Ma Femme Son Amant - Leur Cinéma 2

Elle aimait rencontrer N. régulièrement et se réjouissait toujours de passer sous lui et d’avoir un moment intense, où elle était baisée, fouillée avec la langue, enculée et léchée de la tête aux pieds. N. lui procurait toutes ses sensations et elle y allait sans retenue, jouissant souvent bruyamment et procurant des orgasmes giclant à son amant.
Pour des raisons professionnelles, nous quittâmes la région et les soirées chez N. et les ébats avec lui cessèrent. Nous restions en contact et savions les aventures des uns et des autres.
Un soir, j’ouvris un message et quelle ne fut pas ma surprise de voir un message émanant de lui. Il avait affaire dans notre nouvelle région et proposait de venir la rencontrer pour un après-midi. Je lui en parlai immédiatement et elle accepta très volontiers de le revoir, se réjouissant d’avance de le sentir à nouveau en elle. Nous nous mîmes d’accord sur le rendez-vous. Il passerait un dimanche après-midi. Je lui demandai s’il avait des souhaits particuliers pour cette étape érotique et il fit savoir à ma femme qu’il souhaitait qu’elle joue devant lui avec des sextoys.
Le dimanche matin arriva et nous nous la préparâmes à sa partie de jambes en l’air avec N.. Elle fut rasée, eut droit à un lavement, car N. l’enculait toujours, et choisit une robe noire très courte avec un dentelle sur le devant et un lacet sur les seins qui permettait de les toucher rapidement. Des bas noirs et des chaussures à talons pour lui allonger les jambes. Pas de string, c’était la consigne, pour qu’elle soit accessible tout de suite.
J’avais aussi préparé la chambre d’amis. Lampe de chevet arabe rouge, bougeoirs tamisés, fenêtre masquée avec un organdi doré et un rideau en fils rouges à l’entrée de la chambre pour créer une atmosphère érotique et chambre de pute. Les nombreux sextoys étaient posés sur le lit revêtu d’un dessus rouge foncé.
Le scénario était simple. Quand N. arriverait, je le conduirais à la chambre et l’installerais sur une chaise en face du lit.

Elle serait dans une pièce à côté et j’irais la chercher pour la lui présenter, en bon candauliste que je suis.
Peu avant son arrivée, je vérifiai sa tenue et l’embrassai tendrement en glissant ma main entre ses cuisses pour sentir l’effet de son excitation. Elle était déjà mouillée et ses lèvres étaient gonflées du désir qu’elle avait de revoir N..
Elle alla attendre dans la pièce et à 14h00, comme prévu, N. arriva. Je lui ouvris la porte et constatai qu’il avait son pantalon en cuir et, sous sa veste, un haut noir qu’il portait quand il la rencontrait. Nous nous saluâmes chaleureusement, car notre relation était sans ambiguïté. Il venait baiser ma femme et j’avais le droit de filmer, photographier et, si le cœur m’en disait, de profiter des miettes du festin.
Il ôta sa veste et je l’installai sur la chaise face au lit et allai chercher sa pute d’un après-midi. Elle arriva devant la chambre et fendit le rideau en disant « Bonjour N. », il se leva alors et s’approcha d’elle, l’embrassa à pleine bouche en lui palpant immédiatement la chatte. Elle se colla à lui et passa ses bras autour de son cou pour mieux placer sa bouche sur la sienne. Le scénario semblait oublié. Il continua à la caresser à travers sa petite robe, lui malaxant les lèvres de son con maintenant luisant d’humidité et lui empaumant les fesses avec fermeté, chose qu’elle adore. Leurs bouches ne se quittaient pas et je pouvais voir les langues se caresser, se sucer et s’enfoncer dans la bouche de l’autre. Il lui lécha le pourtour des lèvres et suça son nez comme une glace. Entretemps, elle avait posé sa main sur le pantalon en cuir et pouvait juger à la grosseur de son érection que leurs retrouvailles lui faisaient de l’effet. Il était manifeste que l’alchimie fonctionnait à nouveau et qu’ils étaient des amants faits l’un pour l’autre.
Il la poussa vers le lit, l’assit au bord et elle écarta ses cuisses sous la pression douce de ses mains. Sa chatte rasée ruisselait et, dessous, son anus était humidifié par la cyprine qui coulait.
Ça faciliterait la sodomie à laquelle elle aurait droit. N. s’empara alors d’un plug de taille moyenne et le mouilla avec sa bouche pour le poser ensuite sur son trou du cul. Elle ouvrit encore ses cuisses et avança un peu son cul, lui signifiant ainsi qu’elle avait envie de cette pénétration. Il enfonça doucement le plug rose et quand l’endroit le plus large lui écarta le trou du cul, je vis l’anneau anal se distendre et prendre la forme du cône. N. arrêta la pénétration pour qu’elle sente bien l’agrandissement de son orifice et poussa ensuite légèrement l’engin qui fut absorbé d’un coup et disparut dans son boyau. L’anus se referma sur le plug et on pouvait le voir se serrer autour de la partie étroite du plug comme pour le garder bien en elle. N. avait écarté les lèvres de son vagin et suçait le clitoris pendant qu’il tournait lentement le gode dans son cul. Il lissa avec sa langue les grandes lèvres et les mâchouilla ensuite en les aspirant pour la faire gémir.
Elle était sur le dos, ouverte comme une grenouille, le cul palpitant, se caressant les seins d’une main et caressant la tête de son amant de l’autre. Il la lécha longuement, lui bouffant littéralement la chatte, retirant le plug jusqu’à la limite de l’élargissement de son anus pour l’enfoncer à nouveau, tirant des gémissements de sa partenaire qui les excitait tous les deux. Il prit un autre godemiché, un gros noir, et l’enfonça dans sa chatte. Ses deux trous étaient comblés.
Je quittai la pièce pour vaquer à mes occupations. Je les savais occupés sans moi et j’entendais dans la maison la musique de ses cris de plaisirs, de ses râles de féline en rut. Je vidai le lave-vaisselle, entrepris de préparer une collation et lus un article dans le Monde.
Les cris venant de la chambre ne faiblissaient pas. Elle émettait maintenant un bruit profond de gorge. Je redescendis voir où ils en étaient. Sa queue était plantée dans la bouche de ma femme et elle le suçait avec tout son savoir-faire et son excitation.
N. était allongé en travers du lit et elle était penchée sur lui, à genoux, le cul tendu vers le haut. Je vis sa main s’agiter entre ses cuisses et compris alors qu’il la branlait pendant qu’elle le suçait.
Elle bavait sur sa queue, aspirant la mentule avec un bruit de succion, produisant un bruit sombre de gorge quand elle la prenait jusqu’à la garde.
Il l’attira au-dessus de lui et ils se témoignèrent leur envie mutuelle dans un soixante-neuf passionné, mangeant complètement le partenaire. Elle lui lécha l’anus et il enfonça sa langue dans son con et la branlant avec trois doigts dans son trou du cul maintenant éclaté.
Je les laissai faire et allai sur internet, sur notre site préféré, pour communiquer avec des internautes sur ce qui se passait. Je ressentis un intense sentiment indéfinissable à écrire que ma femme était en train de se faire trouer le cul en direct et que j’assistais à ses ébats. Les internautes me demandaient des détails et l’un me traita de cocu. Je lui répondis que j’étais un candauliste et que j’adorais voir ma femme se faire sauter par un autre homme. Je crois qu’il n’a pas compris.
Soudain, les grognements des deux cochons cessèrent. Je savais alors qu’elle allait passer à la casserole et que son plaisir allait être extrême, comme d’habitude avec N.. Je ne m’étais pas trompé. En franchissant le rideau rouge de l’entrée de la chambre, je les vis perdus dans un enlacement intense. Elle était allongée sur le dos, une jambe allongée et l’autre très relevée pour offrir le plus largement possible sa chatte à son amant. Il était couché sur elle et la sautait puissamment, creusant les reins pour aller au fond de son vagin. Leurs bouches étaient soudées et elle relevait encore plus sa jambe, lui tenant les fesses pour appuyer encore son mouvement de pénétration. C’était langoureux, lent, sûr qu’il était de pouvoir la baiser ainsi pendant des heures. Elle était aux anges. Je m’approchai de son visage pour observer son plaisir.
Elle ne me vit même pas, car elle avait les yeux clos et était concentrée sur ce membre qui la remplissait si bien et qu’elle appréciait tellement. Il la besogna longtemps, la remplissant de sa large queue raide d’excitation et elle poussait son bassin à sa rencontre pour le sentir encore plus loin en elle.
Je partis rendre compte aux internautes de l’état des choses et en excitai plusieurs, dont des couples. Une femme me demanda même d’essayer de convaincre son mari de la laisser coucher avec d’autres hommes, comme moi je le faisais avec la mienne.
Je retournai au bout d’une demi-heure dans la chambre avec un plateau et du champagne. Elle le chevauchait, s’enfonçant profondément sur sa queue et il lui suçait alternativement les seins et la bouche. Je m’assis sur le bord du lit pour leur proposer une pause, ce qu’ils acceptèrent bien volontiers. Nous rîmes et échangeâmes des plaisanteries sur ce qui venait de se passer et N. lui caressa le dos et l’entrecuisse, me jetant un regard de connivence. Elle était appuyée sur un bras, une jambe repliée, laissant voir, derrière, sa chatte et son cul.
Il insinua un doigt dans son trou du cul, signalant ainsi qu’elle allait se faire trouer les fesses. Je pris leurs coupes et servis de barman, pendant qu’ils retournaient à leurs affaires. Il la fit mettre à quatre pattes, lui ouvrant les cuisses pour atteindre sa chatte. Il mouilla son trou du cul avec sa salive, enfila un préservatif et s’enfonça dans son arrière-train. Elle ouvrit la bouche et poussa un gémissement de bonheur comme pour évacuer par le haut le plaisir qu’elle ressentait par le bas. Elle adore être enculée et quand c’est par N., encore plus, car c’est un amant expérimenté.
Il la maltraita un grand moment, lui faisant atteindre des sommets de jouissance en accélérant le rythme ou en ralentissant, en enfilant à peine sa queue dans son trou, puis en la remplissant profondément, en tournant son bassin pour lui écarter le cul. Dans le feu de l’action il lui donna quelques claques sur ses fesses charnues et rosit ainsi son postérieur. Elle poussa à chaque claque un ah ! d’encouragement, montrant ainsi qu’elle aimait cette petite fessée. Il se leva alors sur ses jambes et vint se placer au-dessus d’elle, me montrant ainsi sa vulve grasse et brillante de mouille et le travail de sa grosse queue pénétrant son trou. Il sautait presque dans son trou du cul et la ramonait si fort qu’elle se mit à bramer, à gueuler de plaisir et dans un grand râle à jouir de tous ses membres. Je voyais son cul tressauter, sa chatte dégouliner, ses bras trembler et une de ses mains pincer le bout de ses seins pour augmenter encore sa jouissance.
Il quitta son boyau et s’allongea sur le dos. Il ôta le préservatif. Il bandait comme un cerf. Elle rampa jusqu’à sa queue, encore essoufflée de son orgasme et le suça comme un sucre d’orge, savourant ce membre humide. N. n’éjacule pas facilement, c’est pourquoi je quittai la chambre pour reprendre ma conversation avec les internautes. Ils eurent un compte rendu et je les quittai, en expliquant qu’elle le terminait avec sa bouche.
J’entendais ses soupirs et ses encouragements pour que sa bouche continue de le sucer et soudain, lui aussi se mit à râler et à aspirer l’air en sifflant. Il éjacula dans la main de ma femme et elle le regarda jouir à longs traits, fascinée qu’elle est toujours par les queues qui éjaculent quand elle les branle et les suce.
Ils échangèrent encore un moment de tendresse, où elle était couchée sur lui, roulant son ventre sur le sien, avec des petits baisers concluant ainsi cette après midi, où elle avait été la pute de N.
Ils revinrent au salon, et nous bûmes un café ensemble en discutant de choses et d’autres. En partant, il la serra dans ses bras et lui dit « je t‘adore ». Puis il me remercia de lui avoir prêté ma femme.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!