Premier Jet
Cétait un après-midi daout. La chaleur était difficilement supportable et pourtant ils étaient enlacés sur le petit lit simple de Charlotte. La maison était vide, ils auraient pu occuper nimporte quelle pièce, faire un tour à la salle de bain, prendre une douche à deux ou profiter de la terrasse pour bronzer et se rafraîchir dans la piscine hors sol.
Les parents de Charlotte, partis en vacances la veille, lui avait laissé la charge de la maison, le temps dun weekend. Après tout, maintenant quelle avait atteint la majorité, ils pouvaient lui faire confiance pour ce genre de petite tâche. Ils avaient même proposé à Vincent, le petit ami de leur ainée, de rester à la maison et de profiter de ce petit bout dété avec leur fille.
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Ça faisait maintenant un peu plus de huit mois que Charlotte et Vincent étaient ensemble. Ils se connaissaient depuis quelques temps déjà, et sétaient rapproché au cour de lannée, mais cest la soirée du nouvel an qui leur a permis de sunir. Ils se sentaient tout deux très attiré lun vers lautre, par des forces quasiment mystique, inexplicables et spontanées, cétait une évidence. Il ne pouvait pas en être autrement.
Ils avaient fait lamour ensemble ce soir-là et, malgré linconfort de leur rapport dans le cadre de cette soirée, les gens tout autour deux, les relents dalcool qui envahissaient leurs narines mélangés aux fumets dherbes qui flottaient dans tout le lieux et lhumidité de la salle de bain dans laquelle ils avaient trouvé un semblant dintimité malgré le verrou cassé, ce fut parfait. Parce quils étaient ensemble, parce quils sétaient avoué leur sentiments lun pour lautre.
Parce que lamour que Charlotte éprouve pour Vincent à cet instant précis est réciproque... Parce que lamour que Vincent éprouve pour Charlotte à cet instant précis est réciproque. Et ils ne font alors plus quun. Leur deux corps se fondent lun dans lautre et leurs esprits sont en communion.
Après, pendant un long moment, ils se sont regardés. Droit dans les yeux dabord, puis Vincent détourna le regard un instant pour scruter le visage de celle quil aime dans son ensemble. Tout y est harmonieux, parfait, les courbures de ses pommettes, son petit menton légèrement pointu, son petit nez qui se dresse fièrement au-dessus dune petite bouche splendide consti de deux fines lèvres parfaitement dessinées, subtilement rehausser dun rouge à lèvre peu prononcé qui met en valeur le contour de sa merveilleuse petite bouche. Mais très vite, les yeux de Charlottes le happent une nouvelle fois, et il se noie dans le vert de ses pupilles, et toute laffection quelle lui témoigne passe par ce regard profond et intense qui veut tout dire.
Il prend alors conscience quelle ne le laissera plus partir, plus jamais. Il détourne alors le regard une nouvelle fois, dans un petit instant de flottement, dhésitation qui ne dure quun demie dixième de seconde, avant de se raviser et de se replonger au plus profond du regard qui lui est adressé. Il sen veut presque, il a limpression davoir brisé cet instant, mais il na pas pu faire autrement. La flamme qui brule pour lui au fond des yeux de Charlotte la effrayé. Il a pris conscience du pouvoir quil avait sur elle, de sa responsabilité dans le bonheur et dans la vie de cette jeune fille. Et il a peur. Mais il a pris sa décision. Il fera tout ce quil pourra pour elle, pour la rendre heureuse chaque jour qui vient, chaque nuit qui passe. Et tant pis si il a peur, cest même normal. Au fond ça lui fait plaisir de se voir au fond de ses pupilles, de voir à quel point elle est attaché à lui. Il sétait perdu dans ses pensées pendant une quinzaine de seconde qui lui parurent avoir durée des heures entières, et quand il revient à la réalité, à lui et à Charlotte, elle lui adresse son plus beau sourire. Il est charmé.
Elle approche ses lèvres et lui donne un baiser, tendre, doux et passionné. Sans trop de salive, elle entrouvre juste un peu la bouche pour que la sienne puisse sy glisser, très lentement
Elle est amoureuse. Follement amoureuse. Elle le trouve tellement, beau. Elle aime beaucoup ses cheveux et ses yeux dun bleu malicieux, espiègle. Elle passe doucement une main sur ses joues, un peu rugueuse, mais pas trop. Il na pas encore la barbe rêche et piquante de lhomme bien fait. Tant mieux
Elle aime sa jeunesse, le fait quil la mette en valeur, quil nessaye pas de se vieillir et quil soit là avec elle, collé à ses lèvres. Elle aimerait le garder éternellement dans cette baignoire vide, avec elle, sans se poser plus de question.
Elle se sent naïve de penser comme ça, de vouloir croire à une vie avec lui. Elle sait bien quun jour ou lautre, une fille ne lui suffira plus, quil en sera désolé et quil sen ira, à la rencontre de centaines dautres. Elle ne peut pas se permettre de penser comme une pucelle, à lamour éternel, alors elle chasse ces pensées de sa jolie tête bien pleine et atterrit au beau milieu dun baisé passionné, quelle décide de rendre plus intense. Elle fait dépasser de ses dents, la pointe de sa langue quelle passe sensuellement sur la lèvre de Vincent, qui ne tarde pas à lui répondre en venant titiller ce petit bout de langue avec la sienne. Ils jouent comme ça, à sembrasser, pendant quelques minutes, entrecoupé des « je taime » quils se lancent, chacun leur tour, comme une évidence.
Après ce baiser magique, vecteur de tout leur sentiment, à travers lequel ils confirmèrent tout ce quils venaient de vivre, ils décidèrent de se coucher. Ils remirent alors quelques-uns de leurs vêtements, quils avaient éparpillés dans la pièce, ils ne voulaient pas rester nus, après tous, les seuls toilettes de létage étaient dans cette salle de bain, il risquait dy avoir du passage, des types ivres morts viendraient sans doute gerber là toute la nuit en hurlant « bonne année bonne Sant.
Ils se serrèrent alors dans la baignoire et tirèrent le rideau, bien décidé à dormir. Malgré labsence quasiment totale de confort, ils étaient bien. Cétait la première des nombreuses nuits quils allaient passer ensemble.
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Charlotte était assise sur le lit, entre les jambes de Vincent, dont le torse lui servait de dossier. Elle sappuyait sur lui. Il embrassait son cou avec tendresse, faisant des vas et viens incessant sur sa nuque, de la base de son oreille droite jusquau commencement de son épaule. Elle frissonnait, sa respiration devenait irrégulière, elle ne pouvait pas résister au contact de Vincent. Elle avait chaud. Elle ressentait la chaleur de lété et la chaleur que le contact avec Vincent lui procurait. Ils venaient davoir une longue conversation à propos du Film quils venaient de regarder. Film digne dintérêt puisquils avaient attendu la fin du générique et même pris le temps den parler pendant une bonne heure avant même de penser à faire lamour.
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Charlotte aimait beaucoup leurs discussions, ce nétait jamais stérile, et même si parfois ils étaient en désaccords, Ils sécoutaient et débattaient longuement sur les points qui leur inspiraient une opinion différente. Comme sur la politique. Elle pensait quil était important pour le citoyen de se faire entendre, et que les taux dabstention aux diverses élections étaient une hérésie. Pour lui, la politique ne valait même pas la peine quon sy intéresse. Labstention était un moyen de faire entendre sa voix, de dire que rien ne convient. Et puis de toute façon, la classe dirigeante nen avait quaprès le pouvoir, ces gens-là nétaient nullement intéressés par leur petite vie et leur problème détudiant à la con. Elle était daccord sur ce point malheureusement
elle trouvait ça vraiment dommage quune idée aussi noble et grande que la politique, qui servait le grand but de la démocratie, ne soit au final contrôlé par une minorité uniquement intéressé par ses propres intérêts.
Elle lui parla alors de son désir de suivre des études de sciences politiques. Il lui dit quil savait quelle était assez intelligente, et même brillante, quelle réussirai sans aucun problème mais quil nétait pas sûr que la vie politique lui convienne. Elle ronchonna, un peu vexé. Il se sentit mal à laise de lui avoir dit ça, et lui expliqua quil manquait sans doute de tact, que ce quil voulait dire cest quelle était trop douce, trop bien intentionné pour ne pas se faire dévorer par un de ces connards de rapaces de politicard à la con. Cest une des rares fois où elle sest énervée après lui. Elle lui dit, en fixant ses yeux bleus dun regard dacier, quelle nétait pas la petite créature fragile quil simaginait, quelle pouvait très bien être froide et que cétait une gagnante.
Il lui décocha son plus beau sourire à cet instant, comme pour calmer le jeu, ce qui déstabilisa Charlotte, le temps dun instant qui lui suffit pour lembrasser avec fougue et malice, comme pour lui dire, « regarde, tu ne peux pas me résister, petit ange, tu as besoin de moi ».
Mais quelque chose se brisa à cet instant dans la psyché de Vincent. Ce quil avait ressenti, le soir du réveillon, sur son implication dans la vie à venir de la jeune fille, sur le fait de ne pas devoir déconner, de prendre soin delle et de laimer du mieux quil pouvait, il nen était plus sûr. Le regard quelle venait de lui lancer était un signe, un signe que peut être, malheureusement, elle naurait pas toujours besoin de lui, quelle pourrait un jour être indépendante et se débarrasser de lui. Il avait peur. Il avait déjà peur de la perdre, quelle se lasse de lui, quelle labandonne. Mais il nen montra rien et continua à lui sourire, après la fin du baisé quils venaient déchanger.
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Elle était assise entre ses jambes, appuyée sur son torse plutôt musclé et il embrassait sa nuque. Il la sentait partir, il savait quils savaient tous les deux comment aller se dérouler les prochaines heures de laprès-midi.
Il regardait ses seins, qui dépassaient raisonnablement du décolleté de son chemisier, sans aucune vulgarité ni quelconque provocation. Il en était fou. Il nétait pas très gros, mais pas petit pour autant. Ils étaient beau, ils tendaient bien le chemisier, et même quand elle était nue, ils ne tombaient pas, leur maintien était spectaculaire. Il passait désormais ses mains sur ses seins, des caresses douces à travers le chemisier. Elle avait fermé les yeux, cétait bon signe. Il avait, au cours des huit derniers mois appris à la connaitre, il pouvait maintenant anticiper sur ses réactions et connaissait par cur les déformations que le plaisir ou les sensations agréables provoquait sur son visage. Tient ! Il sentait ses tétons se durcir sous les deux couches de tissus. Ça le rendit dingue, il aimait beaucoup ses tétons, surtout lorsquils pointaient. Elle avait mis le soutient gorge en dentelle blanche, celui quil aimait beaucoup, il le savait parce que cétait le plus fin de tous et quil naurait jamais senti les petits bouts roses se dresser avec un autre. Ça aussi, ça provoquait chez lui une excitation débordante parce quil savait quelle culote accompagnait ce dessous. Une culote blanche, en dentelle avec des froufrous et de nombreuses zones laissées visible par la finesse de la broderie.
Elle devenait folle, elle devenait folle elle devenait folle complétement folle. Elle adorait quil la touche comme ça, quil joue avec ses seins, quil les presse entre ses mains, sans lui faire mal, même si elle se dit quun jour elle lui demandera de resserrer létreinte, daugmenter la pression exercée par ses dix doigts. Elle devient folle, elle se dit quelle devient folle de penser ça. Ses dix doigts sont partout à la fois, elle pense à une armée de petits soldats, des petits soldats à lassaut dune colline, qui courent partout et prennent possession du lieu. Lorsque ses tétons pointent, Elle pense aux premiers astronautes, qui plantèrent un dau américain sur la Lune lors du premier voyage sur le satellite, comme si Vincent, à limage dArmstrong qui conquis les astres, avait conquis les deux monticules de sa poitrine. Elle nen peut plus dattendre, elle le veut en elle, elle le veut, elle veut son corps nu sur le siens, elle nattend que ça, quil la dénude, tout en profitant des caresses expertes quil lui administre.
Il limaginait déjà nue, avant même davoir commencé à la déshabiller. Il voulait son corps nu, maintenant, il voulait la regarder sans ses vêtements, quelle soit à la merci de ses regards, il fantasme sur le moment ou, enfin, il enlèvera le dernier bout de tissus, moment où il pourra enfin la dévorer toute entière, et pas seulement avec les yeux, pense-t-il avec malice, alors quil en est juste à commencer à lui ôter son chemisier. Il nen peut plus, il voudrait aller plus vite mais il sait que ce sera plus intense sil prend son temps. Alors cest ce quil fait. Même si la bosse naissante dans son pantalon ne va pas tarder à devenir douloureuse.
Il descend ses mains, les faisant glisser des seins aux côtes, des côtes aux reins, des reins aux fesses, sur lesquelles il sattarde un peu plus longtemps. Il passe une main dans le jean de Charlotte. Il adore la douceur de sa peau, lisse, blanche, qui se hérisse à son contact. Ses doigts lui donnent la chair de poule. Elle frissonne. Il est toujours derrière elle. Il embrasse son coup, quil prend dans sa bouche juste au-dessus de la clavicule. Il lui demande de se lâcher, dêtre plus démonstrative sur ce quelle subit. « De toute façon, je sais que tu aimes ça, petit ange », lui murmure-t-il dans le creux de loreille. Elle doit maintenant sentir le contact entre la bosse de son pantalon et ses fesses. Ils se mettent sur leurs genoux, se dressent pour intensifier le contact entre leurs corps.
Il la fait languir. Elle a beaucoup de mal à tenir et elle lui en voudrait presque de ne pas se dépêcher. Cest terrible pour elle. Elle sent son propre désir monter. Elle sent quelle na aucun contrôle sur la situation, quil peut faire ce quil veut delle. Quil pourrait ne jamais plus lui faire lamour et la laisser comme ça, dans cet état dexcitation presque total. Elle lui en voudrait beaucoup si jamais il partait à ce moment-là. Son esprit vagabonde. Elle est obligée de le laisser vagabonder un peu car si elle se concentrait sur les caresses de Vincent, elle se mettrait à crier, à bouger dans tous les sens, elle deviendrait une furie. Elle ne veut pas se montrer comme ça car cela leffraie.
Il lui fait un suçon dans le coup et elle commence à gémir, à donner un peu de voix. Il lui a demandé mais elle pense quelle naurait pas pu se retenir bien plus longtemps. Elle feule quand elle sent quil se colle à ses fesse et elle passe sa main droite sur le ventre de Vincent, soulève son tee-shirt et entreprend des vas et vient du bout des doigts, dessinant le contour des abdominaux de son homme qui la rendent folle depuis tellement longtemps. Elle aime ses muscles, il le sait, ça lui plait dêtre avec un garçon qui prend soin de son corps. Ses gémissement sintensifient, les « hum
» langoureux de plaisir se font plus présent. Elle commence à vraiment se lâcher. Elle descend bientôt sa main, joue deux ou trois fois à tirer lélastique de son caleçon puis sempare du sexe de Vincent. Elle le presse légèrement, le relâche et le frotte, doucement. Elle sent quil aimerait quelle le libère du joug du grand Dim, mais elle, elle ne veut pas. Elle lui inflige la même que lui. Il a imposé la lenteur quil subit maintenant comme elle.
Tous leurs sens sont en éveil. Ils saiment dans ce présent qui leur appartient, qui leur appartient à eux et à eux seul.
Il bascule alors ses mains vers lavant de son corps. Il contourne les fesses de Charlotte, passe furtivement sur ses hanches, sattarde quelques peu sur les cuisses puis remonte vers son mont de venus, source dun grand nombre de leur plaisir commun, à tous les deux. Il caresse son pubis, les poils taillé en un petit triangle brun, coupé court à limage dun gazon anglais. Cest comme ça quil laime. Ça lexcite beaucoup. Esthétiquement parlant, cest la première raison et puis aussi parce quil aime quelle prenne soin de son corps. Il aime quelle fasse ça pour lui.
Il ramène ses mains à lair libre et remonte le chemisier, avec une précipitation qui arrache un petit cri de surprise à Charlotte. Elle lève les bras pour accompagner le geste, et bientôt, le chemisier se retrouve sur le sol, premier élément à joncher le parquet, qui sera vite rejoint pas dautres vêtements. Vincent en profite pour déboutonner son short, la pression devenant trop forte pour être supportable, ce qui permet à charlotte dintensifier lamplitude des caresses quelle na cessé quun instant pour lui permettre de faire passer le chemisier par-dessus sa tête. Le short est tombé aux genoux de Vincent, et elle passe sa main sur lensemble des parties génitales de son amant, elle le prend à pleine main, presse un peu, relâche, presse encore et encore puis frotte le sexe sur toute la longueur. Elle sent que cest ce quil voulait à cet instant précis, elle a su le deviner et son visage se fend dun petit sourire discret. Elle est heureuse de pouvoir deviner les attentes de son compagnon.
Il nen peut plus. Il nen peut plus, dautant plus que sa verge à gagner en liberté et que Charlotte intensifie ses caresses. Elle procède en aveugle et elle se débrouille bien. Alors, il veut quelle se retourne, il veut lavoir face à lui, lembrasser et se noyer dans son regard, cest leur manière à eux de vraiment commencer à faire lamour, un regard intense et profond dans lequel ils se perdent le temps dun instant ou deux qui leur parait durer une éternité ou même peut être deux.
Il ôte rapidement son tee-shirt et dégrafe, dune seule main experte le soutient gorge en dentelle blanche, puis, en la saisissant à la taille, il lui fait comprendre quil veut commencer la lutte, la bataille pour lorgasme, elle se retourne, leur yeux se rencontrent et ne se quitte plus. Puis soudainement, dun accord tacite, leurs bouches savancent, à la recherche lune de lautre, pour ne faire plus quune. Ils sembrassent ainsi, avec force et amour, faisant se mêler leur langue, mordillant les lèvres trop aventureuses qui ségare en terrain inconnu, presque dangereux. Ils ne restent pas passifs pendant ce baisé et le face à face permet à leurs mains plus daudace dans les caresses quils se donnent.
Charlotte baisse Le Dim. Enfin ! Le sexe de Vincent est à lair libre et il a toute la place nécessaire pour sépanouir. Il se lève pour ôter complétement les morceaux de tissus qui sont devenu une gêne. Et Hop! Le voilà nu comme un vers. Il se remet face à Charlotte, qui le reprend en main, et il ne faut pas plus de trois ou quatre va et vient pour quil se retrouve décalotté. Dès lors, elle se met à jouer avec le gland de Vincent, la main autour de la verge, le pouce imprimant de petit cercle autour du méat. Elle regarde avidement le beau et long membre et, de temps en temps, elle passe sa main en dessous et vient empoigner délicatement les bourses de son Homme, puis elle fait glisser son bras en sens inverse pour revenir à sa principale occupation, pendant que lui se débat pour enlever son jean.
Vincent est excité plus quil nest possible, il conserve difficilement son calme. Il a limpression quil peut exploser à tout moment. Mais il est obligé de garder sa concentration pour lui apporter la même envie, la même sensation de désir. Ses yeux font des va et vient constant entre les yeux, la poitrine tendu et le sexe de Charlotte, dont seul le pubis est apparent, grâce à la merveilleuse transparence de la culote en dentelle. Il avait bien deviné, en reconnaissant le soutient gorge blanc, quelle aurait mis lensemble complet pour quil soit à bout, complétement à cran à la vue de la culotte blanche.
Il se contentera de cette vision pour le moment. Il passe sa main dans le léger tissu et commence à titiller les chaires déjà tellement humides qui soffrent à lui. Il caresse légèrement le clitoris dressé puis sinfiltre un peu plus bas et passe sa main autour du sexe de Charlotte, frôlant les lèvres, sans infiltré de doigt dans lintimité de Charlotte, il réserve ce plaisir pour plus tard, il descend parfois un peu plus bas, frottant le périnée et il ose même poser un doigt sur lanus de son amoureuse. Elle frémit à ce contact. Il ne sait pas encore interpréter ce frémissement. Mais il se dit quen huit mois, il a déjà découvert beaucoup de sa personnalité, de son comportement et quil faut bien que subsistent un tant soit peu de mystère.
Il retire sa main et se saisit de la culote, bascule le corps de Charlotte en arrière. Elle se retrouve alors très vite entièrement nue, sous ses yeux ébahies. Les caresses de Vincent lont presque fait jouir. Elle est heureuse quil commence enfin les choses sérieuses, elle le veut sans plus tarder. Maintenant quils sont nus tous les deux, ils vont pouvoir se toucher avec plus dintensité, se faire du bien saccompagner vers la jouissance. Y aller ensemble, pour le meilleur du plaisir.
Elle nen revient pas, à chaque fois elle nen revient pas de voir ce que la vue de son corps nu provoque chez Vincent. Et cest comme ça à chaque fois ! Son corps à elle, provoque chez lui la béatitude, il est terriblement mignon quand il la regarde avec cette ardeur, cette envie mêler de surprise. Elle esquisse un sourire et le regarde tendrement. Elle sait ce quil va faire à cet instant précis. Et elle en a très envie. Il est très doué pour ça.
Vincent est obnubilé par la vision du beau sexe. Celui de Charlotte est parfait, il aime beaucoup la vue quil à, de cette magnifique nymphe allongé pour lui sur ce lit, offerte, les seins dressé, brillante de transpiration à cause de la chaleur daout. Il est attiré par le sexe de charlotte, cest plus fort quun aimant, plus fort quun amant, plus fort que lui. Il se baisse et lembrasse. Doucement dabord, puis il prend tout ce quil peut dans sa bouche avant de relâcher et de sortir sa langue pour de douce caresse sur les lèvres humide, puis il sattarde sur le clitoris quil lèche, embrasse, prend dans sa bouche. Et il continue comme ça quelque temps. Il la pénètre avec ses doigts, en même temps quil la en bouche
elle est encore plus humide quil y a dix minutes, et ça le surprend.
Charlotte devient folle sous la langue de son amoureux. Elle est heureuse que ses parents soit en vacances car elle na pas à soccuper du volume sonore de ses cris, qui sintensifient. Elle hurlerait presque. Elle sent comme des bouffé de chaleur lenvahir. Elle pose ses mains sur la tête de Vincent, tirant sur ses beaux cheveux brun. A présent, cest elle qui mène la danse, qui guide les mouvements de son amant. Elle va jouir cest certain. Mais pas maintenant. Elle aime jouir en même temps que Vincent. Elle mort une peluche pour ses cris qui lui deviennent insupportable.
Quand Charlotte relâche sa tête, Vincent sait quil doit sarrêter là. Il reprend un peu son souffle, pendant une bonne minute, la tête posé sur le mont de venus de sa délicieuse compagne. Il savait quil ne la dévorerait pas que des yeux. Cette pensée le fait sourire. Quand il a enfin repris son souffle, il remonte vers Charlotte et lembrasse langoureusement. Elle le prend dans ses bras et le serre très fort contre lui. Il aime le contact de son corps, le sentir tout chaud contre lui. Il en vient même à oublier la chaleur de lété. Il lui murmure au creux de loreille « je taime petit ange », ce à quoi elle répond « je sais, jolie cur, moi aussi, je veux ne jamais avoir à me passer de toi.. »
Puis elle embrasse Vincent, dun baisé qui sonne comme une promesse. La promesse de son soutient, dune union indéfectible. Elle embrasse ensuite son cou et descend, tout doucement, elle sattarde sur les pectoraux et gratifie dun petit coup de langue chacun des deux tétons du jeune homme dont elle est amoureuse. Elle suit le tracé dessiné par le contour des abdominaux saillants de Vincent et embrasse chaque centimètre de la ligne centrale. Elle arrive au pubis, que Vincent a pris soin de taillé court. Ils sont tous deux contre lépilation intégrale, quil trouve dénaturante et un peu obscène.
Vincent sait très bien ce qui lattend et il aime lattente, Charlotte prend son temps pour descendre, ce qui lexcite beaucoup. On peut dire que ce nest pas un homme pressé. Ça doit bien faire une demi-heure, voire trois quart dheure quils ont commencé leur petite affaire. Elle arrive enfin à destination et se saisit de son sexe, quil ne peut empêcher de se raidir spasmodiquement tant il est excité.
Elle a cru un instant que Vincent allait jouir au moment même où elle la pris en main. Elle aurait été déçu si il avait fini maintenant, avant même quil ait eu le temps de vraiment faire lamour, avant de sentir son vagin souvrir pour accueillir la colonne de chaire quelle attend depuis presque une heure. Elle pose doucement ses lèvres sur le gland qui se tend vers elle et glisse sa bouche le long du membre. Elle commence un doux va et vient avec ses mains, quelle accompagne avec ses lèvres et sa langue qui sagite sur le sexe de Vincent, qui, lui, caresse tendrement sa nuque.
Il nen peut plus, très vite il doit se retenir. Elle est vraiment experte pour la fellation, il ny a pas de doute. Il est heureux davoir la chance de connaitre Charlotte aussi intimement, dêtre aimé par elle et de laimer, quelle lui consente toutes ces joies de la sexualité. Il est heureux de lavoir rien quà lui, de la posséder pour lui et juste pour lui et il ne veut en aucun cas la partager. Jamais. Avec personne. Et il nen veut pas dautre, de toute façon, ça ne pourra jamais être aussi intense, aucune fille ne pourra jamais égaler Charlotte, il en a la certitude. Il lui demande de sarrêter, de venir près de lui. Cest elle, cette fois qui lui dit quelle laime. Il le sait, il laime aussi. Il se contente de lui sourire, dun sourire éclatant radieux, qui veut dire plus que tous les mots du monde pourraient en dire et il lembrasse fougueusement.
Il lembrasse fougueusement et elle lui rend ce baisé, cet ultime baisé avant la concrétisation de lamour physique, avant la pénétration avec la même fougue. Leurs deux corps, prêts à semboiter roule sur le lit. Elle est enfin sous son corps musclé, elle nattend plus quil se décide à la posséder. Elle tend la main et accorde une ultime caresse au sexe de Vincent.
Elle le touche. Il veut quelle le touche. Il savance vers elle, et pour la première fois depuis le début de leurs ébat de la journée, leurs deux sexe entrent en contact. Ils ne mettent pas de préservatif. Tout du moins ils nen mettent plus, pour être plus précis. Ils ont passé les tests pour être sûr de ne pas prendre de risque et elle prend la pilule avec un sérieux qui impressionne Vincent.
Elle le veut en elle. Et elle le veut maintenant ! Elle se tortille pour essayer de linciter à rentrer en elle maintenant. Il sen rend compte et dun léger mouvement, tout en douceur, il la pénètre en une seule poussée. Elle pousse un petit cri et gémit de plaisir
Et ils restent comme ça une poignée de seconde puis elle commence à se tortiller, de petits mouvements auxquels il répond par des mouvements plus amples. Passé un certain temps, il décide daccélérer franchement ses mouvements. Elle est surprise et il est heureux de la surprendre à ce moment-là, il continue lincessant a et vient dans le fourreau qui, selon lui, était prédestiné à laccueillir. Il sent le plaisir monter, son sexe devient bouillant, toutes ses terminaisons nerveuses sont actives et il ressent tout trop fort. Cest tellement bon
Il ralentie un peu, il veut faire durer les choses encore un peu, pour porter Charlotte vers lextase.
Enfin ! Il est en elle avec un rythme soutenu ! Elle lembrasse, lui caresse le dos, qui, elle ne sen rend compte que maintenant, est au moins aussi musclé que le torse. Et ça lexcite ! Elle se colle à se torse, elle se contorsionne pour établir un contact engagé entre ses seins qui pointent dexcitation et le torse de Vincent. Elle y arrive enfin et elle sent une chaleur qui parcoure tout son corps. Elle est au bord de lextase, au bord de lorgasme. Elle sent les coups au fond delle-même, son vagin frémit et elle feule de plaisir.
Il est repartit de plus belle, et cette fois, ça y est, il est au bord de lextase, il se sent venir et, plus important, il la sent venir. Il passe une main ferme sur ses seins quil embrasse en passant puis sagrippe à deux mais aux fesses de Charlotte quil embrasse frénétiquement tout en allant le plus vite possible au fond delle. Cest devenu une machine, un ressort frénétique qui est incapable de sarrêter sans une assistance humaine. Charlotte hurle cette fois, son corps est électrifié, parcoure par des centaines déclaire de bonheur et de bien-être qui la traverse de part en part, népargnant aucune partie de son corps. Vincent a joui à lintérieur de Charlotte au moment même où elle a été surprise par les frissons. Il reste là encore un peu, jusquà ce que les choses se calment delle-même.
Ils sembrassent tendrement, en souriant, heureux de ce quils se sont apporté mutuellement. Ils saiment cest certains. Ils le déclarent, même si la déclaration nest plus nécessaire au vu de ce quils viennent de vivre pendant toute la durée du jeu. Ils quittent tout deux le confort de la chambre pour la première fois de laprès-midi, afin de saccorder une douche bien mérité ! Puis ils se sèchent rapidement, juste pour évacuer lhumidité, pour rester frais en cette chaude journée du mois daout et ils retournent se coucher dans le petit lit de Charlotte, nue, et ils sendorment presque instantanément, simultanément lun dans les bras de lautre.
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