Leslie Hs01
Leslie HS01 Hors-série - Joyce, une expérience inoubliable
Cest vrai que pour moi, rien ne vaut une belle queue, bien dure et bien raide et pourquoi pas un peu épaisse, une belle queue qui entre en moi, me pénètre et remue au creux de mes reins.
Je ne résiste jamais à loccasion de sentir ce solide mouvement de va-et-vient dans mon petit anus, qui souvre au début sous la force du pieu qui va me sodomiser, le sentir entrer lentement en moi, écartant mes chairs intimes, puis aller et venir dans mon intimité.
Mais parfois, il me prend lenvie terrible de lécher une petite chatte et dêtre active, entrer mon sexe dans cette petite chatte ou dans un petit anus offert, bien que parfois ça ne se passe pas comme on le prévoit
Ma dernière expérience féminine, est une expérience inoubliable...
Laure étant absente pour son travail à létranger, je me permettais de sortir et de ne pas louper loccasion de faire des rencontres, je vivais ma solitude pleinement en dehors de la maison afin de ne pas avoir de regrets.
Un soir, après une rencontre minable avec un homme, qui mavait abordé dans un petit restaurant de la rue Saint Jacques, où je dinais, et qui dès la première minute sest mis ouvertement à me draguer en ayant quune idée dans la tête et nayant de cesse de la concrétiser, celle de memmener à lhôtel et de menculer comme une salope
Layant rapidement éconduit, je voulais oublier cet instant avant de rentrer à la maison, alors je me suis arrêtée dans un café du boulevard Saint Germain, non loin de la maison et là, je me suis fait draguer par une femme, une cougar
Elle était là, cette femme assise seule dans ce bar, dun certain âge, la quarantaine passée, brune au visage dange, prenant un cocktail. Quand je suis rentrée, elle a levé ses yeux verts vers moi et ma souri et je lui ai rendu, puis je me suis assise non loin delle, juste face à elle.
Tout en continuant de boire, elle me regardait sans complexe, mais avant que le serveur ne vienne prendre ma commande, elle ma montré la place en face delle, en me disant :
- Joignez-vous à moi !
Je lai rejointe à sa table et elle a rajouté :
- Boire seule cest triste, mais à deux ça change tout ! Je mappelle Joyce.
Nous avons conversé, mais rapidement et très directement Joyce mannonça quelle était bisexuelle et en me regardant droit dans les yeux, quelle était tentée, ce soir, par une aventure au féminin.
Elle était très claire dans ses intentions et cela me plut, mais je lui ai avoué que cela serait difficile car javais un petit plus qui me différenciait dune femme normalement constituée.
Elle a compris en me le faisant savoir dun clignement des yeux et elle mavoua que cela ne lui posait pas de problème, de toute façon je lui plaisais et que je sois une femme ou une femme membrée, cela nempêchait pas ses désirs, et puis elle rajouta :
- Je nai quune envie, celle de te sucer pendant des heures avant que tu me fasses lamour, et de toute façon une vraie queue cest mieux quun gode
Elle était vraiment cash et très rapidement nous avons senti quil était temps de passer à autre chose et de se retrouver ensemble, mais beaucoup plus intimement que dans un café.
Ce soir-là, je portais un délicat soutien-gorge blanc en dentelle fine et un string de la même couleur, un joli chemisier qui ne demanderait quà être déboutonné sur le devant et, une petite jupe qui irait voler dès que le désir serait trop fort.
Elle ma emmené chez elle à trois immeubles de chez moi, une voisine, et arrivés chez elle, elle me demanda :
- Veux-tu un whisky ?
- Oui, dis-je dans un souffle.
- Laisse-moi prendre ton manteau.
Après avoir ôte son trench et accrocher mon manteau, je la découvris vêtue dune simple robe noire. Nous nous dirigeâmes vers le salon, où elle me servit un verre.
Je pris le temps de bien me pencher, découvrant mon incroyable derrière à ses yeux gourmands.
Je sus, à ce moment, à quel point nous aurions du plaisir ce soir-là.
- Alors, comment procède-t-on ?
- Es-tu pressée, fis-je, un brin coquine.
- Non.
Elle me regarda par-dessus son verre. Elle avait un regard incroyable.
- Laisse-moi te déshabiller.
Je la tournais, dos face à moi, et baissais sa fermeture éclair. Une peau bronzée, un corps mince et de magnifiques fesses, douces et lisses, se révélèrent à mes yeux.
Elle maurait fait jouir avant que jaie commencé quoi que ce soit avec elle tellement elle avait un beau corps. Lorsquelle fut nue, je lui dis :
- Tu es magnifique, ma chérie.
Elle rigola.
- Toi aussi, tu es très belle.
Je la retournais et la remerciais de son compliment par un premier baiser. Elle ne se rebella pas. Elle était presque nue contre moi, sa lingerie en satin se frotta contre mon corps, commençant à me faire bander.
Sa langue chercha la mienne, la massa avec une assurance peu commune. Mes mains, descendirent à ses seins, quelle avait pleins elle aussi. Ses mains nétaient pas moins entreprenantes et sacharnèrent à me déshabiller, puis à dégrafer la prison de dentelle de ma poitrine.
En quelques secondes, mes seins furent exposés. Sa bouche se décolla de la mienne pour atterrir sur mon mamelon gauche, dressé, je nétais plus quen string qui contenait avec difficulté mon sexe en érection.
Jai fini de la déshabiller complètement nue elle me montrait son corps si parfait, ses seins arrogants, son ventre légèrement bombé dune femme épanouie, le bas de son dos cambré qui mettait ses fesses en valeur et son pubis taillé à laméricaine, ne laissant quun trait de poils hyper court sur son mont de Vénus au-dessus de ses lèvres.
- Jadore tes seins, dit-elle, pendant quelle les embrassait avec avidité.
- Viens sur le lit, dis-je.
Nous grimpâmes sur le lit et je me couchais sur le dos. Je la laissais sescrimer sur mes seins, avant de la laisser revenir à ma bouche. Ses mains glissèrent alors vers mon sexe, sous mon string, elle me jeta un coup dil, sourire aux lèvres, mon sexe entièrement érigé était maintenant lobjet de son désir.
- Je vais te sucer, nes-tu pas là pour ça ? Dit-elle.
Elle se pencha sur mon bas-ventre et me regarda une dernière fois avant de plonger sur mon sexe. Je lui souris et lui fis un signe encourageant, en lui ouvrant mes jambes.
Elle ouvrit les lèvres et prit mon sexe en bouche pour se mettre à me sucer, sa bouche était douce, chaude et humide, elle avait une certaine expérience de la chose et sest appliqué pendant un long moment.
Parfois sentant mon plaisir monté elle pressait fortement mon membre à sa base pour me couper de la jouissance, longtemps ce petit jeu à durer, me laissant sur le bord de la jouissance à chaque fois.
Elle me regardait, ses yeux verts plantés dans les miens, Joyce était une vraie coquine et prenait du plaisir à son ouvrage.
Puis pour changer, jinvitais Joyce à sallonger :
- Je vais te caresser, nous avons toute la nuit.
Je lui dis cela en montant à califourchon sur son dos.
Je commençais par ses épaules et son dos, lentement, je repoussais ses cheveux sur le côté et plaquais des petits baisers dans le creux de ses omoplates.
Elle frissonna de plaisir. Mes doigts trouvèrent la courbe de sa poitrine et sattardèrent un moment. Puis je descendis vers ses adorables fesses nues, je mouillais mes lèvres et embrassais la naissance de sa raie culière.
Elle voulut se retourner, mais je len empêchais doucement en continuant mes caresses.
- Que veux-tu ?
- Laisses-toi aller dans la confiance, tu vas aimer !
- Mais
- Tu as un cul magnifique, laisses-moi en profiter un moment !
Et jai continué de lui caresser les fesses
Puis, je la retournais et lui écartais ses jambes, dévoilant son sexe ruisselant de désirs, et sans crier gare, je lui enfonçais un doigt dans la chatte. Elle gémit de surprise. Je massais un moment son intimité et approchais ma bouche contre ses lèvres intimes dégoulinantes.
Je remontais vers son clitoris puis la descendit tout près de son anus, et je recommençais, modulant la dureté de ma langue, alternant avec un habile massage digital.
Joyce se tortillais légèrement sous mes caresses buccales et digitales.
- Aimes-tu cela ?
- Oui, ohhh, oui.
Cétait presque un cri. Alors je continuais à ma besogne. Mon doigt était maintenant sur son clitoris. Je léchais, tournais et jouais du doigt. Jenfonçais la langue dans son trou, fis tourner à gauche puis à droite, et la sortis. Un deuxième doigt vint rejoindre son clitoris. Ma salive se mélangeait à sa mouille, qui avait un goût légèrement sucré. Sa chatte était mienne maintenant, abandonnée au plaisir quelle recevait. Un troisième doigt sy introduisit et Joyce lâcha un petit cri.
De lautre main, jagrippais sa fesse droite, que je massais avant de me diriger vers son anus.
Elle ne dit rien lorsque je caressais du bout du doigt lentrée se son intimité la plus secrète, enfin juste :
- Ohhh, oui, là, vas-y !
Je ne me fis pas prier. Je dirigeais ma bouche vers ses fesses, tandis quelle relevait ses jambes pour me faciliter laccès aux contrées interdites et sortis ma langue. Je me mis à lécher avidement, le visage enfoui dans son cul.
Sous mon emprise, Joyce se tordit davantage. Ses mains froissèrent la couverture, son visage marqué par le rictus du plaisir. Elle souffrait de plaisir dans un abandon total.
- Je vais jouir ! Hurla-t-elle.
Je retirais ma bouche de son anus, mais gardais mes doigts solidement arrimés à son clitoris pendant encore quelques minutes, ses gémissements se répercutant dans la chambre.
Puis revenant à sa hauteur, sexe contre sexe, nous nous sommes frottée lune contre lautre, jusquau moment où elle passa ses jambes derrière mon dos, ce qui fit quavec les jambes largement écartées sa chatte souvrit et en mattirant en jouant avec ses pieds sur mes reins, elle menfonça dans se chatte ouverte et frémissante.
Cest elle qui en jouant de ses pieds mimprima le rythme, tantôt lent et parfois rapide, jusquau moment où minondant le sexe de son plaisir, elle jouit en hurlant de bonheur.
Jétais incroyablement excitée par le savoir-faire de Joyce et du plaisir quelle prenait, alors jai continué de la pilonner lentement en passant une de mes mains sous ses fesses pour aller chercher son petit trou, que jai investi dun doigt.
Sous la pénétration, Joyce sest cambrée en feulant, en disant :
- Oui, si tu veux
A cet instant, elle sentait le sexe, cette odeur toute particulière quont les femmes dans la jouissance et le désir, alors me retirant de sa chatte, jai investi le trou de son cul.
Elle à hurler en se cambrant, le corps parcouru de frissons, elle était relativement étroite et son petit anus menserrais bien mon membre, elle ne devait pas se faire enculer tous les jours, dailleurs dans un soupir, elle me dit :
- Ohhh, ma chérie, ce nest pas une pratique courante chez moi, mais cest trop bon
Je ne sais combien de temps elle à râlé sous mes assauts, mais je sais que plusieurs fois elle est partie dans une jouissance folle.
Après avoir jouit au fond delle, nous avons été prendre une douche et nous avons pris une petite collation avant de retourner dans sa chambre et refaire lamour et de sendormir dans les bras lune de lautre.
Je suis revenue chaque soir de la semaine chez Joyce et jai passé le week-end suivant dans les bras de cette amante formidable, et cest le dimanche soir que jai fait la connaissance de sa fille, Diane.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!