Leslie An25

Leslie AN25 – Anastasia, la fin du week-end à Epernay, chez Benoît, la fin

Elle est arrivée le lundi au petit matin chez Benoît, Pascale, du haut de son mètre soixante-cinq, cheveux blonds coupés court sur des yeux verts, arborait un délicieux quatre-vingt-cinq C, surplombant une taille de guêpe et des hanches joliment dessinées.
Ses fesses devaient souvent lui valoir des caresses furtives dans la foule des boîtes de nuit et des sifflements d’admiration dans la rue.

Benoît, l’avait invité à venir partager un moment d’intimité, je me trouvais avec lui quand Pascale est arrivée, Delphine et Aurélie étaient remontées dans la chambre et devaient se donner un petit plaisir matinal.
Anastasia, quant à elle, après la nuit torride qu’elle venait de passer, était partie pour aller en cours, non sans me faire remarquer qu’elle était heureuse de son week-end, mais que son petit cul était douloureux.
En fait je ne regrettais pas d’avoir pris la décision de prolonger mon séjour.

Pascale savait pourquoi elle était venue et nous nous sommes déshabillés aussitôt tous les trois lentement.
Une fois nus et après quelques caresses pour nous mettre en forme, j’ai invité Pascale à me sucer pendant que Benoît derrière moi me caressait le dos, puis les fesses en me faisant retourner la tête pour m’embrasser à pleine bouche.
Puis nous nous sommes allongés au sol en poursuivant nos explorations corporelles, allongée en soixante-neuf sur Pascale, je savourais une superbe fellation tout en dégustant avec bonheur son minou qui s’humidifiait, Benoît de son côté me faisait un adorable cunnilingus.
Alternant mes doigts et ma langue, j’explorais les recoins de la vulve de Pascale, pendant qu’elle me suçait en me caressant les couilles.

Pivotant sur elle, je remontais ma bouche sur ses seins voluptueux pendant qu’elle écartait ses jambes pour m’accueillir en elle. Avant de m’introduire en elle, je jetais un regard à Benoît qui s’apprêtait à venir derrière moi pour me sodomiser.


Une fois pénétrée, ses seins ballottaient pendant que je la besognais en lui agrippant les hanches. Les yeux fermés et la bouche ouverte, Pascale émettait des sons rauques témoignant son appréciation de la saillie.
Benoît m’a sodomisé pendant que je besognais Pascale.

Aurélie et Delphine, attirées par les cris que nous poussions sont venues nous rejoindre, elles étaient nues toutes les deux et le sexe dressé d’Aurélie confirma mon intuition qu’elles étaient en train de se donner du plaisir. D’ailleurs tout naturellement, comme si nous n’étions pas là, Delphine appuyée sur les bras du fauteuil s’est faite reprendre par Aurélie.
Mon érection s’est accentuée, ma partenaire et moi les avons admirés un moment avant de démarrer un coït tout en douceur, guidées par les mouvements de Benoît dans mon cul.
Tout en allant et venant dans son sexe ouvert et chaud, je levais la tête pour regarder Delphine se faire prendre en profondeur.
Pascale m’a attrapé les fesses et m’a tiré à fond en elle pour que j’accélère mes va-et-vient.
La pièce était maintenant remplie de gémissements et de souffles. Le clapotis des sexes féminins s’amplifiait et j’ai fini par me répandre dans le sexe de Pascale qui se contractait en vibrant sur mon sexe.
À ce moment, j’ai sentis Benoît s’arc-bouter et lancer sa queue dans mon cul et lors de cette dernière poussée il a poussé un cri en se répandant dans mes entrailles.

Benoît s’est installé dans le fauteuil, tandis qu’Aurélie et moi sommes allées chercher des boissons pour tous nous rafraichir.
Pascale et Delphine en ont profité pour commencer à se caresser mutuellement. Sous nos regards, elles se sont allongé l’une sur l’autre en soixante-neuf pendant qu’avec Aurélie nous reprenions de la vigueur.
Nous les avons d’abord laissées se lécher le sexe pour ensuite venir caresser les fesses de Pascale qui était au-dessus. La langue de Delphine s’insinuait dans le sexe ouvert devant nous.
Je laissai l’accès libre à Aurélie pour qu’elle lui caresse l’anus.

Constatant que son érection reprenait une forme honorable, je laissais ma main rejoindre son sexe pour commencer à le branler en douceur. Un soupir d’encouragement d’Aurélie m’incita à me pencher vers sa queue tendue vers le plafond et la prendre en bouche. Alternant masturbation et coups de langue, je sentis ce sexe grossir dans ma bouche pendant que les gémissements des deux filles redoublaient.
À la faveur d’un mouvement des deux filles, et alors que a compagne dirigeait sa main vers mon sexe, j’ai allongé Aurélie sur le dos pour venir me placer en soixante-neuf sur elle.

Quelques instants plus tard, Delphine, le visage luisant de la liqueur de Pascale, m’a rejoint pour donner des coups de langue sur les couilles d’Aurélie.
Je me relevais pour la laisser prendre en bouche, sous mes yeux, le sexe qui grossissait encore. Pascale, assise, un sourire béat sur les lèvres, se masturbait en nous regardant. Une main sur son clitoris, l’autre fouillant son sexe, elle ne ratait rien du spectacle que nous lui offrions.
Benoît, dans son fauteuil s’abandonnant à une douce masturbation solitaire de voyeur comblé.
Aurélie s’abandonnant de plus en plus aux deux bouches qui alternaient sur son sexe, avait du mal à se concentrer sur ma queue.
Les regards enflammés de Pascale ont eu raison de moi et j’ai fini par la rejoindre pour l’aider dans ses caresses.

La voie étant libre, Delphine s’est allongée entre les jambes d’Aurélie pour continuer dignement sa fellation, tout en lui massant les couilles pendant que je suçais les tétons durcis de Pascale qui continuait sa masturbation devenue frénétique.
Mes mains parcourant son corps, Pascale s’est relevée sur ses genoux pour libérer ses fesses charnues et venir embrasser Aurélie qui appréciait de plus en plus la fellation que lui administrait Delphine.
Ainsi placée à quatre pattes, Pascale tendait ses fesses vers moi et je n’ai pu résister à la tentation.

Après lui avoir caressé les fesses pendant qu’elle continuait à se plonger des doigts dans son sexe dégoulinant, j’ai pointé ma langue dans son anus et déclenché un soupir de bonheur. Ainsi encouragé, j’ai introduit un doigt dans son anus. Son mouvement de recul et ses gémissements m’ont motivé pour continuer cette exploration qui semblait la combler de bonheur.

L’érection d’Aurélie devenait majestueuse, Delphine n’a pu résister à venir s’asseoir et s’embrocher sur ce sexe tendu à l’extrême. Toujours penchée en avant, Pascale m’offrait son fessier dans lequel deux de mes doigts s’agitaient maintenant. Je me suis relevé et suis venu présenter mon sexe devant son anus qui s’est littéralement ouvert pour s’emboîter sur ma queue tendue. Une fois introduit à fond en elle, je sentais sa main qui n’avait pas cessé sa masturbation, avec mes couilles qui ballottaient sous mon sexe dont les allées et venues la faisaient gémir.

Les mouvements se sont accélérés. Delphine montait et descendait de plus en plus vite sur le sexe devenu énorme. Aurélie donnait des coups de reins de plus en plus violents. Pascale embrassait les seins de ma copine en lui caressant les fesses alors que j’accentuais la sodomie en sentant son anus me serrer la bite, de plus en plus fort.

Au moment où Aurélie jouissait dans un dernier gémissement, Delphine s’est mise à crier en la sentant l’inonder. Pascale m’a attrapé les couilles pour les tirer vers elle et m’obliger de répandre dans ses entrailles pendant qu’elle gémissait en cadence.
En sortant ma queue de son fourreau, un filet de sperme a commencé à couler sur ses cuisses.

Après une douche rapide, nous sommes allés nous rassasier tous les cinq dans un petit resto en nous jetant des regards tout en souriant à l’idée de ce que les autres convives pourraient penser de notre complicité.
Anastasia est venue nous rejoindre le lundi soir et elle s’est faite enculée à tour de rôle par Benoît, Aurélie et moi-même pour finir, Delphine et Pascale nous ont offerts tous leurs trous, enfin pour résumer tout y est passé…
Le lendemain nous avons fait des photos, histoires d’immortalisé le moment et avec Aurélie, nous sommes rentrées à Paris.

Nous avons fait l’amour le soir et nous nous sommes quittées le lendemain matin, sachant qu’une grande complicité s’était installée entre nous et que nous nous reverrions certainement.

Je repense souvent à ce week-end, en me remémorant les expressions du visage d’Anastasia perdant ses pucelages, Aurélie que je revois de temps en temps et qui avait vécu sa première orgie. Sans oublier Delphine complètement libérée et laissant aller sa libido et se faisant prendre par tous les trous. Et Benoît qui fut si heureux lors de ses quelques jours de sexe intense.
Des jours et des nuits si intenses, impossibles à oublier…

A suivre…

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