Vacances Au Cap

Première étape Paris Le Cap.
Deuxième étape, séjour au Cap, nous étions invités par une relation professionnelle de mon mari, superbe maison, une dizaine de domestiques etc. Leur fille, Syndie, pas éloignée de la quarantaine, célibataire, est une ravissante blonde, toujours pleine d'entrain, adepte de bon mots; bref je me suis tout de suite senti des affinités avec elle. Les regards que nous échangions pendant les dîner me laissant présager que les plaisirs du "cul" devaient avoir une place importante dans sa vie.

Lors du dîner, Sandy me regardant droit dans les yeux, me proposa de venir avec elle en Range Rover le lendemain pour aller visiter une partie du domaine, j'ai accepté sans hésiter!!!

6h30 le lendemain matin.
A ma grande surprise elle était en robe d'été, pas spécialement la tenue la plus pratique pour visiter le bush, comme je lui en faisait la remarque, elle m'a expliqué que ce serait plus confortable à cause de la chaleur. Je suis donc aller me changer pour une tenue équivalente à la sienne, mais j'ai quand même conservé un string par décence, mais comme elle, pas spécialement adepte du soutien gorge, ayant tout de suite vu qu'elle n'en portait pas.

Les paysages étaient superbes, à ma droite son profil et sa chevelure blonde éclairée par les rayons du soleil, je pouvais voir ses petits seins par l'échancrure du décolleté de sa robe, boutonnée assez bas. Une question m'obsédait, était – elle une vraie ou une fausse blonde ?
La réponse me fût donnée peu après quand à la suite d'un changement de vitesse sa main a remonté le bas de sa robe. Elle était une vraie blonde et ne portait pas de culotte, une fine bande d'un blond de blés, bien dessinée, partait du sommet de sa fente. Je lui fit la remarque de sa tenue minimaliste et elle me demandât "Tu en portes une ?" ma réponse affirmative au port d'un string fût immédiatement suivie de mon désir de l'enlever et d'être comme elle, ajoutant que pour moi la sensation du vent sur mon pubis était délectable.

Sensation qu'elle me dit partager. Joignant le geste à la parole je me suis tortillée pour faire valser le string, relevant ma robe je lui fit remarquer que comme elle je n'était pas adepte du rasage intégral. Elle me dit qu'elle aimait bien sa touffe car ses poils étaient très soyeux et pour que j'en soit certaine elle prit ma main et la posa sur son mont de vénus.
Je lui ai dit que je commençais à couler, immédiatement elle répliquât qu'il fallait qu'elle s'arrête pour vérifier et q'en plus, depuis le dîner de la veille, elle était certaine que nous en arriverions là…..


Nous étions dans un paysage superbe, le soleil commençait à chauffer, moi aussi de mes futures découvertes. Nous sommes descendues de la Land dans laquelle elle prit une pair de jumelles afin de ma faire voir un groupes d'antilopes paissant calmement dans la savane parsemée de beaux arbres. Pendant que je les observais, adossée à la voiture, Sandy a passé sa main sous ma robe pour remonter en effleurant ma jambe, du genoux aux cuisses, ma cyprine avait commencé à couler en dehors de ma fente et le haut de mes cuisses en était plein, tout en continuant à regarder les belles antilopes j'ai glissé une main dans son décolleté pour titiller la pointe de ses seins qui s'allongeaient et durcissaient de cette manipulation.
Elle a introduit son majeur entre le bord de mes lèvres pour parcourir ma fente, sans aller jusqu'à mon clitoris et cela volontairement; heureusement car j'aurais sûrement eu un orgasme immédiat….elle a ensuite porté son doigt à sa bouche pour le sucer consciencieusement en me disant "I love the taste of your apricot juice, I hope you'll feel the same with mine"!!!

J'ai posé les jumelles et me suis mise face à elle pour prendre ses lèvres afin d'échanger un baiser rendu voluptueux par le jeu de nos langues. J'avais très envie de goûter au miel de sa fente et de sentir ses doigts sur mon clitoris, que je savais avoir doublé de volume.
Elle a attrapé une large couverture dans la voiture, afin de nous épargner le contact avec les herbes sèches, sur laquelle nous nous sommes allongées et je lui ai retiré sa robe, tandis qu'elle faisait de même avec la mienne.
Etre nue en pleine savane avec une fille superbe était délectable. Après avoir longuement embrassé ses seins, assez petits, fermes et sensibles, je suis descendue vers sa fente déjà humidifiée par son miel dont la saveur était à la fois sucrée et acide, une pure merveille!!! (aucune femme n'a le même goût, c'est pareil pour le sperme).


Nous nous sommes faites jouir, mutuellement, individuellement et la serviette de bain qu'elle avait emporté fût bien utile pour essuyer nos cuisses!!!!!!

Nous étions l'une et l'autre fatiguée, ayant fait environ deux cents kilomètres depuis notre départ, il devait être 14h environ et elle décrétât être trop fatiguée pour faire la route du retour, je lui ai proposé de prendre le volant, mais elle m'a dit avoir une meilleure solution.
Ni une ni deux, elle a attrapé la radio pour demander qu'un des hélicoptères de la propriété vienne nous chercher avec un chauffeur pour reconduire la voiture. Nous avions environs une heure devant nous avant l'arrivé du "moustique volant", je vous laisse deviner à quoi elle fut employée!!!!

Pendant le trajet du retour elle continuait à me caresser en devant mon air dubitatif sue ce qu'allait penser le pilote elle m'a dit qu'il avait l'habitude……….


Mes journées se déroulaient tranquillement, petit déjeuner avec mon mari sur la terrasse de notre bungalow avant qu'il ne parte à ses occupations professionnelles. En suite long bain dans une immense baignoire avec spa.

Je partais ensuite avec Sandy faire du shopping au Cap ( une heure de route). Sandy et moi arpentions les rues sans but précis. Comme elle est plus grande que moi elle avait pris l'habitude de me tenir par le cou et moi par la taille. Double avantages, elle pouvait ainsi passer la main sur ma poitrine et caresser la pointe de mes seins, et moi en la tenant par la taille, je pouvais laisser, de temps à autres, descendre ma main sur ses fesses en forme de pomme à "damner un moine.
" Inconvénient, dès qu'elle touchait la pointe de mes seins je commençais à couler d'abondance; ce qui fît que je mettais un string, ce qu'elle n'aimait pas. D'autant plus, disais – t –elle ,que sa tenue me permettait d'explorer son entre cuisse comme bon me semblait. Je ne me privais pas de la faire durant l'après midi, une promenade en 4/4 ou en hélicoptère sur la propriété étant toujours propice à une halte et à nous embrasser avec délectation mêlant nos langues, nos cyprines lorsque l'une de nous avait eu la bonne idée d'aller récolter le miel de l'autre.

En un mot ce fût délicieux, surtout quand nous nous sommes caresser au sommet de la "Table Mountain" depuis de laquelle la vue sur les différents océans qui baignent le Cap est sublime.

Les soirées étaient plus calmes. Dîners habillés, à la grande mode de l'empire britannique, mon mari et moi nous retirions dans notre chambre
Et il me demandait de lui raconter ma journée .Ce que je faisais avec plaisir, dont le résultat était, pour sa par part, une splendide érection. Elle me permettait de caresser son gland, de le sucer jusqu'à je sente qu'il allait éjaculer. A ce moment là j'introduisais son sexe dans ma fente en le chevauchant pour pouvoir me caresser le clitoris en même temps et me délectais qu'il me suce après avoir fait couler son sperme en moi. Nous nous amusions de voir la tache des sucs s'agrandir sur le drap. Il ne restait plus qu'à sonner un domestique afin qu'il change la literie. Nous nous endormions ensuite enlacés, frottant ma petite touffe sur sa cuisse. C'était un délice, d'autant plus que je pensais à Sandy lorsque je lui raconterai ces fins de soirée.
La veille de notre départ elle me présenta une jeune amie "très chère", vingt cinq ans, aussi brune qu'elle était blonde. Je compris vite qu'une soirée en trio serait le clou de mon séjour. Tamara avait des petits seins comme je les aime, en revanche elle sacrifiait à la mode du tout épilé, ce que j'aime moins, ce qui permettait de voir immédiatement son long clitoris rose.
L'effleurer du bout de la langue suffisait à la faire se tordre de plaisir et ses cris de jouissance devaient réveiller toute la maison !!! J'étais moi aussi comblée avec le majeur de Sandy dans ma fente, tout comme elle par celui de Tamara planté au plus profond de son intimité. Pendant de longues heures nous avons inversé les rôles, l'une faisant jouir l'autre et ayant un bruyant orgasme avec l'autre. Bref je vous laisse imaginer, si ce n'est fantasmer sur le tableau. Tout cela se termina par un bain dans la baignoire, presque une piscine de Sandy. Je profitais pleinement de ces instants pleins d'érotisme et à l'atmosphère chargée des odeurs de cyprine.


Et cela d'autant plus que l'étape suivante était les USA et que je connais leur pudibonderie, peu propice à des ébats sexuels sur la superbe plage de Mauï où le haut de maillot est obligatoire ce que je déteste comme vous vous en doutez...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!