Un Pervers Près De Moi 2

Le repas commence et Arnaud nous porte l’entrée, il avait fait des cassonades de saint jacques. Nous discutions tous ensemble, malgré que pour moi, le regard insistant d’Alain, devenait de plus en plus insoutenable.
À la fin de la dégustation de ce premier plat, Fanny me faisait signe et me chuchotait à l’oreille:
-“c’est le moment
-fais attention lui dis-je en ayant le regard remplie de larmes.
Je pouvais voir la difficulté de ma sœur à se lever et affronter cette situation. Elle était toute tremblotante. Elle prit son courage à deux mains et partie en direction des toilettes.
Un instant plus tard, Alain se levait, récupéra son manteau et son paquet de cigarettes en prétextant partir fumer.
10 minutes viennent de s’écouler, ni Fanny, ni Alain ne sont revenues . Arnaud vient me voir et me dit:
- on va servir le plat Lucie, tu peux t’occuper de prendre le vin s’il te plaît.
Je hoche de la tête, inquiète de ce qu’il se passe.Que fait Fanny? pourquoi c’est si long. La non-présence d’Alain à table me fait encore plus peur mais je ne peux rien laisser transparaître.
Je me dirige alors vers la cave à vin, à côté du plan de travail, attrapant une bouteille de vin rouge. Je prends le tire bouchon et ouvre la bouteille. Au même moment, j’aperçois Alain passait à côté de moi,le sourire aux lèvres.
Son regard satisfait m’inquiète,j’ai peur pour ma sœur. Ma mère lui fait la remarque de sa longue absence. Il lui raconte que son briquet ne fonctionnait pas et qu’il a dû aller jusqu’à la voiture pour allumer sa clope.Tout le monde repart s’asseoir à sa place, sauf Fanny toujours absente. Cela fait plus de 15 minutes.
Je suis assise, les mains jointes, le regard dans le vide.
- Lucie ? Lucie ? Lucie !?- quoi ? Qu’est-ce qu'il y a ? - tu n’as pas l’air bien me dit ma mere.
- Si maman tout va bien, ne t’inquiètes pas. Au même moment, Fanny est de retour. Enfin ce n'est pas trop tôt.

J’essaye de croiser son regard pour glaner des informations et savoir ce qui s’est passé, en vain. Physiquement, que ce soit le maquillage ou les cheveux, rien n’avait l’air d’avoir changé chez elle. À son approche, j’ai pu remarquer que sa robe était mouillée au niveau du haut de la poitrine. Quand elle vient s’asseoir à côté de moi, je lui dis:
- Alors qu’est ce qui s’est passé ?
Elle ne dit rien, le regard dans le vide, comme extrêmement choqué.« Fanny, ça va ? tu n’as pas l’air bien, tu veux me raconter ce qu’il s’est passé ?
 Elle éclate en sanglot et me dit : 
- je suis désolée
 Voilà les trois mots que je ne voulais pas entendre. Ils retentissent à l’intérieur de moi. La culpabilité commence à me ronger.
Steph remarqua le comportement de Fanny et lui demanda si ça va et où elle était tous ce temps.
- Ça va mon coeur lui répond Fanny, j’étais aux toilettes puis je suis partie fumer dehors avec Alain.
Steph frotta gentiment le dos de Fanny et remarqua que sa robe était tachée au niveau de la poitrine.
- tu t’es encore taché, lui dit Steph d’un air moqueur.
- oui, c’était tout à l’heure en buvant du vin . J’ai essayé de nettoyer.
Je savais qu’elle mentait,m. Quand elle est partie aux toilettes, aucune tache n’était présente sur elle. Mais que s’est-il passé ?

Le repas se passe et je demande à Fanny de me raconter. Elle me dit:
- Pas maintenant, il y a trop de monde. Quand on finit le plat, on ira dehors et je te raconterai tout .
Je fais signe de la tête en acquiesçant ses propos, impatiente de savoir, mais inquiète.

Il est 21h52, nous terminons le plat principal. Arnaud, Marie et moi-même débarrassons les assiettes.
- doudou, je vais dehors sortir la poubelle dis-je à Arnaud.
- oui et après tu t’occupes du dessert Lucie.
À peine ayant terminé sa phrase, je fais signe à Fanny de me rejoindre. J’att mon manteau et file dehors avec la poubelle, quelques instants plus tard, Fanny arrive.

-Alors ? Raconte.
Elle se met aussitôt à pleurer et commence à me raconter.
-Quand je suis arrivée aux toilettes, j’ai fait comme toi, j’ai baissé mes collants, retiré mon shorty noir et je me suis assise sur la cuvette. Ne voyant personne arriver, j’ai commencé à jouer avec mon portable et la, d’un coup, j’ai entendu une respiration assez forte. J’ai compris qu’Alain était derrière la porte. J’ai donc posé mon téléphone à côté de la cuvette pour voir ce qu’il allait faire. Je le voyais frotter sa main droite sur son entre-jambe tout en regardant ma chatte ouverte. Il n’avait pas encore croisé mon regard et son pantalon était toujours fermé. Donc je me suis dit, Fanny, il faut que tu prennes une photo quand il commencera à se masturber. Du coup, j’ai voulu l’exciter un peu et j’ai commencé à me caresser. Ma main droite est descendu sur ma chatte à moitié épilée et j’ai fait des petits vas et viens tout le long de mes lèvres. Puis j’ai joué ensuite avec mon clito.
- Fanny, mais pourquoi tu as fait ça ? On avait dit que tu devais simplement constater qu’il se masturbait et nous matter aux toilettes. C’était tout.
Je commence à avoir peur de la suite et me demande si j’ai bien envie de savoir ce qui s’est passé.
-Je sais... tu veux que j’arrête là ? Me dit Fanny les larmes aux yeux, le regard baissait.
Une longue hésitation se fait entendre et je finis par répondre:
-non, bien évidemment.
Fanny reprend son récit en parlant doucement de peur d’être entendue.
- du coup, je te disais, je caressais mon clitoris et j’entendais la respiration d’Alain accélérer. J’ai jeté un coup d’œil sur son entre-jambe et j’ai pu remarquer une forte erection. Il commença à défaire sa ceinture, baissait sa braguette puis son caleçon et sortit son sexe plutôt petit, qui était déjà en erection. Et c’est là où ça a dérapé. Au moment où il commença à se lécher les doigts et prendre sa bite en main. J’ai eu...
- De quoi est ce que vous parlez? Interrompit Steph en venant droit vers nous et enlaçant ma sœur dans ses bras forts et musclés.

- Rien, mon coeur, des trucs de filles qui ne t’intéresserait pas, lui dit Fanny, se sentant protégée dans ses bras.
Je regarde et fixe Steph en me disant que ma sœur a quand même énormément de chance d’être tombée sur un mec aussi beau, musclé et qui a l’air vraiment amoureux d’elle. Le pauvre, s’il savait ce que ma sœur lui avait fait, il ne serait certainement pas entrain de la réconforter.Il se recula et la regarda dans les yeux.
- tu es sûr que tout va bien?.
- oui mon coeur, ne t’inquiète pas.
-ok, je vais vous laisser tranquille alors, je vais voir si Arnaud a besoin d’aide.
- Steph, tu peux lui dire qu’ils sortent les deux bacs de glaces à la vanille et au café s’il te plaît .
- Non, pas envie me dit il en souriant.
En le voyant repartir, je ne peux comme d’habitude, de mater discrètement ses petites fesses bombées.

Fanny me regarde avec des yeux remplis de larmes:
- j’ai honte de ce que j’ai fait Lucie. Si tu savais comme j’ai honte.
Je la regarde dans les yeux et glisse ma main sur son dos en la frictionnant pour la rassurer.
- Ne t’inquiètes pas, personne n’en sera rien. Mais qu’est ce que tu as fait de si terrible pour avoir honte comme cela ?
Fanny reprit son récit, elle ne me regardait plus dans les yeux, couverte de honte.
- Quand Alain a sorti sa bite, léchait ses doigts, il les a ensuite frottait sur son gland pour l’humidifier puis il a commencé à se masturber en faisant de léger vas et viens avec sa main. Son souffle s’est accéléré. Nos regards se sont croisés et là, au lieu de m’arrêter et de le prendre en photo comme convenu, j’ai commencé à éprouver du plaisir et j’ai accéléré mes mouvements. J’ai appuyé de plus en plus sur mon clitoris, mon corps commençait à transpirer, mon visage est devenu rouge d’excitation. Alain, lui, accélérait les mouvements sur sa bite, de la bave sur les commissures des lèvres étaient présente. Il se rapprochait de l’ouverture de la porte, sa queue était à moins d’un mètre de moi.
Il me dit en respirant fort et de manière saccadée :
- je ...peux ... entrer . 
Je ne répondis pas, mes yeux plissais, mon visage fronçait, la bouche ouverte continuant à frotter de plus en plus fort mon clitoris et lui continuant à astiquer son sexe de plus en plus durement. Il me dit à nouveau : 
- je vais entrer Fanny, d’accord.
Le voilà, ouvrant la porte, sa queue devant moi. Son souffle fort faisait voler mes cheveux. Son sexe frotta mon menton. Sa main gauche est venue descendre sur mes seins qu’il sert l’un après l’autre. Il finit part attr ma main droite caressant ma chatte pour la placer sur sa queue. Je me laissais faire, honteuse, humiliée mais tellement excitée. Là, j’ai commençais à le masturber doucement. Il saisit l’arrière de ma tete avec sa main droite , et l'avança vers sa bite tout en me disant:
- ouvre la bouche Fanny.
Je n’en reviens pas de ce que me raconte ma soeur, je reste là les bras croisés devant elle, subjugué par l’horreur de ses mots. Mais qu’est-ce qu'il lui a prit de faire ça ? Surtout avec Alain, en plus d’être le mari de notre mère, il est répugnant avec son ventre énorme, l’odeur de sa sueur et sa fainéantise.
- Et ensuite ? Tu l’as sucé? Luis dis-je intrigué.
- Non, j’ai refusé. J’ai fermé la bouche et son sexe s’est arrêté sur ma joue. Il n’a pas insisté et sait contenté de la masturbation. La main gauche d’Alain commençait à caresser ma chatte et il y glissa un doigt. Il se baissa légèrement pour continuer à profiter de mon vagin et enfonça son doigt de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je gémissais de plus en plus . Ma main sur sa queue se serra et accéléra. Au bout de 45 secondes, il se releva, me regarda dans les yeux. Ses lunettes étaient au bout de son nez pointu.
En croisant son regard, j’ai compris qu’il allait éjaculer.Je me recula légèrement, lâcha sa bite qui récupéra immédiatement, visant mon visage. Trois jets de sperm sortirent de sa queue. Le premier arriva sur le haut de mes seins. Le second venait se coller à côté de ma bouche sur la joue gauche et le dernier terminait au même endroit que le premier.
Je suis restée scotcher sur le trône, me sentant humiliée regardant Alain, secouait sa petite queue, lâchant un filet de bave par terre, le visage radieux de satisfaction et quelques gouttes de sperm également sur ma robe. En se rhabillant, il me dit c’est quelques mots terrible:
- merci ma petite salope, maintenant autour de ta petite sœur. 
Je me suis mise à pleurer, en ayant honte de ce que j’avais fait. Au bout d’un moment je me suis relevé, couverte de sperm d’Alain. Je suis montée à la salle de bain me nettoyer le visage et la robe.
Je reste scotché devant ma soeur ne sachant plus quoi dire. La terreur des mots d’Alain voulant me baiser me glaçait le sang.
C’est à ce moment-là qu’une ombre dans la nuit faisait son apparition. Cette ombre se dirigeait vers nous. Nous entendions un souffle fort se rapprochant.

A suivre...

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