Collection Vengeance. Je Sacrifie Ma Vertu Pour La Dette De Mon Mari (3/5)
Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusquà ce que la mort nous sépare.
Cest les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Rapidement, dès le soir même cest le pire qui devait me rattr du moins au début.
Mon mari me propose de moffrir à François le Duc son voisin ayant flaché sur ma virginité.
Il aurait pu lenvoyer promener, mais le Duc me recevant dans sa chambre éclairée par de multiples bougies mapprend que ceux que je croyais être ma nouvelle famille sont, en fait un ramassis de salopard de la mère au fils.
Cette dette quils prétendent avoir contracté pour rénover le toit de leur maison ancestrale a été empruntée pour rembourser une dette de jeu au casino de leur commune.
Pourquoi dun coup, je suis sûr que le Duc dit vrai par rapport à mon mari qui ma conduite devant la porte de celui qui dans un sens aurait acheté ma virginité ?
Au moment où jétais sur le point de me prosti auprès de cet homme monstrueux avec toutes ses brulures, il veut se lever pour me laisser dormir sans consommer.
Jaurais été obligé de céder à celui que je considérais comme un monstre, jusquau matin ou mon mari serait venu me rechercher.
Ma réaction est immédiate, je suis novice dans le sexe actif, mais jai vu bien des choses sur Internet aussi, cest en me jetant à ses genoux que je lui fais une fellation.
Il aurait pu me baiser comme un soudard, mais plein de prévenance, il va dans sa salle de bains récupérer des ciseaux.
Les gestes quil fait en découpant ma robe représentant ma pureté du bas vers le haut me montrant la signification de la duperie de celui qui voulait faire de moi une salope de pute.
De même ma petite culotte saute plus réellement se rend sous les ciseaux, offrant ma blondeur à celui dont jai totalement oublié les cicatrices de son corps.
Mon corps à moi, vierge de toute sollicitation car je lai voulu ainsi sembrase quand cette bouche que je viens dembrasser sans la moindre répulsion ma fente que je lui abandonne en écartant largement mes cuisses.
Cest à mon clitoris que sa langue vient rendre hommage.
À ce moment, il serait venu sur moi pour me prendre comme un soudard, je me serais donnée sans la moindre retenu.
Mais jai affaire à un gentleman qui fait passer mon plaisir avant le sien.
Mon clito sembrase autant que mon corps lui est tout de go offert.
Jean voulait que je sois léquivalent dune femme de petite vertu, dans quelles minutes, quand cette verge que je masturbe doucement pour éviter de la blesser me prend sauvagement.
Jean a épousé une jeune femme quil voulait quelle devienne pute pour sa première fois, cette jeune femme aimante entre les bras du duc se donne à celui quelle prend comme amant.
François permet moi de tavouer quelque chose.
Je vous écoute ma mie !
François, je me donne à toi pour le meilleur, laissant le pire à celui qui doit bien rire avec sa mère sur le tour quil ma jouée.
Tu crois sincèrement à ce que tu dis alors que tu as vu de moi, la partie qui par chance a été épargnée dans mon aventure.
Qui ta embrassé sans aucune retenue et, pourtant ton visage est très marqué.
Avant quil ait le temps de réagir, étant à genoux entre mes cuisses, je prends son peignoir que jouvre.
Un instant je crois avoir présumé de mes capacités à voir linnommable par une force de ce qui se fait jour en moi, je passe ma main sur les plaies que le feu a provoquées.
Lorsque je le touche, ses boursoufflures disparaissent comme par magie et sentant le moment venu, je veux sa peau sur ma peau ce quil fait en sallongeant sur moi.
Cest moi qui glisse ma main entre nos corps, je sens quun dernier scrupule de me faire femme le retient.
Jai mal certes, mais bien moins que ce que le duc a dû avoir mal et lorsquil commence à me pilonner doucement, je le bloque avec mes jambes entourant ses reins.
Devant derrière, il a été brûlé, car je sens sur ses fesses, les mêmes boursoufflures que devant.
Je reprends sa bouche quil moffre sans retenue.
Nos salives se mélangeant, cest comme du miel qui coule en moi.
Cette verge au fond de mon vagin est bien loin de celle que je pensais recevoir en moi cette nuit, mais je suis certaine de gagner au change quand dun petit début de jouissance, cest un orgasme qui me dévaste.
Jignore si celui que jai épousé est encore derrière la porte lui montant une petite femme docile quil croit avoir épousée, mais mes cris de plaisir doivent lui faire croire que je suis une parfaite comédienne.
Je suis certaine que dans son esprit malade, jouir sous la queue dun tel monstre est hors de question.
Cest le moment où pour la première fois mon vagin est rempli de sperme.
Il sécroule à mon côté, instinctivement il referme son peignoir, mais je le laisse faire.
Nous avons dû dormir quelques minutes, tellement nous nous sommes donnés du plaisir.
Merci Marie, vous mavez redonné goût à la vie.
Voulez-vous rejoindre votre mari ?
Pas le moindre au monde, je suis bien près de toi.
Je le tutoie, il continue à me vouvoyer.
Puisque vous décidez de rester, puis-je vous offrir une coupe de champagne.
Sans aucun problème.
Le Duc prend son téléphone et appel un de ses serviteurs, malgré lheure avancée de la nuit.
Quelques minutes plus tard, un homme dune cinquantaine dannées frappe et entre dans la chambre.
Sur un plateau il porte une bouteille et deux coupes.
Je me suis glissée sous les draps, jai beau avoir été transformé en pute par mon mari, jai encore de la pudeur.
Il ouvre la bouteille, il fait le tour de la chambre et allume quelques nouvelles bougies.
Je mexcuse, monsieur Jean qui dort sur le sofa dans votre vestibule, dois-je le réveiller et lui dire de partir.
Inutile, Arsène, arrangez-vous seulement pour quil se réveille, ça vient juste de commencer pour lui.
Bien madame, je vais faire tomber mon plateau, largent lorsque ça arrive au sol, cela va faire assez de bruit pour le réveiller.
Arsène nous salue et se retire.
Comme il a dit, je sursaute lorsquil fait tomber son plateau.
Je sais que Jean mattend, je décide de commencer ma vengeance.
Je parle assez bas pour que seul le Duc comprenne les mots que jemploie.
François, as-tu un carnet de chèques à disposition dans cette chambre ?
Oui, dans ce secrétaire près de la fenêtre.
Si tu me fais confiance, fais-moi un chèque de 100 000 .
Tu vas voir, comment je vais le faire valser, il va voir ce que la petite Marie est capable de faire pour se venger de leur perfidie à sa mère et à lui.
Sans me poser plus de question, le jeu semblant lamuser, il se lève, je le vois écrire et venir me tendre le chèque plein de 0, cest la première fois que jen vois autant.
Je lattire à moi, je sors, sa verge et ma bouche la retrouve avec envie.
Lorsquil bande suffisamment je me place en levrette lui tendant ostensiblement mon cul et assez fort pour être entendu du vestibule, je lui intime lordre.
Duc, encule-moi, je rêvais de me faire sodomiser lors de ma nuit de noces.
Ma mie, cette pratique est dun autre âge.
Avec ce que tu viens de me donner, tu as bien mérité de me prendre par lanus.
Assez fort pour que mon souteneur entende et tous bas seulement pour le Duc.
Si tu veux me revoir, encule-moi sans plus poser de questions.
Voilà, cest fait, dans cette nuit bien étrange pour une jeune mariée, jai perdu tous mes pucelages, bouche, chatte et anus.
Bien, je men retourne près de mon mari, jespère que tu tiendras parole sur la dette de ma belle-mère, aurais-tu une robe de chambre à me prêter.
Enveloppé dans une robe de chambre bien trop grande pour moi, jembrasse François amoureusement, lorsque je sors de sa chambre, je retrouve Jean, vert de rage, ma vengeance commence.
Toi, tu vas comprendre qui je suis, pourquoi lui avoir cédé ton anus et te faire enfiler par ce fumier, ta chatte lui suffisait.
Javais prévu dans notre chambre que ce serait moi qui te déflorerais lanus !
Et ça, pour taider, ça valait bien que je lui donne mon anus !
Merde, un chèque de 100 000 , lélève a dépassé son maître, donne le moi.
Chéri, jai un maître à la hauteur.
Ce chèque, permets-moi de le mettre sur mon compte demain dans la journée, jaurai limpression dêtre riche quelques jours, je te restaurai tout rapidement.
Tu peux compter sur moi pour tout te rendre, tu me las dit nous sommes mariés pour le pire, cétait dans la chambre que je viens de quitter.
Le meilleur, cest tes dettes presque effacées.
Nous reprenons notre voiture et nous arrivons là ou en début de soirée, je pensais me faire dépuceler.
Je me douche remettant mon corps en état.
Je trouve mon lit avec envie, jai passé une soirée pleine de rebondissements.
Mon mari parti à la douche après moi vient se coller à moi, je sens quil bande.
Je tai prouvé que je taimais cédant à ta demande de faire lamour avec un monstre.
Il était tellement bien monté que ma chatte et mon anus vont devoir attendre plusieurs jours pour que jaie le plaisir de me donner à toi.
Mais je bande, fait quelque chose...
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