptiste sur ma « tirelire » et l'immobilise. Il semble apprécier ce moment car le pauvre a une érection incroyable, il prend ainsi un plaisir étrange à me pénétrer ainsi avec la queue d’un autre. Je le regarde droit dans les yeux, en chevauchant mon amant d’un jour. Puis Éric fait ensuite rentrer dans ma chatte le gros sexe de Baptiste qui lui déclare :
- C’est bien la pédale !!! Je te félicite, tu es extraordinaire, tu offres bien ta femme, tu es bien cocu ma petite lopette !!!
Baptiste est toujours allongé sur le dos, je suis dessus, à la fois assise et accroupie sur lui. Je suis en position dominante, finalement la maîtresse de l'acte sexuel. Je choisis au grès de mes envies l'inclinaison de mon corps, l'angle et la profondeur de la pénétration, l'ampleur et le rythme des mouvements de va-et-vient...à moi de trouver la bonne position et cadence pour maximiser mon plaisir et ressentir les meilleures sensations.
Baptiste, le maître, le dominateur, est dominé par la femme du cocu, je peux ainsi assouvir mon fantasme de domination. Pour une fois les rôles sont inversés.
Cette position sexuelle est l’une de mes préférées grâce au contrôle que j’ai en la pratiquant. Baptiste a les mains libres pour me procurer encore plus de plaisir en stimulant mon sexe, mais aussi mes seins et mes fesses.
Mon excitation monte sous le regard de Baptiste sous contrôle et sous les yeux de mon tendre mari, puis Baptiste se ressaisit, me fait basculer sur le lit pour me prendre en levrette, prend violement mes fesses à pleines mains, s'enfonce d'un coup, brutalement en déclarant :
- Tu aimes ça la bite ma salope !!! Je vais te défoncer comme jamais tu as été défoncé devant ton cocu, ton pédé !!!
Je ne peux rien répondre, tant je suis malmenée, défoncée, brutalisée. Je ne sais plus combien de fois j'ai joui, mais c'est fabuleux !!!
Baptiste continue, il est incontrôlable, je subis sa domination, il me lime un moment et regarde mon petit œillet qui l’appelle lui aussi. Il met son pouce dessus qui s’enfonce pour me faire sortir un râle de plus. Il me branle comme ça en continuant de me limer. Puis il sort pour placer devant mon « bel anus » cette queue honorable mais bandante et très mouillée et s’enfonce d’un coup de reins. J’apprécie particulièrement ses va et vient puissants et rapides, je suis surtout surprise par le « retournement » de situation.
Baptiste se sentant venir, m’informe, je le sors de mon fabuleux cul, (c’est son expression) pour me retourner le branler et langue tendue prendre les décharges sur ma langue et le reste de mon visage. Je le nettoie en aspirant les quelques gouttes de sève sur le gland et en le léchant bien.
Éric est toujours assis dans un fauteuil, nous faisant face, à nous contempler. Le pantalon ouvert, il s’excite…De me voir le visage souillé par la semence de son maître.
Nous nous regardons avec beaucoup d’amour, tendrement, puis sans même faire l’effort de porter la queue de mon cocu dans ma bouche, j’effleure son gland avec ma langue, tout ça pour lui faire couler le sperme.
- Tu as un fort penchant pour « l’éjac » ma salope !!! Me dit Baptiste.
- J’adore, c’est une habitude depuis mes jeunes années et ma première fellation à quatorze ans !!! Répondis-je à Baptiste sous le regard bienveillant de mon cocu.
- Je te trouve belle, Caroline, dans cette position agenouillée souillée de foutre !!! Me déclare Éric !!!
Etonnante déclaration d’Éric, que je regarde avec amour le visage souillé, me témoignant son plaisir à être cocu !!!
- A la coupe du monde des cocus, tu vas être le champion du monde avec une salope comme ton épouse mon cocu !!! Lui dit Baptiste en se moquant de lui.
Nous ne répondons ni l’un ni l’autre à cette déclaration de Baptiste. Nous reprenons ensuite nos esprits tous les trois.
Baptiste nous proposant d’ouvrir une nouvelle bouteille de champagne pour fêter cet instant, car c’est pas tous les jours qu’il croise une belle salope comme moi et un bon cocu comme Éric, il est très content de notre rencontre.
- Alors le cocu, ça va, pas de regret, toujours partant pour la suite ?
- Non, au contraire, répond Éric
- Tu es impatient, n’est-pas mon petit cocu ? dis-je à mon tour.
Une douce euphorie nous envahit, certainement dû aux nombreuses coupes de champagne et ses effets « bienfaisants ».
La suite de cette rencontre explosive au chapitre 38 Episode 3/3, en cours de parution.